Suisse
TX Group: la rentabilité s'est volatilisée au 1er semestre
L'éditeur diversifié TX Group a pâti sur les six premiers mois de l'année notamment de la conjonction du renchérissement des prix du papier ou encore d'investissements dans la commercialisation de publicité extérieure.
L'éditeur diversifié TX Group a pâti sur les six premiers mois de l'année de la conjonction du renchérissement des prix du papier, d'investissements dans la commercialisation de publicité extérieure et d'un important amortissement lié au rapprochement de ses portails spécialisés avec ceux de son homologue Ringier, de l'assureur Mobilière ainsi que de la société d'investissement new-yorkaise General Atlantic.
La rentabilité s'est évaporée à 95% pour déboucher sur un bénéfice net de 1,0 million de francs. Handicapé par les remaniements de périmètres, le produit d'exploitation s'était déjà contracté de 1,7% à 445,7 millions, énumère un communiqué diffusé mardi.
L'excédent d'exploitation avant charges d'intérêts et fiscale (Ebit) a été élagué de trois quarts à 3,7 millions. Apuré des effets de fusions, cet indicateur a dégringolé de 40% à 28,7 millions.
Le groupe zurichois souligne avoir de surcroît remboursé sur la période à la Confédération une aide d'urgence Covid-19 de 3,1 millions perçue l'an dernier.
Le flux de trésorerie disponible a par contre été multiplié par près de deux à 89,8 millions, porté par une accélération dans les opérations comme par la vente des parts dans Moneypark.
Le compte-rendu à mi-parcours ne comprend aucune indication prospective pour la suite de l'exercice.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Football
Dix jours de pur bonheur
"Je tiens en premier lieu à féliciter mes joueurs. Les dix jours passés ensemble furent une vraie réussite !" Il n'était sans doute pas aisé de trouver un sélectionneur plus heureux que Murat Yakin.
"Nous avons battu Israël 3-0 d'une manière souveraine. Nous avons témoigné d'une concentration extrême. Nous avons très bien joué sur le plan offensif. En défense, nous n'avons rien laissé passer, poursuit le Bâlois qui assure avoir trouvé le "bon" système avec son 4-3-3 résolument porté vers l'avant. "Zakaria a su s'imposer comme no 6. Quant à Xhaka et à Freuler, ils peuvent désormais s'exprimer beaucoup mieux sur le plan offensif."
Murat Yakin est, bien sûr, revenu sur la première titularisation de Zeki Amdouni. "Trois matches avec nous, deux buts déjà: son intégration se passe très bien, sourit le sélectionneur. On voit qu'il est en forme. Qu'il traverse une très belle période. On voit aussi qu'il joue à l'instinct. Comme un footballeur venu de la rue. Sa grande force est peut-être qu'il peut jouer sur tout le front de l'attaque."
"Ce fut une performance de choix, se félicite pour sa part Granit Xhaka. Nous voulions classer l'affaire au plus vite. Nous l'avons fait juste après la pause. Avec deux victoires en deux matches, aucun but encaissé, huit marqués et des occasions à foison: je ne crois pas que l'on puisse faire beaucoup mieux..."
"La patience a été la clé du succès, souligne enfin Ruben Vargas, l'homme du 1-0. Sur un plan personnel, je suis heureux d'être à nouveau en pleine possession de mes moyens. J'espère pouvoir maintenant enchaîner avec Augsbourg."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
La Suisse en démonstration à Genève contre Israël
Ce n'est pas la performance du siècle. Elle est toutefois la bienvenue après le funeste huitième de finale de la Coupe du monde. En trois jours seulement, la Suisse a pris le bon cap vers l'Euro 2024.
Victorieuse 5-0 du Bélarus samedi à Novi Sad, la Suisse n'a pas manqué ses retrouvailles avec son public. A Genève, elle a battu Israël 3-0 pour partager la tête du groupe I du tour préliminaire de l'Euro 2024 avec la Roumanie. Sans faire injure au Kosovo d'Alain Giresse, ces deux formations devraient garder aisément la main jusqu'à la fin de cette campagne pour une qualification sans histoire et sans frayeur.
Après quatre rencontres sans la moindre victoire entre 2004 et 2009, ce premier succès face à Israël dans un match officiel souligne combien la Suisse a grandi depuis quatorze ans. Murat Yakin recueille les fruits du travail de ses deux prédécesseurs pour qu'un tel match ne soit plus depuis longtemps un match piège.
Même sans Xherdan Shaqiri et sans Breel Embolo, l'équipe peut faire parler ses individualités pour forcer la décision. Ainsi, un Remo Freuler aura su faire le bon geste pour amener les deux premiers buts. Celui qui a inscrit le goal de la victoire en décembre dernier contre la Serbie fut l'homme du match.
La Suisse a pris son temps
Signer un hat-trick parfait trois jours plus tôt ne vous assure pas une place de titulaire: Renato Steffen, le héros de Novi Sad, a connu cette infortune pour céder sa place à Zeki Amdouni dans un onze à nouveau articulé en 4-3-3. Face à un adversaire plus coriace que le Bélarus mais tout aussi timoré avec aucune véritable occasion à son crédit Amdouni et ses coéquipiers ont pris leur temps avant de donner leur pleine mesure.
Après un penalty provoqué à la 29e minute par Cedric Itten mais finalement refusé par la VAR, la Suisse est sortie de sa somnolence grâce à une action d'école pour l'ouverture du score de la 39e. Trouvé par Denis Zakaria, Amdouni adressait un centre que Remo Freuler prolongeait de la tête vers Ruben Vargas. Le Lucernois battait à bout pourtant le gardien Omri Glazer pour sa cinquième réussite en sélection.
Deux ailiers pour un souffle nouveau
Déjà très à son avantage à Novi Sad, Vargas était, trois minutes après son but, à l'origine d'une rupture qui aurait pu permettre à Amdouni de doubler la mise. Mais le Genevois butait sur Glazer. Sur ces deux actions, les deux hommes ont su justifier la confiance du sélectionneur. Même si tout ne fut pas parfait, notamment chez Amdouni, la vie qu'ils amènent sur les ailes procure un souffle nouveau à l'équipe.
Ils le démontraient dès la reprise avec le 2-0 qui était aussi beau que le 1-0. Itten déviait pour Vargas dont le centre était à nouveau pour Freuler. Le demi de Nottingham voyait sa frappe repoussée par Glazer, mais comme l'histoire de ce match devait être belle, Amdouni avait bien suivi pour inscrire son douzième but de l'année, sans doute le plus facile. Cinq minutes plus tard, Silvan Widmer enfonçait le clou avec une tête imparable sur un service de Zakaria. Le match a très vite tourné à la démonstration pour le plus grand plaisir des 14'819 spectateurs présents dont un certain Roger Federer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Aucun joueur ne devine la bonne combinaison de l'Euro Millions
Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions mardi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 16, 21, 34, 36 et 44, ainsi que les étoiles 9 et 10.
Lors du prochain tirage vendredi, 30 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.
https://jeux.loro.ch/games/euromillions
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Des responsables de Credit Suisse veulent rassurer les gros clients
Des responsables de Credit Suisse (CS) ont une nouvelle fois tenté mardi de rassurer des clients importants dans le sillage de l'absorption de la banque sous la contrainte par UBS.
Dans une téléconférence qui a duré environ 45 minutes, André Helfenstein, directeur général (CEO) de l'entité suisse de l'établissement aux deux voiles, et son responsable de la banque privée Roger Suter ont cherché à convaincre les gros clients, notamment les caisses de pension, de garder leurs avoirs auprès du futur ex-numéro deux bancaire helvétique.
"La concurrence ne dort jamais, et c'est une bonne chose", a affirmé le patron de CS Suisse, selon des propos rapportés par l'agence Bloomberg. La semaine dernière déjà, la banque avait adressé une lettre à plusieurs clients importants, leur garantissant une "transition sans heurts".
Evoquant une finalisation de la fusion avec UBS pour fin 2023, les responsables avaient assuré que d'ici là, Credit Suisse poursuivrait ses activités commerciales "comme à l'accoutumée, en collaborant étroitement avec UBS".
Dans les "prochaines semaines"
La concrétisation de la transaction, négociée sous la pression des autorités et étayée par des garanties financières inédites de la part de la Confédération et de la Banque nationale suisse (BNS) reste pour l'instant peu claire. De son côté, UBS s'était réjouie d'accueillir ses "nouveaux clients" et "nouveaux collaborateurs" dès "les prochaines semaines", alors que le sort du nom "Credit Suisse" est encore incertain.
Lors de l'annonce du mariage forcé il y a une dizaine de jours, le président d'UBS Colm Kelleher avait affirmé que la finalisation de l'opération serait une question de "quelques semaines, voire de peu de mois". Son homologue chez Credit Suisse, Axel Lehmann, avait quant à lui laissé entendre que la marque "Credit Suisse" serait maintenue "au moins jusqu'à la conclusion de la transaction".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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