Vaud
Grève des femmes : à vivre avec les reportages de la rédaction
Aujourd’hui 14 juin, les femmes se mettent en grève. En grève pour l’égalité de traitement et des chances. A l'image de ce qu'il se passe dans le reste du pays, des centaines d'actions ont lieu dans tout le canton en vue de la grande marche organisée le soir à Lausanne.
Le coup d'envoi de la Grève des Femmes a été donné depuis la cathédrale de Lausanne. Pour la première fois de l'Histoire, ce sont des femmes qui ont crié l'heure entre 22h et 2h du matin. En 614 ans, cela n'était jamais arrivé. Quatre guettes ont été nommées pour l'occasion. Donatella Romeo les a suivies :
Promesses des autorités, le recrutement du guet de la cathédrale et de son équipe de remplaçants sera désormais ouvert aux femmes.
- Nadia Lamamra a crié à 23h.
- Pour la première fois en 614 ans, des femmes ont crié l'heure depuis la cathédrale de Lausanne.
- Plusieurs dizaines de personnes étaient au pied de la cathédrale pour ce moment.
Sapeurs-pompiers #SPSL en prévention pour l'illumination de la cathédrale à l'occasion de la journée Grève des femmes !#noussommespre #sapeurspompiers (C)2019 {Eric Jaquerod}
Gepostet von Eric Jaquerod am Freitag, 14. Juni 2019
Une nuit "agitée"
D'autres actions se sont déroulées durant la nuit à Lausanne. Un feu de joie a notamment été allumé sur la place de la Riponne, où les femmes présentes ont été invitées à brûler des objets symboliques. Certaines ont lancé dans le brasier leur soutien-gorge, d'autres des cravates, a rapporté un photographe de l'agence de presse Keystone-ATS, présent sur place.
A Bâle, le logo de la grève a été projeté sur la tour Roche, le plus haut bâtiment de Suisse, a communiqué le syndicat Unia. De nombreuses autres opérations sont prévues tout au long de la journée dans l'ensemble du pays.
La grève est annoncée comme "multiforme et globale", sachant qu'elle interviendra sur les lieux de travail, de vie, de formation et de consommation. "Elle sera adaptée aux possibilités de chacune: croiser les bras un moment ou toute la journée, déranger au lieu de ranger, occuper l'espace public", mentionne l'appel à la grève.
Forte mobilisation attendue
La grève se veut aussi décentralisée. L'organisation est assurée par une vingtaine de collectifs régionaux, auxquels s'ajoutent des groupes centrés sur des thématiques spécifiques. Les syndicats seront aussi à l'oeuvre durant toute la journée.
Toutes les femmes de Suisse sont invitées à cesser de travailler à 15h24, heure à partir de laquelle elles ne sont plus payées, selon les statistiques de la différence salariale entre femmes et hommes.
Les principales manifestations se dérouleront en fin de journée, comme à Delémont (dès 16h45), Bienne (16h45), Genève (17h), Sion (17h30), Lausanne (18h00), Neuchâtel (18h00) ou Fribourg (18h30). Sur leur site internet, les organisatrices disent s'attendre à une mobilisation "de grande ampleur".
La presse suisse parle abondamment de la thématique. Le Temps a pour sa part décidé de laisser des cases blanches là où une journaliste devait écrire un article. Le Bot der Urschweiz a quant à lui été rebaptisé la "Botín der Urschweiz".
Date symbolique
Les origines du mouvement sont multiples, entre persistance des violences sexistes, maintien des discriminations salariales, non-reconnaissance du travail domestique ou domination du modèle patriarcal. "Nous voulons l'égalité dans les faits et nous voulons décider nous-mêmes de nos vies", souligne l'appel à la grève, adopté le 10 mars dernier par les assises nationales à Bienne.
La date du 14 juin n'a pas été choisie au hasard. Elle fait référence à la votation fédérale du 14 juin 1981 qui a approuvé l'article constitutionnel sur l'égalité entre femmes et hommes. Dix ans plus tard, le 14 juin 1991, les femmes suisses avaient déjà fait grève et impliqué 500'000 personnes dans tout le pays.
"Puisque l'on ne nous écoute toujours pas, nous allons faire entendre nos revendications", affirment les organisatrices de cette nouvelle grève dans un manifeste.
Les quotidiens romands parlent abondamment de la grève des femmes dans leurs éditions de vendredi. La plupart se sont parés de violet, la couleur du mouvement.
"Suissesses en colère", écrit 24 heures en une. Le quotidien vaudois illustre sa première page avec le dessin d'une femme en violet sur fond jaune, poing dressé en l'air. Plus sobre, la Tribune de Genève titre "Une journée de grève pour exiger l'égalité" avec la photo de manifestantes vêtues en violet.
20 Minutes titre "Hall of femmes" en référence à l'expression anglophone "Hall of fame", temple de la renommée en français. Du côté de Neuchâtel, Arcinfo propose la photo d'une foule de femmes en première page avec le titre "Respect".
Le Journal du Jura opte lui pour un dessin de presse humoristique, montrant une mère en train d'accoucher à 15h24, heure symbolique à laquelle les femmes ne sont plus payées par rapport aux hommes. "L'étoffe des héroïnes" lance quant à lui le Quotidien jurassien.
Un dessin orne également la une de La Liberté, celui d'une femme en gants de boxe. "Pour que la lutte porte ses fruits", titre le journal fribourgeois. "Grève féministe Jour G", renchérit Le Courrier, qui a abandonné sa traditionnelle couleur rouge pour le violet.
Le Temps montre un dessin où plusieurs hommes sont représentés, mais aucune femme. "Un genre vous manque, et tout un journal est dépeuplé", titre le quotidien. Son édition de vendredi est parsemée de cases blanches, là où une journaliste devait écrire un article.
Plus d'une centaine de manifestantes ont bloqué vendredi matin à Lausanne le pont Bessières rebaptisé passerELLE Nicole Niquille. Face aux Retraites populaires, elles ont dénoncé un système de rentes conçu pour les hommes.
Sur fond musical, les participantes à la grève des femmes, en majorité jeunes, ont commencé leur blocage vers 8h30, presque au pied de la cathédrale. Pour l'occasion, le pont avait pris le nom de la célèbre alpiniste fribourgeoise.
Avec le système des retraites actuel, les femmes sont "très dépendantes des conjoints", a dénoncé Marine Ehemann, coordinatrice de la grève pour le syndicat SSP. C'est "minimaliste" et "ça ne permet pas aux femmes de vivre", selon la militante qui remet en cause "ce modèle masculin".
Une affichette collée sur un pilier du pont rappelait qu'une soixantaine de rues portent à Lausanne des noms de personnes illustres, mais que seulement trois d'entre elles sont des femmes. Aujourd'hui, "elles sortent de l'ombre et sont dans la rue". Le blocage doit prendre fin vers 9h30.
A Lausanne, une flash mob « chorale » à eu lieu à la gare CFF à 10h vendredi matin.
L'hymne des femmes a été chanté par des centaines de voix dans et devant le hall principal de la gare.
Romain Felley y était :
Autre événement ce vendredi matin : la présence de Simonetta Sommaruga à Lausanne. La Conseillère fédérale est venue échanger avec une classe du Gymnase du Bugnon, site de l’Ours. Des jeunes qui font partie des lauréats du concours « Toutes 1 Histoire ».
120'000 élèves et étudiants vaudois, de la 1P au post-obligatoire, étaient invités à produire une vidéo d’une minute. Avec comme fil de rouge : discuter du rôle et de la place des femmes en 2019. Une centaine de court-métrages ont ainsi été réalisés pour dénoncer les inégalités, briser les clichés, combattre les injustices, rire ou s’émouvoir de la société et de son fonctionnement.
Co-lauréats du concours, des gymnasiennes du Bugnon ont reçu ce vendredi matin la visite de la Ministre Simonetta Sommaruga et des 5 femmes du Conseil d’Etat vaudois. Au programme : des échanges, sans barrières.
La Conseillère d’Etat en charge de la formation, de la jeunesse et de la culture, Cesla Amarelle :
Les gymnasiens présents ont aussi pu discuter avec Simonetta Sommaruga. La Conseillère fédérale qui a notamment relevé l’exception vaudoise : celle d’avoir 5 femmes pour 7 sièges au gouvernement cantonal.
Des manifestations ont eu lieu dans l'ensemble de la Suisse et du canton. A Lausanne, Vevey, Renens, Morges, Yverdon ou encore Nyon, des collectifs ont organisé des points de rendez-vous et d'animation dans de nombreuses villes et villages, mais aussi dans les entreprises.
Résumé de cette journée et rencontre avec les manifestantes de Morges et Lausanne.
- Une centaine de personnes ont participé au rassemblement de 11h à Morges.
- A Saint-François, à 15h24, pour marquer l'heure à laquelle les femmes ne sont plus payées selon les inégalités salariales.
- A Saint-François, à 15h24, pour marquer l'heure à laquelle les femmes ne sont plus payées selon les inégalités salariales.
- A Saint-François, à 15h24, pour marquer l'heure à laquelle les femmes ne sont plus payées selon les inégalités salariales.
- A Saint-François, à 15h24, pour marquer l'heure à laquelle les femmes ne sont plus payées selon les inégalités salariales.
- A Saint-François, à 15h24, pour marquer l'heure à laquelle les femmes ne sont plus payées selon les inégalités salariales.
Point d'orgue de cette journée, le grand rassemblement qui avait lieu à Lausanne dès 18h. Dès milliers de femmes et d'hommes solidaires ont participé à la marche.
- Le cortège de la grève des femmes et féministe a traversé la ville de Lausanne.
- Le cortège de la grève des femmes et féministe a traversé la ville de Lausanne.
- Le cortège de la grève des femmes et féministe a traversé la ville de Lausanne.
(DR/RF/RB/KEYSTONE-ATS)
Lausanne
Lausanne n'exploitera plus le Centre pour adolescents de Valmont
La Ville de Lausanne renonce à l'exploitation du Centre pour adolescents de Valmont (CPA), destinés aux jeunes en rupture. Un accord a été trouvé avec le canton de Vaud pour transmettre au 1er octobre prochain le contrat de prestation à La Maison des jeunes (MDJ), une association privée reconnue d'utilité publique.
L'avenir de Valmont était discuté depuis plusieurs années par la Ville, exploitant historique du CPA, et le canton, son principal financeur par le biais d'une subvention annuelle, rappelle vendredi l'Etat de Vaud dans un communiqué. La vingtaine d'employés du CPA recevra une proposition de réengagement par le nouvel exploitant. La Ville de Lausanne cède également le bâtiment et le terrain de Valmont, qui passent en mains du canton.
Ce bâtiment bénéficiera à terme de nouvelles infrastructures plus adaptées à la prise en charge des adolescents. "C'est à cette condition que l'accueil des adolescents pourra continuer en conformité avec les exigences actuelles de l'action socio-éducative en milieu fermé", explique le canton.
Ces dernières années, le CPA s'est spécialisé dans deux types de prises en charge des adolescents: les placements ordonnés par la justice et les placements dits d'observation. Cette dernière mesure permet de tirer un bilan socio-éducatif, pédagogique et psychologique d'adolescents en grande difficulté. "C'est cette prestation que la Maison des Jeunes sera appelée à développer prioritairement à Valmont", indique le communiqué.
Elections communales VD 2021
Les élections communales sont maintenues
Les élections communales vaudoises sont maintenues. Décision de l’Etat de Vaud, malgré la situation sanitaire. Le premier tour du scrutin aura lieu comme prévu le 7 mars prochain. Le Canton fixe toutefois un ensemble de règles.
8000 sièges sont à repourvoir dans les différents législatifs et 1500 dans les municipalités du canton. La pandémie de Covid-19 va forcément impacter la campagne mais bon nombre d’activités classiques seront possibles, comme la tenue de stands sur les marchés ou de séances d’information. La conseillère d’Etat en charge des institutions, Christelle Luisier:
Pandémie oblige, le Conseil d’Etat va aussi fixer un cadre strict pour que les communes organisent les bureaux électoraux:
Christelle Luisier a reconnu devant la presse que le Conseil d'Etat avait évoqué la possibilité d'un report des élections communales. L'idée n'a finalement pas fait son chemin. La démocratie doit se poursuivre selon la ministre en charge des institutions:
Le délai pour le dépôt des listes de candidats est fixé à lundi midi.
Vaud
Un rapport du Grand Conseil critique les conditions de détention dans les prisons
Surpopulation carcérale, places de travail insuffisantes dans les lieux de détention et accès aux soins psychiatriques non équivalents pour les femmes et les hommes détenus dans les prisons vaudoises: telles sont les critiques émises par le rapport annuel de la Commission des visiteurs du Grand Conseil (CVGC), publié jeudi.
Ce rapport 2019-2020, qualifié de "fouillé et sans concession" par la commission elle-même, sera prochainement soumis à l'examen des parlementaires. Créée en 2012, la CVGC et ses sept membres est chargée de vérifier les conditions de détention des prisonniers dans tous les pénitenciers du canton et de s'assurer qu'elles soient conformes aux lois suisses et aux engagements internationaux.
De juillet 2019 à juin 2020, la commission a visité neuf établissements et s'est entretenue avec une centaine de personnes détenues, indique-t-elle dans un communiqué.
"Surpopulation importante et problématique"
La CVGC constate que la surpopulation carcérale reste "importante et problématique". Les constructions prévues aux Grands Marais à Orbe ainsi que les rénovations des prisons du Bois-Mermet à Lausanne et de la Tuilière à Lonay sont, dans ce contexte, très attendues. Elles "permettront à moyen terme une amélioration des conditions de détention". La commission invite toutefois le Conseil d'Etat à "démontrer que le nombre de places sera suffisant à long terme".
Elle relève par contre sa "satisfaction" concernant la mise en place progressive d'alternatives à la détention, telle que la surveillance électronique et le travail d'intérêt général. Ces mesures devraient, "à terme, contribuer à résoudre la persistante et inquiétante problématique de la surpopulation carcérale", note le rapport.
Autre préoccupation: la nécessité de prendre toutes les mesures visant à mettre à disposition suffisamment de places de travail pour que l'obligation au travail des personnes condamnées soit respectée. La CVGC constate que certains établissements de détention avant jugement, qui accueillent des personnes condamnées dans des secteurs non dédiés - conséquence de la surpopulation carcérale - rencontrent "des difficultés à offrir des places de travail suffisantes, faute de locaux et de ressources en personnel".
La commission salue en revanche l'engagement d'un personnel formé pour travailler sur les projets de formation et de réinsertion des personnes détenues.
Effets collatéraux du coronavirus
Le rapport de la commission formule une autre recommandation: la prise en charge particulière des femmes détenues dans des lieux adaptés. La CVGC reste très attentive au suivi des traitements psychiatriques, tant pour les hommes que pour les femmes. "Un concept général serait le bienvenu", à ses yeux.
"L'accès aux soins y compris psychiatriques est crucial en cette période de pandémie, dont un des effets collatéraux est le durcissement des conditions de détention pour l'ensemble de la population incarcérée", souligne encore le rapport.
Vaud
Vaud augmente ses aides et appelle la Confédération à en faire plus
Vaud augmente ses aides financières. Après l'annonce mercredi par le Conseil Fédéral de nouvelles fermetures liées au coronavirus, le Gouvernement vaudois a fait le point hier jeudi sur les aides aux secteurs économiques touchés et concernés par les mesures.
Tout d'abord, si le Conseil d'Etat vaudois salue l'assouplissement des conditions d'éligibilité aux cas de rigueur, il critique le manque d’aides fédérales. Comme d’autres cantons, Vaud estime que le montant mis à disposition par Berne est "clairement insuffisant". Il manque au moins 1,5 milliard selon le Ministre vaudois des finances, Pascal Broulis. Il appelle la Confédération à agir rapidement :
L’irritation de Pascal Broulis est partagée par la Présidente du Conseil d’Etat vaudois, Nuria Gorrite. De l’argent supplémentaire de la part de la Confédération permettrait de rassurer entreprises et employés :
Alors en attendant une éventuelle réévaluation des aides fédérales, Vaud a décidé d’agir : le canton augmente son enveloppe financière dédiée aux cas de rigueur de 28 millions de francs, pour atteindre 100 millions. Cela fait 250 millions au total, en comptant les aides fédérales.
Le point avec Philippe Leuba, Ministre vaudois de l’économie :
Autre point, et pas des moindres, qui concerne les commerces qualifiés de non-essentiels qui fermeront lundi : attention ! Si vous êtes concernés, les demandes de chômage partiel devront être déposés d’ici vendredi 15 janvier 2021, dernier délai, afin d’éviter d’être pénalisé.
Les explications de Philippe Leuba :
Toujours dans le volet économique, l'opération “welQome 2” est bouclée depuis jeudi 14 janvier. Les 20 millions de francs investis par le canton de Vaud ont permis de générer 60 millions de chiffres d'affaires auprès des acteurs du tourisme et des commerçants locaux. Près de la moitié a par exemple profité aux restaurateurs.
Les bons achetés, mais pas encore utilisés, pourront l’être d’ici cet été.
Sur le front sanitaire, le canton a souligné ce matin que le nombre de nouveaux cas positifs se stabilisait "à un niveau élevé", entre 200 et 250 ces derniers jours. Concernant le nouveau variant britannique, 39 cas ont été identifiés dans le canton de Vaud, dont une dizaine au sein du Lausanne Hockey Club, en quarantaine depuis début janvier.
Vaud a aussi rappelé son objectif de vacciner 100'000 personnes vulnérables d'ici la fin février. De 1’000 vaccinations par jour actuellement, le rythme passera à 3’000 puis à 5’000 d'ici le mois de mars.
Le canton de Vaud ouvre ses premiers centres de vaccination
Vaud
Le canton prévoit 18 millions pour entretenir 32 km de routes
Le canton de Vaud veut rafraîchir certaines de ses routes. Le Conseil d'Etat demande plusieurs crédits au Parlement pour un montant total de 18,3 millions de francs afin d'effectuer des travaux d'entretien des revêtements routiers en dehors des villes et villages, a-t-il indiqué jeudi.
Ces différents crédits permettront de renouveler le revêtement d'environ 32 kilomètres de routes cantonales, soit 25 secteurs concernés, précise le gouvernement dans son communiqué. Il s'agira aussi pour le canton de sécuriser des zones de protection des eaux souterraines sur cinq tronçons et d'entretenir un ouvrage d'art, le pont du Vélard sur la route cantonale entre Aigle et Le Sépey.
"L'objectif de ces travaux est de maintenir un réseau routier cantonal efficace et sûr pour toutes les catégories d'usagers de la route, du cycliste à l'automobiliste, en passant par les transports publics et les véhicules utilitaires", écrit le canton dans son communiqué.
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