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Suisse Romande

Le Paléo Festival s’achève dans une ambiance « lumineuse »

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Le Paléo Festival de Nyon referme ses portes ce dimanche soir. Après les Red Hot Chili Peppers en ouverture, Midnight Oil, Arcade Fire ou encore Justice, Manu Chao met fin à 6 jours de fête et de concerts sur la plaine de l’Asse.

Les organisateurs saluent une 42e édition lumineuse. Pour la 19e année consécutive, le Festival s’est joué à guichets fermés avec 230'000 spectateurs. Le patron du festival, Daniel Rossellat, parle d’un bilan « bleu ciel » malgré les fortes pluies de vendredi et samedi soir.

Daniel RossellatPatron du Paléo

 

Les fortes chaleurs du début de semaine et la mise en place du plan pluie partiel vendredi et samedi n’auront donc pas perturbé la fête :

Daniel RossellatPatron du Paléo

 

Aucun incident notable n’est à signaler tant du côté de l’infirmerie que de la sécurité. Dans le contexte sécuritaire actuel, le Paléo reste d’ailleurs l’une des rares manifestations à ne jamais fouiller les sacs des festivaliers :

Daniel RossellatPatron du Paléo

 

Sur le plan artistique, les organisateurs estiment que les prestations des artistes se sont avérées à la hauteur des attentes du public. Daniel Rossellat, patron du Paléo, évoque ce qu’il retient de cette semaine de Festival, à commencer par le concert d’ouverture des Red Hot Chili Peppers qui a fait couler beaucoup d’encre :

Daniel RossellatPatron du Paléo

 

À l’heure de clôturer cette édition du Paléo, les organisateurs pensent déjà à la suite. Daniel Rossellat, patron du Festival :

Daniel RossellatPatron du Paléo

 

Le 43e Paléo Festival de Nyon se tiendra du 17 au 22 juillet 2018. Le Village du Monde aura pour thématique l’Europe du Sud.

 

 

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Vaud

Première pierre posée pour la tour Tilia à Prilly

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Une maquette du projet Tilia et sa tour de 85 mètres au coeur de Malley, dans l'Ouest lausannois. (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Une tour de 85 mètres est en construction à Prilly. Il s'agit de la tour Tilia, près de la gare de Prilly-Malley. Ce jeudi, les porteurs du projet ont organisé une cérémonie symbolique, celle de la pose de la première pierre. Ceci six mois après le lancement du chantier, qui doit se terminer début 2026.

Moment symbolique ce jeudi à Prilly. S'est tenue ce matin la cérémonie de pose de la première pierre de la tour Tilia, près de la gare de Malley. Moment symbolique parce que le premier coup de pioche a, lui, été donné il y a six mois. Pour mémoire, la tour de 85 mètres sera achevée en 2026. Elle comprendra plus de 200 logements, un hôtel, des espaces de bureaux et des commerces. Mais les porteurs du projet, la société Insula SA, ont aussi prévu un parc paysager, une salle de sport et une autre de concert pour réunir les locataires. Car, selon Esteban Garcia, on ne peut plus penser un projet immobilier sans réfléchir au lien social. On écoute le maître d’ouvrage et fondateur du projet Tilia.

Esteban GarciaMaître d'ouvrage

Rappelons que de nombreux chantiers sont en cours à Prilly, dont une autre tour et l’écoquartier de Central Malley. Un développement qui laisse le syndic Alain Gillièron pantois.

Alain GillièronSyndic de Prilly

Et le syndic d'ajouter que la Municipalité planche actuellement sur la planification du développement des infrastructures scolaires.

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Vaud

Vaud: le POP et SUD veulent automatiser les prestations sociales

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Il suffirait de cocher une case sur sa déclaration d'impôt pour obtenir les prestations sociales auxquelles on a droit (illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Cocher une case dans sa déclaration d'impôt pour obtenir automatiquement des prestations sociales et s'économiser ainsi un processus de demande long et dissuasif. Voilà en substance ce que vise une alliance entre le syndicat SUD et le POP, qui entendent lutter contre le fait que 30 à 40% des bénéficiaires potentiels ne recourent pas aux prestations sociales auxquelles ils ont pourtant droit.

"On ne peut plus se contenter de l'existence d'un filet social, il faut que les personnes aient accès à leurs droits pour pouvoir vivre dignement", a déclaré Marc Vuilleumier, député POP, jeudi devant les médias réunis à Lausanne.

"Si une telle partie des ayants-droit ne recourt pas à ces prestations, c'est qu'on leur impose des chemins impraticables", a renchéri Aristides Pedraza de la Fédération syndicale SUD, qui soutient elle aussi cette idée. "Il faut passer d'un Etat-obstacle à un Etat facilitateur", a-t-il ajouté.

"Petite bombe sociale"

Dans cette optique, Marc Vuilleumier va déposer mardi prochain une interpellation au Conseil d'Etat. Celle-ci constituera la première étape d'une "fusée à deux étages", a précisé l'intéressé. Dans un premier temps, le député entend obtenir des chiffres précis sur le nombre de personnes ne recourant pas aux prestations sociales, ainsi que sur l'économie que cela représente chaque année pour le canton.

Le texte ouvrira également la porte sur une "petite bombe sociale", à savoir la possible automatisation des prestations sociales par le biais de la transmission d'informations fiscales des intéressés aux services concernés.

Le deuxième étage de la fusée consiste, lui, en une motion demandant l'instauration de l'automaticité des prestations sociales, telle qu'elle est pratiquée dans d'autres cantons romands. Les subsides à l'assurance maladie, les prestations complémentaires (PC), les PC familiales, la rente-pont ou les bourses d'études seraient notamment concernées.

Case à cocher

Concrètement, selon ses partisans, l'automaticité des prestations sociales impliquerait deux mesures. En premier lieu, l'ajout d'une case sur la déclaration d'impôts, que le contribuable n'aurait qu'à cocher pour demander de "transmettre aux services concernés les documents fiscaux relatifs à une demande de prestation sociale", et en second lieu la mise sur pied d'un bureau ad hoc.

"Le banc d'essai pourrait être la question des subsides à l'assurance maladie", a déclaré Aristides Pedraza. "Pourquoi ne peut-on pas passer rapidement à l'automaticité du subside LAMAL alors que le fisc a toutes les informations à disposition?"

Parallèlement à cette interpellation, une campagne a été lancée afin de sensibiliser le grand public. Les premiers tracts ont été distribués mercredi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Mémorial dédié aux victimes de placements forcés en Valais

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Des mémoriaux ont déjà été érigés dans plusieurs cantons, comme ici à Berne (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Au moins 750 personnes ont été victimes de placements forcés avant 1981 en Valais. Le canton a décidé de s'en souvenir en réalisant un mémorial et a lancé un appel à projets. Ceux-ci doivent être soumis aux Archives de l'Etat du Valais (AEV) jusqu'au 3 juin prochain.

Ces mesures de coercition étaient prononcées contre des adultes dont le mode de vie ne correspondait pas aux normes sociales de l'époque et qui étaient internés sans décision de justice. Elles frappaient aussi des jeunes femmes, contraintes à avorter, à se faire stériliser ou à donner leurs enfants à l'adoption; ou des adolescents et enfants placés dans des fermes ou dans des foyers, détaille l'Etat du Valais jeudi dans un communiqué.

Le mémorial sera érigé au pôle culturel, scientifique et patrimonial des Arsenaux à Sion, pour "rappeler un épisode sombre de l'histoire récente de notre pays et en témoigner auprès des générations à venir", précise le canton. Les actrices ou acteurs culturels intéressés peuvent trouver les modalités du concours sur le site de l'AEV.

Loi et réparation

En Suisse, entre 1930 et 1981, 39'000 personnes ont été victimes de telles mesures d'internement administratif. Pour l'ensemble du XXe siècle, on estime ce nombre à 50'000, voire 60'000.

Plusieurs mémoriaux ont été érigés dans le pays à la suite de l'entrée en vigueur en avril 2017 de la loi fédérale sur le traitement des mesures de coercition à des fins d'assistance et des placements extrafamiliaux antérieurs à 1981 (LMCFA). Cette loi pose le cadre nécessaire à un travail de mémoire individuel et collectif, en mettant l’accent sur la reconnaissance et la réparation de l’injustice faite aux victimes.

Elle prévoit notamment le versement d’une contribution de solidarité de 25'000 francs par victime, des conseils et un soutien via les points de contact cantonaux et les archives cantonales ainsi que l'étude scientifique de la question. Des mémoriaux ont été érigés dans les cantons de Berne, de Soleure, des Grisons et d'Uri.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Vaud: la Coges adresse 24 observations au Conseil d'Etat

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La Commission de gestion du Grand Conseil vaudois a adressé 24 observations au Conseil d'Etat dans son rapport 2023 (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Dysfonctionnements dans des écoles du canton (HEP, HEMU, Eracom), manque de places en EMS et en prison, sous-effectifs dans certains secteurs de l'administration, outils informatiques dépassés ou mal utilisés. Telles sont quelques-unes des grandes lignes du rapport 2023 de la Commission de gestion du Grand Conseil vaudois (Coges).

Dans ce rapport, "les problématiques RH reviennent très régulièrement", a reconnu Monique Ryf, présidente de la Coges, jeudi devant la presse. Et de rappeler les crises traversées ces derniers mois par la Haute école de musique (HEMU), la Haute école pédagogique (HEP) et l'Ecole romande d'arts et communication (Eracom), mais aussi par d'autres entités comme le groupe Impact, l'organe chargé d'enquêter sur les conflits de travail et le harcèlement au sein de l'administration.

Si chaque cas est spécifique, les problèmes se situent "le plus souvent au niveau des directions", a relevé Nathalie Jaccard, vice-présidente de la Coges. Elle a remarqué que si le Conseil d'Etat avait eu le mérite de "ne pas laisser pourrir" ces affaires, il lui revenait désormais de veiller à ce que la situation s'améliore.

"La marge de manoeuvre du Conseil d'Etat reste néanmoins limitée", a-t-elle ajouté, rappelant que, dans le cas des hautes écoles, c'est un conseil de fondation qui chapeautait ces institutions.

La Coges a aussi questionné "l'adéquation des moyens utiles au bon fonctionnement de l'administration". Pour Mme Ryf, si le Grand Conseil "parle beaucoup" actuellement du nombre d'employés de l'Etat, "trop élevé selon certains députés", des secteurs demeurent en "sous-effectifs". C'est le cas, par exemple, au sein des secrétariats des établissements scolaires ou encore auprès des tutelles et curatelles professionnelles, a constaté la Coges.

Prisons et EMS

Comme chaque année, le rapport de la Coges mentionne aussi des prisons surchargées. Monique Ryf a notamment mis en lumière les retards des travaux à la prison pour femmes de la Tuilière à Lonay. "Une réponse urgente" du Conseil d'Etat est exigée pour connaître l'avancement de ces travaux, la situation actuelle en matière de sécurité et de conditions de détention restant "toujours problématique".

Les places continuent aussi de manquer en EMS, le programme d'investissements 2017-2021 ayant été "sous-estimé", a indiqué un autre membre de la Coges, Jacques-André Haury. Le programme 2022-2027 vise en partie à combler cette pénurie, mais toujours sans englober les EMS non reconnus d'intérêt public. "Pourquoi se priver de ces EMS privés ?", a-t-il demandé.

Pour la Coges, l'Etat de Vaud doit aussi améliorer l'accessibilité à certaines prestations de l'Etat. Sur ce volet, c'est un autre commissionnaire, Arnaud Bouverat, qui a cité en exemple le moyen d'identification électronique (MIE). Celui-ci, utile notamment pour remplir une déclaration d'impôt, devrait "être mieux expliqué et valorisé" auprès de la population, a-t-il dit.

Réponses attendues fin mai

D'autres députées membres de la Coges sont venues présenter quelques-unes des observations adressées au Conseil d'Etat. Oriane Sarrasin a appelé à "mieux anticiper" les communications au sujet des PFAS ("polluants éternels"), sachant que ce sont bientôt des normes européennes qui s'imposeront en Suisse.

Quant à Céline Misiego, elle a abordé la question des clubs sportifs amateurs, pour lesquels la Coges aimerait savoir ce que le Conseil d'Etat a prévu pour les inciter à favoriser les déplacements en transports publics.

Long de 106 pages, le rapport 2023 de la Coges recense 24 observations (ainsi que plusieurs remarques), sur lesquelles le Conseil d'Etat devra se positionner d'ici la fin mai. Ces réponses seront ensuite discutées et votées par le Parlement avant fin juin.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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