Jodie Foster affirme que ses fils sont "peu sûrs d'eux" en ce qui concerne leur propre carrière.

L'actrice de 61 ans, qui vient de remporter son premier Primetime Emmy Award pour son rôle dans "True Detective : Night Country" - a évoqué la vie professionnelle de ses fils Charlie, 26 ans, et Kit, 22 ans.

Elle a déclaré au magazine People : "Ils sont à l'âge où ils commencent leur carrière et ne savent pas trop ce qui va se passer. Mais à chaque fois qu'ils accomplissent quelque chose, mon cœur se remplit 14 fois parce que j'ai ce souvenir d'une belle carrière qui s'est construite sur un travail utile, et je sais que c'est la recette du bonheur. Je suis donc ravie pour eux, pour l'avenir".

Par le passé. Jodie s'est exprimée sur son style d'éducation et sur la décision de ne pas dire à ses enfants qu'elle était actrice lorsqu'ils étaient plus jeunes.

Lors de son passage dans l'émission "The View" en janvier, elle a déclaré : "Je ne sais pas pourquoi, je suppose que je ne voulais pas qu'ils me connaissent de cette façon. Je voulais qu'ils me connaissent comme leur mère."

Dolly Parton a admis qu'elle a appris à cuisiner "par nécessité" en grandissant dans une famille dont les moyens n'étaient pas élevés.

La star de 78 ans a grandi dans la pauvreté avec 11 frères et soeurs dans une région rurale du Tennessee et a admis qu'elle a dû apprendre à cuisiner très tôt afin de se charger de ses frères et soeurs quand sa mère était malade ou enceinte.

Elle a confié au magazine People : "Nous devions monter sur les chaises pour éplucher les pommes de terre, les navets, etc. ou autre. Nous devions faire ça quand maman n'allait pas bien, ou qu'elle était au lit avec un enfant, ou qu'elle avait un nouveau bébé, etc. Ma première leçon est donc née de la nécessité. Ma mère voulait probablement m'écarter du chemin, alors elle me mettait sur une chaise et mettait tout ce qu'il fallait dans un bol. Elle me disait: "Tiens, c'est à toi de faire le pain de maïs ce soir." Je travaillais dur."

Demi Lovato éprouve un sentiment de "peur existentielle" face au vieillissement.

L'actrice et chanteuse a fêté ses 32 ans le mois dernier et a expliqué que si elle n'est pas "inquiète" de voir son apparence changer avec l'âge, elle éprouve toujours de l'"anxiété" face à ce processus.

Elle a déclaré au magazine People : "Le vieillissement est une chose qui, si j'y pense trop, peut m'angoisser - non pas parce que je m'inquiète de mon apparence ou des changements de mon corps ou de mon visage, mais à cause de cette peur existentielle. J'aime rester dans le moment présent. Lorsque nous pensons à des choses qui appartiennent à notre passé ou à notre avenir, nous ne sommes pas présents, et la présence est le plus grand cadeau que nous puissions nous faire."

Se projetant dans l'année à venir, Demi a reconnu que les humains "veulent toujours ce qu'ils ne peuvent pas avoir", ce qui signifie que "nous nous mettons parfois la pression" simplement parce que nous ne sommes plus aussi jeunes que nous l'étions autrefois.

Elle a fait remarquer qu'"un jour", dans un avenir que l'on espère très lointain, les gens regretteront d'avoir perdu leur temps à "s'inquiéter de leur âge" alors que le monde est à leurs pieds.

"Vous aurez 80 ou 90 ans, vous regarderez en arrière et vous vous direz : "Pourquoi ai-je perdu mon temps à 30 ans à me préoccuper de mon âge, alors que j'avais tant de choses à attendre et tant de temps devant moi ?" a-t-elle ajouté. "J'essaie de ne pas me focaliser sur le temps qu'il nous reste, mais plutôt sur l'expérience de vie qui nous attend si nous avons de la chance."

Le Métropole de Lausanne reçoit l'humoriste québécois Anthony Kavanagh avec une nouvelle création. Un 10ème spectacle solo consacré à la thématique du bonheur : "Happy".

Le 18 octobre, la Salle du Métropole de Lausanne accueillera l'humoriste canadien Anthony Kavanagh avec son seul en scène intitulé : "Happy", imaginé durant la pandémie de covid. Un nouveau spectacle qui décrypte les mécanismes du bonheur.

"Happy" a été créé, en distanciel, avec le coauteur français, Sacha Judaszko. Le show se concentre sur la thématique du bonheur et essaie d'apporter quelques outils en la matière. Un thème auquel il s'est attaché durant le confinement étant devenu coach en programmation neurolinguistique (PNL). Il s'est intéressé ainsi notamment aux comportements à succès. Dans la foulée, il a cherché à comprendre ce que les gens heureux faisaient pour être si bien dans leur peau, pour être happy. Une nouvelle création dans laquelle Anthony Kavanagh évoque également sa passion pour la musique et son combat contre l'apnée du sommeil.

Un spectacle, lumineux et dynamique, d'une durée de 2 heures avec du chant, de l'imitation, de l'improvisation, renouant avec l'ADN de son premier spectacle en 1995. Un retour aux sources pour le Québécois.

Infos et réservations : sallemetropole.ch/salle-metropole/anthony-kavanagh