Harrison Ford est déconcerté par sa réputation de grincheux.

L'acteur de Star Wars s'est fait connaître pour son attitude très sérieuse au fil des ans, mais il affirme pourtant qu'il aime la comédie et qu'il a hérité de son père son goût pour les blagues.

Il a déclaré au magazine Vanity Fair : "J'ai toujours aimé l'humour, j'ai toujours aimé les blagues. Mon père était un raconteur de blagues. Le travail sur les mots et les idées qui se cachent derrière une blague m'ont toujours intéressé. Lorsque j'ai envisagé de devenir acteur, j'avais l'ambition de travailler dans les deux domaines : le théâtre sérieux et la comédie. Je me suis retrouvé à faire les deux sans vraiment faire la différence. Je pense que je réfléchis avec la même tête d'acteur à une blague qu'à une scène sérieuse ou émotionnelle".

Harrison poursuit en insistant sur le fait qu'il est une personne très différente lorsqu'il ne travaille pas.

Il ajoute : "Je suis quelqu'un d'idiot... Je n'ai pas besoin d'être encouragé [à être idiot]. Je suis vraiment très bête tout seul. Mais lorsque je suis en compagnie d'autres personnes que je sais être gaffeuses, les règles s'assouplissent. J'aime m'amuser. J'aime être entouré de gens qui s'amusent. Je n'aime pas être trop sérieux."

La reine Élisabeth terrifiait les passagers par sa conduite à grande vitesse.

La monarque, qui aimait être au volant de Range Rovers et de Land Rovers dans ses propriétés de campagne, notamment à Balmoral, a également été décrite comme une femme "courageuse" mais "timide" par une ancienne assistante qui s'est exprimée sur la vie qu'elle menait aux côtés de Sa Majesté.

Samantha Cohen, qui est devenue l'une des collaboratrices les plus loyales de la reine après 18 ans passés à ses côtés, a déclaré au Sunday Times : "(La Reine) conduisait ses voitures à toute allure autour de Balmoral... laissant les autres conducteurs bouche bée".

L'ancienne assistante a ajouté qu'elle était étonnée qu'Elizabeth n'ait "pas d'ego" et que, bien qu'elle soit l'une des personnes les plus célèbres au monde, elle soit "l'antithèse de la célébrité."

Samantha a ajouté qu'au lieu d'être une frimeuse enivrée par son pouvoir, la reine "prenait (son rôle dans la société) très au sérieux et s'en acquittait à la perfection".

Elle a également révélé que la défunte monarque était plus heureuse lorsqu'elle n'était pas en service et adorait particulièrement les tournées royales en Australie, qu'elle trouvait plus relaxantes car il y avait moins de protocole que dans d'autres pays, y compris la Grande-Bretagne.

Samantha s'est rapprochée de la reine après avoir rejoint le service de presse de la famille royale il y a environ 25 ans.

Elton John a admis "ne pas savoir combien de temps il lui reste".

Le chanteur de 77 ans parle ouvertement de la mort dans son prochain documentaire et a révélé qu'il pensait plus que jamais à cela.

Selon The Mirror, dans une scène de "Elton John : Never Too Late", la star déclare : "Je me demande ce qu'il va advenir de toutes mes affaires quand j'aurai fini ? C'est la dernière période de ma vie. Je ne sais pas combien de temps il me reste. On y pense davantage quand on atteint mon âge. On pense à la vie et à la mort. On se dit : 'Je veux juste être là où je veux être maintenant'. Je n'ai pas besoin de travailler après cela. Je travaillerai, j'enregistrerai des disques et je participerai à des émissions de radio, mais voyager demande beaucoup d'efforts. C'est très fatigant. J'ai l'habitude. Je suis un vétéran, mais c'est là que vous commencez à penser à la mortalité".

Ce nouveau documentaire est en streaming sur Disney+ et retrace la carrière d'Elton dans l'industrie musicale, y compris des images inédites de son journal manuscrit, ainsi que des enregistrements audio de certaines interviews célèbres et de John Lennon qui l'a rejoint sur scène pour Thanksgiving en 1974 au Madison Square Garden.

Al Pacino a rencontré un vrai mafieux dans le cadre de ses recherches pour incarner Michael Corleone.

Le vétéran d'Hollywood, âgé de 84 ans, a été nommé pour l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle en 1972 pour son interprétation du mafieux dans "Le Parrain".

Dans ses mémoires "Sonny Boy", l'acteur raconte toutefois qu'il a eu du mal à entrer dans le vif du sujet : "Je devais encore découvrir qui était Michael pour moi. Avant le début du tournage, je faisais de longues promenades dans Manhattan, de la 91e rue au Village et vice-versa, en pensant à la façon dont j'allais l'incarner. La plupart du temps, j'y allais seul, mais d'autres fois, je rencontrais mon ami Charlie Laughton dans le centre-ville et nous remontions ensemble. Michael commence comme un jeune homme que nous avons tous déjà vu, en train de se débrouiller, un peu perdu, un peu lourdaud. Tout s'accumule jusqu'au moment où il se porte volontaire pour éliminer Virgil Sollozzo et le capitaine McCluskey, le trafiquant de drogue et le flic véreux qui ont conspiré pour tuer Vito Corleone, le père de Michael. Tout d'un coup, il y a une grande explosion en lui. (...)

Al poursuit : "Avant le début du tournage, j'ai rencontré Little Al Lettieri, qui allait jouer Sollozzo.Il m'a dit : "Tu devrais rencontrer ce type. Il est bon pour ce que vous faites'. J'ai compris ce qu'il voulait dire, alors je l'ai suivi. Un jour, nous sommes allés en voiture dans une banlieue proche de la ville. Little Al m'a amené dans une maison, belle et bien entretenue. Il m'a fait entrer et m'a présenté au chef de famille, qui avait l'air d'un homme d'affaires normal. Je lui ai serré la main et l'ai salué, et il s'est montré très accueillant. Il avait une famille aimante. Sa femme nous servait des boissons et des en-cas légers sur de la porcelaine fine. Il avait deux jeunes fils d'à peu près mon âge. Je n'étais qu'un acteur un peu fou qui était entré dans sa maison et qui essayait d'absorber tout ce qu'il pouvait. Notre conversation est restée polie et superficielle. Je n'ai jamais demandé à Little Al pourquoi il m'avait amené ici, mais j'ai pensé à ce qu'il m'avait dit avant que nous venions, à savoir que cette visite serait utile pour ce sur quoi je travaillais."