L’été des festivals à Sion sous les étoiles avec le duplex de Montreux et Charlie Winston
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Il y a 5 moisle
Emmenez-moi
Six ans à vélo autour du monde avec Pascal Bärtschi
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Il y a 9 heuresle
12 décembre 2019
Un homme, un vélo, un rêve : un tour du monde de presque 6 ans, 100’000 km parcourus à la force du mollet, des rencontres, des paysages, de découverte en découverte. L’aventure, la liberté. Une expérience inoubliable…
Pascal Bärtschi est parti un beau jour de novembre 2012 avec son vélo… il ne rentrera que 6 ans plus tard après avoir traversé 59 pays! Partage, découverte, dépassement de soi, nature, et un livre pour raconter cela, Pascal Bärtschi est notre invité.
Résumé :
« Imaginez un monde où le temps ne serait que synonyme de météo. Pas de montre, pas d’horaires, pas de stress. Seulement le soleil qui rythme vos journées. Croyez-moi, ce monde existe, j’y ai vécu pendant presque six ans. Quel meilleur moyen que la bicyclette pour vivre cette aventure ? Voyager à une vitesse humaine à la rencontre de l’autre, de soi, voilà toute la clé de cette expérience. Des plaines verdoyantes du Yellowstone aux paysages arides d’Atacama. Des ours placides d’Alaska aux éléphants affamés de Zambie. De la fraîcheur de l’altiplano bolivien à la fournaise du désert de Gobi. J’ai appris au fil de ma route à écouter, ressentir et vivre le présent. Notre planète offre une richesse culturelle, géologique et animalière captivante. Loin des idées reçues, j’ai découvert un monde tolérant d’une générosité insoupçonnée. Parti à 32 ans de mon petit village suisse pour réaliser mon rêve à la force du mollet, il m’aura fallu plus de 100’000 km pour m’épanouir pleinement. À travers ce récit je veux transmettre mes émotions, mes joies, mes peines mais surtout vous faire prendre conscience que chacun peut vivre ses rêves s’il s’en donne les moyens. »
« Six ans à vélo autour du monde » – Editions Favre
Morax sur LFM
Le Léman Express, star du changement d’horaire 2020
Publié
Il y a 13 heuresle
12 décembre 2019
Avec 45 gares et 230 kilomètres de lignes, le Léman Express est le plus grand réseau ferroviaire régional transfrontalier d’Europe. Inauguré aujourd’hui, il sera officiellement mis en service dimanche, en même temps que les changements d’horaire 2020. Le réseau ira de Coppet (VD) à Annecy (F), Evian-les-Bains (F) ou encore Bellegarde (F). Six trains par heure et par sens circuleront en semaine entre Genève et Annemasse (F). Le Léman Express est sans aucun doute la star de ce nouvel horaire CFF, mais ce n’est pas le seul changement
Nuria Gorrite, présidente du Conseil d’Etat vaudois et conseillère d’Etat en charge des infrastructures, est l’invitée qui fait l’actu demain. Elle reviendra sur l’inauguration du Léman Express, l’impact possible de la grève en France sur sa mise en service, le nouvel horaire et ce qu’il implique pour les Vaudois. Nous lui demanderons également si la récente nomination d’un Fribourgeois à la tête des CFF est une bonne nouvelle pour les infrastructures ferroviaires vaudoises.

Le chlorothalonil sera interdit dès 2020 en Suisse. L’Office fédéral de l’agriculture (OFAG) retire immédiatement de la circulation ce fongicide et considère la substance comme « probablement » cancérigène.
Ce retrait est réalisé dans le cadre du programme de réexamen des anciens produits phytosanitaires. Une centaine de substances ont déjà été réexaminées à ce jour, précise l’OFAG jeudi dans un communiqué. A ses yeux, certains produits de dégradation de ce fongicide pourraient avoir un effet négatif à long terme sur la santé.
De plus, la substance doit probablement être classée comme cancérigène, estime Berne qui se rallie là à l’évaluation de la commission de l’UE. Le réexamen du chlorothalonil a montré que certains produits de dégradation de cette substance, appelés métabolites, pouvaient être mesurés en quantité trop importante dans les eaux souterraines.
Céréales, légumes et plantes ornementales
Comme l’on peut s’attendre à retrouver ces produits au-dessus des normes légales fixées pour les eaux de boissons, il est nécessaire d’agir afin de réduire leur présence dans les eaux souterraines. L’OFAG retire donc les autorisations de vente des produits avec effet immédiat et interdit leur utilisation dès le 1er janvier 2020.
Le chlorothalonil est une substance active utilisée comme fongicide depuis les années 1970 dans l’agriculture, notamment dans la culture des céréales, des légumes, de la vigne et des plantes ornementales. Selon l’OMS, il est particulièrement toxique pour les poissons et les invertébrés aquatiques. La Commission européenne a décidé le 29 avril 2019 de retirer le fongicide et d’interdire son utilisation après le 20 mai 2020.
Thème récurrent
La qualité des eaux en Suisse a souvent fait la une de l’actualité en 2019. L’Office fédéral de l’environnement (OFEV) avait révélé à la mi-août que la substance avait été détectée dans 31 stations de mesures des eaux souterraines. Et dans 20 cas, la limite légale de 0,1 microgramme par litre a été dépassée.
Depuis 2017, divers métabolites du chlorothalonil ont été repérés dans les eaux souterraines, notamment du Plateau. La limite de 1 μg/l pour l’eau potable fixée en juin dernier par l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires est dépassée dans quelques cas.
L’alerte à la pollution au chlorothalonil avait été donnée dans la Broye en juin dernier, à Domdidier (FR). Lausanne avait aussi dû agir fin août: elle a sorti du réseau d’eau potable des captages qui dépassaient la nouvelle valeur maximale autorisée.
Depuis, le canton de Berne et les distributeurs d’eau du canton de Soleure ont demandé à la Confédération d’interdire ce produit. L’Union suisse des paysans (USP) a elle demandé aux exploitations agricoles de renoncer aux pesticides contenant cette substance en attendant d’en savoir plus sur ses effets.
Deux initiatives
Les Suisses pourraient également se prononcer sur deux initiatives en lien avec la qualité de l’eau. Celle sur les pesticides de synthèse demande d’interdire l’utilisation de ces produits dans la production agricole ainsi que pour l’entretien des sols et des paysages. Elle réclame également l’interdiction d’importer à des fins commerciales des denrées alimentaires qui contiennent des pesticides de synthèse ou qui ont été fabriquées à l’aide de ces produits.
L’autre initiative vise à garantir la qualité de l’eau potable. Les agriculteurs ne pourraient toucher de paiements directs qu’à la condition de respecter des exigences écologiques comme la préservation de la biodiversité, une production sans pesticides et des animaux nourris avec le fourrage produit dans l’exploitation.
Pour mémoire, l’Office fédéral de l’agriculture a banni en juin 12 pesticides contenant du chlorpyrifos et clorpyrifos-méthyl. Ces produits peuvent endommager le cerveau des embryons, des jeunes enfants et sont très toxiques pour les insectes, les oiseaux et les animaux aquatiques.

Le Conseil national veut légiférer sur le port de la burqa et la dissimulation du visage. Mais uniquement du bout des lèvres. L’entrée en matière s’est décidée jeudi par 94 voix contre 90 et 5 abstentions.
Le contre-projet indirect du gouvernement propose qu’une personne soit tenue de montrer son visage à des fins d’identification. A l’échelon fédéral, cela pourra être exigé lors d’un contrôle dans les transports publics, une démarche auprès des autorités des migrations ou des assurances sociales ou à la douane.
Le visage devra être découvert du front au menton. Si la personne concernée refuse de s’y soumettre, elle sera punie d’une amende allant jusqu’à 10’000 francs, a expliqué la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter. Le Conseil fédéral estime aussi qu’il n’est pas tolérable de forcer une personne à se dissimuler le visage. Mais ce comportement est déjà punissable dans le code pénal.
L’initiative veut interdire la dissimulation du visage dans l’espace public. Il vise les femmes portant la burqa ou le niqab et veut protéger leurs droits au libre-arbitre. Le comité d’Egerkingen à l’origine du texte invoque aussi la sécurité publique, ciblant les bandes de casseurs aux cortèges du 1er mai.
Problème inexistant
Les Verts et l’UDC se sont opposés au texte du gouvernement; mais pour des raisons différentes. Pour Jean-Luc Addor (UDC/VS) le contre-projet du gouvernement « ne sert à rien ». Il ne sert qu’à taire les initiants de l’initiative, a critiqué Andreas Glarner (UDC/AG).
« Le projet du gouvernement est superflu », a lancé Balthasar Glättli (Verts/ZH), opposé aussi à l’initiative. L’initiative veut régler un problème qui n’existe pas, a accusé Sibel Arslan (Verts/BS).
« Je déteste la burqa et ce qu’elle représente pour les femmes, mais nous ne pouvons pas libérer les gens malgré eux », a lancé Léonore Porchet (Verts/VD). « Et nous ne pouvons pas punir les victimes d’oppression. »
Tiana Moser (PVL/ZH) a rappelé que le port de la burqa et du niqab en Suisse est un phénomène marginal. « Nous ne pouvons pas interdire tout ce qui gêne certains cercles. » Pour le PS aussi, l’initiative n’améliore en rien la sécurité ou la liberté des femmes.
Réelle amélioration
Toutefois, le PS et les Vert’libéraux soutiennent le projet du Conseil fédéral. Selon Mme Moser, il est légitime d’inscrire dans la loi que les personnes doivent être identifiables lorsqu’elles se présentent aux autorités.
Par ailleurs, le contre-projet apportera une réelle amélioration dans l’égalité entre femmes et hommes, a souligné Valérie Piller-Carrard (PS/FR). « C’est une question d’égalité », a abondé Gerhard Pfister (PDC/ZG).
Le projet gouvernemental permet de combler une lacune, a rappelé Mme Keller-Sutter. Les autorités auront ainsi une base pour régler les cas des quelques personnes refusent de montrer leur visage. De plus, ce texte n’intervient pas dans le droit cantonal.
Sport
Volley-ball : suite de parcours européen compromis pour le LUC
Publié
Il y a 1 jourle
11 décembre 2019
Battu par Brcko au premier tour aller de CEV Cup, les Universitaires devront réaliser un petit miracle dans moins d’une semaine, en Bosnie. Une victoire en trois ou quatre manches sera impérative à décrocher pour espérer poursuivre l’aventure.
Mauvais départ de Lausanne en Coupe d’Europe. Lors du match aller des 16ème de finale de CEV Cup, les Vaudois ont subi la loi des Bosniens du Mladost Brcko mercredi soir.
Revers concédé en quatre sets à Dorigny : 23-25, 25-23, 18-25 et 20-25.
Les regrets sont de mise après une partie équilibrée alimentée d’erreurs individuelles trop fréquentes. Adrien Prével, capitaine du LUC :
Le match retour des 16ème de finale de CEV Cup se disputera mardi prochain en Bosnie.
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