Sept.info souffle ses 5 bougies! Avec Patrick Vallélian p.2
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Il y a 8 moisle
People
John Boyega: sa foi l’a aidé à affronter la célébrité
Être une des stars de la méga-franchise ‘Star Wars’ n’est pas toujours facile, et John Boyega a confié que sa foi chrétienne l’avait aidé à surmonter les mauvais côtés de la célébrité.

John Boyega était inconnu avant de jouer Finn dans la saga ‘Star Wars’, et le jeune homme a confié que sa foi chrétienne l’avait aidé à affronter sa soudaine notoriété et à rester humble.
John – dont le père Samson Adegboyega est un pasteur pentecôtiste – a expliqué lors d’une interview avec le magazine ‘Radio Times’ que sa croyance en Jésus lui avait évité une descente directe dans le piège que peut constituer la célébrité.
Il a partagé: "Je ne bois pas. J’ai été élevé par des parents qui ne buvait jamais. C’est plus difficile si tu étais déjà un grand fêtard avant de devenir célèbre, car quand la célébrité te tombe dessus, tu ne veux pas arrêter."
Il ajoute: "Je viens d’une famille très croyante… tu réalises que la vie passe très vite et que la paix intérieure est ce qui compte le plus, et mon chemin est fait de prières, et je médite aussi. L’argent et la célébrité n’ont pas le pouvoir de changer ma personnalité."
Par ailleurs, l’acteur confiait récemment qu’il était désormais prêt à chercher l’amour.
Il avait partagé avec le magazine Style du ‘Sunday Times’: "La vie est belle. Ma santé est bonne. Ma famille va bien. Mais je ne cache pas que je veux trouver une partenaire, une compagne."
Et lorsqu’il lui avait été demandé si la célébrité rendait sa quête d’amour difficile, l’acteur avait répondu: "Non, et ceux qui vous disent que c’est le cas vous mentent! C’est compliqué, par contre. Il y a des gens qui réagissent un peu à votre célébrité, mais il faut se détourner de ces personnes dès le début. Mais je n’ai jamais compris les gens qui disent, ‘Je ne peux pas être avec toi parce que je veux me concentrer sur ma carrière.’ Tu te concentrais sur quoi avant? Pourquoi ne pas se concentrer sur les deux? Il faut se soutenir l’un l’autre."
People
Niall Horan sur ‘Put A Little Love On Me’: ‘C’est un de mes singles préférés’
Niall Horan a confié que son dernier single ‘Put A Little Love On Me’ est très important à ses yeux.

Pour Niall Horan, son dernier single ‘Put A Little Love On Me’ est "très spécial".
Le chanteur de 26 ans vient tout juste de dévoiler cette ballade envoutante, laquelle figurera évidemment sur son prochain album solo, et il a admis que cette chanson était très importante à ses yeux.
Il a partagé sur Instagram: "’Put A Little Love On Me’ vient de sortir. J’ai enregistré cette chanson de nombreuses fois mais je revenais toujours à la demo originale donc j’ai fini par utiliser cette version pour le morceau final. C’est une de mes chansons préférées et elle est très importante à mes yeux."
Par ailleurs, Niall avait récemment plaisanté du fait que ses chansons semblent toujours sortir en même temps que les projets en solo de ses anciens compères de On Direction.
Il a partagé: "C’est quelque chose dont on ne parle pas, le fait qu’on n’arrête pas de sortir de la musique au même moment. On devrait probablement commencer à s’éloigner les uns des autres à ce niveau mais ça arrivera un jour. Mais Dieu merci, il y a assez de place pour nous tous."
Et s’il est très occupé depuis un très jeune âge, Niall a récemment confié qu’il aurait bien aimé être allé à l’université.
Lorsque le magazine ‘Grazia’ lui avait demandé s’il était envieux de ses amis en Irlande, le jeune homme avait répondu: "Absolument. Tout le temps. J’aurais adoré être allé à l’université. Je ne savais pas, j’avais 16 ans. J’ai rempli un formulaire pour participer à une émission télé. Et puis six mois plus tard, j’étais dans un des plus gros groupes au monde. C’est juste étrange."
Et l’interprète de ‘Flicker’ avait récemment admis qu’il ne se voyait toujours pas comme une "superstar".
Il avait expliqué: "Être irlandais vous rend plus humble, ce qui est sympa. Évidemment, une personne humble ne dirait pas ça! Mais je ne me vois pas comme une superstar ou quelque chose comme ça!"
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Il y a 1 jourle
6 décembre 2019
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La Rega et le Secours alpin romand se sont livrés à un exercice grandeur nature vendredi sur le glacier des Diablerets. Objectif: entraîner la rapidité et la coordination, les deux éléments-clés en cas d’avalanche.
Selon le scénario imaginé par les secouristes, et présenté sur place aux médias, sept randonneurs en raquettes ont été emportés par une coulée, en plein coeur du domaine skiable de Glacier 3000.
L’alerte a été donnée à 10h40 à la centrale de la Rega à Zurich. Moins de dix minutes plus tard, un hélicoptère basé à Lausanne débarque sur les lieux. « Quand on nous annonce une avalanche, il y a toujours une montée de stress. Chaque seconde doit être utilisée au mieux », raconte le pilote Werner Marty, responsable de la base lausannoise.
Depuis ses différentes bases, la Rega doit pouvoir rallier chaque endroit de Suisse en moins de 15 minutes. « Passé ce quart d’heure, les chances de survie chutent drastiquement », explique Christian Reber, le président du Secours alpin romand (SARO).
Arrivé à Glacier 3000, l’hélicoptère survole l’imposante coulée d’environ 200 m sur 300 m, dans laquelle les sept figurants ont été disséminés. « Il faut d’abord être certain de pouvoir se poser en toute sécurité, et notamment vérifier que toute l’avalanche est descendue », relève Guido Guidetti, chef de la formation au SARO, tandis que l’hélicoptère longe les corniches de l’Oldenhorn.
Chiens indispensables
Lorsque le site est jugé sûr, l’équipage débarque, à savoir un spécialiste en sauvetage héliporté, un médecin urgentiste et un conducteur avec son chien. « C’est une composition idéale », remarque M. Guidetti, précisant que l’apport du chien n’est pas toujours possible dès la première rotation.
La présence des chiens est pourtant indispensable. « Ils remplacent tous les appareils », affirme M. Reber. Il explique qu’un chien peut sentir une personne ensevelie jusqu’à 4 à 5 m de profondeur.
Vendredi aux Diablerets, l’hélicoptère est revenu quatre fois sur le site de l’avalanche, amenant à chaque fois un chien et des sauveteurs. « Après la phase d’urgence, il faut passer à la phase d’organisation », indique M. Guidetti, tandis que les secouristes quadrillent la coulée, sondant et creusant lorsqu’un chien leur signale une présence.
Un hélicoptère survole également l’avalanche pour y repérer d’éventuels signaux de DVA (détecteurs de victimes d’avalanche). « Près de 90% des skieurs de randonnée en porte un. Mais c’est beaucoup moins fréquent chez les skieurs classiques qui s’aventurent hors des pistes », regrette M. Guidetti.
Une vocation
Peu avant midi, le septième figurant est extrait de l’avalanche et l’opération s’achève. « Nous menons ce genre d’exercice de grande envergure une à deux fois par année. Le reste du temps, de nombreux entraînements spécifiques sont effectués », note M. Guidetti.
Devenir secouriste exige « un fort engagement », reconnaît M. Reber. Et d’autant plus que les membres du SARO ne sont pas rémunérés lors de leurs entraînements et formations. Seules leurs interventions sont rétribuées par la Rega.
Le président du SARO raconte aussi que l’enchaînement des sauvetages peut finir par peser psychologiquement. « Nous faisons un maximum de débriefing pour vider la charge émotionnelle. Mais parfois, ça reste lourd », confie-t-il.
Malgré tout, la vocation continue de se transmettre et le SARO ne connaît pas difficulté à recruter. A une exception près toutefois: les conducteurs de chien, dont la formation est longue et astreignante.
« Nous manquons de monde. Il est de plus en plus difficile d’assurer les piquets », indique Mattia Corti, responsable du domaine cynophile. Il explique que quatre couples sauveteur-chien peuvent actuellement être engagés en Suisse, tandis que sept autres se trouvent en formation.
Même si les moyens mis à disposition sont importants en Suisse, les avalanches continuent de tuer. En moyenne, 20 personnes périssent chaque hiver dans le pays.

Le Conseil fédéral a recommandé vendredi le rejet de l’initiative populaire « Oui à la protection des enfants et des jeunes contre la publicité pour le tabac ». Il souhaite protéger les jeunes, mais estime que le texte va trop loin et ne veut pas de contre-projet.
L’initiative demande que la Confédération interdise pour les produits du tabac toute forme de publicité qui atteint les enfants et les jeunes. Cela équivaudrait à une interdiction totale, estime le Conseil fédéral.
Le gouvernement rejette une « interdiction globale », mais se dit favorable à des mesures limitatives pour mieux protéger les jeunes des dangers liés au tabac. En 2016, le Parlement avait renvoyé au Conseil fédéral un premier projet de loi, principalement en raison des mesures d’interdiction prévues en matière de publicité. Il débat depuis d’une nouvelle mouture.
Pas de pub sur Internet
Lors de la dernière session, le Conseil des Etats a tenu compte de l’initiative déposée à la Chancellerie juste avant les débats. Les sénateurs sont même allés au-delà du projet du Conseil fédéral en interdisant la publicité pour le tabac dans les journaux, les revues et sur Internet. Des propositions qui ont été saluées par le gouvernement.
L’exécutif s’engagera, dans la suite du débat parlementaire, à renforcer la protection de la jeunesse, notamment en interdisant la publicité pour le tabac au cinéma et sur les affiches. Des mesures qui devraient permettre de répondre largement aux attentes des initiants et qui rendent superflu un contre-projet indirect.
Plus d’un fumeur sur deux (57%) a commencé à fumer alors qu’il était mineur, selon la Fédération suisse des médecins, qui soutient l’interdiction totale de la publicité. Si les enfants et les jeunes ne commencent pas avant l’âge de 18 ans, ils ne fumeront probablement jamais de leur vie.
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