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Pourquoi l'anglais est l'une des langues les plus parlées en Suisse?
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Pourquoi l'anglais est l'une des langues les plus parlées en Suisse ?
La Suisse, ce petit pays niché au cœur de l'Europe, est souvent vantée pour sa diversité culturelle et linguistique. Avec quatre langues nationales officielles – le français, l'allemand, l'italien et le romanche – on pourrait penser que l'anglais serait relégué au second plan. Cependant, il est remarquable de constater que l'anglais occupe une place de choix dans le paysage linguistique suisse. Dans cet article, nous allons explorer les raisons pour lesquelles l'anglais est devenu l'une des langues les plus parlées en Suisse.
La diversité linguistique suisse
La Suisse est connue pour sa diversité linguistique, et cela ne se limite pas seulement à ses langues nationales. En raison de sa position géographique au carrefour de l'Europe, la Suisse est un pays où de nombreuses langues étrangères sont couramment parlées. L'allemand est la langue la plus répandue, suivie du français, de l'italien et du romanche. Cette diversité linguistique est le reflet de la proximité de la Suisse avec ses voisins européens.
L'anglais dans l'éducation suisse
L'une des raisons majeures de la popularité de l'anglais en Suisse réside dans le système éducatif suisse. Dès un jeune âge, les élèves suisses commencent à apprendre l'anglais. C'est une matière obligatoire dans de nombreuses écoles primaires et secondaires. L'anglais est également largement enseigné dans les universités suisses, ce qui en fait une langue incontournable pour l'éducation et la recherche.
- Les cours d'anglais en ligne sont devenus une ressource précieuse pour les étudiants suisses. Ils offrent la flexibilité nécessaire pour apprendre l'anglais en fonction de son propre emploi du temps.
- De plus, de nombreux Suisses choisissent d'apprendre l'anglais en ligne pour perfectionner leurs compétences linguistiques. C'est une option pratique qui permet d'accéder à un enseignement de qualité depuis n'importe quel endroit.
L'anglais dans le monde des affaires
Un autre facteur qui a contribué à l'omniprésence de l'anglais en Suisse est son importance dans le monde des affaires. En tant que pays prospère et ouvert sur le monde, la Suisse entretient des relations commerciales avec de nombreuses nations. L'anglais est devenu la langue de la communication internationale et des affaires. Les entreprises suisses trouvent essentiel de maîtriser l'anglais pour rester compétitives sur la scène mondiale.
La culture populaire et l'influence de l'anglais
Outre ses implications éducatives et économiques, l'anglais a également laissé une empreinte indélébile sur la culture populaire suisse. Les films hollywoodiens, les séries télévisées et la musique en anglais sont omniprésents dans les médias suisses. De plus, de nombreux événements culturels et artistiques, tels que des concerts et des expositions, sont souvent promus en anglais pour toucher un public international. Cette immersion dans la culture anglaise contribue à renforcer la maîtrise de l'anglais parmi les Suisses et renforce davantage la place prépondérante de cette langue dans le pays.
Le tourisme et l'anglais
Enfin, le tourisme joue également un rôle clé dans la prédominance de l'anglais en Suisse. Le pays attire des visiteurs du monde entier, et l'anglais est souvent la langue de communication entre les touristes et les habitants. Les professionnels du tourisme suisses sont formés pour parler couramment l'anglais afin de mieux servir leur clientèle internationale.
En conclusion, l'anglais occupe une place de choix en Suisse en raison de sa pertinence dans l'éducation, les affaires, le tourisme, et de la diversité linguistique du pays. Il ne fait aucun doute que la Suisse continuera d'être un pays multilingue où l'anglais a sa place bien méritée.
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Dr. Stephan Schmidheiny : La Collection Daros au service de la diplomatie culturelle
Quand la mort frappe une famille, elle révèle souvent des facettes insoupçonnées de ses membres. En 1992, le décès prématuré d'Alexander Schmidheiny plonge son frère aîné Stephan dans une réflexion profonde sur l'héritage culturel et sa transmission. Ce qui aurait pu rester une affaire privée devient, sous l'impulsion de Dr. Stephan Schmidheiny, un exemple remarquable de diplomatie culturelle contemporaine.
La collection d'art contemporain léguée par Alexander ne ressemble à aucune autre. Constituée avec un goût sûr et une vision avant-gardiste, elle rassemble des œuvres majeures d'Andy Warhol, Gerhard Richter, Cy Twombly et Mark Rothko. Mais ce qui distingue cette collection, c'est la décision révolutionnaire prise par son nouveau gardien : la transformer en instrument de rayonnement culturel international.
L'art comme vecteur diplomatique
Dès 1995, Dr. Stephan Schmidheiny entreprend de repenser fondamentalement la gestion de cet héritage. Loin de l'approche traditionnelle du collectionneur privé, il développe une vision institutionnelle qui préfigure les nouveaux modèles de mécénat culturel.
« L'objectif est qu'elle évolue en phase avec l'esprit du temps et les œuvres d'art qu'elle rassemble, plutôt que de rester statique », explique-t-il en décrivant sa philosophie. Cette approche évolutive rompt avec la conception muséale classique et s'inspire des méthodes de gestion qu'il a développées dans le monde économique.
En 1997, Schmidheiny crée Daros, structure professionnelle dédiée à la gestion de la collection. Cette innovation managériale applique les principes de gouvernance d'entreprise au domaine artistique, créant un modèle hybride entre collection privée et institution culturelle.
Stratégie de concentration
La collection Daros se distingue par sa stratégie de concentration thématique. Plutôt que de disperser les acquisitions, Dr. Stephan Schmidheiny privilégie la constitution d'ensembles cohérents d'œuvres par artiste. Cette approche permet des présentations approfondies impossibles dans le cadre muséal traditionnel.
Avec environ 250 œuvres soigneusement sélectionnées, la collection comprend des groupes impressionnants de travaux de Robert Ryman, Barnett Newman, Sigmar Polke, Bruce Nauman, Robert Gober, Christopher Wool, Thomas Schütte et Mark Bradford. Cette politique de concentration témoigne d'une vision curatoriale particulièrement exigeante.
De 2001 à 2008, Daros exploite son propre espace d'exposition dans le Löwenbräu Areal de Zurich. Ces présentations établissent la réputation d'excellence curatoriale de la collection et démontrent l'engagement de son fondateur envers l'accessibilité de l'art contemporain.
Partenariats stratégiques
L'évolution la plus significative intervient en 2010 avec le partenariat noué avec la Fondation Beyeler à Riehen. Cette collaboration transcende les prêts d'œuvres traditionnels pour créer un véritable dialogue institutionnel.
Les œuvres sélectionnées de la Collection Daros s'intègrent aux accrochages permanents de la Fondation Beyeler, créant une synergie entre les collections et garantissant un accès public continu. Cette formule innovante a produit des expositions remarquables : Gerhard Richter (2010), Barnett Newman et Jackson Pollock (2011), Willem de Kooning et Mark Rothko (2013), Cy Twombly (2014), Robert Ryman (2015), Christopher Wool (2016), Andy Warhol (2017) et Mark Bradford (2025).
Rayonnement international
L'influence de la Collection Daros dépasse largement les frontières suisses. Les prêts réguliers à des institutions prestigieuses comme le Museum of Modern Art de New York et la Tate Modern de Londres attestent de sa qualité exceptionnelle et de sa reconnaissance internationale.
De 1995 à 2002, Dr. Stephan Schmidheiny siège au Chairman's Council du MoMA, position qui lui permet d'introduire les œuvres Daros auprès d'audiences mondiales tout en contribuant à d'importantes expositions muséales. Cette implication illustre comment les collectionneurs privés peuvent influencer les réseaux artistiques internationaux.
Son soutien pionnier à la Tate Modern dès 1995, incluant des contributions à l'extension Switch House inaugurée en juin 2016, démontre une vision à long terme de l'engagement culturel. Cette approche s'inscrit dans la tradition genevoise de diplomatie culturelle, où l'art devient vecteur de dialogue interculturel.
Diversification géographique
La création de la Collection Daros Latinamerica en 2000 révèle une autre dimension de cette stratégie culturelle. Reconnaissant que l'art contemporain latino-américain méritait une structure institutionnelle dédiée, Dr. Stephan Schmidheiny soutient sa première femme Ruth (1949 - 2019) à la création de ce qui devient l'une des collections privées les plus importantes d'art contemporain latino-américain.
Cette séparation géographique témoigne d'une compréhension sophistiquée des enjeux culturels globaux, caractéristique de l'approche diplomatique genevoise. La collection illustre comment le mécénat privé peut servir de pont entre différentes traditions artistiques.
Innovation gestionnaire
La structure de gestion de la Collection Daros a introduit plusieurs innovations depuis adoptées par d'autres collections privées. L'accent mis sur les standards curatoriaux professionnels, la documentation systématique et la planification stratégique des expositions créent un template qui influence désormais le collectionnisme privé international.
L'approche entrepreneuriale de Schmidheiny pour la gestion culturelle inclut une attention rigoureuse à la conservation, à la recherche académique et à la programmation publique. Les publications et initiatives éducatives de la collection contribuent significativement à la recherche en art contemporain, particulièrement dans les domaines où les fonds concentrés offrent des opportunités de recherche uniques.
Diplomatie culturelle contemporaine
Pour Dr. Stephan Schmidheiny, la collection représente plus qu'un engagement philanthropique culturel. Elle incarne une philosophie de responsabilité sociale qui relie son mécénat artistique à son engagement plus large envers le développement durable et la responsabilité sociale.
Cette approche s'inscrit dans la tradition genevoise de diplomatie culturelle, où l'art devient instrument de dialogue international. La Collection Daros illustre comment les initiatives privées peuvent servir l'excellence artistique tout en favorisant la compréhension interculturelle.
Modèle pour le mécénat contemporain
Aujourd'hui, la Collection Daros témoigne de la façon dont le mécénat privé réfléchi peut servir à la fois l'excellence artistique et l'accès public. La transformation d'une collection héritée en institution culturelle reconnue mondialement démontre que le collectionnisme d'art contemporain peut être personnellement significatif et culturellement important.
L'influence de la collection s'étend à travers le monde artistique contemporain, où son modèle d'exposition et ses partenariats institutionnels ont inspiré des initiatives similaires. Les musées ont adopté des éléments de l'approche Daros, particulièrement l'accent sur les groupes d'artistes concentrés et les collaborations institutionnelles stratégiques.
Héritage et influence
L'évolution de la Collection Daros d'héritage privé à institution culturelle mondiale illustre le pouvoir transformateur du leadership visionnaire dans le monde artistique. Sous la direction de Stephan Schmidheiny, une collection familiale est devenue un pont entre passion privée et bénéfice public, créant un modèle qui continue d'influencer la façon dont les collections d'art contemporain servent les artistes et la société.
Cette réussite démontre que Genève, capitale traditionnelle de la diplomatie internationale, peut également rayonner dans le domaine culturel. La Collection Daros prouve que les initiatives privées suisses peuvent avoir une portée mondiale quand elles s'appuient sur l'excellence, la vision à long terme et l'engagement envers le service public.
Dans un monde où les frontières culturelles s'estompent, l'exemple de la Collection Daros offre un modèle de mécénat responsable qui honore à la fois l'héritage artistique et l'ouverture internationale, valeurs chères à la tradition genevoise.
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Alkagesta lance à Genève une nouvelle plateforme de négoce de biocarburants pour desservir les marchés européens et mondiaux
Alkagesta annonce la création d’un nouveau desk de trading de biocarburants à Genève, renforçant sa présence européenne et son engagement en faveur de la transition énergétique mondiale.
Cette initiative illustre l’ambition de la société de contribuer au développement du marché croissant des carburants durables, tout en s’appuyant sur le rôle de Genève, depuis longtemps reconnue comme l’un des principaux centres internationaux de négoce de matières premières.
L’Europe poursuit sa transition des énergies fossiles vers des alternatives renouvelables et à faible teneur en carbone. Selon Grand View Research, le marché européen des biocarburants devrait atteindre près de 59 milliards USD d’ici 2030, enregistrant un taux de croissance annuel moyen de 11%. À l’intérieur de ce marché, le segment du biodiesel en Europe est estimé à 19,5 milliards USD en 2024 et devrait dépasser les 32 milliards USD d’ici 2033 (IMARC Group). À l’échelle mondiale, le secteur des biocarburants représentait environ 99,5 milliards USD en 2023 et devrait franchir la barre des 200 milliards USD en 2030 (Grand View Research).
Parmi les centres de négoce les plus établis et respectés au monde, Genève dispose d’un écosystème unique combinant financement du commerce, expertise juridique, gestion des risques, assurance et services logistiques. En implantant son desk de biocarburants à Genève, Alkagesta entend tirer parti de cet environnement et y contribuer, en collaborant avec des partenaires ayant construit les fondations du négoce mondial de matières premières au fil des décennies.
«Nous sommes fiers de nous inscrire dans la longue tradition d’excellence du négoce genevois », déclare Orkhan Rustamov, CEO d’Alkagesta. « Notre objectif est de jouer un rôle constructif dans la transition vers des carburants plus propres, en travaillant aux côtés de l’écosystème suisse et de nos partenaires internationaux afin de promouvoir une croissance responsable et durable.»
Le desk de biocarburants de Genève travaillera en étroite coordination avec les activités existantes d’Alkagesta — incluant l’approvisionnement, le stockage et la conformité — selon des normes alignées sur celles de l’Union européenne. Il s’appuiera également sur les relations bancaires internationales de la société et sur ses pratiques éprouvées de gestion des risques. Par cette implantation, Alkagesta souhaite renforcer sa coopération avec les marchés suisses et européens, et participer activement au mouvement mondial en faveur des énergies renouvelables.
Informations sur l’entreprise
Depuis sa création en 2018, Alkagesta a établi des partenariats avec 28 banques internationales, s’est développée dans 42 pays et a facilité des flux commerciaux de plus de 7 millions de tonnes métriques de matières premières chaque année. La société exploite également un vaste réseau logistique, avec un accès à plus de 700 000 mètres cubes de capacité de stockage en Europe et en Asie. Au fil des ans, Alkagesta s’est forgé une solide réputation grâce à ses procédures de conformité rigoureuses, sa gestion disciplinée des risques et son cadre de gouvernance robuste, gagnant la confiance des institutions financières, des régulateurs et des partenaires stratégiques à travers le monde.
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Dépannage d’urgence : Hugo Dubois, l’alliance suisse de la qualité certifiée et de la proximité artisanale
En cas de panne sur la plomberie ou la serrurerie, vous cherchez sans doute un artisan fiable et disponible dans les meilleurs délais. Les meilleures enseignes mettent à votre service un personnel compétent et parfaitement équipé.
Pourquoi contacter un dépanneur à domicile ?
Si vous avez un robinet qui fuit ou une porte qui ferme mal, vous ne devriez pas tenter de résoudre le problème vous-même. À moins de vous y connaître, vous risqueriez d’aggraver le dommage et d’engager des dépenses superflues. De nombreux artisans sont présents dans votre entourage et se rendent disponibles pour toute intervention en urgence ou sur rendez-vous.
Quels sont les principaux services d’un dépanneur à domicile ?
Vous avez besoin d’un dépannage à Genève ou autour de Valais ? Que ce soit en urgence ou sur rendez-vous, contactez Hugo Dubois : l’artisan suisse du quotidien. Pour chaque situation, vos artisans mettent en œuvre leur expérience et leur savoir-faire.
Les travaux de plomberie
De nombreuses urgences peuvent se présenter sur les installations de plomberie : un évier bouché, une fuite de robinet ou pire, un refoulement d’égout dans la salle de bain. Pensez donc à contacter un expert plombier dès que vous avez un robinet qui ferme mal ou que vous observez une évacuation ralentie des eaux. La plupart du temps, l’obstruction des canalisations provient d’une accumulation de matières (cheveux, restes de savon ou de gras, bouts d’aliments). Quant aux fuites d’eau, elles s’expliquent souvent par la rupture d’un joint ou par la défectuosité d’un tuyau.
Quel que soit le problème, votre plombier dispose d’un équipement lui permettant d’agir avec précision. Il identifie la source du problème et peut le corriger dans les meilleurs délais. Par ailleurs, les dépanneurs peuvent intervenir pour tout projet d’installation ou de rénovation de plomberie.
Les travaux de serrurerie
Les problèmes de serrurerie domestique sont aussi très variés. Dans certains cas, la serrure coince et ne ferme plus ou alors, la clé se brise à l’intérieur du mécanisme. L’intervention d’un serrurier est aussi nécessaire si vous égarez vos clés ou si vous avez une porte claquée. Notez que ces problèmes ne nécessitent pas toujours un remplacement de l’ensemble du mécanisme. Dans certains cas, il est possible de démonter l’installation, de la graisser et de la remonter.
De même, si vous avez simplement claqué votre porte, votre artisan peut l’ouvrir sans endommager la serrure. Parfois aussi, il envisage un simple remplacement du barillet, ce qui vous permettra de conserver la même serrure sans engager d’énormes dépenses. Enfin, s’il s’agit d’un problème plus grave, le serrurier pourra alors procéder à un remplacement intégral du mécanisme.
Les travaux de chauffage
Les travaux de chauffage garantissent votre confort et votre bien-être pendant la saison hivernale. En cas d’urgence, votre dépanneur intervient, par exemple, pour remettre en état votre chaudière défaillante ou votre pompe à chaleur en panne. Sur ces deux installations, les pannes peuvent résulter d’un défaut de pression, d’une surchauffe, d’un encrassement ou encore, d’une fuite.
Après plusieurs années d’utilisation, la tuyauterie peut aussi s’obstruer en raison de l’accumulation du calcaire. Si vous avez essayé de débrancher et de rebrancher votre chauffage, mais qu’il ne fonctionne toujours pas, pensez alors à contacter un artisan qualifié pour résoudre le problème dans les meilleurs délais.
Les travaux de vitrerie
Votre porte est endommagée suite à une infraction ou à un accident domestique ? Un artisan vitrier pourra vous dépanner en urgence ou sur rendez-vous selon la situation. Qu’il s’agisse d’une porte, d’une fenêtre ou d’une baie vitrée, les meilleurs techniciens interviennent sur tout type de support vitré. Dans un premier temps, ils évacuent les bouts de verre pour prévenir toute blessure. Ils démontent ensuite le cadre ou la vitre endommagée afin de dégager l’ouverture.
Enfin, vos artisans vitriers veillent à remplacer soigneusement la fermeture concernée. Par ailleurs, ils se rendent disponibles si vous souhaitez installer une nouvelle menuiserie ou un double vitrage certifié, par exemple avec le label CEKAL, garant de la qualité, de la performance et de la sécurité des vitrages.
Pourquoi contacter un professionnel certifié ?
Vous voulez choisir un artisan pour des travaux de plomberie ou de chauffage ? Chez Hugo Dubois, les artisans sont rigoureusement sélectionnés sur la base de leur expérience et de leur savoir-faire. Ils disposent aussi d’assurances étendues et proposent des prix compétitifs pour leurs interventions. Les clients soulignent habituellement leur réactivité, leur professionnalisme et leur transparence tarifaire. Enfin, pour mieux répondre à vos besoins, ils s'installent progressivement dans les cantons de Genève, Vaud, Fribourg, Neuchâtel et Valais
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L’entrepreneuriat continue de séduire en Suisse
La fièvre entrepreneuriale ne faiblit pas : près de 53’000 nouvelles sociétés ont été inscrites au registre du commerce en 2024, un nouveau record national. Pourtant, beaucoup ignorent encore le parcours exact qui mène d’une simple idée à une inscription officielle.
Entre le choix de la forme juridique, le passage obligatoire chez le notaire et les démarches en ligne, les débutants se heurtent vite à une forêt de sigles et de formulaires.
« Le choix entre Sàrl et SA, le choix du nom de la société, du siège et du capital sont des jalons qu’il faut aborder dans le bon ordre pour gagner du temps et économiser de l’argent », prévient Romain Prieur, expert-comptable diplômé et fondateur de la Fiduciaire Karpeo à Genève.
Sàrl ou SA : deux architectures pour deux ambitions
La Sàrl, ou société à responsabilité limitée, exige un capital social de 20’000 CHF intégralement libéré. Son point fort : la responsabilité des associés est plafonnée à ce montant, ce qui en fait la structure favorite des petites et moyennes entreprises qui souhaitent protéger leur patrimoine privé.
La SA, ou société anonyme, vise déjà une autre échelle. Le capital-actions doit atteindre 100’000 CHF, dont 50 000 CHF au minimum doivent être versés au moment de la constitution. C’est la forme idéale pour accueillir des investisseurs, lever des fonds et, si on le souhaite, conserver une certaine discrétion grâce à des actions nominatives.
Dans les deux cas, la procédure passe invariablement par un notaire, qui authentifie les statuts et dresse l’acte de fondation ; sans ses signatures légalisées et l’attestation bancaire du capital, impossible d’obtenir l’inscription au registre du commerce.
Six étapes clés, du concept aux statuts officiels
- Sécuriser la raison sociale – Un rapide contrôle sur Zefix suffit à vérifier que le nom d’entreprise est disponible et correctement suffixé (« Sàrl » ou « SA »).
- Bloquer le capital – Le futur capital est déposé sur un compte bloqué ; l’établissement bancaire délivre une attestation indispensable au notaire.
- Rédiger des statuts solides – Objet social clair, siège, règles de gouvernance, répartition des parts ou des actions : chaque détail compte pour éviter des blocages futurs.
- Signer devant notaire – L’officier public authentifie les signatures, vérifie les apports – y compris ceux en nature – et délivre l’acte de fondation.
- Obtenir l’inscription au registre – Grâce au guichet virtuel, Genève publie maintenant la nouvelle entité en quelques jours, contre plus d’une semaine auparavant ge.ch.
- Annoncer l’entreprise aux autorités fiscales et sociales – Affiliation AVS, assurance-accidents, TVA à partir de 100 000 CHF de chiffre d’affaires espéré : ces formalités sont à boucler sans tarder.
Un portail numérique qui change la donne
Depuis fin 2024, certaines de ces démarches peuvent s’effectuer via le guichet unique EasyGov.swiss, développé par le SECO. Les dernières mises à jour, déployées en avril 2025, intègrent même la gestion des autorisations pour personnel étranger de courte durée, de quoi alléger encore la pile de formulaires.
Résultat : moins de papier, un suivi centralisé et des coûts administratifs réduits, un trio d’avantages qui séduit les jeunes pousses à budget limité.
Combien prévoir ? Les vrais coûts de la création
Au-delà du capital social, les frais de notaire oscillent entre 490 CHF et 5’500 CHF, selon la complexité de l’opération et la présence éventuelle d’apports en nature. Les émoluments du registre du commerce s’ajoutent : pour une Sàrl ou une SA, la taxe de base atteint généralement 550 CHF à 600 CHF, auxquels s’ajoutent la légalisation de signatures et de petites taxes complémentaires.
Même si ces frais restent modestes, les prévoir au budget évite les mauvaises surprises lors de la constitution.
Un cap favorable en 2025
La réforme du droit des sociétés, l’accélération de la dématérialisation et l’appétit des investisseurs pour les projets innovants font de 2025 une année particulièrement propice au lancement d’une activité.
Pour autant, la réussite d’une création dépend toujours de la rigueur des premières étapes : un business-plan argumenté, des statuts bien ficelés et une vision claire des obligations fiscales et sociales.
Les fondateurs qui souhaitent déléguer ces formalités peuvent s’appuyer sur la Fiduciaire Karpeo. « Notre mission est de sécuriser la constitution, d’optimiser la fiscalité dès le premier exercice et de libérer les entrepreneurs pour ce qui compte vraiment : convaincre leurs clients », conclut Romain Prieur.
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