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Économie

L'Italie table sur une hausse du PIB de 2,2% au troisième trimestre

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La croissance économique de l'Italie devrait s'élever à 2,2% au troisième, tirée par la production industrielle et la reprise du secteur des services qui avait été terrassé par la pandémie. (archives) (© KEYSTONE/AP LaPresse/MAURO SCROBOGNA)

La croissance de l'Italie devrait s'élever à 2,2% au troisième trimestre par rapport au précédent, tirée par la production industrielle et la reprise du secteur des services qui avait été terrassé par la pandémie, a annoncé mercredi le ministre de l'Economie.

"Le troisième trimestre semble s'être très bien passé, avec une hausse très soutenue de la consommation. Cette année, nous avons une croissance très élevée", a déclaré Daniele Franco, lors d'une audition devant le Parlement.

"Mais il sera impossible de reproduire les 6%" de hausse du PIB (produit intérieur brut) attendus cette année, "même si nous visons en 2023, 2024, 2025 et 2026 des taux de croissance plus élevés que ceux des dernières décennies", a-t-il ajouté.

La flambée des prix de l'énergie pourrait cependant peser sur la reprise, a-t-il mis en garde. "C'est l'un des plus importants facteurs d'incertitude, une question qui doit être surveillée" de près, "sur un plan national et européen".

Charges réduites sur l'énergie

Afin d'atténuer ces hausses, l'Etat italien a suspendu ou réduit des taxes et charges liées aux factures de gaz et d'électricité.

Ces mesures ont coûté à l'Etat 1,2 milliard d'euros au troisième trimestre et 3,5 milliards d'euros seront débloqués au quatrième, a détaillé M. Franco.

Sans l'intervention du gouvernement, les factures d'électricité auraient augmenté de 40% et celles du gaz de 30% au dernier trimestre de l'année, selon les calculs du gouvernement.

"Sur un plan mondial, il y a un problème d'équilibre entre l'offre et la demande de gaz", a expliqué M. Franco, mais le phénomène devrait s'atténuer l'an prochain "après les pics hivernaux".

L'Italie avait vu son PIB progresser de 2,7% au deuxième trimestre par rapport au précédent. La première estimation officielle du PIB du troisième trimestre sera publiée le 29 octobre par l'Institut national des statistiques (Istat).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

La BC de St-Gall s'est enrobée tous azimuts au premier semestre

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Les dépenses d'exploitations ont aussi pris l'ascenseur, mais dans une moindre mesure que les recettes. La facture a été alourdie de 6,8% à 159,8 millions. Il en ressort un résultat d'exploitation en hausse de 11,2% à 133,9 millions. (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Revenus, rentabilité, prêts ou encore avoirs sous gestion, la Banque cantonale de St-Gall (SGKB) a progressé dans toutes les directions sur les six premiers mois de l'année. L'établissement a notamment étoffé son bénéfice net de 13,6% à 114,1 millions de francs.

Le produit d'exploitation a enflé de 9,8% à 301,8 millions de francs, porté par un résultat brut des opérations d'intérêt amélioré de 10,3% à 184,9 millions. Commissions et prestations de services ont livré une contribution élargie de 9,0% à 89,4 millions. Le résultat du négoce a bondi de 16,7% à 26,0 millions, égraine le compte-rendu intermédiaire diffusé mercredi.

Les dépenses d'exploitations ont aussi pris l'ascenseur, mais dans une moindre mesure que les recettes. La facture a été alourdie de 6,8% à 159,8 millions. Il en ressort un résultat d'exploitation en hausse de 11,2% à 133,9 millions.

L'afflux net d'argent frais sur la période a atteint 2,0 milliards et la masse sous gestion a enflé de 3,7% à 66,9 milliards. Le volume de prêts aux clients a grappillé 1,1% pour s'établir à 34,1 milliards.

La direction laisse augurer pour l'ensemble de l'exercice en cours un bénéfice net comparable aux quelque 215 millions dégagés l'an dernier, mais préfère ne pas s'aventurer sinon sur le terrain des perspectives quantifiées en raison des incertitudes non négligeables planant actuellement sur la situation économique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

La Banque cantonale bernoise (BCBE) a progressé sur six mois

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Pour 2025 dans sa globalité, l'établissement bernois souligne une situation économique mondiale qui "apporte son lot d'incertitudes", sans donner de précisions chiffrées. "La persistance des taux bas et la volatilité élevée des marchés financiers donneront du fil à retordre dans les mois à venir." (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La Banque cantonale bernoise (BCBE) a dévoilé mercredi un bénéfice net en hausse sur six mois. La direction se dit prudemment optimiste pour la suite des opérations, après un début d'année difficile entre volatilité, conflits géopolitiques et taux bas persistants.

De janvier à juin, le produit d'exploitation a augmenté de 2,4% à 277,0 millions de francs, indique un communiqué. Le résultat net des opérations d'intérêts a avancé de 1,4% à 191,4 millions. Celui des commissions et prestations de service a bondi de 11,1% à 62,6 millions.

Le résultat opérationnel a par contre reculé de 3,6%, à 113,8 millions de francs, alors que les charges d'exploitation ont augmenté de 4,4%. Le bénéfice net a finalement atteint 76,3 millions, soit 1,4% de plus.

Le volume des prêts à la clientèle a atteint 30,9 milliards (+1,3%) de francs, dont 29,2 milliards en créances hypothécaires (+3,0%). Les dépôts de la clientèle ont progressé de 1,7%, à 27,5 milliards. Quant à la masse sous gestion, elle est revendiquée en hausse de 1,7% à 43,6 milliards.

Pour 2025 dans sa globalité, l'établissement bernois souligne une situation économique mondiale qui "apporte son lot d'incertitudes", sans donner de précisions chiffrées. "La persistance des taux bas et la volatilité élevée des marchés financiers donneront du fil à retordre dans les mois à venir."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Trump pour une action en justice contre le président de la Fed

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Donald Trump (ici avec Jerome Powell) s'était fendu fin juillet d'une visite surprise du chantier de rénovation du siège de l'institution à Washington, qu'il juge trop coûteux (archives). (© KEYSTONE/AP/Julia Demaree Nikhinson)

Le président américain Donald Trump a menacé mardi d'autoriser une "action en justice majeure" contre le président de la Réserve fédérale (Fed) Jerome Powell. Il est mécontent des décisions de la banque centrale et du coût de la rénovation de son siège.

"J'envisage d'autoriser une action en justice majeure contre Powell en raison du travail horrible et manifestement incompétent qu'il a accompli dans la gestion" du chantier de rénovation de la Fed à Washington, a-t-il écrit sur Truth Social.

M. Trump met depuis des semaines en scène son impatience croissante face à la Fed. Il traite d'"abruti" M. Powell, qu'il a nommé à sa tête durant son premier mandat, appelle les autres banquiers centraux à le renverser et fait régulièrement mine de vouloir l'éjecter.

Il s'est même fendu fin juillet d'une visite surprise du chantier de rénovation du siège de l'institution à Washington, qu'il juge trop coûteux. L'épisode a donné lieu à une scène largement diffusée dans les médias: Donald Trump et Jerome Powell côte à côte, avec des casques de chantier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Le chômage reste au plus haut depuis quatre ans au Royaume-Uni

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"Dans l'ensemble, ces derniers chiffres indiquent un ralentissement continu" du secteur de l'emploi, estime Liz McKeown, directrice des statistiques économiques de l'ONS, qui souligne que le nombre de salariés a diminué dans le pays lors de 10 des 12 derniers mois, notamment dans l'hôtellerie. (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Le taux de chômage est resté stable au Royaume-Uni, à 4,7% lors des trois mois achevés en juin, son niveau le plus élevé depuis quatre ans, sur un marché du travail qui se refroidit, selon l'Office national des statistiques (ONS) mardi.

"Dans l'ensemble, ces derniers chiffres indiquent un ralentissement continu" du secteur de l'emploi, estime Liz McKeown, directrice des statistiques économiques de l'ONS, qui souligne que le nombre de salariés a diminué dans le pays lors de 10 des 12 derniers mois, notamment dans l'hôtellerie et de la vente au détail.

"Les offres d'emploi, elles aussi, ont continué à diminuer, également en raison de la baisse des opportunités dans ces secteurs", ajoute-t-elle.

La croissance des salaires de base est restée stable et celle des salaires incluant les primes a légèrement ralenti, souligne aussi l'ONS.

Pour Richard Carter, analyste chez Quilter Cheviot, les données de l'ONS plaident plutôt en faveur d'"une nouvelle baisse des taux" d'intérêt de la Banque d'Angleterre (BoE) "d'ici la fin de l'année".

"La Banque d'Angleterre est face à un équilibre délicat. L'inflation reste à 3,6 % (en juin), alimentée par les coûts du logement et des transports, mais les signes de faiblesse sur le marché du travail deviennent de plus en plus difficiles à ignorer", estime-t-il.

La BoE vient tout juste d'abaisser son taux directeur à 4%, à l'issue d'un vote serré, pour soutenir une économie à la peine --le PIB a reculé deux mois d'affilée en avril et en mai. Elle a appelé à la prudence pour la suite.

"Il est encore trop tôt pour dire s'il y aura une réduction en novembre", estime Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown, qui juge décembre "un peu plus probable".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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