Économie
HSBC a vu son bénéfice net tripler en 2021
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Le bénéfice net de HSBC a plus que triplé en 2021, selon la publication mardi des résultats de la banque, qui a annoncé son intention de lancer un rachat d'actions pour un montant pouvant atteindre 1 milliard de dollars.
Dans un communiqué publié à la Bourse de Hong Kong, HSBC a annoncé un bénéfice net en 2021 de 12,6 milliards de dollars (11,5 milliards de francs), contre 3,9 milliards de dollars l'année précédente, aidée par la baisse des créances douteuses et des coûts d'exploitation.
Comme le reste du secteur bancaire, HSBC avait traversé une année 2020 tumultueuse, la pandémie ayant ébranlé l'économie au moment même où la banque s'était lancée dans un plan de restructuration visant à supprimer 35.000 emplois pour se recentrer sur ses zones les plus rentables en Asie et au Moyen-Orient.
La banque a également annoncé qu'elle prévoyait un rachat d'actions de 1 milliard de dollars, qui s'ajoute au rachat de 2 milliards de dollars annoncé à la fin de l'année dernière.
"Nous sommes sur une bonne lancée en 2022 et nous sommes convaincus que nous pouvons continuer à mettre en oeuvre notre stratégie", a déclaré le directeur général Noel Quinn dans le communiqué.
"Nous restons également conscients de l'impact potentiel que de nouvelles incertitudes liées au Covid-19 et une inflation continue pourraient avoir sur nous et nos clients".
Basée à Londres, HSBC réalise 90% de ses bénéfices en Asie, la Chine et Hong Kong étant ses principaux moteurs de croissance.
Dans une nouvelle stratégie dévoilée au début de l'année dernière, la banque entend renforcer cette position.
HSBC souhaite augmenter ses revenus liés aux commissions, notamment par le biais de la gestion de patrimoine pour les personnes fortunées de plus en plus nombreuses en Asie.
La banque espère aussi une augmentation significative de ses revenus grâce à la perspective de taux d'intérêt plus élevés dans un contexte d'inflation mondiale galopante.
Toutefois, sa dépendance à l'égard de la Chine pourrait constituer un point de vulnérabilité. La Chine continentale et Hong Kong font partie des derniers endroits qui s'en tiennent rigoureusement à une stratégie draconienne de "zéro-Covid".
Après une forte croissance pendant une grande partie de l'année dernière, la reprise en Chine a ralenti au cours du dernier trimestre.
"En conséquence, nous nous attendons à ce que le gouvernement chinois prenne des mesures pour assouplir les politiques monétaires et fiscales, dans le but de soutenir la croissance", a déclaré Mark Tucker, président du groupe, dans la note de résultats.
Il a également souligné un certain nombre de vents contraires dans l'économie mondiale, notamment les "goulets d'étranglement de la chaîne d'approvisionnement", les prix élevés de l'énergie et des denrées alimentaires qui font grimper l'inflation et le resserrement des politiques monétaires des banques centrales.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
La Banque d'Angleterre maintient son taux directeur à 4,25%
La Banque d'Angleterre a sans surprise maintenu jeudi son taux directeur à 4,25%, dans la lignée de la Fed mercredi, jouant la prudence face aux incertitudes liées aux droits de douane de Donald Trump et à la guerre au Moyen-Orient.
"Le monde est hautement imprévisible", a déclaré le gouverneur de la banque centrale britannique, Andrew Bailey, soulignant cependant que les taux d'intérêts restaient "sur une trajectoire descendante".
"Nous constatons des signes de refroidissement du marché du travail au Royaume-Uni", a précisé le patron de la BoE, ce qui plaiderait théoriquement vers une baisse des taux.
Mais les prix de l'énergie ont en parallèle augmenté avec les tensions au Moyen-Orient, de quoi potentiellement doper l'inflation, souligne l'institution dans le compte-rendu de sa réunion, sans évoquer explicitement le conflit entre l'Iran et Israël.
La décision du Comité de politique monétaire a été prise à une majorité de six membres, trois autres penchant pour une baisse d'un quart de point de pourcentage.
"Equilibre délicat"
Ce choix "souligne l'équilibre délicat que le Comité tente de trouver entre les pressions inflationnistes persistantes et les signes de ralentissement de l'économie", résume Richard Flax, analyste chez Moneyfarm.
La BoE continue de prôner "une approche graduelle et prudente" sur les futures coupes, après une réduction d'un quart de point le mois dernier, la quatrième depuis août 2024.
Pour Yael Selfin, économiste en chef chez KPMG, l'institution "ouvre la porte à une baisse des taux en août en gardant un oeil sur les prix de l'énergie".
D'après des chiffres officiels publiés mercredi, l'inflation a légèrement ralenti en mai au Royaume-Uni, à 3,4% sur un an, contre 3,5% en avril, mais reste loin de la cible de 2% de la BoE.
L'institution anticipe que la hausse des prix se maintienne à ce niveau pour le reste de l'année.
En avril, le produit intérieur brut britannique a lui reculé plus qu'attendu, de 0,3%, sous le poids des récentes hausses d'impôts du gouvernement travailliste et des droits de douane américains -dont certains ont été allégés par un récent accord entre Londres et Washington.
"L'incertitude commerciale continuera certainement d'avoir un impact sur l'économie britannique", estime la BoE.
La Fed a elle aussi opté mercredi pour un statu quo sur ses taux directeurs, dans une fourchette entre 4,25% et 4,50%, dégradant au passage ses prévisions pour l'économie américaine.
Dans la foulée de l'annonce de la BoE, vers 13h35, la livre sterling prenait 0,16% face à la devise américaine, à 1,3445 dollar.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Vaud: un nouveau bâtiment pour la Haute école pédagogique (HEP)
La Haute école pédagogique (HEP) vaudoise aura un nouveau bâtiment. Il sera construit sur le site des Côtes de la Bourdonnette à Chavannes-près-Renens. Prévu pour 2028, ce projet vise à répondre à la croissance continue des effectifs de l'institution et à accompagner les travaux à conduire dans son siège historique de la Campagne des Cèdres à Lausanne.
Le Conseil d'Etat sollicite ainsi un crédit d'investissement de 62,86 millions de francs pour la construction de ce bâtiment, indique-t-il jeudi dans ses décisions hebdomadaires. Conçu comme une solution transitoire, l'édifice se distingue par sa modularité et pourra être affecté à d'autres usages publics à terme, souligne-t-il.
"La formation aux métiers de l’enseignement connaît une progression ininterrompue depuis près de deux décennies, tendance que confirment les projections en matière de besoins en personnel qualifié", explique le gouvernement. Les effectifs de la HEP, actuellement de 3500 étudiants, pourraient ainsi atteindre entre 4000 et 4500 personnes d'ici 2035, détaille-t-il.
Rassemblement prévu aux Cèdres
Parallèlement, un important programme de réhabilitation du site historique de la Campagne des Cèdres, où est implantée l'institution, est planifié à moyen terme. Le projet de nouveau bâtiment vise donc à répondre aux impératifs de la HEP en matière d'espace de formation pour les prochaines années, en attendant de se rassembler une nouvelle fois aux Cèdres, est-il souligné.
"En lisière du futur parc arboré des Côtes de la Bourdonnette et des Hauts de Dorigny, le bâtiment s'intègrera dans un développement urbain structuré, en lien direct avec les institutions voisines telles que le Campus Santé - qui regroupe la Haute Ecole de Santé Vaud (HESAV) et le Centre coordonné de compétences cliniques -, les logements de la Fondation Maison pour étudiants Lausanne (FMEL), un établissement scolaire communal ainsi qu'un quartier résidentiel.
Lauréat du concours d'architecture et d'ingénierie du Campus Santé en 2017, le bureau zurichois Jan Kinsbergen a conçu un édifice à la fois sobre, lumineux et modulable. Sa structure hybride associera du bois scolyté issu des forêts vaudoises à du béton recyclé et de l'acier recyclé, dans une démarche durable. Des panneaux photovoltaïques permettront de couvrir une part significative des besoins énergétiques du bâtiment, explique encore le Conseil d'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Genève: un frein à la création d'emploi dans certains secteurs
Le 3e rapport sur les effets de l’introduction du salaire minimum à Genève montre des effets contrastés sur les emplois. Si son arrivée n’a pas entraîné de suppression de postes, il a pu freiner leur création, en particulier dans le secteur du nettoyage.
Le rapport se concentre sur les secteurs à bas salaires, par définition les plus impactés par l’introduction du salaire minimum (environ 11% du total des emplois du canton). Pour rappel, les deux premiers rapports – publiés en 2023 et 2024 – traitaient des conséquences du nouveau mécanisme sur le chômage, a déclaré la cheffe du Département de l’économie et de l’emploi Delphine Bachmann jeudi devant la presse.
Globalement, les résultats indiquent que l’introduction du salaire minimum n’a pas entraîné de diminution importante du nombre d’emplois, mais plutôt des ajustements internes, notamment en matière de temps de travail. Des différences importantes sont toutefois à observer entre les différents secteurs analysés.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Hausse des prix dans la construction en avril
Les prix dans la construction ont progressé en avril. L'indice correspondant, établi par l'Office fédéral de la statistique (OFS), s'est inscrit à 115,8 points, soit une hausse de 0,6% sur un semestre.
En comparaison annuelle, la progression est de 0,7%, peut-on lire dans un communiqué diffusé jeudi.
D'octobre 2024 à avril, les prix ont grimpé de 0,6% à 115,9 points dans le bâtiment, dû en particulier aux augmentations de prix dans le gros oeuvre, les installations sanitaires et les installations électriques.
Toutes les grandes régions ont connu des hausses de prix, plus marquées toutefois dans la région Suisse orientale (+1,0%) et la région lémanique (+0,8%).
Le sous-indice des prix du génie civil a progressé de 0,7%, comparé à octobre, à 115,5 points, soutenu par les augmentations de prix dans le segment des tracés (travaux de superstructure, terrassements), ainsi que celui des honoraires.
Hormis la Suisse du Nord-Ouest (-0,4%), toutes les régions ont connu des hausses. La région lémanique (+1,3%) et la Suisse orientale (+1,1%) forment là aussi le duo de tête.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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