Rejoignez-nous

Sport

Benjamin Weger va arrêter en fin de saison

Publié

,

le

Benjamin Weger: fin de carrière proche (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Benjamin Weger (32 ans) arrêtera sa carrière au terme de la saison. Le Valaisan est monté à cinq reprises sur le podium en Coupe du monde, où il évolue depuis la saison 2008/09.

"Ma décision est la conséquence d'un processus de réflexion. Elle était déjà prise au début de la saison", a expliqué Weger, cité dans un communiqué de Swiss-Ski. Il avait retardé son annonce afin de se concentrer au mieux sur ses objectifs sportifs.

Le Suisse a obtenu son meilleur résultat avec un 2e rang à Pokljuka en décembre 2020. Weger est monté au moins une fois sur le podium dans les quatre disciplines du biathlon (sprint, poursuite, individuel, mass-start), mais il n'a jamais réussi à vraiment s'établir parmi l'élite mondiale.

Deux diplômes olympiques

Ses meilleurs classements au général de la Coupe du monde ont été un 14e rang (2018/19) et une 15e place (2017/18). Il a participé à quatre Jeux olympiques et a gagné deux diplômes en 2018 à Pyeongchang en terminant 6e de l'individuel et de la poursuite.

Le Valaisan va renoncer à l'étape Coupe du monde de Kontiolahti (4 au 6 mars). Il fera ses adieux au plus haut niveau lors des finales prévues à Oslo.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Football

Parme va retrouver la Serie A après trois ans d'absence

Publié

le

Simon Sohm, ici avec la Suisse, est promu en Serie A avec Parme (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Parme, leader du Championnat d'Italie de 2e division, va retrouver l'élite après trois ans d'absence. Ceci grâce à son nul 1-1 à Bari mercredi.

A deux journées de la fin de la saison, Parme totalise 74 points, soit sept de plus que Venise, 3e, qui ne peut donc plus la devancer.

Le but qui a assuré le retour en Serie A de Parme a été inscrit par le Français Ange-Yoan Bonny (50e).

Parme où ont notamment évolué l'Italien Gianluigi Buffon, le Français Lilian Thuram, l'Argentin Hernan Crespo ou encore le Brésilien Adriano n'a jamais été sacré champion d'Italie.

Mais le club d'Emilie-Romagne a remporté trois éditions de la Coupe d'Italie (1992, 1999, 2002), la Coupe des vainqueurs de Coupe, la défunte C2 (1993) et la Coupe de l'UEFA, actuelle Europa League, à deux reprises (1995, 1999).

Parme pourrait être accompagné dans l'élite par Come, 2e à trois points du leader. Le troisième billet pour la Serie A sera attribué à l'issue de barrages opposant six équipes.

Seule pour le moment une des trois équipes reléguées de Serie A est connue: il s'agit de la Salernitana, lanterne rouge du Championnat d'Italie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Football

"Le Bayer a quelque chose en plus", reconnaît De Rossi

Publié

le

Daniele De Rossi admire ce que réalise le Bayer Leverkusen (© KEYSTONE/EPA ANSA/GIUSEPPE LAMI)

L'entraîneur de l'AS Rome Daniele De Rossi a fait part de son admiration pour le Bayer Leverkusen de Granit Xhaka, que son équipe affronte jeudi en demi-finale aller de l'Europa League.

"C'est une équipe qui a quelque chose en plus", a-t-il déclaré mercredi.

"Il y a quelque chose de grand dans cette équipe, car elle joue bien, elle a de très bons joueurs, elle est dirigée par un excellent entraîneur (Xabi Alonso), l'un des meilleurs au monde selon moi, elle a quelque chose en plus", a déclaré Daniele De Rossi en conférence de presse.

"Ils sont champions d'Allemagne, ils sont conscients qu'ils peuvent gagner des titres, peut-être plus que nous, mais on peut les battre", a-t-il poursuivi.

Avant la demi-finale aller de Ligue Europa, jeudi au Stade olympique, le Bayer est invaincu cette saison, avec un impressionnant bilan, toutes compétitions confondues, de 38 victoires et huit nuls.

"C'est une équipe qui a conscience de ses forces et qui sait qu'elle peut toujours renverser la situation, même quand cela semble impossible. Mais c'est aussi une particularité de mon équipe, elle se bat jusqu'à la dernière minute, elle a beaucoup de coeur", a insisté De Rossi.

"Pas le même Bayer"

Sous la direction de l'ancien international italien, qui a succédé à José Mourinho mi-janvier, la Roma, battue aux tirs au but en finale de la C3 la saison dernière par Séville, a repris des couleurs en championnat, en passant de la 9e à la 5e place. Elle n'a concédé que quatre défaites, toutes compétitions confondues.

De Rossi s'est refusé toutefois à affirmer que son équipe avait un avantage psychologique sur le Bayer Leverkusen qu'elle avait éliminé de l'Europa League à ce stade de la compétition il y a tout juste un an (1-0 à Rome, 0-0 à Leverkusen).

"Ce n'est pas le même Bayer Leverkusen, il était moins fort, il n'avait pas cette confiance", a-t-il prévenu. "Mais cela va être une belle partie d'échecs au niveau tactique, cela va être amusant", a conclu De Rossi.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Hockey

Les Lausannois accueillis comme des (vice-)champions

Publié

le

Les ultras ont mis l'ambiance comme ils savent le faire pour accueillir le bus du LHC. ©KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Le Lausanne HC s'est incliné dans la finale de National League face à Zurich. Mais au retour des joueurs à la Vaudoise Aréna, les supporters leurs ont offert un accueil plus que chaleureux.

Pour les joueurs qui se sont présentés aux interviews après le match, l'exercice n'a pas été facile. La déception était évidemment présente, faisant parfois trembler un peu la voix ou humidifiant les yeux. Heureusement, à l'extérieur, une partie des proches des Lausannois était présente pour les soutenir. Devant le bus, on fait en sorte d'être à l'aise. Il y a qui a sorti le costume, qui le training, et puis il y a Makai Holdener qui se promène pieds nus. Vient ensuite le temps d'embarquer pour rentrer au bercail.

Comme des héros

À la Vaudoise Aréna, 9'600 personnes (la capacité maximale) s'étaient réunies pour suivre la rencontre. La fête aurait pu durer jusqu'au bout de la matinée, le hockey en aura décidé autrement. Si la patinoire s'est vidée, lorsque le bus est arrivé à Malley, il y avait bien 300 supporters sur le parvis pour accueillir les joueurs.

Une haie d'honneur s'est formée pour laisser passer le véhicule jusqu'à l'entrée de la patinoire. Fumigènes et autres engins pyrotechniques ont embelli cette arrivée. Dans le bus, on a aperçu un Kevin Pasche à l'avant, téléphone à la main pour immortaliser le moment, ou encore un Ken Jäger qui saluait la foule.

Les portes du car se sont ouvertes, et les joueurs se sont trouvés face à des visages souriants, dans une joyeuse cacophonie de chants. Ils savourent quelques instants avant d'aller récupérer leur matériel dans la soute. Ils sont encombrés comme des mules, mais ils acceptent volontiers les accolades, les poignées de mains, ou les photos avec les supporters. Tout le monde veut leur témoigner leur respect et les remercier pour cette saison de folie.

Des mercis et des bravos à tout va pour les Lions. ©KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Une fois passé le bain de foule, les Lions rejoignent leurs proches qui les attendaient devant l'entrée des vestiaires, le regard attendri. Et, malgré la défaite et les émotions certainement en pagaille, certains acceptent encore de s'arrêter au micro des journalistes. Lundi, Makai Holdener nous racontait que jouer une Finalissima, c'était un "rêve de gamin". Ce match, il l'a maintenant joué. Il y a bien sûr de la tristesse, mais pas que. "On ne revient pas avec le résultat que l'on cherchait, mais on peut être fiers de nous, lâche l'attaquant. On a bien rebondi après une saison compliquée l'année dernière." Mais finalement, lorsque l'on voit tous ces supporters heureux, au milieu de la nuit, devant la patinoire, n'est-ce pas aussi une part du rêve qui est accomplie?

En discutant avec Makai Holdener, on note qu'il a enfin enfilé des chaussures. On le lui fait remarquer sur le ton de la rigolade. "Je n'avais pas envie de remettre mes chaussures de costard et mes baskets étaient dans mon sac. Et puis, ça fait huit mois qu'on a les pieds dans les patins donc c'est bien aussi de s'en libérer", s'amuse-t-il.

"Ça réchauffe les cœurs"

On l'a dit, la Vaudoise Aréna a affiché complet hier soir. Une réelle ferveur s'est emparée de la Ville. Les joueurs ne s'attendaient cependant pas à voir autant de monde à leur retour, comme en témoigne Théo Rochette, attaquant du LHC.

Une jolie scène de communion entre les joueurs et leurs supporters. ©KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Damien Riat aussi a été surpris.

Alors que les joueurs sont gentiment invités à rejoindre les vestiaires, Igor Jelovac s'arrête encore un instant avec les journalistes. Qu'est-ce que voir cette foule procure au défenseur lausannois?

On comprend que les prochains jours seront délicats pour les Lions. Mais finalement, si l'on repense aussi à la saison dernière, voir tous ces sourires, est-ce que ça n'aidera pas à dormir un peu mieux?

Les supporters auront encore l'occasion d'échanger quelques mots avec l'équipe lors de la fête de fin de saison qui aura lieu dans les prochains jours.

Continuer la lecture

Football

Pour le PSG, la route de Wembley passe par le "Mur Jaune"

Publié

le

Mbappé et le PSG sont aux portes de la finale de la Ligue des champions (© KEYSTONE/EPA/Christophe Petit Tesson)

Le PSG est aux portes de la finale de la Ligue de champions.

Mais avant de poursuivre son rêve d'un sacre inédit en C1, il doit d'abord passer l'obstacle du Borussia Dortmund de Gregor Kobel et résister au fameux "Mur Jaune" lors d'une demi-finale aller qu'il aborde en position de favori, mercredi.

L'histoire est facétieuse: c'est en effet la saison où la direction du club, l'entraîneur Luis Enrique et les joueurs rejetaient officiellement "l'obsession" Ligue des champions que l'équipe se retrouve peut-être le plus près d'un couronnement sur la scène européenne.

Au gré d'un exercice au cours duquel ils auront élevé leur niveau mois après mois, à la faveur aussi d'un tableau ouvert à partir des 8es de finale et après une phase de groupe compliquée, les Parisiens auront réussi à rallier les demi-finales. Atteindre ce stade était peu envisageable en août dernier, au tout début de l'ère Luis Enrique, juste après les départs de Lionel Messi et Neymar et à l'approche des adieux de Kylian Mbappé cet été.

Paris favori logique

Désormais, le PSG et sa superstar peuvent légitimement être "obsédés" par la victoire finale, dont seuls les séparent trois matches, dont les deux contre le Borussia Dortmund. Un adversaire abordable pour le PSG, malgré les déclarations de principe du jeune attaquant Bradley Barcola à l'UEFA: "On les a déjà joués deux fois cette saison, on sait que c'est une très bonne équipe".

Car en l'occurrence, ces deux matches de poule restent de bons souvenirs pour le club français - victoire 2-0 au Parc des Princes, qualification pour les 8e de finale acquise au bout du match nul (1-1) au Signal Iduna Park. Si l'on ajoute la qualification en 2020 au bout des deux manches du 8e de finale (1-2; 2-0), sur le papier et pour les bookmakers, Paris part favori.

Sérénité

L'équipe est prête à faire parler son statut, assure Luis Enrique: "On l'a démontré, on est une équipe très difficile à battre, techniquement, tactiquement, mentalement. Les statistiques sont là. C'est maintenant qu'on va jouer pour la compétition que toutes les équipes désirent. Je suis convaincu qu'on va vraiment lutter et qu'on ira en finale, c'est mon objectif".

La dynamique de l'équipe est bonne avec le titre en Ligue 1 décroché dès le weekend dernier - après avoir éteint la concurrence dans les confrontations directes -, et une qualification pour la finale de la Coupe de France contre Lyon le 25 mai.

Tourné vers l'objectif d'un triplé historique, le PSG dégage une impression de confiance et de sérénité depuis plusieurs semaines, notamment à Barcelone en quarts de finale (qualification grâce à la victoire 4-1 au match retour après la défaite 3-2 au Parc des Princes).

Mais sérénité et PSG ne riment jamais très longtemps et une demi-finale de Ligue des champions avec le statut de favori n'aura rien d'évident lorsqu'il faudra affronter le Mur jaune du Signal Iduna Park mercredi soir. Quand bien même la plus grande tribune debout d'Europe sera en configuration UEFA (16'000 places contre les 24'500 habituelles, pour installer des sièges).

"Contrôler les émotions"

Luis Enrique, qui a remporté la C1 à la tête du FC Barcelone en 2015, sait que l'essentiel, "quand les matches importants arrivent, est de contrôler les émotions".

Orphelin de sa star Jude Bellingham partie au Real Madrid, le Borussia Dortmund a de surcroît prouvé qu'il avait du caractère au cours de sa saison chaotique. Larguée en Bundesliga (5e), régulièrement étrillée comme samedi par Leipzig (4-1), l'équipe a néanmoins terminé première du groupe de Ligue des champions où figurait le PSG, l'AC Milan et Newcastle.

Après avoir assuré contre le PSV Eindhoven en 8e de finale (1-1; 2-0), elle a renversé un quart de finale très mal embarqué après sa défaite à l'aller contre l'Atlético Madrid (1-2; 4-2). Et "on est une équipe encore plus stable et meilleure qu'en septembre ou en novembre", assure le coach Edin Terzic.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Balance

Face à un désaccord, il vous faut faire preuve de souplesse. En acceptant un compromis, il est possible de trouver une solution satisfaisante pour tous.

Les Sujets à la Une

X