International
Législatives: les partis français lancent la bataille
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Jean-Luc Mélenchon qui harangue ses troupes pour imposer une cohabitation, la majorité sortante qui investit un ex-LR et Eric Zemmour qui s'engage à combattre la gauche: les partis ont lancé la bataille des législatives samedi, jour de l'investiture d'Emmanuel Macron.
Investi pour un deuxième et dernier quinquennat en fin de matinée, le président a fait "le serment de léguer une planète plus vivable" et "une France plus forte".
En attendant la nomination d'un nouveau gouvernement, l'oeil du chef de l'Etat est déjà rivé sur les législatives à venir, visant à élire 577 députés les 12 et 19 juin qui seront le prolongement de la séquence ouverte par la présidentielle.
L'enjeu, pour les oppositions, sera de maintenir la mobilisation de leurs électeurs en les convainquant que la revanche du 24 avril est possible. Pour M. Macron, ce sera de reconduire une majorité lui permettant d'appliquer le programme sur lequel il a été réélu.
Départ de LR
Dans l'après-midi, la majorité présidentielle a dévoilé une deuxième liste de candidats investis qui porte l'ensemble à 450 pour l'instant. Parmi eux, une belle prise: Robin Reda, un proche de Valérie Pécresse qui a quitté LR pour défendre les couleurs de la majorité dans la 7e circonscription de l'Essonne.
Dix nouveaux ministres se sont joints aux dix autres déjà investis jeudi, parmi eux Olivier Véran qui se représente dans sa circonscription de l'Isère.
Après des négociations tendues, La République en marche (LREM), le MoDem de François Bayrou et le nouveau parti Horizons d'Edouard Philippe abordent les législatives "Ensemble!" - c'est le nom choisi pour leur campagne commune.
Le parti présidentiel LREM, qui va devenir Renaissance, espère pouvoir attirer certains déçus par l'union de la gauche sous l'égide de Jean-Luc Mélenchon.
Union de la gauche
A Aubervilliers, où étaient justement rassemblés tous les leaders de la gauche, l'insoumis a célébré "une page d'histoire" lors de la convention actant la naissance de la "Nouvelle union populaire écologique et sociale" (Nupes).
"C'est la première fois depuis 25 ans qu'un accord général intervient entre les forces traditionnelles de la gauche, des écologistes et des petits derniers, les insoumis", s'est-il félicité.
Au premier tour de la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon avait été un brillant troisième, avec près de 22% des suffrages. Le reste de la gauche avait été balayé.
Au terme d'une offensive tactique éclair, l'ex-candidat de La France Insoumise (LFI) est parvenu cette semaine à unir sous la même bannière LFI, le PS, le PCF et EELV, répondant à l'attente d'une grande partie de l'électorat de gauche.
Lors de la convention d'Aubervilliers, le logo de cette alliance a été dévoilé. Il s'agit d'un "V" rouge, vert, mauve et rose qui veut dire victoire mais est aussi la lettre grecque "NU".
Si l'accord à gauche n'a pas provoqué de grands remous chez les écologistes, il est rejeté sans appel par plusieurs grandes figures du PS. Concrètement, la puissante présidente de la région Occitanie Carole Delga, opposante résolue à l'accord, a apporté samedi son soutien à un candidat dissident dans le Lot.
A droite, Les Républicains se sont retrouvés à Paris lors d'un Conseil national pour lancer une campagne qui s'annonce périlleuse, leur candidate Valérie Pécresse ayant été laminée à la présidentielle (4,8% des voix).
"Rien n'est joué, les choses sont en train de bouger sur le terrain", a assuré le président du parti Christian Jacob, qui s'efforce de dissuader de nouveaux ralliements à M. Macron, alors que plusieurs élus, dont le patron des députés Damien Abad, se sont montrés ouverts à un rassemblement.
Zemmour entretient le suspense
Enfin, Eric Zemmour a réuni les candidats de son parti aux législatives de son parti Reconquête! à Paris, salle Wagram, pour une journée de formation de ces 550 investis, mais sans dévoiler s'il briguerait lui aussi un siège à l'Assemblée nationale.
"Je vous dirai dans les tout prochains jours comment je mènerai cette bataille", a-t-il affirmé, déplorant que "le bloc national soit divisé" et rappelant qu'il avait proposé une "union" des droites qui n'a pas trouvé d'écho au Rassemblement national de Marine Le Pen.
"Nous serons les seuls à affronter le bloc mélenchonniste, puisque nous sommes les seuls à considérer qu'il y a un clivage droite-gauche", a-t-il affirmé. Le RN de Marine Le Pen attendra pour sa part la semaine prochaine pour présenter les axes de sa campagne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Gaza: le pape appelle à laisser entrer une aide humanitaire décente
Le pape Léon XIV a lancé mercredi un "appel pressant" à laisser entrer "une aide humanitaire décente" à Gaza et à "mettre fin aux hostilités", "dont le prix atroce est payé par les enfants, les personnes âgées et les malades".
"La situation dans la bande de Gaza est de plus en plus préoccupante et douloureuse", a également déploré le pape lors de son audience générale hebdomadaire en public place Saint-Pierre, la première depuis son élection.
Cet appel du pape intervient alors que l'ONG Médecins sans frontières a accusé mercredi Israël de ne laisser entrer à Gaza qu'une aide "ridiculement insuffisante" face aux besoins du territoire, seulement pour ne pas être accusé "de famine imposée à la population".
L'aide autorisée dans la bande de Gaza, une centaine de camions depuis lundi selon les autorités israéliennes, "n'est qu'un écran de fumée", selon MSF, alors que le siège, qu'Israël a imposé à Gaza début mars pour forcer le Hamas à libérer les otages qu'il détient encore, "se poursuit".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Avec Montmartre, le Tour de France fait sa révolution
Un an après l'effervescence des Jeux olympiques, le Tour de France va s'aventurer pour la première fois sur la Butte Montmartre en juillet pour une triple ascension qui révolutionne la dernière étape.
Cette 112e édition de la Grande Boucle marquera le cinquantième anniversaire de la première arrivée sur les Champs-Elysées, en 1975. Mais paradoxalement et même si elle sera évidemment au programme, ce ne sera pas "la plus belle avenue du monde" qui tiendra la vedette.
Car c'est bien le triple passage par la rue Lepic et devant des emblèmes comme le Moulin Rouge et le Sacré-Coeur qui monopolisera l'attention le 27 juillet, un an après la course en ligne des JO-2024 qui avait marqué les esprits par l'incroyable ferveur de 500'000 spectateurs agglutinés dans les rues de Paris.
Mercredi, dans les salons de l'Hôtel de Ville, les organisateurs d'ASO, la maire de Paris Anne Hidalgo et le préfet de police Laurent Nuñez ont présenté les détails de cette incursion inédite.
Au lieu des huit tours traditionnels sur les Champs-Elysées, les coureurs vont en effectuer seulement trois (6,5 km à chaque fois), avant de prendre la rue Royale pour aller faire trois fois une boucle de 16,8 km passant par Montmartre.
Au troisième passage au sommet de la Butte, il restera six kilomètres jusqu'à l'arrivée sur les Champs-Elysées, ce qui va forcément favoriser les attaques et sans doute empêcher un sprint massif.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Victime d'une cyberattaque, Marks & Spencer chiffre les retombées
La chaîne de distribution britannique Marks & Spencer a estimé mercredi à 300 millions de livres (environ 334 millions en francs) l'impact de la cyberattaque dont elle est victime depuis plusieurs semaines, lors de la présentation de ses résultats.
"Notre estimation actuelle avant mesures d'atténuation prévoit un impact d'environ 300 millions sur le résultat d'opérationnel du groupe pour l'exercice 2025/26, qui sera réduit grâce à une gestion rigoureuse des coûts, aux assurances et à d'autres actions commerciales", écrit l'entreprise dans un communiqué.
Les perturbations liées à l'attaque, qui ont notamment contraint l'entreprise à suspendre ses ventes en ligne ou le paiement sans contact, se poursuivront jusqu'en juillet, anticipe M&S.
"Les ventes alimentaires ont été affectées par une disponibilité réduite des produits, bien que la situation s'améliore" et "dans les secteurs de la mode, de la maison et de la beauté, les ventes en ligne et le résultat opérationnel ont été fortement touchés" par la suspension temporaire des achats sur internet, ajoute l'entreprise.
"Nous nous concentrons désormais sur la reprise, visant à restaurer nos systèmes, nos opérations et notre offre client au cours du premier semestre", ajoute-t-elle.
L'enseigne avait révélé mi-mai que certaines données personnelles de ses clients avaient été dérobées dans le cadre de cette cyberattaque, qui a débuté mi-avril, mais pas les détails de paiement ou les mots de passe des comptes.
Outre M&S, l'enseigne Co-op a également été victime d'une attaque du même genre, tout comme le prestigieux grand magasin londonien Harrods, contraint de restreindre l'accès à Internet de ses sites au début du mois.
M&S a par ailleurs présenté sur l'année un résultat net en baisse de près d'un tiers, à 295,7 millions, contre 431,2 millions l'an passé. Celui-ci ne tient pas compte de l'impact de la cyberattaque.
Le bénéfice opérationnel a atteint 984,5 millions.
"Cet incident n'est qu'un accident de parcours, dont nous sortirons en meilleure forme", a estimé Stuart Machin, directeur général de M&S, qui compte maintenir sa stratégie et ses plans à long terme.
L'action du groupe était en baisse d'environ 2,6% mercredi peu après l'ouverture à la Bourse de Londres.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Procès Kardashian: 10 ans de prison requis contre le "chef" présumé
Dix ans de prison ont été requis mercredi contre le "commanditaire" présumé du braquage de la star américaine Kim Kardashian dans sa chambre d'hôtel parisienne en 2016, en pleine Fashion week.
L'homme de 69 ans, malfrat "chevronné" et multirécidiviste, a reconnu sa participation mais toujours nié être le "chef du groupe". C'est lui qui "donne les ordres", qui "recrute", qui va revendre les bijoux en Belgique, a assuré l'avocate générale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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