International
Swiatek en finale pour gagner un 5e tournoi consécutif
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Tenante du titre, Iga Swiatek (WTA 1) s'est qualifiée sans difficulté pour la finale du tournoi WTA 1000 de Rome.
La Polonaise, qui a écrasé Aryna Sabalenka (WTA 8) 6-2 6-1 en demi-finale, tentera dimanche de remporter son cinquième tournoi consécutif après ses succès à Doha, Indian Wells, Miami et Stuttgart.
Grandissime favorite de Roland-Garros (22 mai-5 juin), Iga Swiatek a signé samedi sa 27e victoire de rang, face à une joueuse qu'elle avait déjà dominée en finale à Stuttgart. La lauréate de l'édition 2020 Roland-Garros rencontrera en finale la Tunisienne Ons Jabeur (WTA 7), victorieuse la semaine dernière du tournoi de Madrid en l'absence de la Polonaise.
À Rome, Iga Swiatek fait son retour après une petite pause pour s'offrir "cinq ou six jours sans la raquette" et reposer un bras douloureux. Elle survole son sujet depuis le début de la semaine avec quatre victoires sans laisser le moindre set. Depuis 2000, seules Venus Williams (35, le record), Serena Williams (34) et Justine Henin (32) ont fait mieux que les 27 victoires de rang obtenues jusqu'ici par la Polonaise.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Gaza: funérailles des cinq employés d'Al Jazeera tués par Israël
Les funérailles des cinq employés de la chaîne qatarie Al Jazeera, tués dans la nuit par une attaque israélienne à Gaza et parmi lesquels un reporter bien connu de ses téléspectateurs, se déroulaient lundi dans le territoire palestinien dévasté par 22 mois de guerre.
Au moment où le gouvernement israélien se montre déterminé à mettre en oeuvre son nouveau plan d'opération dans le territoire palestinien assiégé, Al Jazeera a fait état de la mort de cinq de ses employés dans "une attaque ciblée israélienne" sur une tente à Gaza-ville, devant l'hôpital al-Chifa.
Les cinq hommes sont Anas al-Sharif et Mohammed Qreiqeh, ainsi que des cameramen Ibrahim Zaher, Mohammed Noufal et Moamen Aliwa. Un journaliste pigiste, Mohammed Al-Khaldi, qui collaborait occasionnellement avec des médias locaux, a également été tué dans l'attaque israélienne, selon le directeur de l'hôpital.
Anas al-Sharif, 28 ans, était l'un des visages les plus connus parmi les correspondants couvrant au quotidien le conflit.
L'armée israélienne a dit l'avoir pris pour cible, le qualifiant de "terroriste" qui "se faisait passer pour un journaliste".
L'organisation de défense de la presse Reporters sans frontières (RSF) a dénoncé "avec force et colère l'assassinat revendiqué" par l'armée israélienne d'Anas al-Sharif, ajoutant qu'il était "la voix de la souffrance imposée par Israël aux Palestiniens de Gaza".
Des dizaines d'hommes, certains en pleurs et s'épaulant par moment, ont porté en terre les corps des victimes lundi matin au cimetière Cheikh Redouane, dans la ville de Gaza, selon un vidéaste de l'AFP.
Sur le site de l'attaque, un mur blanc criblé d'éclats, des matelas souillés sur le sol ou encore des ventilateurs tordus par les flammes témoignaient de la frappe sur la tente de plastique, dont il ne restait plus rien ou presque à l'exception de sa structure métal.
"Ceci est mon testament"
Al Jazeera a condamné "une tentative désespérée de faire taire les voix qui dénoncent l'occupation" israélienne. Selon la chaîne, 10 de ses correspondants ont été tués par l'armée israélienne à Gaza depuis le début de son offensive déclenchée en représailles à l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023.
Selon RSF, près de 200 journalistes ont été tués depuis le début de la guerre.
Dans ses derniers messages sur les réseaux sociaux dimanche soir, quelques instants avant sa mort, Anas al-Sharif faisait état d'"intenses" bombardements et a diffusé une courte vidéo montrant des bombardements, des lueurs dans la nuit étoilée sur la ville de Gaza.
Un texte posthume, écrit en avril en cas de décès, a été publié sur son compte lundi matin, où il appelle à "ne pas oublier Gaza". "Ceci est mon testament et mon dernier message. Si ces mots vous parviennent, sachez qu'Israël a réussi à me tuer et à faire taire ma voix", déclare en préambule ce long message.
L'armée israélienne affirme qu'Anas al-Sharif "était le chef d'une cellule terroriste au sein de l'organisation terroriste Hamas et était responsable de la préparation d'attaques de roquettes contre des civils israéliens et les troupes" israéliennes.
Elle a publié sur ses réseaux sociaux un selfie du journaliste, posant avec les chefs du Hamas. Ainsi qu'un tableau montrant supposément des noms de membres du mouvement islamiste palestinien, où le nom du journaliste émarge avec un salaire correspondant pour les années 2013 et 2017.
En juillet, le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) avait accusé l'armée israélienne de mener "une campagne de diffamation" envers le journaliste en le présentant dans des messages en ligne comme un membre du Hamas.
Rares "embeds"
La diffusion d'Al Jazeera a été interdite en Israël et ses bureaux locaux fermés en mai 2024.
La presse internationale n'est pas autorisée à travailler librement dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre. Seuls quelques médias, triés sur le volet, y sont rarement entrés embarqués (en "embed") avec l'armée israélienne, leurs reportages étant soumis à une stricte censure militaire.
La presse internationale travaille en s'appuyant sur des journalistes et correspondants locaux, qui ont payé un lourd tribut au conflit.
Benjamin Netanyahu a affirmé dimanche avoir donné l'ordre à l'armée d'autoriser un plus grand nombre de médias internationaux à travailler sous son contrôle dans Gaza.
M. Netanyahu, qui a justifié le nouveau plan israélien prévoyant la conquête de la ville de Gaza, est confronté à une très forte pression, en Israël sur le sort des 49 otages retenus par le Hamas, et à l'étranger pour faire taire les armes alors que plus de deux millions de Palestiniens sont menacés d'une "famine généralisée" selon l'ONU.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tesla veut fournir de l'électricité aux Britanniques
Tesla, l'entreprise d'Elon Musk spécialisée les voitures électriques et l'énergie, a déposé une demande auprès du régulateur britannique de l'énergie (Ofgem) pour distribuer de l'électricité aux foyers britanniques.
Le document formalisant cette demande, initialement révélée par le Sunday Telegraph, est daté du 18 juillet et signé par Andrew Payne, directeur de l'énergie pour l'Europe chez Tesla.
Contactée lundi par l'AFP, l'entreprise, active dans l'énergie solaire et le stockage par batterie, n'avait pas répondu vers 09H00 GMT.
Tesla avait déjà obtenu en 2020 une licence pour produire de l'électricité au Royaume-Uni, notamment grâce à ses panneaux solaires, sans la vendre directement aux consommateurs.
Elle agit déjà sur le marché de la distribution d'électricité au Texas.
La firme d'Elon Musk "cherche à se diversifier davantage" au Royaume-Uni, explique Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown. "C'est un nouvel exemple de la transformation de Tesla, qui s'éloigne de la simple fabrication automobile pour devenir un acteur majeur des infrastructures et de la robotique."
Les ventes mondiales de voitures Tesla ont reculé au deuxième trimestre dans un contexte de concurrence accrue et de contrecoup de la collaboration de son patron Elon Musk avec l'administration de Donald Trump.
Au Royaume-Uni, les immatriculations de la marque ont chuté, passant de 2462 en juillet 2024 à 987 le même mois en 2025, selon l'Association des constructeurs et des vendeurs automobiles (SMMT) du pays.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Nvidia et AMD verseront une redevance à Washington
Les géants américains des semi-conducteurs Nvidia et Advanced Micro Devices ont accepté de verser au gouvernement américain 15% de leurs revenus provenant de la vente de puces IA à la Chine, selon des informations parues dimanche dans les médias.
Le patron de Nvidia, Jensen Huang, a rencontré le président américain Donald Trump à la Maison Blanche mercredi et a accepté de reverser au gouvernement américain une partie de ses revenus, un arrangement très inhabituel dans le commerce international des technologies, selon des informations publiées dans le Financial Times, Bloomberg et le New York Times.
L'AFP n'a pas été en mesure de vérifier immédiatement ces informations.
Le mois dernier, Nvidia, premier producteur mondial de semi-conducteurs, est devenu la première entreprise à dépasser les 4000 milliards de dollars de capitalisation boursière, montrant à quel point les marchés misent sur l'intelligence artificielle, en train de révolutionner l'économie mondiale.
La société californienne est au coeur de la rivalité technologique entre Pékin et Washington. L'accès des entreprises chinoises à ses puces avancées "H20" constitue un enjeu majeur dans les discussions commerciales entre les deux puissances.
Mais début juillet, Nvidia a indiqué qu'il reprendrait les ventes de ses puces H20 en Chine, après que les autorités américaines ont levé certaines restrictions à l'exportation vers le pays asiatique.
La société Advanced Micro Devices (AMD), basée dans la Silicon Valley, versera également 15 % de ses revenus sur les ventes en Chine de ses puces MI308, dont l'exportation vers ce pays lui était auparavant interdite.
Selon le New York Times, cet accord pourrait rapporter plus de 2 milliards de dollars au gouvernement américain.
Le président américain Donald Trump avait annoncé mercredi qu'il comptait imposer 100% de droits de douane sur les "puces et semi-conducteurs", sans préciser, pour l'instant, la date d'entrée en vigueur de cette nouvelle taxe douanière.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Réunion d'urgence des Européens avant le sommet Trump-Poutine
L'Union européenne réunit en urgence ses chefs de la diplomatie lundi, cherchant à peser sur les pourparlers prévus cette semaine entre Donald Trump et Vladimir Poutine sur la guerre en Ukraine. Ces discussions lui font craindre un accord aux dépens de Kiev.
Les Européens multiplient les contacts et s'efforcent de faire front commun derrière l'Ukraine depuis l'annonce de la tenue vendredi en Alaska du sommet réunissant les présidents américain et russe. Il doit y être question, selon Donald Trump, d'un possible accord prévoyant "des échanges de territoires" pour mettre fin au conflit qui a fait des dizaines, voire des centaines de milliers de morts depuis plus de trois ans dans les deux pays.
En l'état, la présence du président ukrainien Volodymyr Zelensky n'est pourtant pas prévue, même si elle reste "possible" selon l'ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'Otan Matthew Whitaker.
"Le président Trump a raison de dire que la Russie doit mettre fin à sa guerre contre l'Ukraine. Les Etats-Unis ont le pouvoir de contraindre la Russie à négocier sérieusement", a martelé dans un communiqué la responsable de la diplomatie de l'Union européenne, Kaja Kallas.
Mais, a-t-elle insisté, "tout accord entre les Etats-Unis et la Russie doit inclure l'Ukraine et l'UE car c'est une question de sécurité pour l'Ukraine et pour l'ensemble de l'Europe".
Elle a annoncé une "réunion extraordinaire" lundi en visioconférence de ministres des Affaires étrangères de pays de l'UE, en présence de leur homologue ukrainien Andriï Sybigua, "afin de discuter des prochaines étapes".
Ultimatum
Cet échange va s'ajouter à une série de contacts pendant le week-end, avec une réunion samedi au Royaume-Uni entre conseillers à la sécurité nationale européens et américains en présence du vice-président américain JD Vance et de nombreuses conversations téléphoniques.
Le chef de l'Etat ukrainien s'est entretenu lui-même ces trois derniers jours avec 13 dirigeants européens, ainsi qu'avec les présidents du Kazakhstan et de l'Azerbaïdjan.
Et puis, Kiev "travaille bien sûr avec les Etats-Unis. Il ne se passe pas un jour sans que nous communiquions sur les moyens de parvenir à une paix véritable. Nous comprenons que la Russie a l'intention de tromper l'Amérique", a averti M. Zelensky dans son message du soir.
Vladimir Poutine a pour sa part conversé avec neuf chefs d'Etat ou de gouvernement en trois jours dont Xi Jinping, Narendra Modi et Inacio Lula da Silva.
Donald Trump, qui avait promis de régler le conflit ukrainien en 24 heures à son retour à la Maison Blanche, a entamé un spectaculaire rapprochement avec le président russe. Mais il a montré une frustration grandissante alors que la Russie a intensifié ses bombardements de l'Ukraine ces derniers mois.
L'annonce du sommet en Alaska est intervenue vendredi, le jour-même de l'expiration d'un ultimatum lancé au Kremlin pour mettre un terme au pire conflit armé en Europe depuis la Seconde guerre mondiale.
Les combats et bombardements ont continué depuis avec six morts recensés dans des frappes russes dimanche en Ukraine, où une bombe planante russe a en outre atteint la gare routière centrale, très fréquentée, de Zaporijjia (est), faisant 20 blessés.
Côté russe, une attaque de drones ukrainien sur des "entreprises industrielles" a fait un mort à Arzamas, dans la région de Nijni-Novgorod, à plus de 700 kilomètres de la frontière ukrainienne, selon les autorités régionales.
"Tester Poutine"
Dans la nuit de samedi à dimanche les dirigeants français, allemand, italien, polonais, britannique et finlandais, et la présidente de la Commission européenne ont exhorté le président américain à accroître la "pression" sur la Russie.
Ils ont estimé que toute négociation devrait avoir lieu "dans le contexte d'un cessez-le-feu ou d'une réduction des hostilités" et averti qu'une solution diplomatique devrait inclure des "garanties de sécurité solides et crédibles" pour l'Ukraine.
L'armée russe contrôle actuellement environ 20% du territoire ukrainien.
Moscou réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan. Des exigences inacceptables pour Kiev.
Donald Trump "met la pression sur Poutine, a assuré le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, sur la télévision ABC, estimant que "vendredi prochain sera important, car il s'agira de tester Poutine et de déterminer son engagement à mettre fin à cette terrible guerre".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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