International
La pression russe s'accroît sur l'est de l'Ukraine au début du 4e mois de guerre
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La Russie s'est dite mardi bien déterminée à atteindre "tous ses objectifs" en Ukraine. Moscou a intensifié son offensive contre la dernière poche de résistance de la région de Lougansk, dans l'Est.
Après avoir éloigné les forces russes des deux plus grandes villes du pays, Kiev et Kharkiv (nord-est), les Ukrainiens reconnaissent des "difficultés" dans le Donbass (est), formé par les provinces de Lougansk et de Donetsk, où la Russie a recentré son offensive.
"Nous continuons l'opération militaire spéciale jusqu'à la réalisation de tous les objectifs", a souligné le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou.
"Les objectifs fixés par le président (russe Vladimir Poutine) seront remplis", a lui aussi assuré le secrétaire du Conseil de sécurité de Russie, Nikolaï Patrouchev, un proche de M. Poutine.
"La situation dans le Donbass est extrêmement difficile", a ensuite reconnu mardi soir le président ukrainien Volodymyr Zelensky. "En fait, toutes les forces que l'armée russe a encore ont été jetées là pour l'offensive".
Deux villes en ligne de mire
De fait, Moscou concentre sa puissance de feu sur le réduit ukrainien de la région de Lougansk, essayant de cerner les villes de Severodonetsk et de Lyssytchansk.
Des combats sont en cours pour le contrôle de la ville de Lyman, un important noeud ferroviaire dont la prise constituerait un progrès important dans ces tentatives d'encerclement, a affirmé le chef des séparatistes prorusses de Donetsk, Denis Pouchiline.
"Des unités russes et de la milice populaire (l'armée séparatiste prorusse) sont entrées dans la ville", a-t-il affirmé lors d'une émission pro-Kremlin diffusée sur Youtube, ces informations étant impossibles à vérifier dans l'immédiat.
Le ministère ukrainien de la Défense a aussi évoqué d'intenses combats dans les environs des localités de Popasna et de Bakhmout, dont la chute donnerait aux Russes le contrôle d'un carrefour important pour l'effort de guerre ukrainien.
Les habitants rechignent à fuir malgré les risques: "Les gens ne veulent pas partir", se désole le maire-adjoint de Bakhmout, Maxim Soutkovyï, devant un car d'évacuation à moitié vide.
Dans ce secteur, "l'ennemi a amélioré sa position tactique", a admis mardi matin l'état-major de l'armée ukrainienne, qui assure que "la plus grande activité hostile" est observée "près de Lyssytchansk et de Severodonetsk".
"Très violents combats"
"La situation est très difficile et malheureusement, elle ne fait que s'aggraver. Elle empire de jour en jour, d'heure en heure", a ensuite déclaré dans la soirée le gouverneur de la région de Lougansk, Serguiï Gaïdaï.
"Les bombardements sont de plus en plus intenses" et "l'armée russe a décidé de détruire complètement Severodonetsk", ville stratégique qui "est en train d'être éliminée de la surface de la Terre", a-t-il ajouté.
Le gouverneur a comparé Severodonetsk à Marioupol, grande cité portuaire du Sud-Est pratiquement rasée après plusieurs semaines de siège et de bombardements. "A partir d'aujourd'hui, nous pouvons dire que (les Russes) essaient de réaliser une attaque à grande échelle", a-t-il conclu.
Deux républiques séparatistes prorusses ont été proclamées en 2014 dans le Donbass. C'est notamment pour les défendre d'un prétendu "génocide" que le président russe Vladimir Poutine avait déclenché le 24 février l'invasion de l'Ukraine.
Retour progressif à la normale en revanche à Kharkiv (nord-est), où le métro, qui a des mois durant servi d'abri contre les bombes, a été remis en service mardi.
"Etat terroriste"
Le front méridional semble quant à lui stable, bien que les Ukrainiens y revendiquent des gains territoriaux.
Le commandement sud de l'armée ukrainienne a fait état, dans la nuit de lundi à mardi, d'une "avancée" de ses divisions "à travers la région de Mykolaïv en direction de la région de Kherson", contrôlée par les Russes. Il a accusé les "occupants" d'avoir tué des civils cherchant à fuir en voiture.
Les forces ukrainiennes pilonnent dorénavant les positions russes avec des systèmes d'artillerie occidentaux tout nouvellement acheminés, en particulier des obusiers américains, a expliqué à l'AFP un porte-parole de l'armée ukrainienne.
De son côté, le maire de Marioupol, Vadim Boïtchenko, a accusé, dans une communication vidéo avec la conférence économique de Davos, "les forces d'occupation russes" de se comporter en "Etat terroriste".
A l'inverse, le ministère russe de la Défense a affirmé dans son briefing quotidien que l'aire marine du port de Marioupol a été déminée et que des opérations sont en cours pour "rétablir les infrastructures portuaires". Il a ajouté qu'un "couloir humanitaire" sera ouvert mercredi matin vers la mer Noire pour permettre "la sortie sécurisée des navires étrangers" toujours présents dans le port.
Impatience sur les armes
Dans ce contexte, Kiev appelle instamment les Occidentaux à lui livrer davantage d'armements.
"L'offensive russe dans le Donbass est une bataille impitoyable, la plus vaste sur le sol européen depuis la Deuxième Guerre mondiale. J'exhorte nos partenaires à accélérer les livraisons d'armes et de munitions", a ainsi lancé mardi le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba.
Le président Zelensky lui-même a réclamé des "armes lourdes : grenades propulsées par des fusées, chars, armes antinavires et autres armes".
Le président polonais Andrzej Duda, dont le pays a fourni à l'Ukraine ses chars soviétiques T-72, a reproché mardi à Berlin de tergiverser sur la livraison de blindés allemands Leopard, promis à la Pologne en contrepartie. La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a reconnu qu'il y avait discussion, l'hebdomadaire Der Spiegel affirmant que celles-ci étaient dues à la demande de Varsovie de recevoir des chars de dernière génération.
De son côté, l'ancien chancelier allemand Gerhard Schröder, très critiqué dans son pays, a annoncé mardi qu'il ne rejoindrait pas le conseil de surveillance du géant gazier russe Gazprom.
Etat d'urgence en Hongrie
Accentuant sa pression sur la Russie, les États-Unis ont eux décidé de mettre fin, à partir de mercredi 04h01 GMT (06h01 en Suisse), à une exemption permettant à Moscou de payer ses dettes en dollars, a annoncé mardi le Trésor américain. Cette décision pourrait précipiter la Russie, qui a une douzaine de paiements à honorer d'ici la fin de l'année, dans le défaut de paiement.
Au Forum de Davos, le président de la Confédération Ignazio Cassis a annoncé que la Suisse organiserait, les 4 et 5 juillet à Lugano, une "conférence de reconstruction de l'Ukraine", qui devrait aborder notamment la question des contributions annoncées et à venir de la Banque mondiale, de l'OCDE et de l'Union européenne (UE).
L'UE discutait toujours mardi d'un embargo sur le pétrole russe, qui requiert l'unanimité des pays membres. L'Allemagne et la France ont jugé possible d'y parvenir dans les prochains jours, mais le Premier ministre hongrois Viktor Orban, dont le pays est très dépendant du pétrole russe, a jugé cette perspective "très improbable" dans l'immédiat.
Le dirigeant hongrois, arguant des répercussions de la guerre, a en outre décrété mardi l'état d'urgence à partir de minuit dans son pays, une décision dénoncée par l'ONG de défense des libertés civiles TASZ.
Centaines d'enfants tués ou blessés
En trois mois de conflit armé, 234 enfants ont été tués et 433 blessés, a dénoncé mardi le bureau de la procureure générale d'Ukraine Iryna Venediktova.
Au total, des milliers de civils et de militaires ont péri, sans qu'il existe un bilan chiffré. Pour la seule ville de Marioupol, les autorités ukrainiennes parlent de 20'000 morts.
Côté russe, des sources occidentales évaluent à 12'000 le nombre des soldats tués, le Kremlin n'ayant admis que des "pertes importantes".
L'Ukraine n'a pas fourni de bilan du nombre de ses militaires mis hors de combat.
Plus de huit millions d'Ukrainiens ont été déplacés à l'intérieur de leur pays, selon l'ONU. S'y ajoutent 6,5 millions qui ont fui à l'étranger, dont plus de la moitié - 3,4 millions - en Pologne.
Peine confirmée pour Navalny
La répression continue en Russie: un tribunal de Moscou a ordonné mardi l'arrestation de deux blogueurs accusés de discréditer l'action de l'armée en Ukraine.
Les députés russes ont adopté en première lecture une proposition de loi qui doit permettre de fermer, sur simple décision du parquet, les médias étrangers accusés de diffuser des informations mensongères sur la guerre en Ukraine.
L'opposant emprisonné Alexeï Navalny s'est servi d'un procès en appel, qui a sans surprise confirmé sa peine de 9 ans de camp, pour dénoncer à son tour une "guerre fondée sur un super mensonge".
Enfin, Moscou a annoncé mardi interdire le territoire russe à 154 membres de la Chambre des Lords, chambre haute du Parlement britannique, en représailles aux sanctions visant la quasi-totalité des élus du Conseil de la Fédération de Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Moscou propose une deuxième séance de pourparlers avec l'Ukraine
La Russie a proposé mercredi à l'Ukraine une deuxième séance de pourparlers directs à Istanbul, le 2 juin. Moscou entend transmettre à Kiev son "mémorandum" censé exposer les conditions russes pour un accord de paix durable
"Notre délégation, dirigée par (Vladimir) Medinski, est prête à présenter ce mémorandum à la délégation ukrainienne et à fournir les explications nécessaires lors d'un deuxième cycle de négociations directes reprenant à Istanbul lundi prochain, le 2 juin", a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, dans un communiqué.
Vladimir Medinski avait mené la délégation russe lors des pourparlers du 16 mai à Istanbul. Il s'agissait des premières discussions de paix directes entre Kiev et Moscou depuis le printemps 2022, au début de l'attaque russe à grande échelle contre l'Ukraine.
Les échanges du 16 mai à Istanbul n'avaient pas abouti à une percée majeure pour trouver une issue diplomatique au conflit, mais les deux camps s'étaient engagés à mener un échange de prisonniers d'une ampleur inédite, au format 1000 personnes contre 1000 personnes, qui s'est achevé le week-end dernier.
Tout en remerciant ses "partenaires turcs", le ministre russe Sergueï Lavrov a dit mercredi espérer que "tout ceux qui sont sincèrement intéressés" dans "la réussite du processus de paix" soutiennent la tenue de ce deuxième cycle de négociations.
Pour l'heure, Kiev n'a pas réagi à cette proposition. Plus tôt, mercredi, le Kremlin avait écarté la proposition du président ukrainien Volodymyr Zelensky d'un sommet trilatéral avec ses homologues Vladimir Poutine et Donald Trump pour faire avancer des discussions de paix.
"Une telle rencontre doit être le résultat d'accords concrets entre les deux délégations" russe et ukrainienne, a tranché le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien auquel participait l'AFP.
En visite à Berlin pour rencontrer le nouveau chancelier allemand Friedrich Merz, le président ukrainien a lui accusé la Russie d'entraver les pourparlers de paix en cherchant "des raisons de ne pas arrêter la guerre".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La superbe réponse d'Isaac Del Toro
Le maillot rose Issac Del Toro a enlevé à Bormio la 17e étape du Tour d’Italie. Il a devancé le Français Romain Bardet et l’Equatorien Richard Carapaz qui s’empare de la deuxième place du général.
A la peine la veille, le Mexicain a réagi un grand champion pour cueillir son premier succès d’étape dans un grand tour. Il a attaqué dans la descente sur Bormio pour surprendre Romain Bardet, l’ultime rescapé de l’échappée matinale, et Richard Carapaz, les deux seuls coureurs à l’accompagner dans ce final. Il avait auparavant porté une première offensive dans l’ascension du col de La Motte à laquelle seul Carapaz avait pu répondre.
Le grand perdant du jour se nomme Simon Yates qui a cédé sa deuxième place à Carapaz. Mais les positions demeurent extrêmement serrées avec une avance de 41’’ pour Del Toro sur Carapaz et de 51’’ sur Yates. Jeudi, les trois hommes vivront une étape promise aux sprinters avant les grandes explications de vendredi à Champoluc et de samedi à Sestrière.
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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Casper Ruud trahi par son genou
Finaliste en 2023 et 2024 et demi-finaliste l'an dernier, Casper Ruud a chuté au 2e tour de Roland-Garros. Diminué par une blessure au genou, le Norvégien a été éliminé par Nuno Borges (ATP 41).
Le no 8 mondial s'est incliné 2-6 6-4 6-1 6-0 devant le Portugais. On a très vite compris qu'il n'était pas vraiment en mesure de défendre ses chances en raison de cette douleur au genou. Victorieux le mois dernier du Masters 1000 de Madrid, Casper Ruud avait fait l'impasse sur le Geneva Open dont il était le tenant du titre, pour se ménager avant ces Internationaux de France. Son tableau devait le conduire théoriquement vers un quart de finale contre Carlos Alcaraz.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Israël affirme avoir tué le chef présumé du Hamas à Gaza
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a affirmé mercredi qu'Israël avait tué Mohammed Sinouar, considéré comme le chef du mouvement islamiste palestinien Hamas à Gaza.
"Nous avons chassé les terroristes de notre territoire, pénétré de force dans la bande de Gaza, éliminé des dizaines de milliers de terroristes, éliminé (...) Mohammed Sinouar", a-t-il déclaré lors d'une session au Parlement.
L'armée israélienne avait annoncé avoir frappé le 13 mai "un centre de commandement et de contrôle du Hamas situé dans une infrastructure souterraine terroriste, sous l'hôpital européen de Khan Younès", dans le sud de la bande de Gaza.
Selon des médias israéliens, cette frappe visait en fait Mohammed Sinouar, frère de Yahya Sinouar, ex-chef suprême du Hamas tué par l'armée israélienne en octobre 2024 à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.
Yahya Sinouar est considéré comme le principal architecte de l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël du 7 octobre 2023, qui a déclenché la guerre à Gaza.
Selon les experts du mouvement islamiste, Mohammed Sinouar dirigeait la branche armée du Hamas, les Brigades al-Qassam, considérées, au même titre que leur mouvement politique, comme une organisation terroriste par les Etats-Unis et l'Union européenne notamment.
"Indigne et dangereux"
L'annonce intervient après qu'un haut responsable de l'ONU a jugé indigne le nouveau système d'aide mis en place par Israël dans le territoire palestinien, après une distribution chaotique ayant fait 47 blessés la veille.
L'armée israélienne a démenti mercredi avoir ouvert le feu sur la foule en marge de cette distribution à Rafah (sud), dans un nouveau centre tenu par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une société privée créée avec le soutien d'Israël et des Etats-Unis.
L'opération a tourné au chaos lorsque des milliers de Palestiniens se sont rués sur le site, selon des journalistes de l'AFP.
"Environ 47 personnes ont été blessées", "la plupart par balles", et "les tirs provenaient de l'armée israélienne", a affirmé mercredi Ajith Sunghay, chef du Bureau du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme dans les Territoires palestiniens occupés.
L'armée israélienne a elle fait état de "tirs de sommation en l'air" effectués par ses soldats "dans la zone à l'extérieur" du centre géré par la GHF, "en aucun cas vers les gens".
La GHF a également démenti tout tir en direction de la foule, indiquant avoir ouvert un nouveau site de distribution qui a fonctionné "sans incident". L'organisation se targue d'avoir acheminé huit camions d'aide et distribué plus de 840'000 repas mercredi.
"C'était chaotique, indigne et dangereux", a commenté le responsable de l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini.
Ce responsable - dont l'agence est accusée par Israël d'être une "organisation terroriste" liée au Hamas - a qualifié de "distraction par rapport aux atrocités" le nouveau modèle promu par Israël et les Etats-Unis consistant à déléguer la distribution d'aide à une société privée.
Les Palestiniens de Gaza méritent "plus que de survivre", a lancé pour sa part Sigrid Kaag, l'émissaire de l'ONU pour le Proche-Orient devant le Conseil de sécurité.
Israël a partiellement levé la semaine dernière le blocus total de l'aide imposé à la bande de Gaza depuis le 2 mars, officiellement pour contraindre le Hamas à relâcher ses derniers otages. Depuis, Israël a dit avoir autorisé le passage de plusieurs centaines de camions humanitaires à entrer.
La guerre déclenchée par le Hamas est entrée mercredi dans son 600e jour sans espoir apparent dans l'immédiat de trêve ni de libération des otages détenus depuis le 7-Octobre.
Soutien aux otages
Sur le terrain, la Défense civile a fait état de 16 personnes tuées par des frappes israéliennes mercredi.
A l'appel du Forum des familles, principale organisation israélienne plaidant pour un cessez-le-feu et la libération des otages, des centaines de personnes se sont réunis à des carrefours en Israël à 06h29 (05h29 en Suisse), heure du début de l'attaque du Hamas.
Des pancartes portant le chiffre 600 ont été placées le long des routes et des manifestants ont bloqué la principale autoroute urbaine de Tel-Aviv.
"Je veux que vous sachiez que lorsqu'Israël torpille des accords, il le fait au détriment des otages. Leurs conditions s'aggravent immédiatement, la nourriture diminue, la pression augmente et les bombardements et les actions militaires ne les sauvent pas, ils mettent leur vie en danger", a dit l'ancienne otage Arbel Yehud, lors d'une conférence de presse à Tel-Aviv.
L'attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles. Sur 251 personnes alors enlevées, 57 restent retenues à Gaza, dont au moins 34 mortes, selon les autorités israéliennes.
Plus de 54'084 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués par la campagne de représailles israéliennes, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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