International
Max Verstappen en pole pour la course sprint samedi en Autriche

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Max Verstappen (Red Bull) partira en tête samedi de la course sprint qui déterminera la grille du Grand Prix d'Autriche de Formule 1 après avoir réussi le meilleur temps des qualifications vendredi.
Le champion du monde en titre et leader actuel du classement provisoire, qui signe sa troisième pole position de la saison, a devancé Charles Leclerc et Carlos Sainz, les deux pilotes Ferrari.
Les deux Mercedes de Lewis Hamilton et George Russell ont toutes deux été victimes de sorties de route dans la 3e et dernière phase des qualifications, mais Russell partira 4e et Hamilton 9e pour la course sprint à 16h30 heures françaises grâce aux temps réalisés avant leurs accidents respectifs.
"Cela a été une longue attente entre les deux interruptions, ce qui n'est jamais bien", a souligné Verstappen, en faisant allusion aux deux drapeaux rouges consécutifs après les accidents des Mercedes.
"Il faudra penser aux points samedi et dimanche", a-t-il ajouté sous les acclamations de la foule toute acquise à l'écurie autrichienne Red Bull et à son pilote vedette.
Le GP d'Autriche, dont le départ sera donné dimanche à 15h00, est la deuxième des trois courses de la saison à proposer une course sprint le samedi, un format inauguré la saison dernière et déjà utilisé cette année lors du Grand Prix d'Emilie-Romagne, à Imola en avril.
Les huit premiers de la course sprint reçoivent des points supplémentaires au championnat du monde et son résultat détermine la grille de départ du Grand Prix dimanche.
Leclerc a souligné que le résultat des qualifications avait été "très serré" après avoir échoué à 29/1000e de Verstappen. "Il a fallu de nouveau faire chauffer les pneus après les interruptions", a précisé le pilote monégasque, actuellement 3e du championnat du monde à 43 points du Néerlandais.
Les Mercedes dans les barrières
Ferrari a remporté le Grand Prix de Grande-Bretagne dimanche dernier mais c'est Carlos Sainz qui avait franchi la ligne en tête, Leclerc ne terminant que 4e après un choix stratégique discutable de son écurie en matière de changement de pneumatiques.
"Je viens de connaitre trois courses qui ont été un peu un désastre pour moi et j'espère vraiment que tout ira mieux à partir de demain", a souligné Leclerc.
La 4e position pour le départ de la course sprint devait être initialement occupée par Sergio Perez, coéquipier de Verstappen, mais il a vu tous ses temps de la 3e phase des qualifications effacés après être sorti des limites de la piste lors de la 2e. Il ne partira donc que 10e.
Le Français Esteban Ocon (Alpine) sera lui 5e devant les deux Haas du Danois Kevin Magnussen et de l'Allemand Mick Schumacher, et l'autre Alpine de l'Espagnol Fernando Alonso.
Russell, et surtout Hamilton, n'auront d'autre choix que d'attaquer samedi lors du sprint de 100 kilomètres pour tenter d'améliorer leur position sur la grille de départ du Grand Prix dimanche.
Hamilton, septuple champion du monde, a connu un début de saison difficile en raison de la baisse de forme des Mercedes, mais a terminé 3e du GP de Grande-Bretagne dimanche dernier, montrant qu'il n'a rien perdu de sa combativité. Il est actuellement 6e au championnat du monde, derrière son coéquipier Russell et à 88 points de Verstappen.
"Tout le monde travaille si dur pour préparer cette voiture et je n'aime pas l'endommager. Je pense que nous nous battions pour une place dans les trois premiers. Mais j'ai juste perdu l'arrière dans le 7e virage et je n'ai rien pu faire", a déclaré Hamilton après son accident.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: les Européens veulent "une pression" sur Moscou
Les principaux dirigeants européens se sont dit dimanche convaincus que "seule une approche combinant une diplomatie active, un soutien à l'Ukraine et une pression sur la Fédération de Russie" pouvait réussir pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
"Nous saluons le travail du président [américain Donald] Trump pour arrêter le massacre en Ukraine" et "sommes prêts à soutenir ce travail sur le plan diplomatique ainsi qu'en maintenant notre soutien militaire et financier substantiel à l'Ukraine, y compris par le biais des travaux de la coalition des volontaires, et en maintenant et en imposant des mesures restrictives à l'encontre de la Fédération de Russie", ont indiqué ces dirigeants dans une déclaration.
Le texte est signé par le président français Emmanuel Macron, la première ministre italienne Giorgia Meloni, le chancelier allemand Friedrich Merz, les premiers ministres polonais Donald Tusk et britannique Keir Starmer, la présidente de la Commission européenne Ursula von Der Leyen et le président finlandais Alex Stubb.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Des dizaines de milliers de manifestants à Tel-Aviv
Des dizaines de milliers de manifestants sont descendus samedi à Tel-Aviv pour appeler à la fin de la guerre dans la bande de Gaza, au lendemain de l'annonce du plan israélien pour la conquête de la ville de Gaza, la plus grande du territoire palestinien.
Après 22 mois de guerre, le Premier ministre Benjamin Netanyahu est confronté à une très forte pression en Israël et de l'étranger pour mettre fin à son offensive dans la bande de Gaza, où plus de 2 millions de Palestiniens sont menacés d'une "famine généralisée", selon l'ONU.
Selon le plan validé par le cabinet de sécurité israélien, l'armée "se prépare à prendre le contrôle de la ville de Gaza", une agglomération en grande partie détruite dans le nord du territoire, "tout en distribuant une aide humanitaire à la population civile en dehors des zones de combat".
Samedi à Tel-Aviv, les journalistes de l'AFP présents sur place ont estimé à des dizaines de milliers le nombre des manifestants, le Forum des familles des otages faisant état de 100'000 participants. Les autorités n'ont pas fourni d'estimation officielle.
Les manifestants brandissaient des pancartes et des photos des otages toujours détenus dans le territoire palestinien, exhortant le gouvernement à obtenir leur libération.
"Nous vous poursuivrons"
"Si vous envahissez certaines parties de Gaza et que les otages sont tués, nous vous poursuivrons sur les places publiques, pendant les campagnes électorales et à tout moment et en tout lieu", a déclaré à l'AFP Shahar Mor Zahiro, un proche d'un otage tué, dans un "message direct au Premier ministre".
Le Hamas, qui retient toujours 49 otages, dont 27 sont présumés morts, a affirmé vendredi que la décision israélienne d'occuper la ville de Gaza signifiait le "sacrifice" de ces otages enlevés lors de l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien contre Israël le 7 octobre 2023.
Les familles des otages et les militants israéliens en faveur de la paix avec les Palestiniens réclament un cessez-le-feu avec le Hamas pour obtenir la libération des derniers captifs.
Mais au sein du gouvernement de Benjamin Netanyahu, l'aile dure de la droite israélienne et leurs partisans veulent continuer à occuper et annexer plus de territoires palestiniens, faisant fi des critiques internationales.
Outre le désarmement du Hamas et le retour "de tous les otages, vivants et morts", le plan vise à démilitariser la bande de Gaza et la placer sous contrôle israélien avant la mise en place "d'une administration civile" qui ne serait "ni le Hamas, ni l'Autorité palestinienne", a précisé vendredi le bureau de M. Netanyahu.
"Nous n'allons pas occuper Gaza, nous allons libérer Gaza du Hamas", qui dirige le territoire depuis 2007, a affirmé M. Netanyahu sur X.
A la suite de l'annonce de ce plan, le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra dimanche à 10h00 une réunion d'urgence sur Gaza, selon plusieurs sources diplomatiques.
De l'Allemagne, pourtant l'un des plus fidèles alliés d'Israël, à l'Union européenne, en passant par la France, la Chine, la Russie et de nombreux pays musulmans, l'annonce de ce plan a suscité la réprobation internationale.
"Nouveau crime"
Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a dénoncé samedi "un nouveau crime qui s'ajoute à la série de crimes israéliens commis en Cisjordanie, y compris à Jérusalem", soulignant "la nécessité urgente de prendre des mesures pour y mettre fin immédiatement".
Actuellement, l'armée israélienne occupe ou opère au sol dans près de 75% de la bande de Gaza, principalement depuis ses positions permanentes dans le territoire le long de la frontière. Israël avait déjà occupé Gaza en 1967 et implanté un ensemble de 21 colonies, démantelées lors de son retrait unilatéral en 2005.
Samedi, le porte-parole de la Défense civile de la bande de Gaza, Mahmoud Bassal, a fait état de 37 personnes tuées par des frappes ou des tirs israéliens, dont des civils qui attendaient des distributions d'aide alimentaire.
Selon M. Bassal, douze personnes ont été tuées et près de 200 autres blessées quand les forces israéliennes ont ouvert le feu sur elles alors qu'elles se rassemblaient près d'un point de passage dans le nord de Gaza, utilisé pour l'acheminement de l'aide.
L'opération israéliennes à Gaza déjà fait 61'369 morts à Gaza, majoritairement des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU.
Du côté israélien, l'attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre 2023 avait entraîné la mort de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Retour sur Terre d'un équipage après cinq mois dans l'ISS
Un équipage de deux astronautes américaines, un cosmonaute russe et un Japonais est de retour sur Terre samedi après l'amerrissage réussi de la capsule Dragon de SpaceX au large de la Californie, selon le flux vidéo retransmis par l'entreprise spatiale.
Les Américaines Anne McClain et Nichole Ayers, le Russe Kirill Peskov, et le Japonais Takuya Onishi ont passé près de cinq mois dans l'espace.
Leur retour conclut la dixième mission de rotation d'équipage de la Station spatiale internationale (ISS) menée dans le cadre du programme Commercial Crew de la Nasa, créé pour succéder à l'ère de la navette spatiale en s'associant à l'industrie privée.
La capsule Dragon de l'entreprise SpaceX du multimilliardaire Elon Musk a amerri dans l'océan Pacifique à 08h34 heure locale (17h34 suisses) après s'être détachée la veille de l'ISS.
Sa vertigineuse descente a été freinée par l'entrée dans l'atmosphère terrestre, puis par d'immenses parachutes.
La capsule devait ensuite être récupérée par un navire de SpaceX et une fois hissée à bord, être enfin ouverte pour laisser les astronautes en sortir.
Lors de leur séjour dans l'ISS, l'équipage baptisé Crew-10 a réalisé de multiples expériences scientifiques, étudiant la croissance de plantes ou encore la manière dont les cellules réagissent à la gravité.
En mars, leur départ dans l'espace avait été particulièrement scruté car il devait permettre le retour de deux astronautes américaines coincés dans l'espace depuis neuf mois.
Initialement partis pour une mission de huit jours en 2024, Butch Wilmore et Suni Williams s'étaient retrouvé bloqués depuis juin dernier sur l'ISS en raison de défaillances sur le vaisseau Starliner de Boeing qui les avait acheminés.
Après 25 ans de service pour la Nasa, M. Wilmore a décidé de prendre sa retraite, a annoncé cette semaine l'agence spatiale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Tanja Hüberli doit se faire opérer
Tanja Hüberli sera absente plusieurs mois. La médaillée de bronze aux JO de Paris s'est blessée cette semaine à la cheville gauche et doit se résoudre à une opération.
L'accident s'est produit mercredi lors du tournoi Challenge à Baden en Autriche. La Schwytzoise de 32 ans s'est foulé la cheville lors du match du premier tour avec sa nouvelle partenaire Leona Kernen. La paire helvétique menait clairement à ce moment-là, mais a dû abandonner en raison de la blessure.
Des examens complémentaires effectués en Suisse ont révélé une déchirure du cartilage, deux ligaments externes déchirés et une déchirure partielle du ligament interne, comme l'a annoncé Swiss Volley. Hüberli sera opérée mercredi prochain. L'objectif de l'intervention est de rétablir la stabilité de la cheville et de permettre un retour à la compétition dans environ trois mois.
"Notre objectif est le championnat du monde en novembre. Je ferai tout pour que Leona et moi puissions y participer", a déclaré Hüberli dans le communiqué de la fédération. La semaine prochaine, une décision sera prise quant à la manière dont Kernen s'entraînera et participera aux compétitions pendant la pause forcée de sa partenaire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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