Genève
Décès de deux personnes dans un accident sur l'A1 à Genève
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Un accident de la circulation a fait deux morts dimanche matin peu avant l'échangeur du Vengeron (GE) sur l'A1. Les deux occupants d'un véhicule parti en embardée ont été tués sur le coup.
L'accident s'est produit vers 09h50 selon un communiqué de la police cantonale de Genève. La voiture a dévié, pour une raison que l'enquête devra déterminer, sur la droite dans une courbe à gauche puis est partie en embardée. La conductrice avait 23 ans et son passager 24 ans, a précisé la police cantonale.
Il s'agit du quatrième accident mortel sur les routes genevoises en 2022. Le nombre total de victimes se porte à cinq pour l'année en cours.
La portion de l'autoroute comprise entre Coppet et l'aéroport de Genève-Cointrin a été fermée au trafic circulant en direction de Genève. En milieu d'après-midi, les embouteillages qui s'en sont suivis combinés à la forte circulation dominicale ont occasionné un temps d'attente jusqu'à 40 minutes, selon le TCS.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Genève: un village du sport jusqu'à fin juillet
A Genève, le mois de juillet 2025 est celui du sport. Outre l’eurofoot féminin de football et la fan zone, la Ville de Genève a ouvert pour la première fois sur le quai Gustave-Ador un "village du sport". Les amateurs pourront tester 26 disciplines jusqu’au 27 juillet.
Située à quelques dizaines de mètres de la fan zone, l’esplanade du site a été spécialement peinte par l’artiste genevois Tones, réputé pour ces fresques colorées, a annoncé la Ville jeudi dans un communiqué. Parmi les disciplines proposées, du football, du tennis, du basket, du tchoukball, du bungee trampoline, de l’escalade, du unihockey, de la slackline, du bmx ou encore du parkour.
L’accès au site et aux activités est gratuit. Chaque jour, entre 10h00 et 18h00, initiations, démonstrations ou sessions en pratique libre y seront organisées.
Des journées thématiques seront proposées avec un week-end familles les 12 et 13 juillet, dont un atelier de foot freestyle le samedi. Suivront une semaine axée sur le sport féminin (du 16 au 20 juillet) et une autre sur les sports urbains (du 23 au 27 juillet).
https://www.geneve.ch/village-sport-espace-decouverte-partage-coeur-euro-feminin-2025
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Inspection générale des services: 10,9% d'enquêtes en plus en 2024
Service unique en Suisse, l'Inspection générale des services, chargée des enquêtes pénales visant les collaborateurs des polices genevoises et de l'Office cantonal de la détention, rend pour la première fois publique une synthèse de son rapport d'activité. Elle révèle qu'en 2024, une hausse de 10,9% des nouvelles enquêtes a été enregistrée avec 143 cas ouverts contre 129 en 2023. Dix l'ont été pour corruption.
Si les allégations d’usage abusif de la force ou d’un moyen de contrainte restent la majorité des cas traités par l’IGS l’année passée, le nombre de nouvelles enquêtes pour ce motif a vu une légère baisse (-3,7%). Sur les 52 cas recensés, 42 cas concernent la police cantonale, 10 l’OCD. Aucun cas ne concerne les 17 polices municipales ainsi que les autres services, a indiqué l'IGS jeudi dans un communiqué.
S’agissant des autres motifs d’enquête, une diminution est observée pour la violation du secret de fonction (7 cas contre 10 en 2023 et 11 en 2022). En revanche, les cas de corruption ont connu une hausse en 2024, avec le traitement de 10 nouvelles enquêtes par l’IGS (contre 2 en 2023 et en 2022). Les contrôles préliminaires en cas de suspicion ont, eux, baissé de 11,6%.
3% de condamnations
Sur les 250 enquêtes menées par l'IGS en 2021 et 2022, ayant donné lieu à l'ouverture d'une procédure pénale et dont les décisions dépendent du Ministère public genevois, 209 ont connu un épilogue judiciaire. La grande majorité des décisions rendues a abouti à une ordonnance de non-entrée en matière (63%) ou à une ordonnance de classement (14%).
Les ordonnances pénales rendues, lesquelles comprennent également les infractions commises hors service, se sont montées à 20% et les condamnations devant les tribunaux à 3%.
Les chiffres livrés dans le rapport n'ont pas mis en lumière l'existence d'une problématique systémique de violences policières ou pénitentiaires au sein des offices concernés, relève l'IGS. Elle se dit cependant bien consciente de ne pas être avisée de la survenance de chaque cas ou à même de prouver, dans certaines circonstances, la véracité des faits allégués.
Diverses missions
À teneur de la loi sur la police (LPol), l’IGS est indépendante des services de police et de leur hiérarchie, sous réserve de son rattachement administratif à la commandante de la police. La synthèse de son rapport d’activité sera désormais publiée annuellement.
Sous la conduite du procureur général, sa mission première est de garantir la légalité et le respect de la déontologie dans les pratiques des fonctionnaires dotés de pouvoir d’autorité. Chargée des enquêtes ouvertes suite à des allégations d’usage disproportionné de la force ou d'un moyen de contrainte, l’organe enquête également sur l’ensemble des infractions contre les devoirs de fonction et les devoirs professionnels, ainsi que sur les problématiques de corruption, rappelle le communiqué.
L'IGS mène par ailleurs des enquêtes portant sur les infractions commises dans un cadre privé pour les seuls policiers cantonaux, ainsi que toute autre enquête qui lui est transmise par le procureur général. En mai 2025, le service était composé de quinze enquêteurs issus des différents corps et unités de la police.
Saisie par tout un chacun
L’IGS peut être saisie par tout justiciable s’estimant lésé ou victime d’une action commise par un ou des fonctionnaires compris dans son champ d’activité. Elle peut également être saisie par le Ministère public, par les hiérarchies ou les collaborateurs des services, ainsi que par toute autre personne souhaitant porter un fait à son attention.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Ouvertures dominicales des magasins: référendum déposé
A Genève, les syndicats et les partis de gauche ont déposé mercredi leur référendum contre la modification de la loi sur les horaires d'ouverture des magasins (LHOM) qui prévoit une ouverture des magasins deux dimanches par an. Plus de 8000 signatures ont été récoltées, a indiqué Yan Giroud, d'Unia Genève.
Au bout du lac, pour qu'un référendum aboutisse, il faut présenter 4200 signatures valables. La marge dont dispose le comité référendaire est donc importante. Selon M. Giroud, la votation sur ces ouvertures dominicales des magasins pourrait avoir lieu en novembre en cas de validation des paraphes.
Les Genevois se sont déjà écharpés à plusieurs reprises sur l'ouverture des commerces certains dimanches. En 2016, le souverain avait accepté que les magasins soient ouverts trois dimanches par an, à condition qu'une convention collective de travail (CCT) étendue existe dans la branche. Or celle-ci n'a jamais vu le jour.
En 2019, les Genevois acceptaient une loi expérimentale de deux ans pour permettre ces trois ouvertures dominicales annuelles sans CCT. La pérennisation de ce régime avait toutefois été attaquée par référendum et l'expérience avait pris fin deux ans plus tard, en 2021.
Un travail déjà astreignant
Pour le comité référendaire, ces deux ouvertures dominicales dégraderaient des conditions de travail déjà difficiles dans la vente, où les employés sont souvent occupés 6 jours par semaine, avec parfois de longues journées de labeur. Introduire les dimanches pendant les fêtes empêcherait toute vie de famille pour le personnel.
Les partisans du changement de régime mettent en avant les problèmes rencontrés par le commerce genevois. Ce dernier doit tenir compte d'une rude concurrence des enseignes françaises. Les magasins du cru souffrent aussi de l'essor des achats en ligne.
Des arguments qui n'émeuvent pas le comité référendaire. Pour la gauche, les difficultés du commerce genevois ne sont pas dues aux heures d'ouverture, mais au pouvoir d'achat des ménages.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Un taxi aérien sans pilote pourrait débarquer en Suisse rapidement
Plusieurs pays voient déjà dans leur ciel de petits hélicoptères biplaces où les occupants ne sont que des passagers. Exposé à Genève dans le cadre du sommet "IA pour le bien commun", cet engin de mobilité urbaine pourrait être rapidement opérationnel en Suisse.
"Nous avons des plans pour l'Europe", a affirmé à Keystone-ATS un responsable pour l'Europe de la start-up chinoise EHang, leader du marché mondial de la mobilité urbaine aérienne. Si rien n'est décidé encore pour la Suisse, le dispositif "pourrait aller très vite", dit-il.
Active dans 19 pays, la société a obtenu une certification de l'Agence européenne de sécurité aérienne (AESA). Or, c'est celle-ci "qui est compétente et non les autorités nationales", a dit à Keystone-ATS un porte-parole de l'Office fédéral de l'aviation civile (OFAC). Une entreprise suisse est en cours de certification auprès de l'AESA, mais pas pour de la "mobilité urbaine" comme EHang.
Pour la start-up chinoise, le nombre de pays où cette technologie devrait être utilisée devrait augmenter très rapidement. Il atteindra une centaine d'entre eux "bien avant" 2030", estime son responsable. En Chine, "nous ne pouvons satisfaire la demande" tant elle est importante, ajoute-t-il.
Des grandes villes affectées par le trafic routier urbain voient déjà certains patrons recourir à ces taxis aériens. Mais les utilisations vont aussi bien de la livraison urgente de matériel médical, comme le font aussi parfois des drones, au tourisme en passant par les acheminements postaux ou de marchandises.
Vers des changements en Suisse
L'engin peut voler jusqu'à 400 mètres d'altitude avec une autonomie de 30 km, mais il reste sous les 120 mètres en raison des réglementations. Il faut convaincre la société de laisser la place dans l'aménagement urbain à ce type d'acteur qui a besoin d'infrastructures d'accompagnement au sol pour voler, quitte à sacrifier certaines zones.
"L'acceptation sociale" est plutôt positive tant la population voit les défis de mobilité dans les grandes villes, explique le responsable. L'objectif est également d'atteindre des territoires plus difficiles d'accès, hors des zones urbaines, ajoute-t-il.
L'OFAC fait de son côté remarquer que, outre l'acceptation, les principales difficultés sont liées au bruit, ainsi qu' à "la visibilité électronique et la visibilité générale".
Le Conseil fédéral affirmait récemment dans un rapport que le premier espace aérien qui permet aux pilotes de drones de dialoguer entre eux et avec les autres usagers devrait être a priori établi à Zurich. Il ajoutait que des règles devraient être adaptées pour les infrastructures de décollage et d'atterrissage de ce dispositif.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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