International
Intel se lie à un gestionnaire d'actifs pour cofinancer des usines
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Le fabricant américain de composants électroniques Intel a passé un partenariat inhabituel avec un gestionnaire d'actifs pour cofinancer la construction de deux nouvelles usines dans l'Arizona, pour un montant pouvant aller jusqu'à 30 milliards de dollars.
Au lieu de lever des fonds auprès des banques ou sur les marchés, le groupe a décidé de passer un accord avec Brookfield Asset Management, une société canadienne qui gère l'argent confié par des clients en l'investissant dans divers projets et entreprises.
Selon Intel, une telle association financière représente une première dans le secteur des semi-conducteurs, particulièrement gourmand en capitaux.
Intel avait déjà annoncé, en 2021, vouloir engager la construction de deux usines supplémentaires de semi-conducteurs sur son site à Chandler, près de Phoenix dans le sud-ouest des Etats-Unis, une opération estimée alors à 20 milliards de dollars.
Selon les termes du partenariat, les deux entreprises y investiront jusqu'à 30 milliards, Intel apportant 51% du financement et Brookfield 49%.
Intel gardera ainsi une participation majoritaire et le contrôle opérationnel des deux nouvelles usines, sans avoir à trop s'endetter.
"La fabrication de semi-conducteurs est l'une des activités demandant le plus de capitaux au monde, et la stratégie audacieuse d'Intel [...] exige une approche de financement unique", a souligné, dans un communiqué, le directeur financier d'Intel, David Zinsner.
L'accord avec Brookfield devrait permettre à Intel "d'augmenter [sa] flexibilité tout en conservant un bilan nous permettant de créer une chaîne d'approvisionnement plus diverse et résiliente", ajoute-t-il.
Intel souligne que cette nouvelle source de capitaux vient renforcer un autre pilier de sa stratégie financière: les aides des gouvernements.
Les Etats-Unis viennent notamment de débloquer 52 milliards de dollars de subventions pour relancer la production de semi-conducteurs dans le pays.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
L'armée israélienne frappe un centre de militaire à Téhéran
L'armée israélienne a indiqué vendredi avoir bombardé des dizaines de cibles à Téhéran dans la nuit, notamment ce qu'elle a qualifié de "centre de recherche et développement du projet d'armes nucléaires iranien", au huitième jour de la guerre entre l'Iran et Israël.
"L'armée a mené une série de frappes au coeur de Téhéran : des dizaines de cibles ont été touchées, notamment des sites de production de missiles militaires ainsi que le siège du SPND, l'organisation chargée de la recherche et du développement du programme nucléaire militaire iranien", affirme un communiqué militaire.
Selon l'armée, ce centre de recherche est chargé du "développement de technologies et d'armes de pointe au service des capacités militaires du régime".
Par ailleurs, l'armée a précisé avoir bombardé des "installations de production de composants de missiles ainsi que des usines fabriquant des matières premières utilisées pour la fabrication des moteurs de missiles".
Quatre drones tirés d'Iran ont été interceptés par le système de défense antiaérien, ajoute le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Indiana écrase OKC et s'offre un match 7
La finale NBA se jouera dans un match 7 au suspense total dimanche. Les Indiana Pacers ont écrasé le Thunder d'Oklahoma City 108-91 jeudi à domicile pour égaliser à 3-3 dans la série.
Dos au mur et avec l'incertitude liée à l'état physique de son meneur Tyrese Haliburton, touché à un mollet, Indiana a réussi jeudi son meilleur match dans cette finale face à un Thunder maladroit comme jamais.
La finale NBA n'a plus été au bout de sept rencontres depuis 2016, lorsque les Cleveland Cavaliers de LeBron James avaient renversé les Golden State Warriors de Stephen Curry en Californie. L'équipe qui reçoit affiche un bilan de 15-4 dans les actes VII d'une finale.
Jeudi, après quelques minutes dominées par le Thunder, Indiana a pris les devants en cours de premier quart-temps, avant de s'envoler lors du deuxième, puis d'accroître encore son avance portée à 30 points à la fin du troisième quart-temps (90-60).
Les Pacers ont offert une démonstration à leur public pour leur dernière rencontre de la saison à domicile. Ils ont déroulé un basket collectif avec six joueurs à 10 points ou plus, dont les facteurs X de cette finale Obi Toppin (20 points) et T.J. McConnell (12 points, 9 rebonds, 6 passes, 4 interceptions), sortis du banc.
Pertes de balle fatales
En face, le Thunder s'est montré maladroit comme jamais, et n'a pas su mettre en place sa défense habituellement oppressante. A la pause, Oklahoma City avait en outre déjà perdu 12 ballons, contre 2 pour Indiana, en perdant au total 21 dont 8 pour le seul Shai Gilgeous-Alexander. Le MVP n'a pas totalement sombré (21 points), mais il n'a à aucun moment réussi à transcender ses équipiers.
Héros du match 5, Jalen Williams a été particulièrement maladroit (16 points à 6/13 dont 0/4 de loin), comme Chet Holmgren (4 points à 2/9). Le Thunder a été catastrophique de loin (8 sur 30 à 26,7%) et devra se ressaisir dimanche à domicile pour éviter une désillusion majeure, alors que le titre semblait lui tendre les bras.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël: alertes anti-aériennes dans plusieurs régions
Un immeuble d'habitation a été touché après un tir de missile iranien dans le sud d'Israël, a annoncé la police israélienne vendredi matin dans un communiqué.
"Les forces de police du district sud, accompagnées d'experts en déminage et d'équipes d'intervention d'urgence, sont actuellement en opération sur le site de l'impact d'un projectile dans l'une des villes du sud", dit le communiqué, accompagné de photos montrant un immeuble d'habitation avec la façade éventrée, sans en préciser la localisation exacte.
Les sirènes d'alerte aérienne avaient retenti tôt vendredi dans plusieurs régions d'Israël à la suite de tirs de missiles iraniens, au huitième jour de la guerre entre les deux pays, l'alerte étant levée quelques instants plus tard.
L'armée avait déclenché ces alertes "suite à l'identification de missiles lancés depuis l'Iran en direction de l'Etat d'Israël", avait-elle indiqué sur Telegram.
Le Commandement du front intérieur (Défense passive) a ensuite rapidement annoncé qu'il était permis de quitter les espaces protégés.
Le Magen David Adom (MDA), équivalent israélien de la Croix Rouge, a dit dans un communiqué ne pas avoir reçu de signalement concernant des blessés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Violences contre les enfants "sans précédent" en 2024 (rapport ONU)
De Gaza à la République démocratique du Congo, les violences contre les enfants en zones de conflit ont atteint des niveaux "sans précédent" en 2024, dénonce jeudi un rapport annuel de l'ONU.
"En 2024, la violence contre les enfants lors des conflits armés a atteint des niveaux sans précédent, avec une hausse sidérante de 25% des violations graves par rapport à 2023", indique le rapport du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres.
L'ONU a "vérifié" 41'370 graves violations contre des enfants en 2024, dont 36'221 commises en 2024 et 5149 commises précédemment mais confirmées en 2024, ce qui constitue le nombre le plus élevé depuis la mise en place de cet outil de surveillance il y a près de 30 ans. Un record qui bat celui enregistré en 2023, qui lui-même représentait une hausse de 21% par rapport à l'année précédente.
Avec notamment plus de 4'500 tués et plus de 7'000 blessés, les enfants continuent "de faire les frais des hostilités incessantes" à travers la planète, déplore l'ONU.
En raison d'une hausse marquante du nombre d'enfants victimes de multiples violations, le nombre d'enfants concernés par ces violences atteint 22'495.
"Les cris de ces 22'495 enfants innocents qui auraient dû apprendre à lire ou jouer au ballon, mais au lieu de ça ont été obligés d'apprendre à survivre aux tirs et aux bombardements, devraient tous nous empêcher de dormir", a lancé dans un communiqué Virginia Gamba, représentante spéciale de l'ONU sur ce dossier. "Cela doit servir de signal d'alarme. Nous sommes au point de non-retour."
Chaque année, l'ONU répertorie dans ce rapport les violations des droits des enfants (moins de 18 ans) dans une vingtaine de zones de conflit dans le monde et dresse en annexe la "liste de la honte" des responsables de ces violations qui incluent enfants tués et mutilés, recrutements, enlèvements, refus d'accès humanitaire ou violences sexuelles.
Viols collectifs
Les forces armées et de sécurité israéliennes, qui avaient été inscrites sur la liste l'an dernier, avec le Hamas, y sont toujours.
Les territoires palestiniens occupent d'ailleurs la première place de ce triste classement, avec plus de 8500 violations graves en très grande majorité attribuées aux forces israéliennes, dont plus de 4800 à Gaza.
Cela inclut 1259 enfants palestiniens tués à Gaza, selon les chiffres confirmés par l'ONU qui dit être en train de vérifier des informations sur 4470 enfants supplémentaires tués en 2024 dans le territoire palestinien ravagé par la guerre provoquée par l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.
Le rapport met également en cause les opérations d'Israël au Liban, où plus de 500 enfants ont été tués ou blessés par l'armée israélienne l'an dernier.
Après les Territoires palestiniens, la République démocratique du Congo (plus de 4000 violations graves), la Somalie (plus de 2500), le Nigeria (près de 2500) et Haïti (plus de 2200) ont enregistré le plus de violences contre les enfants en 2024.
En Haïti, où ces violations ont augmenté de 490% en un an, la principale coalition de gangs, "Viv Ansanm" (Vivre ensemble), a été ajoutée sur la "liste de la honte", pour le recrutement d'enfants, les meurtres ou encore les viols collectifs. Une première qui vise "probablement le plus brutal" des gangs qui ravagent le pays, a commenté un responsable onusien.
Nouveau sur la liste également le cartel colombien Clan del Golfo accusé d'enrôler des enfants. La Colombie enregistre plus généralement une hausse importante des cas de recrutements forcés, avec 450 enfants en 2024 contre 262 l'année précédente.
Sont d'autre part toujours sur "la liste de la honte" l'armée soudanaise et les paramilitaires des Forces de soutien rapide qui s'affrontent au Soudan depuis plus de deux ans, ainsi que l'armée russe pour ses actions en Ukraine où le rapport enregistre une hausse de 105% des violations graves entre 2023 et 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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