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International

Les funérailles d'Elizabeth II auront lieu le lundi 19 septembre

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Les funérailles de la reine Elizabeth II auront lieu le 19 septembre. (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Les funérailles de la reine Elizabeth II, décédée jeudi en Ecosse, auront lieu le lundi 19 septembre à Londres, a annoncé samedi le palais de Buckingham.

Des dirigeants du monde entier sont attendus pour ces funérailles qui auront lieu à l'abbaye de Westminster à 11h00 (13h00 en Suisse). Le roi Charles III, son fils qui lui a succédé, a déclaré un jour férié au Royaume-Uni pour l'occasion.

La dépouille d'Elizabeth II se trouve actuellement dans la salle de bal du château de Balmoral, en Ecosse, où elle a rendu son dernier souffle.

Elle sera ensuite transférée au palais d'Holyroodhouse et à la cathédrale Saint-Gilles d'Edimbourg, avant d'être acheminée mardi vers Londres où elle sera publiquement exposée pendant quatre jours à Westminster Hall, la plus vieille section des Chambres du Parlement, après une procession dans les rues de Londres.

Le 19 septembre, à 10h44, le cercueil partira du palais de Westminster jusqu'à l'abbaye de Westminster, où le service funéraire aura lieu, a précisé le palais de Buckingham.

A l'issue du service, le cercueil partira en procession de l'abbaye de Westminster jusqu'à l'Arche de Wellington, puis il sera emmené jusqu'à Windsor.

Et une fois arrivé à Windsor, il y aura encore une procession du corbillard jusqu'à la Chapelle Saint-George, indique le palais dans son communiqué.

La cérémonie du 19 septembre devrait attirer des millions de visiteurs, ainsi que des personnalités du monde entier qui assisteront aux obsèques, un défi logistique et sécuritaire pour les forces de l'ordre britanniques.

Parmi les invités attendus, les présidents américain Joe Biden et français Emmanuel Macron, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, ainsi que de nombreux dirigeants des ex-colonies britanniques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Économie

Carney estime que ses discussions avec Xi sont "un tournant"

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Le premier ministre canadien Mark Carney s'exprime en Corée du Sud samedi. (© KEYSTONE/AP/Adrian Wyld)

Le Premier ministre canadien Mark Carney a estimé samedi que ses discussions avec le président chinois Xi Jinping représentaient "un tournant" dans les relations tendues depuis plusieurs années entre la Chine et le Canada.

Les entretiens vendredi entre le président chinois et le Premier ministre canadien, en marge du sommet des dirigeants de la Coopération économique pour l'Asie Pacifique (Apec) à Gyeongju, étaient les premiers entre des dirigeants des deux pays depuis 2017.

"Nous avons maintenant débloqué une voie pour résoudre les problèmes actuels", a déclaré M. Carney, à des journalistes à Gyeongju, expliquant disposer désormais d'"une ligne directe" avec Pékin.

"Notre discussion générale a été constructive", a-t-il indiqué, ajoutant qu'il avait évoqué la question des "interférences étrangères" au Canada attribuées à Pékin.

Mark Carney a précisé qu'il avait accepté une invitation de Xi Jinping à se rendre en Chine "au début de l'année prochaine".

"J'ai demandé à nos ministres et responsables de travailler ensemble pour trouver des solutions aux défis actuels et identifier des domaines de coopération et de croissance", a-t-il déclaré.

Les relations entre Pékin et Ottawa ont connu un coup de froid en 2018, après l'arrestation au Canada d'une responsable du groupe technologique chinois Huawei, et la détention de deux Canadiens par Pékin accusés d'espionnage.

En juillet, Mark Carney a annoncé une surtaxe de 25% sur les importations de plusieurs catégories d'acier de Chine.

Pékin a annoncé le mois suivant qu'il commencerait à imposer un droit de douane temporaire de 75,8% sur les importations de canola canadien, un oléagineux utilisé pour l'alimentation et les biocarburants.

Mais le Canada pourrait à présent tenter un rapprochement avec Pékin pour contrer l'offensive douanière américaine qui menace son économie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Crise avec le Venezuela: l'armée trinitéenne en "alerte générale"

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Les Etats-Unis ont déployé des navires de guerre dans les Caraïbes, dont le destroyer USS Gravely à Port d'Espagne. (© KEYSTONE/EPA/Andrea de Silva)

Trinité-et-Tobago a mis vendredi son armée en alerte générale, a appris l'AFP auprès des forces de sécurité. Les Etats-Unis ont déployé des navires de guerre dans les Caraïbes pour une opération antidrogue visant particulièrement le Venezuela voisin.

"Alerte générale! Avec effet immédiat, la TTDF [force de défense de Trinité-et-Tobago, ndlr] a été placée en niveau d'alerte un. Tous les membres doivent se rendre à leurs bases respectives", selon un texte envoyé par l'armée aux officiers. La police a "annulé toutes les permissions", selon les messages auxquels l'AFP a eu accès.

Cette mobilisation survient alors que les Etats-Unis procèdent à des frappes aériennes sur des bateaux de trafiquants de drogue présumés depuis le mois de septembre et que la presse américaine assure que Washington envisage des frappes terrestres au Venezuela.

Ce mouvement d'alerte a créé un mouvement de panique dans la capitale Port-d'Espagne, où de nombreux habitants se sont précipités dans les commerces pour acheter de la nourriture et dans les stations-service pour s'approvisionner en essence, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Le gouvernement a appelé la population au calme assurant être "en contact actif avec l'ambassade des États-Unis d'Amérique à Port-d'Espagne. Selon les informations reçues, il n'y a pas lieu pour la population de s'inquiéter. Tous les citoyens sont donc invités à rester calmes".

Washington dément

Le président américain Donald Trump a déclaré vendredi qu'il n'envisageait pas de frappes contre le Venezuela. "Non", a-t-il répondu lorsqu'un journaliste à bord de l'avion présidentiel Air Force One lui a posé la question.

Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a relayé le même message, en réponse à un article du quotidien Miami Herald affirmant que les forces de Washington s'apprêtaient à frapper le Venezuela.

"Vos 'sources' prétendant avoir 'connaissance de la situation' vous ont induits en erreur et vous ont poussés à écrire un article mensonger", a-t-il écrit sur le réseau social X.

Le président américain, qui a reconnu avoir autorisé des opérations clandestines de la CIA sur le territoire vénézuélien, a récemment évoqué de possibles frappes terrestres visant des cibles "narcoterroristes".

Exécutions extrajudiciaires

Les Etats-Unis procèdent depuis le début septembre à des frappes aériennes dans le Pacifique et surtout dans les Caraïbes contre des bateaux qu'ils présentent comme appartenant à des trafiquants de drogue. Au total, le gouvernement américain a revendiqué 15 attaques ces dernières semaines, faisant selon lui 62 morts.

Dénonçant des exécutions extrajudiciaires, l'ONU a appelé vendredi les Etats-Unis à cesser leurs frappes aériennes dans la région contre des bateaux et a réclamé des enquêtes "rapides, indépendantes et transparentes".

Les Etats-Unis ont déployé huit navires de guerre dans les Caraïbes et des avions de chasse F-35 à Porto Rico. Un porte-avions américain, le plus gros au monde, est également en route pour la zone.

Le dirigeant vénézuélien Nicolás Maduro, que les Etats-Unis considèrent comme illégitime et qui est inculpé aux Etats-Unis pour trafic de drogue, a accusé Washington de prendre ce prétexte "pour imposer un changement de régime" à Caracas et s'emparer du pétrole vénézuélien.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Alerte aux drones à l'aéroport de Berlin: vols suspendus 2 heures

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Les vols ont été suspendus près de deux heures à l'aéroport de Berlin (archives). (© KEYSTONE/DPA/MICHAEL UKAS)

La présence de drones vendredi soir à l'aéroport de Berlin-Brandenbourg a provoqué des perturbations. Les vols ont été suspendus pendant près de deux heures, a indiqué un porte-parole de l'aéroport de la capitale allemande à l'AFP.

Les décollages et atterrissages ont été interrompus entre 20h08 et 21h58. "Tout un tas de vols" ont été détournés vers d'autres villes allemandes avant que l'interdiction des vols de nuit à Berlin ne soit ensuite assouplie afin d'atténuer l'impact sur les opérations aériennes, a-t-il ajouté.

"Nous supposons que le danger est écarté pour le moment", a déclaré le porte-parole. La police locale a confirmé avoir été informée de la présence d'un drone et a indiqué avoir déployé sur place un hélicoptère et une voiture de patrouille. Cette dernière a pu voir l'appareil, mais n'a pas pu identifier son opérateur.

Les dirigeants allemands ont alerté à plusieurs reprises au sujet de la menace croissante que représentent les drones, après une série d'incursions d'appareils non identifiés dans des aéroports et des sites militaires sensibles cette année.

Russie pointée

L'Allemagne, l'un des principaux soutiens à l'Ukraine dans sa lutte contre la Russie, a pointé du doigt Moscou pour l'augmentation de l'activité des drones. De multiples observations de drones ont été signalées ces derniers mois au-dessus de bases militaires, de sites industriels et d'autres infrastructures critiques en Allemagne.

Au début octobre, des drones repérés au-dessus de Munich (sud) ont provoqué à deux reprises la fermeture de l'aéroport de la ville.

Des drones ont également été aperçus au-dessus d'aéroports et de sites militaires au Danemark et en Norvège, les soupçons se portant également sur Moscou, qui nie toute implication.

"Nous n'en sommes pas encore sûr, mais une partie essentielle de ces actions est probablement orchestrée par la Russie", avait déclaré au début octobre le chancelier allemand Friedrich Merz sur la chaîne télévisée publique ARD, en référence aux incidents de Munich et de l'aéroport de Copenhague à la fin septembre.

"Mur antidrones"

Dénonçant des "tentatives d'espionnage et de déstabilisation", il avait précisé que l'Allemagne surveillait attentivement la "flotte fantôme russe" stationnée dans la mer Baltique, suspectée d'être impliqué dans ces incursions.

Le ministre allemand de l'intérieur Alexander Dobrindt a appelé à "trouver de nouvelles réponses à cette menace hybride", notamment en renforçant ses capacités de détection, d'évaluation et éventuellement de destruction des appareils sans pilotes.

Le gouvernement allemand a entamé en octobre une révision des lois régissant la sécurité aérienne du pays. L'objectif est de permettre à l'armée allemande, et non plus seulement la police, d'abattre les drones.

Au niveau de l'Union européenne, la Commission européenne veut mettre en place un "mur antidrones", qui serait pleinement opérationnel d'ici à 2027, mais ce projet est accueilli avec scepticisme par certains pays membres.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Climat

Moins de 60 dirigeants pour le sommet sur le climat au Brésil

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La COP30 va se tenir à Bélem, en pleine Amazonie (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/ISAAC FONTANA)

Moins de 60 dirigeants politiques mondiaux ont confirmé leur présence au sommet qui se tiendra la semaine prochaine à Bélem, en Amazonie brésilienne, a annoncé vendredi le Brésil. La réunion se tient en prélude à la conférence sur le climat de l'ONU, la COP30.

En 2024, 75 dirigeants s'étaient rendus à la COP29 en Azerbaïdjan, un nombre déjà inférieur à celui de l'édition précédente à Dubaï.

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a convoqué cette réunion de dirigeants pour les 6 et 7 novembre. Il a décidé de l'organiser juste avant la COP (10-21 novembre) et non pendant, pour alléger la pression logistique et hôtelière. Les prix élevés des logements dans cette ville défavorisée ont semé l'incertitude ces derniers mois quant au niveau de participation.

La COP se déroulera aussi dans un contexte de tensions géopolitiques et économiques qui ont éclipsé les préoccupations climatiques.

170 délégations accréditées

Des représentants de 143 pays, dont 57 chefs d'Etat et de gouvernement, ont confirmé jusqu'à présent leur présence au sommet des dirigeants, a indiqué le négociateur en chef brésilien, Mauricio Lyrio.

Le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le premier ministre britannique Keir Starmer seront présents, de même que les présidents colombien Gustavo Petro et libérien Joseph Boakai, selon les informations communiquées par ces pays à l'AFP.

La Chine a annoncé que son vice-premier ministre Din Xuexiang représenterait le président Xi Jinping. Les Etats-Unis ne prévoient pas d'envoyer de délégation après leur retrait de l'accord de Paris, décidé par le président américain Donald Trump.

Le président autrichien a déjà fait savoir qu'il ne viendrait pas, en raison des coûts élevés.

Selon le Brésil, 170 délégations sont accréditées pour les négociations prévues lors de la COP30 elle-même.

Lula a insisté pour organiser la conférence en Amazonie, la plus grande forêt tropicale au monde, au rôle-clé dans la lutte contre le réchauffement climatique. Mais la structure hôtelière limitée de Bélem a accru le défi logistique que représente l'arrivée d'environ 50'000 personnes pour l'événement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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