Lausanne
Lausanne en appelle aux spécialistes de jardins du monde entier
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Lausanne veut stimuler l’imagination de spécialistes des jardins du monde entier. La capitale vaudoise a lancé lundi un concours international en vue de la 7ème édition de Lausanne Jardins. L’idée : imaginer une vingtaine de coins de verdure sur le thème de l’eau pour l’été 2024.
Des paysagistes du monde entier vont se creuser la tête pour créer des jardins à Lausanne. La capitale vaudoise a annoncé hier (lu) le lancement d’un concours pour la 7ème édition de Lausanne Jardins. Les candidatures peuvent être déposées jusqu’au 11 novembre. L’idée : imaginer une vingtaine de coins de verdure sur le thème de l’eau pour l’été 2024. Ils prendront racine pour la 1ère fois sur les rives du Léman.
Mais pourquoi en passer par un concours international ? Eclairage avec Monique Keller, commissaire Lausanne Jardins 2024.
Une première fois au bord du lac
Le thème de l'eau choisi, la manifestation se tiendra pour la toute première fois sur les rives du Léman.
Les candidatures peuvent être déposées jusqu’au 11 novembre. Les équipes sélectionnées auront ensuite jusqu’au 24 février pour développer un projet d’installation paysagère.
Lausanne
Un candidat à la naturalisation obtient gain de cause
La suspension de la naturalisation d'un Turc établi en Suisse depuis 30 ans mais condamné après un accident n'est pas conforme au droit, estime le Tribunal fédéral. La pratique schématique de l'administration ne tient pas compte de l'ensemble des circonstances.
Le candidat à la naturalisation s'était endormi au volant en juin 2020 et avait heurté un lampadaire. La collision avait provoqué des dégâts matériels uniquement. Le quinquagénaire avait écopé de 40 jours-amendes, avec sursis pendant 2 ans, et d'une amende.
L'accident était survenu durant la procédure de naturalisation. En conséquence, le Département de l'intérieur du canton de Schwytz avait suspendu la demande jusqu'à l'expiration du sursis puis l'avait transmise au Secrétariat d'Etat aux migrations. Mais ce dernier avait pris en compte l'inscription au Casier judiciaire et prolongé de 3 années supplémentaires le délai d'attente.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Lausanne: chorale ouverte à tous pour les 750 ans de la Cathédrale
A l’occasion des 750 ans de la Cathédrale de Lausanne, le festival de la Cité (1er au 6 juillet) met sur pied un projet choral unique, en collaboration avec la cheffe de choeur Johanna Hernandez et la musicienne Louise Knobil. Le 5 juillet, une chorale éphémère ouverte à tous interprétera trois pièces, dont une création originale.
Cette chorale se réunira le samedi 5 juillet à 17h00. Elle interprétera au pied de la Cathédrale le cantique "Amazing Grace", "Locus Iste" d'Anton Bruckner et une oeuvre originale écrite par la compositrice lausannoise Louise Knobil, ont annoncé les organisateurs mercredi.
Toute personne intéressée par ce projet peut y prendre part et ainsi rejoindre pas loin de 200 choristes issus de différentes chorales vaudoises (Choeur Vivace, Lakevoices Cudrefin, Choeur de la Cité, Lausanne Résonne, Choeur symphonique de l'Université populaire de Lausanne, Choeur 9 Lutry, Ensemble Choral Voix de Lausanne, Choeur de la Cathédrale), ayant déjà manifesté leur intérêt pour ce concert.
Des tutoriels et partitions sont disponibles en ligne afin que les chanteuses et chanteurs volontaires puissent apprendre individuellement les morceaux. De plus, une répétition générale réunira l'ensemble des choristes le 28 juin à 11h00 afin de préparer l'un des points d'orgue des célébrations du 750e de la Cathédrale.
"Nous avons écrit des partitions faciles pour que chaque personne, même novice, puisse prendre part à ce projet. Notre but pour cet anniversaire est de créer un choeur qui soit un véritable point de rencontre", explique la cheffe de choeur Johanna Hernandez, citée dans le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Christelle Luisier veut "tirer profit de l'élan" créé par l'Euro
La présidente du gouvernement vaudois Christelle Luisier, première femme avec Aline Trede à avoir été élue au comité central de l'ASF en 2024, se confie à un mois et demi de l'Euro féminin en Suisse.
La conseillère d'Etat s'engage pour que l'événement laisse une trace pérenne dans l'histoire du sport en Suisse, qui bénéficie au foot féminin et aux sportives en général. Il doit contribuer notamment à une prise de conscience sur la nécessité de développer les infrastructures, a-t-elle confié dans une interview à Keystone-ATS.
L’Euro féminin (2-27 juillet) frappe à la porte. Vous l'attendez avec impatience?
Christelle Luisier : "L’impatience est bien là. Il y a de l’enthousiasme pour notre équipe nationale, pour les clubs, l’Aassociation suisse de football (ASF), chez moi et pour toute la population. Cela fait vraiment très plaisir, ça se traduit dans les chiffres puisque plus de 500'000 billets ont déjà été écoulés. Il existe une vraie ferveur populaire autour de ce formidable événement. Ce serait fabuleux qu’il se joue à guichets fermés."
Le succès est-il garanti, ou y a-t-il encore du pain sur la planche dans les semaines à venir ?
"C'est très important de continuer à faire la promotion de l'événement. Par ailleurs, et je parle maintenant en ma qualité de conseillère d’Etat en charge du sport, il nous revient de mettre en oeuvre partout en Suisse des projets autour de cet Euro."
Il n'y aura que huit stades. Lausanne, et donc le canton de Vaud, n’accueillera pas l’Euro 2025. Avez-vous des gros regrets ?
"Forcément, il y a un petit regret. Mais il était clair dès le départ que nous n’aurions pas de match. Lausanne et notre canton dans son ensemble accueillent la Fête fédérale de gym, qui drainera des dizaines de milliers de personnes. Au niveau des infrastructures, il était impossible pour notre canton d’absorber encore un événement comme l'Euro."
Si aucun match n'est prévu dans le canton de Vaud, des activités y sont quand même organisées...
"Nous mettons tout en oeuvre pour susciter une émulation autour de projets qui touchent au sport féminin en général et au foot féminin de manière spécifique. Nous avons lancé plusieurs projets avec l’ambition de les inscrire dans la durée, pour que l’Euro féminin laisse un héritage. Un événement de ce type ne doit pas s’inscrire uniquement à un moment T et à un endroit X ou Y, il faut capitaliser sur l’énergie qu’il suscite pour promouvoir le sport. Il faut prolonger cette ferveur, cet élan, cette flamme."
Avez-vous des exemples ?
"Des cours J+S spécialement destinés aux entraîneuses de foot ont débuté au mois de mars. Nous avons également mis sur pied des formations pour les dirigeantes de clubs de sport et allons proposer une formation spécifique pour les dirigeantes de clubs de foot. Parallèlement, nous soutenons la mise en place de fan-zones par les communes intéressées. Par ailleurs, nous en avons profité pour dessiner un premier bilan de l'action Honeyball, lancée en mars 2024 par l’Association cantonale vaudoise de football et soutenue par le Canton et des sponsors à hauteur de 750'000 francs sur trois ans. Ce projet vise notamment à créer des équipes de toutes les catégories du football féminin de base, partout dans le canton de Vaud. Nous avons constaté une nette augmentation du nombre de juniors féminines sur les douze derniers mois. Le partenariat public-privé porte ses fruits."
Les Suissesses pourront-elles aller en quart de finale ?
"Oui, c’est l’objectif. Et pourquoi pas plus loin, plus haut ? Soyons optimistes ! Cependant l’équipe se trouve dans un groupe certainement compliqué. Mais tout est possible, d’autant plus si la ferveur du public pousse l'équipe à se surpasser."
Que faut-il pour que l'organisation de ce tournoi porte vraiment ses fruits pour la Suisse et pour l'ASF ?
"D’abord, ce sont les résultats qui comptent, ensuite il s’agit de tout mettre en oeuvre pour que l’événement laisse un héritage durable dans tout le pays. Il y a là une formidable occasion de promouvoir le foot féminin, et par extension le sport féminin dans son ensemble. L'ASF s’est donné les moyens financiers pour le perpétuer. En parallèle, les collectivités publiques saisissent également l'occasion pour promouvoir le sport féminin."
Il y a des défis à relever...
"Oui, ils sont nombreux. Un d'eux sera d’être en mesure de répondre aux attentes de toutes les filles qui aimeraient commencer le football. Un autre sera de bâtir des infrastructures qui répondront à cet engouement. Plus généralement, le défi consiste à ce que les femmes bénéficient du même respect que les hommes, de la même attention, de la même reconnaissance."
Quelles sont vos réflexions à ce sujet ?
"Cet Euro doit servir de catalyseur, de lancement de projets notamment au niveau des infrastructures. Aujourd'hui, et je crois que c'est un phénomène assez général, les cantons manquent justement d'infrastructures. Il s’agit là d’un défi important pour les autorités politiques. Quand vous avez des jeunes sur listes d’attente pour pouvoir pratiquer le sport qu’ils souhaitent, c’est un vrai problème. Nous avons fait des sondages auprès des clubs dans le canton de Vaud et il apparaît que le manque d’infrastructures est un des problèmes prioritaires pour les milieux associatifs. Le défi n’est pas que financier. Il relève aussi et pour beaucoup de la politique d’aménagement du territoire."
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Il faut des places dans les communes et plus spécifiquement pour les filles...
"Justement. Il y a des listes d’attente là où on enregistre précisément une augmentation du nombre de pratiquantes, et cela dans différents sports, en hockey ou en foot par exemple. Et ces listes d’attente existent par manque d’infrastructures. A nous d’agir."
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Vous, ainsi que la conseillère nationale Aline Trede, avez été élue au comité central de l’ASF il y a un an. Cet organe était auparavant exclusivement masculin. Comment avez-vous été accueillies ?
"Très bien. J’ai toujours été contre les quotas, je le serai toujours. C'est simplement un enjeu de représentation, de représentativité. Aline et moi avons des origines et des parcours différents. Je pense que c'est intéressant pour l’ASF d'avoir des personnes qui sont en lien avec les autorités, que ce soit au niveau fédéral ou cantonal. Cela permet de créer des ponts pour aborder les grands défis."
C’est même plus important que d'avoir des connaissances approfondies sur le foot ?
J'ai tout de suite dit à l’ASF que si l'idée était d’avoir une spécialiste du football, je n’étais pas la bonne personne. Ma conviction est qu’il faut de la complémentarité dans un comité, il faut une richesse de regards et de vécus. Le fait d'être en charge des sports dans mon canton est évidemment un plus parce qu'il y a un autre focus ou une autre vision dès lors qu’on est en charge de tous les sports."
Les femmes sont-elles à égalité avec les hommes dans le football suisse?
"Cela dépend de quoi on parle. Il est évident que l'historique n'est pas le même. Par contre, ce que je constate aujourd'hui, c'est l'enthousiasme et la volonté de faire bouger les lignes. Je pense qu'il y a eu aussi un changement de société vis-à-vis du football féminin. Il est fini le temps où on disait que le foot, c'est pour les garçons. Et cela se traduit sur les terrains. Il y a de plus en plus de joueuses. Cette meilleure représentativité permet d’apporter la légitimité qui, peut-être, manquait jusqu’ici."
Samedi auront lieu les réélections pour le comité central de l'ASF. On n'imagine pas que votre travail au sein de cet organe puisse se terminer après seulement un an...
"On verra bien, la décision ne dépend pas que de moi."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne invite à tester ses machines et véhicules de nettoyage
La Ville de Lausanne invite la population à découvrir le quotidien des équipes oeuvrant à la propreté de l'espace public le mardi 3 juin. Elle proposera de se mettre aux commandes de neuf engins de nettoyage à la Place St-François et profitera de l'occasion pour sensibiliser les passants à la problématique du littering.
"Chaque engin a une utilité bien spécifique: effacer les tags sauvages, vidanger ou nettoyer les poubelles, retirer les chewing-gums et les taches tenaces, brosser les places piétonnes et trottoirs, aspirer les déchets sauvages, nettoyer les toilettes publiques, et plus encore", écrit la Municipalité lundi dans un communiqué.
Des panneaux explicatifs présenteront les spécificités de ces machines et véhicules. Enfants comme adultes seront invités à les prendre en main.
Pas moins de 140 personnes s'activent tous les jours pour le maintien de la propreté et de la convivialité sur les 263 kilomètres de route, 131 kilomètres d'aménagements cyclables et 217 kilomètres de trottoirs de l'espace public lausannois. Elles disposent d'une centaine de véhicules et de machines spécifiques pour les aider dans leur tâche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Lihp Snilloc
4 octobre 2022 à 23:04
C'est bien joli tout ça mais sur le site de l'association concernée il y a bien un "concours" qui demande de présenter la plus belle réalisation qui soit, qui doit être artistique, esthétique, fonctionnelle, on doit pouvoir faire du sport dedans (!), productive, pas cher, biodégradable et j'en passe, bref ils attendent quoi au juste, la quadrature du cercle, l'idée environnementale du siècle... Mais ce qui me chiffonne c'est qu'il n'y a pas de prix, de lot, comme on fait traditionnellement dans un "concours", enfin c'est bosser et présenter un projet pour des prunes... C'est toujours la même chose avec les associations, ils veulent avoir le beurre et l'argent du beurre sans rien faire ni rien payer, pour exister ils attendant que les gens dévoilent leurs idées, fassent le job et mettent gratuitement leur temps, leur argent et leur savoir-faire à disposition. Moi j'aime pas bien cette façon de faire.