Culture
Leonardo Sánchez Rosales lauréat du concours de chant Kattenburg
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/10/le-tenor-mexicain-leonardo-sanchez-rosales-est-le-laureat-du-concours-de-chant-lyrique-kattenburg-qui-sest-deroule-vendredi-a-lopera-de-lausanne-1000x600.jpg&description=Leonardo Sánchez Rosales lauréat du concours de chant Kattenburg', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Leonardo Sánchez Rosales a remporté le premier prix du concours de chant lyrique Kattenburg vendredi à l'Opéra de Lausanne. Le ténor mexicain s'est imposé face à 48 autres candidats.
En faisant salle comble, la finale bisannuelle du concours Kattenburg a renouvelé son succès public, se sont réjouis les organisateurs dans un communiqué. Leonardo Sánchez Rosales, titulaire d’un master de soliste de la Haute école de musique (HEMU), a reçu une récompense d'une valeur de 30'000 francs.
Le lauréat "a présenté ses airs avec une aisance qui témoigne d’un important travail et d’une grande passion. Cela démontre aussi la pertinence de la formation reçue au sein de l’HEMU", a déclaré Todd Camburn, directeur artistique, cité dans le communiqué.
Les deuxième et troisième prix ont été remis à la basse française Louis Morvan (15'000 francs) et au baryton suisse Joël Terrin (10'000 francs). Ce dernier a également reçu le prix du public, le prix de la HEMU et le prix de la création contemporaine.
Le concours de chant lyrique Kattenburg est ouvert exclusivement aux étudiants et anciens étudiants de l'HEMU. Il a été créé en 2017 à la mémoire de Claire et Willy Kattenburg, couple néerlandais décédé à Lausanne en mars 2012, "grands amis des arts et amoureux de la musique". La prochaine édition aura lieu à l’automne 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Martigny: la Médiathèque Valais explore la domestication animale
La Médiathèque Valais - Martigny présente une nouvelle exposition intitulée "Domestiques photogéniques." Dès vendredi et jusqu'au 28 mars 2026, elle mettra en exergue les liens entre les humains et certains animaux.
Cette exposition se veut un hommage aux animaux et aux êtres humains qui ont cheminé côte à côte durant plus de 5000 ans, grâce aux savoirs élaborés et développés, notamment au Proche-Orient et Moyen-Orient. Cette mise en perspective intègre l’archéozoologie et les récentes découvertes liées à la génétique.
La Médiathèque Valais - Martigny "donne la parole" aux animaux concernés, via ses collections audiovisuelles. Elle compose ainsi un album photographique de l’agriculture et de la vie quotidienne dans les Alpes.
Du XXe siècle à la préhistoire
L’exposition valorise plus de 600 images d’archives et autant de témoignages d’une économie agro-pastorale de subsistance aujourd’hui disparue. En parallèle, elle évoque les tâches d’une économie invisible – l’économie domestique humaine – du Valais d'autrefois,
A Martigny, cette notion de domestication animale est traitée par une sorte de grand écart historico-archéologique. En effet, les images qui ont été choisies datent majoritairement de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, tandis que la discipline archéozoologique nous rappelle ce que signifie domestiquer, à l’origine du monde. On passe ainsi d’un album photographique collectif relativement récent à la préhistoire..
Dans sa démarche, la Médiathèque Valais-Martigny a voulu faire découvrir des animaux, pour la plupart présents dès les débuts de la vie agricole et pastorale en Valais. Le phénomène documente ainsi les prémisses de l’élevage, très riches dans la vallée du Rhône.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Politique culturelle: le canton a désormais son mot à dire
Longtemps chasse gardée de la Ville de Genève, qui en finance l'essentiel, la culture genevoise s'ouvre désormais au canton qui va s'impliquer davantage dans le domaine, tant sur le plan financier qu'au niveau politique. Cet engagement se traduit notamment par la création d'une structure de gouvernance qui réunit l'Etat, la Ville et les communes genevoises.
L'organe de concertation et de coordination de la politique culturelle de l'Etat (OCC) signale "le retour dans le jeu" du gouvernement cantonal, a indiqué lundi, devant les médias, le conseiller d'Etat genevois Thierry Apothéloz, responsable du département de la cohésion sociale (DCS).
Cette collaboration plus étroite du canton, de la Ville et des communes genevoises découle de la signature, en 2022, de l'accord pour la politique culturelle à Genève. Pour M. Apothéloz, la culture est une nécessité. Elle représente un espace d'expression et de dialogue. Elle doit rester au coeur des "priorités politiques".
Cofinancement d'institutions phares
Au niveau financier, le canton de Genève va soutenir régulièrement plusieurs institutions et festivals, à commencer par trois théâtres (Am Stram Gram, les Marionnettes et Carouge) dès cette année. Au total, 28 institutions ont été identifiées et vont bénéficier, d'ici à 2027, d'un cofinancement cantonal.
Le canton va aussi apporter une aide à la création artistique. Il va également veiller à offrir l'accès à la culture à tout le monde et à négocier de meilleures conditions pour les artistes et le personnel technique qui travaille avec eux. "La politique culturelle cantonale entre dans une nouvelle phase", a relevé M. Apothéloz.
Pour la Ville de Genève, le changement est conséquent. La municipalité joue historiquement un rôle dominant dans la culture genevoise, a rappelé le conseiller administratif Sami Kanaan. Le budget qu'elle consacre uniquement à ce secteur s'élève à quelque 300 millions de francs.
La Ville de Genève a toujours demandé un soutien financier au canton. En revanche, elle s'est constamment montrée réticente, jusqu'à récemment, à l'idée de devoir partager la gouvernance avec lui. Aujourd'hui, "nous avons un cofinancement et une co-gouvernance", s'est réjoui Sami Kanaan.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Plus de 30 ans après, le buste de la tombe de Jim Morrison retrouvé
Le buste de Jim Morrison, volé en 1988 au cimetière parisien du Père-Lachaise, a été retrouvé par hasard. C'est ce qu'a annoncé la police sur ses réseaux sociaux.
L'imposante sculpture du chanteur des Doors, réalisée par l'artiste croate Mladen Mikulin, avait été dérobée il y a 37 ans dans le cimetière parisien.
Ce buste, installé pour les dix ans de la mort de Jim Morrison, a été retrouvé par la brigade financière et anticorruption de la direction de la police judiciaire de la préfecture de police de Paris, a appris l'AFP de source proche du dossier, confirmant une information de la radio RTL.
Selon la radio, il a été découvert de manière fortuite au cours d'une perquisition diligentée dans une affaire d'escroquerie par le parquet de Paris.
Le rocker américain, chanteur mythique des Doors, est décédé à Paris en juillet 1971. Selon la version officielle, Jim Morrison est mort dans sa baignoire à 27 ans, d'un arrêt cardiaque. Mais, depuis quelques années, une autre musique se fait entendre: le journaliste et écrivain Sam Bernett affirme dans ses livres que l'icône a fait une overdose dans les toilettes d'une boîte de nuit parisienne, le "Rock'n'Roll Circus".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Plus d'un demi-million de fans à Bâle pendant l'Eurovision
Plus d'un demi-million de fans ont profité à Bâle des offres liées au Concours Eurovision de la Chanson la semaine dernière. Dressant le bilan de la manifestation, la SSR et la ville hôte évoquent un "succès total".
"Nous avons senti que la ville de Bâle était vraiment présente dès le début", a déclaré la directrice générale de la SSR, Susanne Wille, lors de la conférence de presse de bilan lundi. Elle a salué l'organisation d'un grand show, mais aussi d'un événement social.
Plus de 100'000 fans ont assisté aux spectacles à la Halle St-Jacques et au public viewing "Arena plus" et au moins autant au défilé d'ouverture dans le centre-ville de Bâle. Quelque 343'000 visiteurs ont profité du programme d'accompagnement et des projections publiques en ville, selon les organisateurs.
"Ce sont les chiffres dont nous avions rêvé, nos attentes ont été satisfaites", a dit le président du gouvernement de Bâle-Ville Conradin Cramer. Environ 170 millions de personnes ont suivi l'Eurovision à l'écran.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
CultureIl y a 3 jours
"Oui, Céline Dion est à Bâle", confirme Jean-Marc Richard
-
CultureIl y a 3 jours
Nemo chante "The Code" à l'ouverture de la finale de l'Eurovision
-
VaudIl y a 2 jours
Un motard perd la vie dans un accident à l'Etivaz (VD)
-
InternationalIl y a 3 jours
Finlande: cinq morts après la collision de deux hélicoptères
-
SuisseIl y a 3 jours
La police arrête trois auteurs de vols dans les cimetières
-
CultureIl y a 3 jours
L'Autriche remporte l'Eurovision devant Israël
-
CultureIl y a 3 jours
Eurovision: Gjon’s Tears chante à nouveau "Tout l’Univers"
-
ClimatIl y a 3 jours
Le danger subsiste dans la zone du Lötschental en aval des glaciers