Suisse
Ignazio Cassis à Kiev pour une visite surprise
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Ignazio Cassis a rencontré le président ukrainien Volodymyr Zelensky lors de sa visite surprise en Ukraine jeudi. A la tête d'une délégation, le président de la Confédération a notamment évoqué la reconstruction de l'Ukraine et l'aide suisse aux civils.
"Nous nous sommes entretenus des besoins humanitaires et de l'assistance suisse en faveur de l'Ukraine dans un cadre bilatéral et multilatéral", précise le conseiller fédéral sur son compte Twitter. Il a aussi été question des conditions prévalant dans le pays, notamment des attaques aériennes russes sur des quartiers d’habitation ukrainiens, de la situation actuelle sur le front et des difficultés liées à l’approche de l’hiver, précise le DFAE dans un communiqué.
Dans un tweet posté jeudi, le chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) notamment accueilli en gare de Kiev par l'ambassadeur suisse Claude Wild, le vice-ministre ukrainien des affaires étrangères Yevhen Perebyinis, s'est déclaré choqué par la guerre d'agression menée contre les infrastructures civiles. Il s'est également montré touché par la capacité de résistance de l'Ukraine et de ses citoyens.
L'aide humanitaire et le soutien à la reconstruction sont nécessaires pour faire face à l'hiver et à la période qui suivra, a-t-il ajouté. A l’occasion de ce déplacement, le président de la Confédération a également visité des banlieues de Kiev, où les stigmates de la guerre, mais aussi les marques d’une reconstruction efficace, sont bien visibles, précise le DFAE.
Dispositif de sécurité
Selon le Tages-Anzeiger, le président de la Confédération devait faire un aller-retour et ne pas passer la nuit sur place. Il devait ensuite se rendre en Moldavie où il s’entretiendra, à Chișinău, avec la présidente Maia Sandu des conséquences de la guerre pour son pays et en particulier de la situation humanitaire.
"Pour des raisons de sécurité", le DFAE n'a pas donné de détail sur le programme de la journée. Mais un dispositif a été mis en place. M. Cassis se rend en Ukraine avec une protection personnelle de la Suisse, a confirmé l'Office fédéral de la police (Fedpol) à la radio alémanique SRF: "Fedpol accompagne cette délégation en complément des mesures que le pays hôte, l'Ukraine, doit prendre du point de vue du droit international", a déclaré le porte-parole de l'office Christoph Gnägi.
Parlementaires aussi du voyage
M. Cassis était accompagné par la conseillère nationale Marianne Binder (Centre/AG) et le conseiller aux Etats Mathias Zopfi (Verts/GL). Patricia Danzi, cheffe de la Direction du développement et de la coopération (DDC), et Dominique Paravicini, délégué du Conseil fédéral aux accords commerciaux, étaient aussi du voyage.
Le Tessinois a saisi l'occasion de cette visite pour signer un Protocole d’accord concernant la coopération dans le domaine de la transformation numérique, portant sur 15 millions de francs. Il a aussi signé deux déclarations d’intention portant sur la coopération dans les domaines des personnes disparues et de la criminalistique, note encore le DFAE.
Cette visite intervient au lendemain de l'annonce du renoncement du président allemand Frank-Walter Steinmeier, qui a annulé au dernier moment une visite à Kiev "pour des raisons de sécurité" après la recrudescence des bombardements.
Réunion prévue à Berlin
La mise en oeuvre des Principes de Lugano a été au coeur des discussions, d'après le DFAE. Celui-ci rappelle que la Suisse a accueilli le 5 juillet dernier à Lugano une conférence sur l'Ukraine, à laquelle avaient été conviés les représentants d'environ 40 Etats et d'une quinzaine d'organisations internationales.
La prochaine étape est une réunion d’experts internationaux la semaine prochaine à Berlin (25 octobre), sous la houlette de la présidence allemande du G7 et de la commission européenne, à laquelle participera Ignazio Cassis.
"Avec tous les soutiens de l'Ukraine dans le monde, nous réfléchirons aux moyens de surmonter la tâche herculéenne de la reconstruction de l'Ukraine", a dit récemment le chancelier allemand Olaf Scholz.
Action de la Suisse
La Suisse soutient l'Ukraine, depuis des années déjà, dans ses efforts de réforme et, actuellement, elle ½uvre activement sur place afin de mettre ses projets de coopération et son expertise au service de la reconstruction. Elle se concentre actuellement sur la sécurité alimentaire, la protection des victimes et de leurs droits, la santé ainsi que l'approvisionnement en eau et l'élimination des eaux usées, détaille le DFAE.
La Suisse fournit par exemple de l'expertise et du matériel à des communes rurales ukrainiennes dans les régions de Sumy et de Chernihiv pour la remise en état et la modernisation des installations d'approvisionnement en eau et d'assainissement détruites. Depuis le début de la guerre, la DDC a transporté plus de 680 tonnes de matériel de secours de Suisse en Ukraine et acheté dans ce pays plus de 4750 tonnes de denrées alimentaires pour aider la population.
Une nouvelle livraison de matériel de secours suisse, destiné à la lutte contre les incendies et au déblaiement des décombres, est en cours. L’acheminement se fait de manière échelonnée, par voie terrestre.
Réfugiés
Après le lancement de l'attaque russe contre l'Ukraine le 24 février dernier, Ignazio Cassis s'était rendu en mars en Pologne et en Moldavie pour y discuter de l'accueil des réfugiés ukrainiens et de l'aide humanitaire pour Kiev et les pays voisins.
La Suisse est très engagée dans l'accueil de réfugiés ukrainiens, dont 2877 ont encore obtenu le statut de protection S pour le seul mois de septembre. Cela porte à 60'000 le total de ces réfugiés mis au bénéfice de ce droit depuis le début de l'année.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne invite à tester ses machines et véhicules de nettoyage
La Ville de Lausanne invite la population à découvrir le quotidien des équipes oeuvrant à la propreté de l'espace public le mardi 3 juin. Elle proposera de se mettre aux commandes de neuf engins de nettoyage à la Place St-François et profitera de l'occasion pour sensibiliser les passants à la problématique du littering.
"Chaque engin a une utilité bien spécifique: effacer les tags sauvages, vidanger ou nettoyer les poubelles, retirer les chewing-gums et les taches tenaces, brosser les places piétonnes et trottoirs, aspirer les déchets sauvages, nettoyer les toilettes publiques, et plus encore", écrit la Municipalité lundi dans un communiqué.
Des panneaux explicatifs présenteront les spécificités de ces machines et véhicules. Enfants comme adultes seront invités à les prendre en main.
Pas moins de 140 personnes s'activent tous les jours pour le maintien de la propreté et de la convivialité sur les 263 kilomètres de route, 131 kilomètres d'aménagements cyclables et 217 kilomètres de trottoirs de l'espace public lausannois. Elles disposent d'une centaine de véhicules et de machines spécifiques pour les aider dans leur tâche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
CarPostal passe à l'électrique dans la région de Brigue
La région de Brigue bénéficie désormais de ses trois premiers bus postaux électriques. Les tests effectués l'an dernier par CarPostal se sont avérés concluants. La compagnie vise de supprimer l'ensemble de ces véhicules fonctionnant au diesel pour 2032, dans le Haut-Valais.
"Les tests ont entre autres démontré que les bus électriques sont fiables. De plus, ils ont été bien accueillis par les usagers et la population dans son ensemble", souligne CarPostal dans un communiqué de presse lundi. "Ces véhicules de dernière génération se veulent plus silencieux que les précédents et permettent un style de conduite plus souple", peut-on lire.
"Avec l’introduction de ces trois véhicules électriques, nous envoyons un signal clair en faveur de la mobilité durable", souligne Stefan Imboden, responsable de la zone d'exploitation CarPostal du Haut-Valais. "Nous voulons faire notre part pour réduire la pollution et en même temps améliorer l'offre pour notre clientèle", dit-elle.
Les trois nouveaux bus électriques sont en service sur les lignes Naters - Brigue - Viège et sur celle entre Brigue et Rosswald. La Vallée de Saas bénéficie déjà de six véhicules de ce type. CarPostal s'est fixé de passer au tout électrique dans le Haut-Valais d'ici à 2032.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Douane de St-Gingolph (VS): le butin était dans ses sous-vêtements
Les collaborateurs de l’Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF) ont interpellé à Saint-Gingolph (VS) un Français de 21 ans. Un contrôle de sa voiture a permis de découvrir des objets pouvant servir à des cambriolages. D’après les premiers éléments recueillis, il aurait volé une montre de luxe à Montreux (VD).
Le véhicule a été intercepté le 24 avril dernier dans l’après-midi, à sa sortie de Suisse. Au volant, un jeune Français qui n’a pas pu dans un premier temps présenter un document d’identité et qui affirmait conduire un véhicule loué par un tiers, a communiqué l'OFDF lundi.
Lors d’une palpation de sécurité, les douaniers ont mis la main sur une montre de luxe qui était cachée dans ses sous-vêtements. En vérifiant le véhicule, ils ont remarqué une amende pour stationnement reçue un peu plus tôt dans la commune de Montreux. Dans un sac, à l’arrière de l’habitacle, se trouvaient également des gants, des vêtements ainsi que divers outils pouvant servir à commettre des cambriolages.
Les premières recherches effectuées par l’OFDF ont démontré qu’un cambriolage avait eu lieu dans la région montreusienne et que le signalement d’un des auteurs pouvait correspondre à la personne interpellée à Saint-Gingolph. Le butin et l’individu ont été remis à la Police Riviera. Une procédure pénale a été ouverte par le Ministère public vaudois.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Politique culturelle: le canton a désormais son mot à dire
Longtemps chasse gardée de la Ville de Genève, qui en finance l'essentiel, la culture genevoise s'ouvre désormais au canton qui va s'impliquer davantage dans le domaine, tant sur le plan financier qu'au niveau politique. Cet engagement se traduit notamment par la création d'une structure de gouvernance qui réunit l'Etat, la Ville et les communes genevoises.
L'organe de concertation et de coordination de la politique culturelle de l'Etat (OCC) signale "le retour dans le jeu" du gouvernement cantonal, a indiqué lundi, devant les médias, le conseiller d'Etat genevois Thierry Apothéloz, responsable du département de la cohésion sociale (DCS).
Cette collaboration plus étroite du canton, de la Ville et des communes genevoises découle de la signature, en 2022, de l'accord pour la politique culturelle à Genève. Pour M. Apothéloz, la culture est une nécessité. Elle représente un espace d'expression et de dialogue. Elle doit rester au coeur des "priorités politiques".
Cofinancement d'institutions phares
Au niveau financier, le canton de Genève va soutenir régulièrement plusieurs institutions et festivals, à commencer par trois théâtres (Am Stram Gram, les Marionnettes et Carouge) dès cette année. Au total, 28 institutions ont été identifiées et vont bénéficier, d'ici à 2027, d'un cofinancement cantonal.
Le canton va aussi apporter une aide à la création artistique. Il va également veiller à offrir l'accès à la culture à tout le monde et à négocier de meilleures conditions pour les artistes et le personnel technique qui travaille avec eux. "La politique culturelle cantonale entre dans une nouvelle phase", a relevé M. Apothéloz.
Pour la Ville de Genève, le changement est conséquent. La municipalité joue historiquement un rôle dominant dans la culture genevoise, a rappelé le conseiller administratif Sami Kanaan. Le budget qu'elle consacre uniquement à ce secteur s'élève à quelque 300 millions de francs.
La Ville de Genève a toujours demandé un soutien financier au canton. En revanche, elle s'est constamment montrée réticente, jusqu'à récemment, à l'idée de devoir partager la gouvernance avec lui. Aujourd'hui, "nous avons un cofinancement et une co-gouvernance", s'est réjoui Sami Kanaan.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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