International
BMW va investir en Hongrie dans les batteries électriques
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BMW a annoncé vendredi vouloir investir 2 milliards d'euros (quasiment autant en francs) dans une unité de montage de batteries haute tension sur son usine hongroise de Debrecen, pour équiper sa gamme future de véhicules électriques.
La construction du site d'assemblage, qui a débuté en juin dernier, doit s'achever fin 2025 et va créer 500 emplois, précise un communiqué du constructeur automobile allemand.
L'usine doit répondre à l'objectif affiché du groupe de réduire de moitié ses émissions de CO2 par véhicule d'ici 2030.
"La batterie est décisive pour la compétitivité des véhicules électriques. Avec la prochaine génération de batteries, l'autonomie s'améliorera jusqu'à 30% et la vitesse de charge sera jusqu'à 30% plus rapide", assure le groupe.
Les cellules de batterie rondes - et non carrées comme la plupart de celles utilisées actuellement - seront assemblées dans un boîtier métallique, qui sera ensuite intégré dans le soubassement de la voiture.
BMW a pour objectif de produire d'ici 2030 50% de ses véhicules avec des moteurs électriques. En 2022, seulement 10% des véhicules vendus par le groupe sont électriques, d'après le groupe.
En juin, le groupe avait annoncé que l'usine de Debrecen, comprenant des ateliers de presse, de carrosserie, de peinture et de montage, ne produirait aucune émission de CO2.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Tamburlini 7e après 1 tour, six joueuses en tête
Chiara Tamburlini était parfaitement dans le coup à l'issue du 1er tour de l'US Open, à Erin dans le Wisconsin.
Septième après avoir rendu une carte de 69 (-3), la St-Galloise n'accusait qu'un coup de retard sur les six co-leaders du deuxième Majeur féminin de la saison.
Tamburlini, qui n'était pas parvenue à passer le cut lors du premier Majeur de l'année (le Chevron Championship) à la fin avril, aurait même pu se retrouver également en tête si elle n'avait pas commis un bogey - son seul de la journée - sur le trou no 15. Elle venait pourtant d'enchaîner trois birdies sur ses quatre précédents trous.
Cela s'est moins bien passé pour les deux autres Suissesses en lice. La Genevoise Albane Valenzuela pointait au 78e rang, certes à six coups seulement de la 1re place. La Vaudoise Kim Métraux ne devrait sauf exploit pas passer le cut: auteure d'une carte de 81 (+9, avec un triple bogey dès le trou no 3), elle figurait en 153e position.
Six joueuses, dont la championne 2020 Kim A-lim, se partageaient donc la tête à l'issue de la première journée. La Sud-Coréenne a rendu une carte de 68, comme sa compatriote Im Jin-hee, la Japonaise Rio Takeda, l'Espagnole Julia Lopez Ramirez et les Américaines Yealimi Noh et Angel Yin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Les Knicks ne sont plus menés que 3-2 par les Pacers
Face à des Pacers méconnaissables, les Knicks ont entretenu l'espoir avec un succès 111-94 au Madison Square Garden jeudi.
La franchise new-yorkaise n'est plus menée que 3-2 par Indiana en finale de la Conférence Est de NBA.
Après la perte du match 4 mardi, les Knicks étaient menés 3-1 et n'avaient plus le droit à l'erreur pour espérer disputer leur première finale NBA depuis 1999. Ils devront s'imposer à Indianapolis samedi s'ils veulent revenir dans le Madison Square Garden pour un éventuel 7e match électrique lundi.
Se qualifier en finale serait un exploit, alors que seules 13 équipes ont remporté une série après avoir été menées 3-1 dans l'histoire de la NBA. Les Knicks ont redonné jeudi un peu d'espoir à leurs supporters après avoir déjà perdu cinq rencontres à domicile depuis le début des play-off, dont les deux premières de cette série.
Dans l'écrin magique et plein à craquer du "MSG", les fans ont savouré la hargne défensive de leurs joueurs, qui se sont battus pour préserver l'espoir d'un dernier match dans leur antre. Jalen Brunson a mené la charge 32 points (dont 14 marqués au premier quart), 5 rebonds et 5 passes décisives.
Des Pacers méconnaissables
Le meneur a été bien secondé par l'intérieur Karl-Anthony Towns, qui a compilé 24 points et 13 rebonds. En face, Pascal Siakam (15 points) fut le seul joueur du cinq de base d'Indiana à dépasser les 10 points. Les Pacers ont été méconnaissables, à l'image de leur meneur Tyrese Haliburton (8 points, 6 passes).
Seul le remplaçant Bennedict Mathurin (23 points) a gardé dans le coup des visiteurs qui n'ont jamais pu prétendre à une remontée aussi folle que celle réussie lors du premier match sur ce même parquet, dans un "MSG" qui ne demande qu'à s'enflammer pour continuer à rêver à un premier titre depuis 1973.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Kiev prêt à de nouveaux pourparlers, sous conditions
L'Ukraine a dit jeudi être "prête" à participer aux nouveaux pourparlers proposés par la Russie à Istanbul lundi prochain. Kiev a toutefois demandé à Moscou de lui transmettre un document détaillant ses conditions pour une paix durable.
Sous pression américaine, les deux pays ont tenu le 16 mai à Istanbul un cycle de négociations pour mettre fin au conflit lancé par l'assaut russe de février 2022. Mais ils n'ont pas abouti, et la Russie a proposé un deuxième cycle.
"L'Ukraine est prête à participer à la prochaine réunion, mais nous souhaitons engager une discussion constructive", a réagi jeudi le chef de l'administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak.
L'Ukraine réclame que la Russie lui transmette, avant la réunion, un "mémorandum" qu'elle prépare et qui doit exposer ses conditions afin de parvenir à un accord de paix durable.
Andriï Iermak a répété qu'il était "important" que Kiev reçoive ce document, et que la Russie disposait de "suffisamment de temps" pour le faire.
Selon lui, la partie russe a reçu un texte détaillant la position ukrainienne.
"Ultimatums irréalistes"
Plus tôt jeudi, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov avait pourtant rejeté cette "exigence".
Il avait affirmé que la Russie n'avait reçu "aucune réponse" de l'Ukraine quant à sa participation.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lui dénoncé une nouvelle "manoeuvre" de la Russie, l'accusant de tout faire pour rendre les pourparlers "vides de sens".
Pour le porte-parole du ministère ukrainien des Affaires étrangères, Gueorguiï Tykhiï, la réticence de Moscou à envoyer son mémorandum "suggère qu'il contient vraisemblablement des ultimatums irréalistes".
La porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, a indiqué jeudi à la télévision russe que la Russie prévoyait d'envoyer lundi prochain la "même" équipe qu'au premier cycle de négociations.
La délégation russe était menée par Vladimir Medinski, un conseiller de second plan, déjà chargé des pourparlers du printemps 2022 qui avaient échoué.
La composition de la délégation russe avait été vue par Kiev comme un signe que Moscou ne prenait pas ce processus au sérieux.
Ces échanges à Istanbul n'avaient permis de s'accorder que sur un vaste échange de prisonniers.
"Test de crédibilité"
Les positions officielles des deux belligérants semblent difficilement conciliables: la Russie exige notamment que l'Ukraine renonce à jamais à rejoindre l'Otan et lui cède les cinq régions dont elle revendique l'annexion.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a lui appelé Russie et Ukraine à ne pas "fermer la porte" au dialogue, disant être en contact avec les deux parties et espérer la reprise lundi de pourparlers en Turquie.
Volodymyr Zelensky a assuré jeudi que la Russie cherchait à "faire durer la guerre", et a appelé à imposer de nouvelles sanctions pour accroître la pression.
Depuis Singapour, Emmanuel Macron a affirmé vendredi que la décision ou non de sanctionner la Russie si elle refuse un cessez-le-feu en Ukraine était un "test de crédibilité" pour les Etats-Unis de Donald Trump.
Si la Russie "confirme" qu'elle "n'est pas prête à faire la paix", Washington doit confirmer son "engagement" à sanctionner Moscou, a dit le président français devant la presse, soulignant que "c'est un test de crédibilité pour les Américains".
Le président américain Donald Trump, qui s'est rapproché de Moscou pour faire avancer les négociations, a adopté ces derniers jours un ton plus dur à l'égard de son homologue russe du fait de la poursuite de bombardements russes meurtriers en Ukraine.
Il a jugé Vladimir Poutine "complètement fou", avant de prévenir qu'il jouait "avec le feu".
"Guerre catastrophique"
M. Trump n'a toutefois pas été tendre avec Volodymyr Zelensky, à qui il reproche de traîner des pieds pour conclure un accord.
Et il avait écarté mercredi, de nouvelles sanctions américaines contre Moscou, disant ne pas vouloir "faire capoter" un accord de paix.
Au Conseil de Sécurité de l'ONU, l'ambassadeur américain intérimaire adjoint, John Kelley, a été jeudi plus clair encore: "Si la Russie prend la mauvaise décision de poursuivre cette guerre catastrophique, les Etats-Unis devront envisager de se retirer de leurs efforts de négociation", a-t-il prévenu.
"Pour être clair, ce faisant, nous n'abandonnerions pas nos principes ou nos amis. Nous prendrions plutôt acte du refus de la Russie de collaborer avec nous pour parvenir à un résultat souhaitable", a-t-il ajouté. "L'accord proposé aujourd'hui est la meilleure issue possible pour la Russie".
"Le président Poutine devrait accepter cet accord", a insisté le diplomate américain. "L'autre solution, qui consisterait à poursuivre la guerre, ne serait dans l'intérêt de personne, pas même dans celui de la Russie".
Des blessés et des morts
Sur le terrain, les attaques nocturnes entre les deux camps se poursuivent.
Vendredi matin, les services d'urgence ukrainiens ont fait état de 11 blessés dans la région de Kharkiv (nord-est), après des attaques de drone russe.
Les autorités ukrainiennes ont affirmé jeudi qu'au moins sept civils avaient été tués par des frappes russes.
Jeudi, le ministère russe de la Défense a affirmé que ses troupes s'étaient emparées de deux villages ukrainiens dans la région de Donetsk (est), épicentre des combats, ainsi que d'une autre localité dans la région de Kharkiv (nord-est).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Macron: "une exigence politique" de reconnaître un Etat palestinien
La reconnaissance d'un Etat palestinien n'est "pas simplement un devoir moral, mais une exigence politique", a estimé vendredi le président français Emmanuel Macron. Il a cependant énuméré plusieurs conditions pour franchir le pas.
"S'il n'y a pas une réponse qui est à la hauteur de la situation humanitaire qui est apportée dans les prochaines heures et les prochains jours" dans la bande de Gaza, les Européens doivent "durcir la position collective" contre Israël, a averti M. Macron lors d'une conférence de presse à Singapour.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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