Économie
Gianluca Ferrero recommandé comme président de la Juventus
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Gianluca Ferrero, un homme d'affaires de 59 ans, a été recommandé comme nouveau président de la Juventus Turin, a annoncé l'actionnaire principal du club italien.
Il s'est exprimé au lendemain de la démission de l'ensemble des membres du conseil d'administration.
"Exor (la holding contrôlant la formation turinoise, NDLR) annonce qu'il recommandera Gianluca Ferrero au poste de président de la Juventus", club mythique du championnat italien, a indiqué la société détenue par la famille Agnelli dans un communiqué.
Cette annonce intervient moins de 24 heures après la démission en bloc du conseil d'administration de la "Vieille Dame", avec à sa tête Andrea Agnelli, alors que le club turinois est plongé dans des problèmes sportifs, financiers et judiciaires.
Exor, qui détient 63,8% du capital de la Juventus, assure que Ferrero possède "une expérience significative et les compétences techniques requises" pour diriger la Juve, qualités auxquelles s'ajoute sa "passion pour le club bianconero", ce qui fait de lui "la personne la plus qualifiée pour remplir ce rôle".
Fausses informations comptables ?
Conseil en entreprise, commissaire aux comptes et membre du conseil d'administration de plusieurs sociétés, Ferrero doit prendre le relais à un moment plus que délicat.
Le CA sortant avait demandé un avis juridique indépendant sur une enquête en cours menée depuis plus d'un an par les procureurs de Turin sur des allégations de fausse comptabilité et d'irrégularités dans le transfert et le prêt de joueurs.
Les procureurs enquêtent sur la possibilité que la Juve, qui est cotée à la bourse italienne, ait présenté de fausses informations comptables aux investisseurs et produit des factures pour des transactions inexistantes au cours de cette période.
Le club a indiqué lundi que le conseil d'administration sortant avait estimé qu'il était "dans le meilleur intérêt social de recommander que la Juventus se dote d'un nouveau conseil d'administration pour traiter ces questions".
Mardi matin, le titre du club plongeait de près de 5% à la Bourse de Milan, après avoir perdu plus de 7% peu après l'ouverture, dans un marché en hausse de 0,23%.
La prochaine assemblée générale du club turinois est programmée le 18 janvier prochain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Pour Trump, 40 milliards de déficit = 39% de droits de douane
Le président américain Donald Trump a justifié les droits de douane de 39% imposés à la Suisse par "un déficit de 40 milliards". Il s'est exprimé face à la presse, avant de partir dans le New Jersey.
En réponse à une question sur les raisons pour lesquelles les droits de douane de Berne sont si élevés (39 %),Donald Trump a déclaré: "Le problème avec la Suisse, c'est que nous avons un déficit de 40 milliards de dollars. J'ai parlé à la Suisse hier, mais nous avons un déficit de 40 milliards de dollars. C'est un déficit énorme", rapportent les agences italiennes ANSA et Adnkronos.
Le président Donald Trump a corroboré les explications données plus tôt par la présidente de la Confédération. Karin Keller-Sutter avait déclaré que Donald Trump était de l'avis que la Suisse "vole" chaque année près de 40 milliards de francs aux Etats-Unis en raison du déficit commercial. Elle avait interprété le pourcentage de 39% imposé par Donald Trump par le déficit mentionné: "38,9 milliards de francs de déficit, 39% de droits de douane, c'est clair".
Interrogée par les journalistes en marge de la fête nationale sur la plaine du Grütli, au bord du lac des Quatre-Cantons. Karin Keller-Sutter avait ajouté que le Conseil fédéral rejetait cette position "absurde" et souhaitait relancer les négociations.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / ans / akr
Économie
Trump de l'avis que la Suisse lui vole 40 milliards (Keller-Sutter)
Donald Trump est de l'avis que la Suisse "vole" chaque année près de 40 milliards de francs aux Etats-Unis en raison du déficit commercial, a dit vendredi Karin Keller-Sutter. Le Conseil fédéral rejette cette position "absurde" et souhaite relancer les négociations.
Les 39% de droits de douane infligés à la Suisse sont "une surprise" et une "déception", car le montant négocié avec les membres du gouvernement américain était bien inférieur, a déclaré la présidente de la Confédération, interrogée par les journalistes en marge de la fête nationale sur la plaine du Grütli, au bord du lac des Quatre-Cantons.
Elle interprète le pourcentage de 39% imposé par Donald Trump par le déficit mentionné: "38,9 milliards de francs de déficit, 39% de droits de douane, c'est clair".
Elle a souligné que le niveau négocié entre les deux pays, qu'elle n'a pas souhaité révéler, avait été accepté par les représentants des ministères du Commerce et des Finances. Ces derniers n'ont visiblement pas été entendus par le président, alors que la Suisse avait reçu d'autres signaux, a commenté la conseillère fédérale.
Il est aussi possible que la proposition n'ait même pas été soumise au président américain ou qu'elle n'ait pas été discutée en détail avec lui, a-t-elle ajouté, précisant qu'il s'agissait d'une spéculation de sa part.
Un impact sur la Suisse et le monde
Le Conseil fédéral réfute l'analyse du patron de la Maison-Blanche. En tenant compte des services, la balance commerciale entre les deux pays est en effet équilibrée, a fait valoir la ministre des finances.
Elle a noté que jusqu'ici, le président Trump ne se focalisait pas uniquement sur la balance commerciale, mais aussi sur la création d'emplois aux Etats-Unis. Le fait que seul cet argument compte désormais est "nouveau", selon Mme Keller-Sutter.
S'agissant de la suite, le Département de l’économie va maintenant dresser un état des lieux et soumettre l’analyse au Conseil fédéral. Mme Keller-Sutter n'a pas voulu entrer dans les détails, mais une chose est claire: les droits de douane causeront des dommages à l'économie suisse, ils auront aussi un impact sur la conjoncture mondiale.
Pour amortir le choc, les entreprises suisses disposent de l’instrument du chômage partiel, a relevé Mme Keller-Sutter. Commentant les demandes des milieux de l'économie, elle a souligné que "sa porte était toujours ouverte" pour discuter de moyens pour réduire la bureaucratie ou pour améliorer les conditions cadres. D'autres mesures de soutien à l’économie ne sont pas prévues pour le moment.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Droits de douane: fossé droite-gauche sur les solutions à adopter
La plupart des partis suisses critiquent les droits de douane de 39% imposés par Donald Trump. Mais ils sont divisés sur les solutions à apporter, entre renforcement de la compétitivité de la Suisse ou collaboration encore plus étroite avec l'Union européenne.
Le PLR dénonce notamment "une catastrophe et une attaque directe contre notre prospérité". A ses yeux, le Conseil fédéral doit prendre des mesures "rapides et déterminées" pour soutenir la compétitivité des entreprises helvétiques et atténuer les dommages économiques.
L'UDC demande elle aussi au gouvernement "d'alléger massivement "la charge qui pèse sur l'économie. Pour elle, s'aligner sur l'UE et sa "bureaucratie monstrueuse (...) serait la chose la plus stupide que la Suisse puisse faire".
A gauche, le PS estime au contraire que l'annonce des droits de douane américains "montre une fois de plus" que la Suisse ne doit pas s’isoler sur la scène internationale. La coopération avec l'Europe est plus importante que jamais, affirme-t-il. Un avis partagé par les Vert-e-s.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
La Suisse réagit "avec grand regret" aux droits américains
Le Conseil fédéral a pris connaissance "avec grand regret" des droits de douane supplémentaires imposés par les Etats-Unis. La Suisse continue de viser une solution négociée avec les Etats-Unis, a indiqué le porte-parole du Département fédéral des finances (DFF).
Les droits de douane supplémentaires de 39% imposés par le président américain s'écartent "nettement" du projet de déclaration d'intention commune, a écrit vendredi matin le responsable de la communication du DFF, Pascal Hollenstein, interrogé par l'agence de presse Keystone-ATS.
Le Conseil fédéral prend acte avec grand regret du fait que les Etats-Unis - malgré les progrès réalisés dans les discussions bilatérales et "l'attitude très constructive de la Suisse dès le début" - veulent appliquer les droits de douane supplémentaires unilatéraux "d'un montant considérable aux importations en provenance de Suisse".
Selon M.Hollenstein, le Conseil fédéral va analyser la nouvelle situation et décider de la marche à suivre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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