International
L'Allemagne autoriserait la Pologne à livrer des chars Leopard
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/01/sur-la-question-du-soutien-militaire-a-lukraine-la-cheffe-de-la-diplomatie-allemande-annalena-baerbock-affiche-une-ligne-plus-volontariste-que-le-chancelier-olaf-scholz-1000x600.jpg&description=L'Allemagne autoriserait la Pologne à livrer des chars Leopard', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'Allemagne ne "s'opposera pas" à la volonté de la Pologne de livrer des chars Leopard à l'Ukraine, si Varsovie en demande l'autorisation, a déclaré dimanche la cheffe de la diplomatie Annalena Baerbock. Le chancelier Olaf Scholz n'a jusqu'ici pas tranché la question.
"Si on nous posait la question, nous ne nous y opposerions pas", a déclaré la ministre du parti des Verts, qui gouverne en coalition avec les sociaux-démocrates d'Olaf Scholz et les libéraux à propos de la livraison à Kiev de ces chars de fabrication allemande.
"Pour l'instant, la question n'a pas été posée" par la Pologne, tenue de faire une demande officielle à Berlin, a précisé la ministre, interviewée à Paris sur la chaîne française LCI.
Dans un entretien à la télévision allemande ARD, le ministre allemand de la Défense, Boris Pistorius, a affirmé de son côté quasiment au même moment que "la décision (...) dépend de beaucoup de facteurs et est prise à la chancellerie".
Pistorius, social-démocrate comme le chancelier Scholz, n'a pas été interrogé par la journaliste sur les déclarations de Mme Baerbock.
Le gouvernement allemand est sous pression croissante pour fournir à l'Ukraine des chars lourds Leopard, susceptibles d'avoir un impact significatif sur le champ de bataille, face aux troupes russes.
"J'ai bien compris à quel point ces chars sont importants, nous en sommes pleinement conscients", a ajouté Mme Baerbock.
La Pologne et la Finlande ont proposé de livrer des Leopards qu'ils possèdent, mais ont besoin de l'agrément officiel de Berlin en vue d'une réexportation.
Chancelier évasif
Or Olaf Scholz a jusqu'à présent refusé de se prononcer sur la question de ces livraisons indirectes, tout comme sur celle de fournir directement des Leopard issus des stocks allemands.
De nouveau interrogé sur la question dimanche à Paris, lors d'une conférence de presse aux côtés d'Emmanuel Macron, le chancelier s'est montré évasif, répétant la nécessité d'agir en concertation avec les alliés de l'Ukraine sur les questions de livraison d'armes.
Ce n'est pas la première fois que les ministres Verts du gouvernement, en particulier Mme Baerbock, affichent une ligne plus volontariste que le chancelier sur le sujet du soutien militaire à l'Ukraine.
Plusieurs figures des écologistes ont réclamé avec insistance, ces dernières semaines, qu'Olaf Scholz approuve les livraisons de tanks à Kiev. Lors d'une réunion vendredi sur la base américaine de Ramstein en Allemagne, les alliés occidentaux de l'Ukraine ont repoussé toute décision sur ce sujet, suscitant l'irritation de Kiev qui a critiqué leur "indécision".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
La plus ancienne preuve de maîtrise du feu trouvée au Royaume-Uni
Des scientifiques ont annoncé mercredi avoir découvert des preuves de la capacité de l'homme à faire du feu 400'000 ans avant notre ère, au Royaume-Uni. C'est bien plus tôt que ce que les précédentes découvertes laissaient penser.
La capacité de l'homme à faire du feu constitue l'un des tournants de l'histoire de l'humanité, permettant non seulement à nos ancêtres de se réchauffer, mais aussi de se socialiser et de cuire des aliments, ce dernier point contribuant à l'évolution de nos cerveaux.
Il existe des signes de l'utilisation du feu par les hommes remontant à un million d'années, en Afrique, mais il est admis qu'il s'agissait de feu apparu naturellement, par l'entremise des éclairs par exemple. Trouver des preuves solides de ce savoir-faire s'avère extrêmement difficile, en raison de l'effacement des signes au cours du temps, en moins d'un millénaire.
C'est pourtant ce qu'a été en mesure de prouver une équipe de chercheurs du British Museum, avec un foyer datant de 400'000 ans près du village de Barnham, dans le Suffolk (nord-est de Londres). La précédente preuve de fabrication et d'utilisation du feu dans le monde était estimée à 50'000 ans avant notre ère, en France.
Pyrite
"C'est la découverte la plus extraordinaire de mes 40 années de carrière", s'est réjoui Nick Ashton, curateur au British Museum et auteur principal de l'étude publiée mercredi dans Nature.
Le site de Barnham, qui se situe près d'un étang, a été découvert pour la première fois à la fin des années 1800. Le premier indice laissant penser que le site pouvait abriter un foyer est apparu en 2021, lorsque des scientifiques ont découvert des sédiments qui avaient clairement été chauffés. Mais "le moment-clé a été la découverte de pyrite de fer", explique M. Ashton.
Ce minéral est utilisé pour créer l'étincelle allumant le feu. La pyrite est très rare dans cette région, ce qui indique qu'elle avait été apportée sur place dans ce but, soulignent les chercheurs. Ils ont également mis au jour des haches qui avaient pu servir à fracasser la pyrite.
Chauffer notre nourriture, en particulier la viande, nous a permis d'économiser de l'énergie auparavant utilisée lors de la digestion, ce qui a contribué à notre développement intellectuel.
Il existe des fossiles datant de 400'000 ans avant notre ère qui montrent que c'est à ce moment que les cerveaux ont approché leur taille moderne, indiquent les chercheurs.
Même si l'identité exacte des utilisateurs du foyer de Barnham n'est pas complètement établie, les chercheurs estiment qu'il s'agissait sans doute de Néandertaliens, car des fossiles néandertaliens ont été découverts dans des sites à proximité en Angleterre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Haïti: 18 pays se sont engagés à déployer des forces anti-gangs
Dix-huit pays se sont dit prêts à déployer des forces de sécurité à Haïti, a indiqué vendredi le secrétaire général de l'Organisation des Etats américains (OEA). Cette nouvelle opération anti-gang doit remplacer la mission multinationale actuelle de l'ONU.
"Dix-huit pays se sont engagés à fournir des forces de sécurité. Le point-clé est qu'ils travaillent tous ensemble, selon les mêmes régulations. C'est pourquoi le processus de constitution de cette nouvelle force est si long", a expliqué lors d'un échange avec la presse Albert Ramdin.
La force de sécurité sera constituée de 5500 soldats, a-t-il ajouté, conformément à la feuille de route élaborée sous la direction des États-Unis. Le chef de l'OEA s'est rendu cette semaine à Haïti, où la situation est "grave".
Déploiement par étapes
Les bandes criminelles commettent meurtres, viols, pillages et enlèvements, dans un contexte d'instabilité politique chronique dans ce pays des Caraïbes, le plus pauvre des Amériques.
Haïti n'a pas organisé d'élections en neuf ans et est actuellement dirigé par des autorités de transition, qui ont récemment annoncé l'organisation d'élections législatives et présidentielle à l'été 2026.
"Nous ne pouvions pas nous déplacer partout, mais le seul fait que j'ai pu me rendre à Port-au-Prince montre que le gouvernement est toujours en place et aux commandes", a précisé Albert Ramdin.
Le déploiement se fera par étapes. Un millier d'agents de sécurité devraient partir en janvier "si tout va bien", a-t-il ajouté. Et la moitié des effectifs seront déployés d'ici au 1er avril 2026, date à laquelle "le bureau des Nations unies sera créé".
Des pays africains seront particulièrement investis, aux côtés du Sri Lanka et du Bangladesh. Certains pays d'Amérique latine ont également fait part de leur volonté de contribuer.
Le Kenya a déployé lundi une centaine de policiers supplémentaires à Haïti dans le cadre de la mission internationale contre les gangs, dont les résultats restent très mitigés.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Odermatt pour une place dans le top 50
Vainqueur à Beaver Creek, Marco Odermatt a lavé l'affront de sa sortie de piste à Copper Mountain. Et à Val d'Isère samedi lors du géant, il part favori pour une 50e victoire.
Quadruple tenant du titre sur la Face de Bellevarde, le leader de la Coupe du monde peut en outre égaler Alberto Tomba samedi en cas de victoire. Il n'y aurait alors plus que trois hommes devant lui: Hermann Maier (54), Marcel Hirscher (67) et Ingemar Stenmark (86). Un 29e succès dans la discipline lui permettrait de se rapprocher d'Hirscher et ses 31 victoires. Stenmark en est lui à 46.
Habituellement injouable sur cette pente, "Super Marco" avait dû s'employer l'année passée pour conserver 0''08 d'avance sur Patrick Feurstein. Et on l'a vu à Beaver Creek, le Nidwaldien peut parfois avoir un peu moins de marge sur ses adversaires selon la tenue de la piste.
Luca Aerni se rappellera que c'est là qu'il avait obtenu son meilleur résultat dans la discipline l'an dernier en finissant 4e à seulement 0''23 d'Odermatt au prix d'une fantastique remontée en deuxième manche où il avait relégué le patron du ski mondial à plus de trois secondes.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Ukraine: l'envoyé spécial américain sera ce week-end à Berlin
L'envoyé spécial américain Steve Witkoff rencontrera ce week-end le président ukrainien Volodymyr Zelensky et des dirigeants européens à Berlin, a fait savoir un responsable de la Maison-Blanche vendredi. Les Européens réclament des garanties de sécurité pour Kiev.
Le chancelier allemand Friedrich Merz doit recevoir le président ukrainien ainsi que plusieurs dirigeants européens, ceux de l'Union européenne et de l'OTAN, sur fond d'un intense ballet diplomatique visant à mettre fin à la guerre entre l'Ukraine et la Russie, alors que les Etats-Unis accentuent leur pression sur Kiev pour parvenir à un accord.
Les Européens et Ukrainiens ont demandé aux Américains des "garanties de sécurité" avant toute négociation territoriale dans l'est de l'Ukraine occupée par les Russes, a déclaré la présidence française vendredi.
Les discussions se sont accélérées avec le plan présenté par l'administration américaine il y a près de trois semaines pour résoudre la guerre déclenchée par l'invasion russe à grande échelle de février 2022, qui reprenait des exigences majeures de Moscou.
Concessions territoriales
Alors que Kiev a remis une version amendée de ce texte comprenant des contre-propositions, le président ukrainien a confirmé jeudi que les États-Unis souhaitaient conclure un accord "le plus tôt" possible. "Il s'agit avant tout de [savoir] quelles concessions territoriales l'Ukraine est prête à faire", a déclaré M. Merz jeudi à Berlin.
Selon Volodymyr Zelensky, les deux questions essentielles restant à négocier sont le contrôle de la région orientale de Donetsk, où se déroule l'essentiel des combats, et le statut de la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par Moscou dans le sud de l'Ukraine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
VaudIl y a 3 jours
Collision frontale mortelle mardi à Ballaigues
-
LausanneIl y a 15 heures
Budget vaudois: le gouvernement revient sur deux mesures contestées
-
LausanneIl y a 3 jours
Budget vaudois: coupes maintenues pour les hôpitaux régionaux
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: près de 300 manifestants devant l'Hôtel de police
-
SuisseIl y a 2 jours
Les pétards devraient être interdits en Suisse
-
CultureIl y a 3 jours
La cuisine italienne rejoint le patrimoine immatériel de l'Unesco
-
FootballIl y a 3 jours
USA: vers un examen de l'historique des réseaux sociaux des touristes étrangers
-
GenèveIl y a 3 jours
Initiatives pour la gratuité des crèches et du parascolaire valides


