International
2024, "seule chance pour sauver" l'Amérique, dit Trump
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L'ancien président américain Donald Trump a averti samedi que l'élection présidentielle de 2024 était la seule chance des Etats-Unis "de sauver le pays". Le républicain a participé à deux réunions électorales, en espérant donner un coup de fouet à sa campagne.
"L'élection de 2024 est notre seule chance de sauver notre pays et nous avons besoin d'un chef qui est prêt à le faire dès le premier jour", a lancé M. Trump à Columbia, en Caroline du Sud, devant ses plus fidèles alliés politiques. Il a aussi abordé ses sujets de prédilection, fustigeant une théorie critique de la race ou encore l'idéologie de genre, qu'il dit être enseigné au sein de l'armée.
Deux mois et demi après s'être lancé dans la course à la présidentielle de 2024, l'ancien président américain a quitté les salons dorés de sa résidence de Floride pour des visites qui ne doivent rien au hasard. Ces deux Etats seront parmi les premiers à organiser les primaires républicaines au début 2024. Une victoire garantirait à Donald Trump un élan précieux pour la suite.
"Establishment corrompu"
"Nous avons besoin d'un dirigeant qui soit prêt à s'attaquer aux forces qui ravagent notre pays", a-t-il dit devant des centaines de personnes à Salem, petite ville du New Hampshire où le parti républicain tient sa convention annuelle.
Mais après avoir régné durant des années sur le "Grand Old Party", Donald Trump, 76 ans, n'est pas en terrain conquis. Dans cet Etat frontalier du Canada, nombre d'élus locaux reprochent au milliardaire d'avoir plombé les chances des républicains aux récentes élections de mi-mandat en soutenant des candidats jugés trop extrêmes.
"Personnellement, je pense qu'il a perdu beaucoup de son attrait et de son aura", déclare à l'AFP Mike Bordes, élu au parlement local, qui l'avait pourtant soutenu à l'élection de 2020.
Malgré cela, Donald Trump a joué sa partition habituelle, répétant que l'élection de 2020 lui avait été volée et affublant ses rivaux de surnoms méprisants. Il a aussi vanté son bilan en matière de sécurité publique et d'immigration, promettant de sauver le pays "d'une destruction par un establishment politique corrompu, radical et égoïste".
"Je suis plus en colère maintenant et plus déterminé aujourd'hui que je l'ai jamais été", a-t-il affirmé.
Tracas
Si officiellement, l'ancien président est le seul candidat républicain déclaré, plusieurs prétendants dans cet Etat semblent aussi prêts à se lancer, à commencer par son ancienne gouverneure, Nikki Haley. Elle a promis à ses partisans une annonce très prochaine.
Donald Trump a aussi vu plusieurs de ses grands donateurs annoncer publiquement qu'ils ne soutiendraient pas sa candidature en 2024, au profit de Ron DeSantis, le gouverneur de Floride et l'étoile montante du parti. Il n'est lui non plus pas officiellement lancé dans la course.
Des tracas politiques dont l'ex-président, déjà cerné par une myriade d'enquêtes, se serait bien passés. En décembre, une commission parlementaire enquêtant sur la responsabilité du républicain dans l'attaque menée par ses partisans contre le congrès américain a recommandé qu'il soit poursuivi pénalement.
Une juge en Géorgie a aussi promis une décision "imminente" concernant les pressions politiques qu'il a exercées dans cet Etat. "Ce sont des procureurs radicaux d'extrême gauche qui sont des gens absolument horribles", a assuré M. Trump.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump dénonce devant Ramaphosa le "génocide" d'agriculteurs blancs
Donald Trump a diffusé mercredi devant le président de l'Afrique du Sud Cyril Ramaphosa des vidéos censées soutenir les accusations américaines selon lesquelles les agriculteurs blancs sud-africains sont victimes de "génocide".
L'ambiance était plutôt détendue dans le Bureau ovale de la Maison Blanche lorsque, tout d'un coup, le président américain a demandé que la lumière soit éteinte avant que des vidéos ne soient diffusées sur un écran.
Sur l'une d'elles, Julius Malema, le leader d'un parti d'opposition de gauche radicale d'Afrique du Sud, entonne "Kill the Boer", un chant hérité de la lutte anti-apartheid. Les Boers sont les agriculteurs descendants des premiers colons européens.
Une autre vidéo a ensuite été diffusée, montrant des dizaines de voitures abritant, selon Donald Trump, des "familles entières" d'agriculteurs blancs fuyant selon lui leurs terres. "Ils sont tués", a lancé le président américain.
Washington a réitéré ainsi ses accusations de "génocide" contre les agriculteurs blancs sud-africains, après avoir accueilli il y a quelques jours des Afrikaners désignés comme "réfugiés" sur son territoire. Pretoria rejette avec force ces accusations, Cyril Ramaphosa rétorquant que "non, personne ne peut prendre de terres".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Musique: Springsteen sort un album live anti-Trump
Bruce Sprinsgteen a sorti mercredi un mini album live, "Land of hope and dreams". Il comprend son message contre le gouvernement "corrompu" de Trump qui lui a valu dernièrement des insultes du président américain.
"Land of hope and dreams", qui vient d'atterrir sur les plateformes de streaming, comprend quatre chansons enregistrées en concert à Manchester, au Royaume-Uni, le 14 mai dernier, accompagnées pour certaines du discours très politique du rocker, engagé à gauche.
"L'Amérique que j'aime, l'Amérique sur laquelle j'ai écrit, source d'espoir et de liberté depuis 250 ans, est aux mains d'un gouvernement corrompu, incompétent et perfide", lance-t-il notamment, demandant à ses spectateurs de "monter la voix contre l'autoritarisme pour laisser la liberté triompher."
"En Amérique, ils persécutent des gens parce qu'ils exercent leur droit à la liberté d'expression et expriment leur désaccord", ajoute-t-il, allusion possible à l'étudiant et figure du mouvement propalestinien de l'université Columbia Mahmoud Khalil, en détention depuis plus de deux mois.
Ces prises de position sur scène ont valu au rockeur d'être traité de "connard" par Donald Trump vendredi dernier.
"Je vois que Bruce Springsteen, complétement surcoté, est allé dans un pays étranger pour mal parler du président des Etats-Unis", a écrit le président républicain sur son réseau Truth social, ajoutant que ce "pruneau desséché (...) devrait SE LA FERMER".
Accusé par ses critiques d'avoir lancé une offensive sans précédent dans l'histoire récente des Etats-Unis contre la liberté d'expression, notamment dans les universités et à travers ses attaques contre les médias, Donald Trump a aussi annoncé lundi vouloir lancer une "enquête majeure" sur les soutiens reçus de la part de célébrités par son ancienne rivale Kamala Harris.
Outre Spingsteen, il s'en est pris à des chanteuses stars comme Beyoncé ou Taylor Swift, qui avaient appelé à voter pour la démocrate.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Giro: Carapaz vainqueur de la 11e étape, Del Toro reste en rose
L'Equatorien Richard Carapaz a remporté en solitaire la 11e étape du Tour d'Italie entre Viareggio et Castelnovo ne'Monti (186 km). Le maillot rose reste sur les épaules du Mexicain Isaac Del Toro.
Au terme de cette étape au profil montagneux dans les Apennins, Carapaz, vainqueur du Giro en 2019, a devancé de dix secondes le peloton des favoris emmené par le Mexicain Isaac del Toro.
Champion olympique 2021, l'Equatorien est parti en contre à neuf kilomètres de l'arrivée au moment où les cadors du général venaient de reprendre l'échappée de cinq coureurs qui a compté jusqu'à trois minutes d'avance à la faveur de la longue ascension du San Pellegrino in Alpe (1623 m), avec des portions à 20%.
Vendredi, la 12e étape emmènera les coureurs de Modène à Viadana sur 172 km. Aucune difficulté particulière n'étant au programme, les sprinters devraient pouvoir s'illustrer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Israël: interdiction de nommer un nouveau chef du Shin Bet
La procureure générale de l'Etat d'Israël a interdit mercredi à Benjamin Netanyahu de nommer un successeur au chef démissionnaire du Shin Bet, Ronen Bar. La Cour suprême a jugé que la décision prise par le gouvernement de limoger M. Bar était "contraire à la loi".
La Cour "a statué que le Premier ministre a agi en situation de conflit d'intérêts" dans cette affaire, écrit la procureure Gali Baharav-Miara dans un communiqué publié mercredi soir.
"Par conséquent, il doit s'abstenir de toute action liée à la nomination d'un nouveau chef du Shin Bet jusqu'à l'élaboration de directives juridiques garantissant la régularité de la procédure", ajoute le texte diffusé par le bureau de Mme Baharav-Miara, également conseillère juridique du gouvernement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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