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Vaud

De nouveaux défis pour les pépinières

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Réchauffement climatique, hausse généralisée des prix, renouvellement des normes phytosanitaires… La branche doit depuis plusieurs années sans cesse se renouveler.

Pour les Pépinières de Meylan, ces changements sont plus considérés comme des opportunités. Jérôme Meylan, co-directeur de l'entreprise.

Jérôme Meylanco-directeur des Pépinières de Meylan

Les Pépinières Meylan basées à Renens fêtent leur 125 ans. L'entreprise produit uniquement des végétaux d’extérieur : plantes de haies, grimpantes, arbres fruitiers… Elle compte une quarantaine de collaborateurs.

Jérôme Meylanco-directeur des Pépinières de Meylan

Depuis le Covid, ces lieux de culture et de production de végétaux enregistrent toujours plus de demandes. C’est en tout cas le constat des Pépinières Meylan, qui fêtent leur 125 ans. Ils ont dû développer leur assortiment et leur volume de production au vu de l’augmentation de commande des paysagistes. Ils ont ouvert également les commandes aux particuliers depuis quelques années.

Jérôme Meylanco-directeur des Pépinières de Meylan

Pour célébrer les 125 ans de l’entreprise, les Pépinières Meylan propose des ateliers pour les professionnels et les privés tout au long de l’année.

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Lausanne

La gendarmerie vaudoise teste le taser

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La police vaudoise va tester le taser pour sa gendarmerie mobile (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La police cantonale vaudoise va tester l'utilisation de taser au sein de sa gendarmerie mobile. Cette arme, uniquement employée jusqu'ici par le groupe d'intervention vaudois (DARD), pourrait ensuite être utilisée à plus large échelle.

La phase pilote démarre en juin et s'étalera sur six mois. Durant cette période, quarante membres de la gendarmerie mobile, à savoir les agents qui interviennent en première ligne, seront formés et équipés avec le taser 10.

Il s'agit du dernier modèle "du dispositif incapacitant à impulsion électrique (DI)", indique vendredi la police vaudoise dans son communiqué. Ce modèle, qui dispose de dix sondes individuelles, bénéficie de "nouvelles fonctionnalités" qui le rendent "beaucoup plus précis et efficace."

Plusieurs polices cantonales et communales utilisent déjà le taser pour les interventions en première ligne, dont les polices cantonales jurassienne, bernoise, bâloises, saint-galloise, zurichoise ou argovienne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

Lausanne HC: Djoos part, Sklenicka arrive

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Christian Djoos va rentrer en Suède (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le Lausanne HC a annoncé le départ du défenseur suédois Christian Djoos (29 ans). Le club vaudois a engagé le Tchèque David Sklenicka (27 ans) pour le remplacer.

Djoos évoluait au LHC depuis 2023. Il a inscrit 34 points (4 buts) en 67 matches. Le Suédois a demandé à retourner dans son pays pour des raisons personnelles et familiales.

Son souhait a été validé quand le club a pu trouver un remplaçant en la personne de Sklenicka, qui a signé pour une saison. Ce jouer a récemment évolué en Suède avec Brynas et au Kazakhstan avec Barys Astana. Il a disputé quatre championnats du monde avec son pays.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Hôpital d'Yverdon: les eHnv pourraient quitter le site actuel

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Le site actuel de l'hôpital d'Yverdon pourrait être abandonné. (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

Les Etablissements hospitaliers du Nord vaudois (eHnv) n'excluent pas quitter leur site actuel d'Yverdon en raison des surcoûts liés à leur programme "eHnv du futur". Plusieurs scénarios sont à l'étude et des propositions seront faites "dans les mois à venir".

Parmi ces scénarios figure "la possibilité de considérer un nouveau site", écrivent les eHnv dans un communiqué diffusé vendredi. Cela nécessiterait toutefois "la recherche et la légalisation d'un nouveau site de quatre à cinq hectares", ainsi qu'un "important" appui politique.

Pour rappel, le programme "eHnv du futur" vise à la transformation complète de l'hôpital d'Yverdon. Objectif: regrouper les activités somatiques aiguës des eHnv sur un site unique. Parallèlement, un nouveau centre de traitement et de réadaptation doit ouvrir à Orbre. Cela s'accompagnera du désengagement progressif des deux autres sites des eHnv, soit l'hôpital de Saint-Loup à Pompaples et celui de Chamblon.

Surcôuts

Début mai toutefois, les eHnv indiquaient que la phase d'avant-projet avait débouché sur une estimation des coûts supérieure de 180 millions de francs par rapport au devis initial de 308 millions. A cela s'ajoutent les surcoûts potentiels de sept millions du parking en silo et de la maison de l'enfance, qui doivent accompagner le nouvel édifice.

La majeure partie de ces surcoûts (106 millions) provient de facteurs incompressibles, à savoir le renchérissement des prix de la construction en Suisse et la nature des sols de l'hôpital d'Yverdon.

Statu quo pas envisageable

Ces augmentations ont conduit le comité directeur des eHnv à suspendre le programme jusqu'à mi-juillet afin de réévaluer la situation. Dans leur communiqué, les eHnv rappellent vendredi qu'ils sont en train d'explorer "toutes les options possibles", mais qu'il est encore trop tôt pour dévoiler les détails.

Le statu quo n'est toutefois pas une option, ajoutent-ils. Les infrastructures actuelles sur les quatre sites sont vieillissantes, ce qui entraîne des "coûts de maintenance élevés" et "des risques croissants pour la sécurité des patients".

Vendredi toujours, le eHnv ont indiqué que leur résultat financier de l'exercice 2023 s'était soldé par une perte de 3,97 millions, contre un déficit de 3,2 millions un an plus tôt. Ce résultat est toutefois meilleur que le budget qui prévoyait une perte de 4,5 millions.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Hockey

La Street Cup, entre hockey, rigolade et compétition

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Il faudra attendre samedi pour découvrir les déguisements 2024 des participants. Igor Jelovac n'a rien voulu lâcher. ©Pierre Maillard

La Street Cup se déroulera ce weekend (1-2 juin) à la Pontaise. Au programme, une cinquantaine de matchs de hockey inline, avec des têtes qui ne seront pas inconnues de habitués des patinoires.

Il s'agira de la 5e édition de la Street Cup. Le principe: du hockey inline, comprenez en patins à roulettes, à 4 contre 4. Chaque match durera 12 minutes pour permettre à toutes les équipes de s'affronter. Les 12 équipes engagées disputeront une phase de poules le samedi, puis des pré-playoffs et des playoffs le dimanche. Particularité, les participants ne jouent pas avec une balle comme c'est d'habitude le cas en hockey inline. "Comme on est quasi tous hockeyeurs sur glace, on a des pucks un peu spéciaux qui vont très bien sur le goudron, décrit Joachim Vodoz, co-organisateur du tournoi. Ça nous permet de garder les bonnes habitudes qu'on a l'hiver."

En effet, une belle brochette de hockeyeurs de National League et de Swiss League troquera les patins à glace pour les rollers. Simon LeCoultre (Genève-Servette), Axel Simic (Kloten), Loïc Vouardoux (HC Sierre), Guillaume Maillard (Genève-Servette) ou encore Nathan Vouardoux (Rapperswil) seront de la partie. Quelques Lausannois seront aussi sur le front comme Makai Holdener, Kevin Pasche, Benjamin Bougro ou encore Igor Jelovac. Et la plupart son de vrais habitués, comme l'explique Joachim Vodoz.

C'est justement cette atmosphère de "réunion de famille" qui a motivé Igor Jelovac à participer.

L'événement est né de la passion commune pour le hockey de Johnny Kneubhüler, Valentin Pilet et Joachim Vodoz, "mais on essaie de le développer chaque année pour que tout le monde y trouve son compte et que ce soit le plus ouvert possible", explique ce dernier. Avec un but principal: passer un bon weekend dans la joie et la bonne humeur. Food trucks et DJ sets seront donc également au programme.

Et pour pouvoir élargir encore plus le public présent, le tournoi quitte son emplacement à Pully où se sont déroulées les 4 premières éditions. Cette année, c'est la Pontaise qui accueille la Street Cup. Les explications de Laura Bachmann.

Autre nouveauté, le dimanche, un mini tournoi U14 sera intégré à la compétition "principale".

 

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On ne change pas des compétiteurs

Ce qui fait aussi sortir la Street Cup de l'ordinaire, c'est son côté décalé. Lors des éditions précédentes, on a ainsi vu jouer Les Gras du Bide avec des chemises hawaïennes ou encore Babylone avec des casques de chantier. Le second degré fait donc partie intégrante de l'événement, comme nous l'explique Laura Bachmann, co-organisatrice de la Street Cup.

Mais la Street Cup, ça reste une compétition. Celle-ci est ouverte aux pros et aux amateurs. Si les pros, ce sont les hockeyeurs sur glace, ils auront cette année une concurrence possiblement non négligeable.

Igor Jelovac disputera ce weekend sa 4e Street Cup, toujours avec les mêmes coéquipiers. Mais quelles sont leurs forces?

La rigolade, c'est l'un des maîtres mots de ce weekend. Sauf que, quand il y a autant de personnes au mètre carré dont le métier est justement de jouer et gagner des matchs, l'ambiance pendant les rencontres peut aussi devenir tendue. Notamment quand, comme le défenseur du LHC, on chercher à décrocher son premier titre.

La compétition est d'autant plus excitante que les hockeyeurs affrontent certains de leurs coéquipiers de National/Swiss League. De quoi donner encore plus envie de gagner le match. "C'est sûr! Il y a Kevin Pasche (ndlr: l'un des gardiens du LHC) qui va jouer, en plus il joue attaquant donc je vais pas me gêner d'aller l'embêter", rigole Igor Jelovac, avant de se raviser un peu, toujours avec le sourire: "Le but c'est quand même de rigoler et de ne pas trop s'embêter les uns les autres." D'où l'importance du second degré.

Dans tous les cas, cette 5e édition de la Street Cup promet à ses participants de vivre des instants mémorables. Comme cette situation un peu cocasse dans laquelle se sont retrouvé Igor Jelovac et ses coéquipiers.

La Street Cup a donc lieu ce weekend à la Pontaise. L'entrée est libre. Premier match à 10h30 samedi, 9h le dimanche. Il sera possible de prendre un petit déjeuner le matin, puis des food trucks seront présents pour se restaurer. Et des DJ feront danser hockeyeurs et public jusqu'au bout de la nuit.

 

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