Rejoignez-nous

Suisse

La Suisse au top dans le classement QS par matières

Publié

,

le

L'EPF de Zurich se classe au premier rang mondial pour l'étude de trois disciplines, à savoir les sciences de la terre et de la mer, la géophysique et la géologie (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

La Suisse possède le meilleur système d'enseignement supérieur au monde, selon un nouveau classement publié mercredi. Elle a la plus forte proportion d'universités classées dans le top 10 à l'échelle mondiale, avec 15% de ses hautes écoles dans cette catégorie.

Selon ce 13e classement par matières de Quacquarelli Symonds, la Suisse peut se vanter d'avoir le meilleur système d'enseignement supérieur au monde parmi les pays ayant au moins dix universités classées. De plus, la Suisse possède la plus forte concentration de matières classées au niveau mondial, avec 2% de ses programmes.

L'édition 2023 de ce "QS World University Rankings by Subject" fournit des données sur les performances de 217 programmes dans 28 universités suisses. Sur le nombre total d'entrées classées, 45 ont progressé, 68 ont reculé et 95 sont restées inchangées. Neuf programmes sont classés pour la première fois.

En outre, la Suisse compte 32 entrées dans les cinq grands domaines d'études (arts et sciences humaines, ingénierie et technologie, sciences de la vie, sciences naturelles et sciences sociales). Parmi celles-ci, une s'améliore, 28 régressent et trois restent inchangées.

L'EPFZ première d'Europe continentale

L'EPF de Zurich se classe au premier rang mondial pour l'étude de trois disciplines, à savoir les sciences de la terre et de la mer, la géophysique et la géologie. Elle occupe ainsi la première place plus souvent que toute autre université d'Europe continentale et pointe troisième au monde, avec les universités d'Oxford et de Cambridge au Royaume-Uni.

Les universités de Zurich et de Genève abritent les matières les mieux classées, avec respectivement 36 et 35 entrées. Par ailleurs, la Suisse héberge sept des dix meilleures écoles de gestion hôtelière et de loisirs au monde.

Avec 32 programmes classés parmi les 10 premiers, la Suisse accueille 6% de tous les sujets classés dans le top 10 mondial, tous tableaux confondus. Cette part de programmes de classe mondiale n'est dépassée que par les États-Unis (47%) et le Royaume-Uni (27%), qui comptent tous deux beaucoup plus d'inscriptions.

Réputation et citations par articles

Les facultés Vetsuisse de Berne et de Zurich se hissent dans le top 5 mondial des sciences vétérinaires, tandis que l'EPFZ se classe dans le top 5 pour le génie civil et structurel. Cette progression s'appuie sur une amélioration significative de sa réputation auprès des employeurs internationaux, selon les enquêtes de QS, et sur une augmentation du nombre de citations par article.

L'EPF de Lausanne se classe quant à elle dans le top 10 mondial pour les disciplines nouvellement ajoutées Science des données (9e) et Génie civil (10e). Enfin, la Suisse peut se vanter de deux des dix meilleurs programmes de médecine dentaire au monde, offerts à l'Université de Berne (7e) et à l'Université de Zurich (8e).

L'Université de Genève est la plus grande bénéficiaire de la progression en Suisse, gagnant 18 places pour se classer 62e en Sciences biologiques. Les mathématiques à l'EPFL se sont également hissées dans le top 20.

Domination américaine

Selon QS, ce classement par sujet est le plus important jamais réalisé, offrant une meilleure compréhension des critères de réussite. Il fournit une analyse comparative indépendante des performances de plus de 15'700 programmes universitaires individuels, suivis par les étudiants de 1594 universités réparties dans 93 pays.

Les investissements ciblés et soutenus ainsi que la collaboration internationale sont des facteurs clés pour progresser, selon QS. De plus, l'amélioration des relations avec l'industrie est corrélée à de meilleurs résultats en matière d'emploi, de recherche et d'innovation.

Les universités américaines dominent dans 32 disciplines. Harvard est l'institution la plus performante, se classant première dans 14 disciplines, soit deux de plus que l'année dernière. Les universités britanniques sont en tête de 15 disciplines, Oxford et Cambridge arrivant en tête dans quatre et deux disciplines respectivement.

https://www.TopUniversities.com/subject-rankings/2023

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Suisse

La cagnotte de 133,8 millions est tombée à l’Euro Millions

Publié

le

La loterie transnationale Euro Millions est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Une personne vivant en Belgique a trouvé la combinaison gagnante du tirage de l’Euro Millions de mardi. Elle remporte au total 133,8 millions de francs. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 2, 8, 13, 29 et 49 et les étoiles 2 et 11.

Lors du prochain tirage vendredi, 16 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Sport

Projet NBA Europe: "Encore beaucoup de travail", estime la FIBA

Publié

le

Victor Wembanyama va-t-il rejouer plus souvent à Paris dans le futur avec les Spurs? (© KEYSTONE/AP/THIBAULT CAMUS)

La FIBA a affirmé "qu'octobre 2027" était "un objectif réaliste" pour le lancement du projet NBA Europe. Elle a aussi rappelé qu'il y avait "encore beaucoup de travail" avant d'en voir les contours.

Dans une conférence de presse organisée en visioconférence, le secrétaire général de la FIBA, Andreas Zagklis a aussi rappelé que le rôle de l'instance était "de permettre à chacun de trouver sa place dans cet écosystème".

L'arrivée de la NBA en Europe, via une possible compétition sous l'égide également de la FIBA à l'horizon 2027, intrigue autant qu'elle divise alors que la puissante ligue nord-américaine avait confirmé son intérêt en mars dernier.

En novembre, Paulius Motiejunas, le patron de l'Euroligue - compétition européenne rassemblant cette saison 20 équipes - a notamment qualifié dans la presse italienne le projet de "mauvaise nouvelle".

De son côté, Andreas Zagklis a à nouveau défendu le projet, estimant que "ce qui est en train d'être créé est beaucoup plus compatible avec le modèle sportif européen et les critères de la FIBA que ce que nous avons connu ces dernières années".

Validant "l'objectif réaliste" d'"octobre 2027" pour son lancement, il a ajouté l'importance d'un "événement qui nous permette de tout regrouper sous un même toit".

"Sous un même toit signifie sous le toit de la FIBA, mais cela ne veut pas dire que la FIBA contrôle tout", a-t-il précisé. La Fédération internationale n'oublie pas non plus "son rôle qui est de réunir tout le monde", alors que Zagklis a mentionné "de bons échanges avec l'ECA", la société organisatrice de l'Euroligue.

Il a aussi évoqué "plusieurs autres réunions" en 2026, notamment avec l'ECA. "Nous avons beaucoup de travail à effectuer pour dessiner cette nouvelle compétition", dans laquelle certaines équipes pourraient se qualifier via la Ligue des champions (BCL) mais aussi via un possible "tournoi de qualification" de fin de saison.

Egalement interrogé sur les aspects commerciaux, notamment les sponsors ou les droits TV, le secrétaire général de la FIBA a repoussé ce sujet "entre le début et le milieu de l'année 2026" estimant que la Fédération se concentrait "sur l'élaboration du projet et comment il pourrait avoir du sens pour l'écosystème tout entier".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Suisse

Migros étend son réseau de distributeurs de snacks

Publié

le

Migros poursuit le développement de son réseau de distributeurs automatiques de snacks en Suisse alémanique. (archive) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Migros poursuit le développement de son réseau de distributeurs automatiques de snacks en Suisse alémanique. Ces automates permettent aux clients de se procurer des en-cas et des boissons 24 heures sur 24, aux mêmes prix qu'en supermarché.

Les distributeurs de couleur orange sont désormais disponibles à Wald, dans le canton de Zurich, et Wattwil, dans le canton de Saint-Gall, et depuis début décembre dans trois emplacements en ville de Zurich. D'autres installations sont prévues en Suisse orientale et dans la région zurichoise, a détaillé mardi à AWP un porte-parole de Migros, confirmant une information des journaux CH Media.

Pour l'instant, il n'existe aucun projet en Suisse romande. "Mais cela pourrait venir dans les prochains mois", estime un porte-parole de Migros Suisse orientale qui assure la communication concernant ces distributeurs.

Migros a installé son premier distributeur à Coire, dans les Grisons, en 2022, suivi un an plus tard par deux autres à Abtwil, dans le canton de Saint-Gall. Pour l'instant, les distributeurs sont situés exclusivement à proximité immédiate des magasins Migros existants.

Selon Migros, les produits sont proposés aux mêmes prix de vente qu'en supermarché. D'après les médias, cela pourrait permettre au distributeur de concurrencer plus efficacement le chef de file du marché, Selecta, qui est actuellement en pleine restructuration.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

Continuer la lecture

Suisse

Psychologue et ex-voisins assassinés: prison à perpétuité à Zurich

Publié

le

Selon l'acte d'accusation, le prévenu a dévalisé et assassiné son ancienne psychanalyste à coups de couteau le 15 décembre 2010 dans le cabinet de cette dernière (archives). (© KEYSTONE/WALTER BIERI)

Un homme accusé des assassinats de son ancienne psychanalyste à Zurich et d'un couple d'anciens voisins à Laupen (BE) écope de la peine de prison à perpétuité. La justice zurichoise n'a pas assorti cette peine d'un internement, comme le demandait l'accusation.

Dans son jugement rendu mardi, le Tribunal de district de Zurich a reconnu le prévenu, un Espagnol de 47 ans, coupable d'assassinats et de brigandages. Il a suivi le réquisitoire du procureur concernant la lourdeur de la peine. La défense avait, elle, exigé l'acquittement du prévenu qui nie avoir commis les crimes reprochés.

Crimes "répugnants"

"Les explications de l'accusé ne convainquent d'aucune manière", a commenté le président du tribunal lors de l'énoncé du jugement. Il avait notamment déclaré qu'il ne se souvenait pas de l'homicide commis à Laupen, alors que les victimes étaient ses anciens voisins. De plus, il n'a présenté ses alibis que durant son procès, la semaine dernière.

Pour le juge, il ne fait aucun doute que les deux crimes "répugnants" sont des assassinats liés à des actes de brigandage. L'accusé les a commis avec une violence extrême, alors qu'il avait des problèmes financiers. Il a assassiné ses victimes, car celles-ci le connaissaient. Ces véritables bains de sang témoignent de son absence de scrupules.

Pas de libération automatique

En l'absence de maladie psychique constatée par les experts, l'assassin ne peut pas être interné, estime la Cour. En revanche, il ne sera pas libéré à l'issue de sa peine, sans que son cas ne soit évalué par une commission d'experts, comme c'est le cas pour chaque peine de prison à perpétuité. Une telle évaluation ne sera possible qu'au bout de 15 ans de réclusion.

Les faits incriminés remontent au 15 décembre 2010 et à la même date cinq ans plus tard. Selon l'acte d'accusation, le prévenu - un monteur d'échafaudages souffrant de dépressions - a dévalisé et assassiné son ancienne psychothérapeute à son cabinet. Il a infligé 14 coups de couteau à sa victime âgée de 56 ans.

Lors du deuxième crime, il a cambriolé et assassiné ses anciens voisins, un couple âgé, en leur assénant une trentaine de coups de manche de hache ou de marteau. Il venait alors de s'échapper d'une clinique psychiatrique.

Arrestation 10 ans après le second crime

L'accusé n'a été arrêté qu'en janvier 2024 à Genève, à son retour en Suisse, à l'issue d'une longue enquête. Son ADN a été trouvé sur les deux lieux de crimes ainsi que sous les ongles et sur les vêtements des victimes.

L'accusé et son avocat ont fait valoir que cet ADN a pu être déposé bien avant les crimes, le principal intéressé souffrant d'une maladie cutanée qui lui fait semer beaucoup de pellicules. Dans le même temps, le prévenu disait ne pas se souvenir de s'être rendu au nouveau cabinet de la psychologue, où cette dernière a été trouvée morte, mais seulement à l'ancien cabinet.

Soutenu par son défenseur, il a aussi déclaré qu'une autre personne a pu disperser volontairement l'ADN de ce dernier pour lui faire porter le chapeau. Une théorie "irréaliste" selon le procureur, "absurde" selon la Cour. "Il n'y a pas d'autre explication: le tableau d'ensemble montre que seul lui peut être l'auteur (du double crime)", a souligné le président du tribunal.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Sagittaire

Phase de réajustement un peu tendue, au sein du job. Heureusement, quelques Astralités bienveillantes amortissent les secousses.

Les Sujets à la Une