International
Alex Rins (Honda-LCR) s'impose à Austin
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L'Espagnol Alex Rins (Honda-LCR) a remporté à Austin, le Grand Prix des Amériques en MotoGP, devant l'Italien Luca Marini (Ducati-VR46) (2e).
Le Français Fabio Quartararo (Yamaha), qui termine 3e, signe aux États-Unis son premier podium de la saison.
Sur l'exigeant tracé d'Austin (Etats-Unis), le grand perdant de cette 3e manche de la saison est l'Italien Francesco Bagnaia: parti en pole position, le champion en titre était en route vers la victoire, mais au septième tour sur 20, il a chuté et abandonné.
Un abandon qui a fait les affaires de Rins puisque l'Espagnol, alors dans les talons du pilote Ducati, en a profité pour récupérer la tête de la course. Les rênes acquises, jamais il n'a été inquiété par la concurrence jusqu'à l'arrivée.
"Je suis tellement heureux !" a réagi Rins, arrivé cette saison chez Honda-LCR. Le Barcelonais de 27 ans était le seul présent ce week-end à s'être déjà imposé dans la catégorie reine sur le tracé texan (en 2019, avec Suzuki).
Il devance à l'arrivée l'Italien Luca Marini (Ducati-VR46), deuxième, et Fabio Quartararo (Yamaha), qui s'élançait de la septième position sur la grille.
"C'était très compliqué (...) mais je suis super content car j'ai vécu des premières courses difficiles, on travaille si dur avec l'équipe", a déclaré le Niçois de 23 ans.
L'autre Français de la grille Johann Zarco (Ducati-Pramac) termine septième.
Bagnaia "ne comprend pas"
L'Italien Marco Bezzecchi (Ducati-VR46), sixièmee du GP, reste leader au championnat devant Bagnaia, désormais à 11 points de son compatriote.
"Je ne comprends pas (...) je suis très déçu et assez nerveux car ça n'était pas de ma faute", a déclaré le champion en titre à Canal+ après sa chute.
C'est un coup dur pour celui que l'on surnomme "Pecco", qui espérait tant se racheter de sa bévue il y a deux semaines en Argentine, quand il est tombé alors qu'une place sur le podium lui était promise. Au passage, il avait perdu la tête du championnat au profit de Bezzecchi.
A Austin, le Turinois sauve toutefois les meubles puisqu'il s'est imposé samedi sur le sprint, un nouveau format de course, plus court que le GP, rapportant davantage de points au championnat.
Grâce à cette victoire, Bagnaia était revenu samedi soir à un point de son compatriote Bezzecchi au classement général, avec l'espoir de récupérer la tête du classement à l'issue du GP. En vain.
Dans les catégories inférieures, en Moto2, le jeune espagnol de 18 ans Pedro Acosta a remporté sa deuxième victoire de la saison, devant l'Italien Tony Arbolino, qui conserve les rênes du classement général, à l'issue intense bataille jusqu'au drapeau à damiers.
En Moto3, l'Espagnol Ivan Ortola, 18 ans, s'est imposé pour la première fois de sa carrière en GP. L'Espagnol Daniedo (KTM Tech3), cinquième, reste en tête du championnat, à égalité de points avec le Brésilien Diogo Moreira, quatrième dimanche.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
A l'heure du bilan, la Suisse peut regarder l’avenir avec optimisme
L’Eurobasket dames de l’équipe de Suisse s’est achevé après la phase de poules. Malgré leurs trois revers en autant de matches, les filles de François Gomez ont posé de vrais jalons pour l’avenir.
Le bilan de l’équipe de Suisse en phase finale d’un Euro est désormais de six succès pour 22 défaites. A contrario de 1950, 1952 et 1956 où leurs aînées avaient remporté deux matches, Evita Herminjard et ses coéquipières quittent Le Pirée sans avoir décroché de succès. Le scénario était attendu.
Au-delà des chiffres et des défaites concédées contre la Grèce (65-87), la Turquie (67-91) et la France (37-111), les Helvètes ont réussi, là où l’on pouvait les attendre, le deuxième quart contre les Tricolores mis à part.
La remontée face à la Turquie
Les Suissesses ont donné la meilleure image d’elles-mêmes. Même lorsqu’elles ont connu des trous d’air – à chaque début de mi-temps de chacune de leurs rencontres -, les protégées de François Gomez se sont accrochées, comme contre la Turquie où, revenues à 10 longueurs (33e), elles ont obligé l’entraîneur adverse à remettre son cinq de base pour assurer la victoire.
Le moment le plus fort du séjour grec des Suissesses, sur lequel bâtir l’avenir. Des instants qui ont permis de démontrer que le basket suisse est en train de passer un palier au niveau international. Dans la salle de l’Olympiakos, le collectif helvétique a en revanche payé un manque d’expérience, de taille, d’adresse, de rythme et de qualités physiques.
En Suisse dans 4 ans?
Plutôt jeune (25 ans de moyenne), ambitieuse et unie, cette équipe vise de revivre un Eurobasket. Si, pour 2027, il faudra passer par des performances sportives pour y parvenir, Swissbasketball a annoncé vouloir organiser la phase finale de l’édition 2029. Si tel devait être le cas, les Suissesses seraient alors qualifiées d’office.
Au-delà du dossier Eurobasket 2029, la Fédération suisse devra trouver le moyen de développer une vraie communauté autour de cette équipe dans des domaines aussi complémentaires que le sponsoring, le merchandising, la communication, soit la valorisation du basket féminin dans son ensemble. Avec comme objectif d'augmenter le nombre de licenciées (5000 actuellement) et d'ainsi améliorer progressivement le niveau des championnats de Ligue nationale.
Trois équipes en EuroCup
Les clubs devront également faire leur part du travail, eux qui ne seront plus que 8 au sein de l'élite la saison prochaine à la suite de la relégation volontaire de Riva. Outre Elfic Fribourg, le champion de Suisse Nyon et Troistorrents ont confirmé leur inscription à la prochaine édition de l'Eurocup. Trois équipes suisses disputant la deuxième Coupe d'Europe en ordre d'importance, c'est du jamais vu!
Et les joueuses? En partant à l’étranger et en y réalisant des résultats de premier plan, Evita Herminjard, Lin Schwarz et Nancy Fora font déjà figure d’ambassadrices. Viktoria Ranisavljevic rêve de jouer en WNBA, au terme de son cursus de quatre ans à l’Université de Penn State. Future joueuse d’Elfic Fribourg, Lana Wenger pourrait être la grande attraction du prochain championnat de Suisse. Ces joueuses - et les autres - espèrent de susciter de l'envie auprès de la jeune génération, afin que cet Euro 2025 n'ait pas été qu'une parenthèse enchantée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
OKC ou Indiana, un match 7 pour entrer dans l'histoire
Thunder ou Pacers ? L'une des deux franchises va remporter dimanche son premier titre NBA en Oklahoma à l'issue du 7e match de la finale, un "privilège" mais aussi une pression monumentale.
Avec le système de play-off offrant des affrontements au meilleur des sept rencontres, le match 7 d'une finale, ultime joute de la saison à l'enjeu maximal, est "le sommet, le pinacle de notre sport", estime le meneur des Pacers Tyrese Haliburton, très attendu dimanche à 19h00 locale (à 2h dans la nuit de dimanche à lundi).
Dimanche, les deux franchises en quête d'un premier titre NBA (Les Seattle SuperSonics avaient été champions en 1979 avant de déménager en Oklahoma en 2008) vont disputer le 20e "match 7" de l'histoire des finales NBA, le premier depuis 2016 et le succès des Cleveland Cavaliers de LeBron James sur le parquet des Golden State Warriors de Stephen Curry.
Lors de cette rencontre, le "King", par ailleurs en triple double, avait écrit un morceau de sa légende avec un magnifique contre en deuxième rideau sur Andre Iguodala avec moins de deux minutes à jouer alors que les deux équipes étaient à égalité, aidant les "Cavs" à l'emporter 93-89.
LeBron James avait déjà brillé lors du précédent match 7 des finales, en 2013, avec le Miami Heat, inscrivant 37 points pour dominer les San Antonio Spurs, auparavant écoeurés par l'iconique tir à trois points de Ray Allen pour envoyer les deux formations en prolongation lors du match 6.
"Bains de sang"
Kobe Bryant (Lakers) en 2010, Hakeem Olajuwon (Houston) en 1994, James Worthy (Lakers) en 1988 ou Jerry West (Lakers), perdant face à Boston malgré 42 points inscrits en 1969, ont aussi marqué l'histoire de ces rencontres uniques.
Les équipes à domicile ont jusqu'ici remporté 15 des 19 "matches 7", montrant aux Pacers, brillants vainqueurs du match 6 jeudi (108-91), l'ampleur du défi qui les attend dans un stade bouillant. "Un joli match 7, ça n'existe pas. Ce sont plutôt des affreux bains de sang", prévient Haliburton qui se méfie du "poison" des "récits" écrits d'avance.
"Imaginer ce que cela pourrait signifier pour notre équipe, pour notre ville, quel serait notre héritage, le fait que l'on a bien joué jusqu'ici, que la pression serait sur les épaules du Thunder... Nous ne devons pas prêter attention à ces questions", a-t-il prévenu.
Et pourtant le stress aurait de quoi être plus important côté Thunder, qui a livré un match affreux jeudi, l'un des pires de sa saison, qui a mené 3-2 cette finale avec l'étiquette de meilleure équipe de la saison (68 succès-14 défaites), ce qui lui a toutefois offert l'avantage du terrain jusqu'au bout.
"C'est un match pour avoir tout ce dont tu as toujours rêvé. Tu le gagnes, tu prends tout. Tu le perds, tu n'auras rien. C'est aussi simple que cela", a résumé le MVP Shai Gilgeous-Alexander, qui aura encore la lourde responsabilité de porter l'attaque du Thunder.
"Intensité"
Pour Pascal Siakam, "c'est à celui qui en aura le plus envie". "C'est seulement une histoire d'intensité. On s'est suffisamment affrontés, les équipes n'ont plus de secrets l'une pour l'autre", ajoute le Camerounais des Pacers, déjà champion avec Toronto en 2019.
Le Thunder pourra s'appuyer sur l'expérience du 2e tour, lorsqu'ils avaient battu Denver et Nikola Jokic à l'issue d'un 7e match à domicile à sens unique (125-93). Les Pacers se remémoreront eux leur succès (130-109) contre les New York Knicks au 2e tour des phases finales 2024, sur le parquet du Madison Square Garden.
"Notre équipe a faim, tout le monde veut gagner. J'ai l'impression qu'on le veut encore plus", note Obi Toppin, facteur X des finales en sortie de banc pour les Pacers jusqu'ici.
Le jeune entraîneur du Thunder Mark Daigneault (40 ans) apprécie lui "le privilège de disputer un match 7". Pour entrer dans l'histoire.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Iran: les USA ont attaqué trois sites nucléaires
Donald Trump, qui a promis que l'Iran ne disposerait jamais de l'arme atomique, a assuré que les installations d'enrichissement nucléaire de Téhéran avaient été "totalement détruites" après une série de frappes américaines menées dimanche.
"Les installations essentielles d'enrichissement nucléaire de l'Iran ont été intégralement et totalement détruites. L'Iran, le caïd du Moyen-Orient, doit maintenant faire la paix", a affirmé le président américain lors d'une déclaration solennelle à la Maison Blanche.
"S'ils ne le font pas, les prochaines attaques seront bien plus importantes, et bien plus faciles", a-t-il ajouté sur un ton extrêmement ferme, menaçant de nouvelles frappes l'Iran, qui a le choix entre "la paix ou la tragédie".
Les Etats-Unis ont mené une attaque "très réussie" sur trois sites nucléaires iraniens, larguant une "charge complète de bombes" notamment sur celui de Fordo, avait annoncé peu auparavant Donald Trump, décidant ainsi de rejoindre l'offensive israélienne au dixième jour de la guerre entre Israël et l'Iran.
"Une pleine charge de bombes a été larguée sur le site principal, Fordo", une usine d'enrichissement d'uranium enfouie sous une montagne et au coeur du programme nucléaire de Téhéran, avait-il poursuivi. Les deux autres sites visés sont Natanz et Ispahan, ville historique du centre du pays près de laquelle un site de conversion d'uranium est installé.
Des médias iraniens ont confirmé les attaques sur ces trois sites nucléaires.
"Il y a quelques heures (....) une partie du site nucléaire de Fordo a été attaquée par des frappes aériennes ennemies", a indiqué Morteza Heydari, porte-parole du service de gestion des crises de la province de Qom, cité par l'agence Tasnim.
Les autorités iraniennes ont affirmé qu'il n'y avait "pas de danger" pour la population de Qom et des zones proches du site de Fordo, au sud de Téhéran.
Bombardiers B-2
Selon un responsable de la Maison Blanche, le président américain s'est entretenu après l'attaque américaine avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Dans un message vidéo, celui-ci a félicité son homologue américain, assurant que les Etats-Unis étaient "sans égal". Il a également affirmé que l'attaque américaine s'était faite "en parfaite coordination" avec Israël.
Les attaques américaines "n'arrêteront pas" les activités nucléaires de l'Iran, a cependant affirmé dimanche l'Organisation de l'énergie atomique du pays, qualifiant ces bombardements d'"acte barbare".
Les experts s'accordent sur le fait que seuls les Etats-Unis avaient la capacité de détruire les installations nucléaires iraniennes profondément enfouies comme Fordo.
Des avions bombardiers B-2, qui avaient décollé dans la nuit d'une base aux Etats-Unis, ont participé à l'attaque, ont rapporté des médias américains citant des sources non identifiées.
Donald Trump avait dit vendredi donner au "maximum" deux semaines à l'Iran pour éviter d'éventuelles frappes américaines, mais il a finalement décidé d'aller de l'avant aux côtés de son allié israélien, fort du constat selon lui que l'Iran était "à quelques semaines, voire quelques mois" de l'arme atomique.
Jusqu'à présent, Washington s'était contenté d'apporter une aide défensive à Israël face aux missiles iraniens.
Plus tôt samedi, le président iranien Masoud Pezeshkian avait exclu tout arrêt du programme nucléaire de Téhéran.
Après l'attaque américaine, Israël a fermé son espace aérien et relevé son niveau d'alerte à l'échelle du territoire, où ne sont désormais plus autorisées jusqu'à nouvel ordre que les activités dites essentielles.
"Spirale de chaos"
Assurant que son ennemi juré était sur le point de l'acquérir, Israël a lancé le 13 juin une attaque massive contre des centaines de sites militaires et nucléaires, tuant les plus hauts gradés du pays et des scientifiques de l'atome.
L'Iran, qui dément vouloir se doter de l'arme atomique et défend son droit à un programme nucléaire civil, a riposté par des vagues d'attaques de drones et de missiles balistiques sur le territoire israélien, la plupart interceptés par les systèmes de défense.
Côté iranien, la guerre a fait plus de 400 morts et 3056 blessés, en majorité des civils, a indiqué samedi le ministère de la Santé.
Les tirs iraniens sur Israël ont fait 25 morts, selon les autorités.
L'Iran a menacé de représailles contre les intérêts américains au Moyen-Orient si les Etats-Unis décidaient d'intervenir directement dans le conflit.
Mais les Etats-Unis répondront "avec une force bien plus grande que ce qui a été observé ce soir" à "toutes représailles de l'Iran" à leur encontre, a prévenu le président américain après les frappes.
"Les opérations militaires en Iran devraient rappeler clairement à nos adversaires et à nos alliés que le président Trump pense ce qu'il dit. Le président a donné au dirigeant iranien toutes les chances de conclure un accord, mais l'Iran a refusé de s'engager dans un accord de désarmement nucléaire", a déclaré le président de la Chambre des représentants, le républicain Mike Johnson.
Un chef de file des démocrates à la Chambre des représentants a critiqué samedi la décision de Donald Trump de lancer des frappes contre l'Iran, l'accusant de pousser les Etats-Unis vers la guerre.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres s'est également inquiété d'une "dangereuse escalade" et appelé à éviter d'entrer dans "une spirale de chaos".
Un débat a fait rage aux Etats-Unis y compris au sein de la coalition autour de Donald Trump sur l'opportunité d'engager les Etats-Unis dans une nouvelle guerre au Moyen-Orient, de nombreux partisans du président américain s'opposant farouchement à ce que les Etats-Unis attaquent l'Iran.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Début de l'évacuation des ressortissants américains d'Israël
Les États-Unis ont commencé samedi l'évacuation volontaire de leurs ressortissants d'Israël, au neuvième jour de la guerre qui oppose ce pays à l'Iran, a annoncé l'ambassadeur américain à Jérusalem.
"Le Département d'État a commencé les vols d'évacuation depuis Israël", a fait savoir Mike Huckabee sur son compte X.
Deux vols ont été affrétés au départ de Tel-Aviv, avec à leur bord quelque 70 personnes, en direction d'Athènes, a précisé un responsable du Département d'Etat.
Ces évacuations interviennent au moment où le président américain Donald Trump soupèse une intervention militaire contre l'Iran. Il a donné vendredi au "maximum" deux semaines à Téhéran pour éviter d'éventuelles frappes américaines.
Donald Trump, qui a dit que l'Iran ne pouvait pas disposer d'une arme nucléaire, est rentré samedi en fin d'après-midi à la Maison Blanche pour y présider un nouveau conseil de sécurité.
Les experts s'accordent sur le fait que seuls les Etats-Unis ont la capacité de détruire les installations nucléaires iraniennes profondément enfouies, dont celles de Fordo, au sud de Téhéran.
Parallèlement, des avions bombardiers B-2 ont décollé d'une base aux Etats-Unis et se dirigeaient vers l'Ouest, au-dessus du Pacifique, ont rapporté samedi le New York Times et des sites de suivi de vols.
Ces bombardiers stratégiques furtifs sont les seuls capables de transporter des puissantes bombes anti-bunker de type GBU-57. Cette ogive de 13 tonnes peut s'enfoncer à des dizaines de mètres de profondeur avant d'exploser.
Les Etats-Unis déconseillent aux Américains de se rendre notamment en Israël et en Irak et de ne surtout pas voyager en Iran, "quelles que soient les circonstances".
Les Etats-Unis ont déjà réduit les effectifs de leur ambassade en Irak et autorisé du personnel non essentiel, ainsi que leurs proches, à quitter ce pays, ainsi qu'Israël.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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