Suisse
Swisscom renonce à des hausses de tarif pour la clientèle privée
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Swisscom renonce à augmenter les prix des abonnements pour la clientèle privée jusqu'à la fin 2024, assure son directeur Christoph Aeschlimann. "Nous analyserons la situation dans le courant de l'année prochaine et nous déterminerons ce qu'il adviendra après 2024".
La hausse de la TVA prévue pour le début 2024 ne sera également pas répercutée sur les clients privés, ajoute M. Aeschlimann dans un entretien diffusé dimanche par la SonntagsZeitung. Le moratoire sur les prix s'applique aux offres actuelles de Blue Mobile, aux abonnements Internet, TV et au réseau fixe ainsi qu'à toutes les marques secondaires et tierces et aux clients disposant de produits du service universel, ajoute-t-il.
Des adaptations isolées, comme par exemple pour les services supplémentaires ou les bouquets de télévision dans le domaine du sport, sont toutefois possibles, souligne le patron de Swisscom. La nouvelle clause des conditions générales adaptées, qui permet à l'opérateur téléphonique d'adapter unilatéralement les prix en raison du renchérissement, ne concerne en outre que les clients ayant une durée contractuelle minimale.
Selon M. Aeschlimann, l'inflation a entraîné en 2023 des coûts supplémentaires de 50 millions de francs pour Swisscom. "Les moteurs de cette hausse sont les salaires, les tarifs de l'énergie et les prix d'achat des terminaux et des matériaux".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Nestlé Waters: l'enquête du Sénat pointe les refus de l'industriel
La commission d'enquête du Sénat français sur les eaux en bouteille a dénoncé lundi la "fausse sécurité" des traitements des eaux minérales de Nestlé Waters et pointé le refus de ses dirigeants de répondre aux questions posées par les sénateurs.
"Je pense qu'il faut traiter les eaux s'il y a un problème, on ne peut pas jouer avec des destructions a posteriori. Je trouve que ce n'est pas suffisamment sécurisant", a souligné le rapporteur de la commission Alexandre Ouizille au micro de France Inter, rappelant que "2 millions de bouteilles ont été détruites, des centaines de milliers il y a encore quelques mois" en raison de contaminations par des "bactéries E.Coli", "des pesticides", "des PFAS" (polluants éternels), en particulier dans les eaux Perrier.
"Aujourd'hui, il y a des filtrations pour s'assurer que ces bactéries sont éliminées", mais c'est "considéré comme une fausse sécurité", a ajouté le responsable politique, rappelant avoir en tête "le précédent Buitoni", référence au scandale des pizzas contaminées, qui ont entraîné la mort de deux enfants en France. M. Ouizille a affirmé ne pas savoir "depuis quand cela a commencé, sans doute des dizaines d'années. Je sais par contre qu'aucune enquête interne n'a été diligentée pour comprendre la chaîne de responsabilité."
Le sénateur s'est exprimé ce lundi matin sur la radio publique hexagonale France Inter, en amont de la conférence de presse censée dévoiler les conclusions du rapport, six mois après sa création. Celle-ci a été mise sur pied après les révélations du journal Le Monde et de Radio France sur le recours à des traitements interdits sur des eaux minérales naturelles et de source, notamment des marques Perrier, dans le sud de la France, Vittel, Contrex et Hépar, dans les Vosges.
La commission a procédé à de nombreuses auditions, notamment du directeur général de Nestlé, Laurent Freixe, et de la patronne de Nestlé Waters, Muriel Lienau, de responsables d'usines mais aussi de ministères. "Cela s'est mal passé", a résumé le sénateur, pointant le "refus de répondre" des dirigeants de l'entreprise.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Sunrise en repli début 2025, prépare son retrait du Nasdaq
L'opérateur Sunrise Communications a accusé une contraction au premier trimestre, tant au niveau des recettes que des excédents. La société prévoit par ailleurs de retirer la réplique de son action helvétique du Nasdaq new-yorkais.
Les recettes de janvier à fin mars se sont étiolées de 3,3% à 722,1 millions de francs et l'excédent brut opérationnel hors frais de leasing (Ebitda al) ajusté a fondu dans une proportion similaire à 240,0 millions.
La perte nette par contre a été ramenée à 1,3 million, à comparer avec un déficit de 127,2 millions un an auparavant, indique le groupe zurichois dans un compte-rendu intermédiaire lundi.
Les analystes consultés par AWP n'anticipaient guère un chiffre d'affaires en-deçà de 731 millions. L'Ebitda al ajusté par contre n'était pas attendu au-dessus de 237 millions.
La direction maintient sa feuille de route pour l'ensemble de l'exercice. L'évolution des recettes doit demeurer stable sur un an, après une contraction de 0,6% en 2024. L'Ebitda al ajusté, nouvel indicateur de rentabilité privilégié par l'opérateur, doit dans le pire des cas stagner et dans le meilleur scénario grappiller quelque points de pourcentage.
Le flux de trésorerie disponible est attendu dans une fourchette de 370 à 390 millions, malgré un reflux de 116,5 millions au premier trimestre.
Les actionnaires de leur côté peuvent compter sur un dividende de 3,42 francs par action de classe A et environ 34 centimes par action de classe B.
Sunrise indique vouloir retirer sa réplique de cotation "transitoire" sur le Nasdaq vers la mi-août, moins d'un an après le retour à la Bourse suisse du numéro deux helvétique des télécoms. La manoeuvre est motivée par un désir de simplification des processus de publications, ainsi que par des économies de coûts.
Les volumes de négoce ont été progressivement rapatriés vers la Bourse suisse depuis la réintroduction de l'action sur SIX en novembre dernier. La place zurichoise constitue depuis mars le principal site d'échange.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Près de 300 victimes de la traite humaine en Suisse
L'an dernier, 208 personnes victimes de la traite humaine se sont tournées vers le Centre d'assistance aux migrantes et aux victimes de la traite des femmes (FIZ). Pour 59 autres, un examen est encore en cours ou n'est plus possible en raison d'une perte de contact.
C'est ce qui ressort du rapport annuel publié lundi par le centre. Le nombre de victimes soutenues par le FIZ a diminué d'environ 13% par rapport à l'année précédente. En 2023, il a pris en charge 230 victimes de la traite d'êtres humains.
L'exploitation liée au commerce du sexe joue un rôle important dans la traite. Sur les 208 victimes prises en charge, le centre en a identifié 159 comme victimes de la traite d'êtres humains à des fins d'exploitation sexuelle.
Quarante-cinq autres ont été exploités pour leur travail dans différents secteurs. Et quatre étaient victimes d'autres formes de traite, par exemple à des fins de mariage forcé, d'activités illégales, de mendicité ou de prélèvement d'organes, selon le rapport annuel.
Demande de logement sûrs
La plupart des personnes nouvellement admises dans le programme de protection des victimes de la traite humaine du centre FIZ en 2024 étaient originaires de Hongrie (20 personnes), de Roumanie (10 personnes) et de Colombie (9 personnes).
La demande de refuge pour les victimes a toutefois fortement augmenté. Le centre a hébergé 51 personnes dans des logements sûrs. Celles-ci y ont passé 5677 nuits au total - 19% de plus que l'année précédente. Pour faire face à l'augmentation des besoins, un nouvel appartement protégé a été ouvert en 2024, le huitième au total.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Droits de douane agricoles: "une recette à succès" pour Fenaco
Le patron de la coopérative de distribution agricole Fenaco, Martin Keller, met garde lundi contre des concessions aux Etats-Unis sur les droits de douane agricoles. C'est "une recette à succès de longue date qui ne doit pas être facilement sacrifiée", dit-il.
Les crises récentes, comme la pandémie de Covid-19 et l'irruption de la guerre en Ukraine, ont montré que le système a fait ses preuves, ajoute M. Keller dans un entretien diffusé lundi par les journaux alémaniques du groupe Tamedia. En comparaison avec d'autres pays, la Suisse n'a pas connu de grandes hausses de prix pour les denrées alimentaires et les magasins vides, affirme-t-il.
"Une des raisons importantes en est la politique agricole suisse avec son système douanier finement équilibré", assure M. Keller. Le système suisse vise un approvisionnement national de 50%, relève-t-il. "Si les droits de douane agricoles devaient être abandonnés, cet objectif serait mis sous pression".
Pas de problème pour Bio Suisse
Il pointe le marché du vin. La consommation de vin suisse a baissé de 16% l'année dernière, car la viticulture n'est pas protégée par des droits de douane, mais ouverte au marché mondial, note-t-il.
Autre son de cloche du côté des produits biologiques. Interrogé dans la Neue Zürcher Zeitung, le président de Bio Suisse, Urs Brändli, dit n'avoir "absolument aucune crainte" pour le secteur dans les négociations avec Washington. Le label Bourgeon de l'association est aussi attribué aux produits étrangers, mais il n'y a pas d'exploitation avec un tel label aux États-Unis, explique-t-il.
Le ministre suisse de l'économie Guy Parmelin avait annoncé que la Suisse n'entendait pas faire de grandes concessions aux Etats-Unis dans le domaine de l'agriculture. Les Etats-Unis ont compris qu'il était très important pour la Suisse de conserver une certaine autonomie en matière de production agricole, avait déclaré le conseiller fédéral au début mai.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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