International
Kiev revendique des "succès", Moscou affirme contrer des offensives
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2023/06/les-troupes-ukrainiennes-ont-avance-de-plusieurs-centaines-de-metres-dans-le-secteur-de-bakhmout-theatre-de-la-bataille-la-plus-longue-et-la-plus-meurtriere-du-conflit-selon-la-vice-ministre-ukraini-1000x600.jpg&description=Kiev revendique des "succès", Moscou affirme contrer des offensives', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'Ukraine a affirmé gagner du terrain près de la ville ravagée de Bakhmout, dans l'est, mais a relativisé l'ampleur des "actions offensives" menées ailleurs sur le front. La Russie affirme au contraire repousser des attaques d'envergure.
Ces opérations ont lieu à un moment où les autorités ukrainiennes disent préparer depuis des mois une vaste contre-offensive destinée à obliger les troupes russes à se retirer des zones qu'elles occupent.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a remercié ses troupes pour les gains territoriaux qu'elles ont revendiqués, ironisant sur la réaction "hystérique" de Moscou. "Nous voyons à quel point la Russie réagit de manière hystérique à toutes les avancées que nous faisons dans ce secteur, à toutes les positions que nous prenons. L'ennemi sait que l'Ukraine va gagner", a déclaré M. Zelensky dans un message vidéo.
Le conseiller de la présidence ukrainienne Mykhaïlo Podoliak avait auparavant ironisé sur Twitter sur le fait que la Russie est "occupée à repousser une offensive globale qui n'existe pas encore". "Pourquoi les Russes publient-ils activement des informations à propos d'une contre-offensive? Parce qu'ils ont besoin de détourner l'attention (au sujet de) la défaite dans la direction de Bakhmout", a lancé la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Ganna Maliar, sur Telegram.
Nouvelle attaque sur Kiev
Le ministère russe de la Défense a quant à lui affirmé avoir contré depuis la matinée du 4 juin des attaques sur cinq secteurs du front "dans la direction sud de la région de Donetsk", située dans l'est. Le ministère russe de la Défense a dit que ses forces avaient tué "plus de 1500 militaires ukrainiens" et détruit "28 chars". Une affirmation tournée en dérision par le chef du groupe paramilitaire russe Wagner, Evguéni Prigojine, coutumier des critiques virulentes envers l'état-major.
"Il ne s'agit que d'élucubrations", a commenté M. Prigojine dans un message sur Telegram. Tuer 1500 soldats en une journée est "un sacré massacre", a-t-il ironisé en se moquant du porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov. "En fait, pourquoi ne pas additionner tous les chiffres donnés par Konachenkov. Je pense que nous avons déjà détruit l'ensemble de la planète Terre à cinq reprises", a-t-il raillé.
Dans la nuit de lundi à mardi, une nouvelle attaque aérienne a visé Kiev, "possiblement au moyen de missiles de croisière", a rapporté l'administration civile et militaire de la capitale ukrainienne. "Selon de premières informations, plus de 20 cibles aériennes ennemies ont été détectées et détruites" par la défense aérienne ukrainienne. Aucune victime n'a été recensée mais une chute de débris dans le district de Desnyansky, a endommagé la chaussée, des lignes électriques de trolleybus et des vitrines de magasins, a indiqué l'administration locale.
Bakhmout "épicentre"
Selon Kiev, le secteur de Bakhmout, qui est le théâtre de la bataille la plus longue et la plus meurtrière du conflit et dont Moscou a revendiqué la prise en mai, reste "l'épicentre des hostilités". Mme Maliar affirme que les forces ukrainiennes avancent en périphérie de cette cité "sur un front assez large": "Nous remportons des succès et occupons les hauteurs dominantes".
Selon elle, les troupes ukrainiennes ont avancé de plusieurs centaines de mètres sur ce secteur du front. Cette progression ukrainienne a été confirmée par M. Prigojine, selon lequel "une partie de la localité de Berkhivka est déjà perdue", une "honte".
Experts et militaires russes s'attendent à ce que Kiev multiplie les attaques sur les lignes ennemies pour y déceler des faiblesses, avant de lancer le gros des troupes. En septembre 2022, l'armée ukrainienne avait préparé en secret un assaut qui avait abouti à la reconquête de la quasi-totalité de la région de Kharkiv, dans le nord-est.
"Effet boomerang"
En Russie, depuis deux semaines, les incursions et les bombardements se multiplient dans la région de Belgorod, frontalière de l'Ukraine, revendiqués par des combattants se présentant comme étant des Russes qui luttent aux côtés des Ukrainiens. Les frappes y ont fait plusieurs morts et des dizaines de blessés parmi les civils.
Dans la dernière opération en date, dimanche, l'un de ces groupes baptisé "Légion Liberté de la Russie" a fait des prisonniers qui doivent être remis à Kiev. Une douzaine de détenus, dont deux blessés, sont visibles dans une vidéo. C'est la première fois que des Russes sont capturés sur le territoire russe.
Le ministère russe de la Défense n'a fait aucun commentaire, affirmant seulement avoir repoussé une nouvelle incursion dimanche. Les combats se sont concentrés ces derniers jours autour de Novaïa Tavoljanka et Chebekino, près de la frontière, forçant des milliers de civils à fuir vers Belgorod, la capitale régionale.
"Que se passe-t-il exactement dans la région de Belgorod en ce moment? C'est simple, c'est un effet boomerang", a écrit sur Twitter Mykhaïlo Podoliak, en répétant que l'Ukraine n'était "pas impliquée dans ces attaques".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'abbé Pierre visé par 12 nouvelles accusations de violences
Un an après les premières révélations, l'abbé Pierre est visé par douze nouvelles accusations de violences sexuelles. "Sept concernent des personnes mineures" au moment des faits, selon un rapport du cabinet spécialisé Egaé, publié mercredi.
Figure iconique de la défense des démunis, Henri Grouès, décédé en 2007, est désormais visé par 45 accusations de violences sexuelles.
Pour ces victimes, Emmaüs et la Conférence des évêques de France (CEF) ont "décidé conjointement la mise en place d'un dispositif de réparation financière", précise Emmaüs dans un communiqué.
Parmi les témoignages anonymisés, le rapport cite ceux de deux soeurs dont l'une a "fait état d'une masturbation de l'abbé Pierre sur son sexe alors qu'elle venait d'avoir 11 ans", au milieu des années 70. Sa soeur "lui a confié avoir subi une fellation forcée à ses 15 ans", ce qui relève du viol.
"Tout imaginé"
Une autre victime a décrit dans un courriel "au moins trois faits de violences sexuelles lorsqu'elle avait 10 ans" dans les années 1990, selon le compte-rendu d'activité de la ligne d'écoute dédiée aux victimes de l'abbé Pierre entre janvier 2025 et juillet 2025.
Une autre encore, âgée de 17 ans à l'époque, "a subi un contact entre ses cuisses, sous sa jupe" alors qu'elle voyageait en train dans le wagon de l'abbé Pierre en 1953. A son arrivée, les soeurs qui l'ont accueillie "lui ont dit qu'elle avait tout imaginé", rapporte le cabinet.
Fonds de réparation financé par Emmaüs
Le dispositif de réparation financière pour sa part "sera porté par la commission reconnaissance et réparation (CRR)", une instance mise en place par la CEF après les révélations, en 2021, sur la pédocriminalité dans l'Eglise depuis les années 50, précise le communiqué.
Ce dispositif, opérationnel à compter de septembre 2025, "sera entièrement financé par les fonds propres du mouvement Emmaüs et ceux de la CEF".
Le principe est celui de "responsabilité partagée" car "à partir de 1954, l'abbé Pierre devient une figure publique associée à la fois à son sacerdoce et à son rôle dans la fondation d'Emmaüs", ajoute le communiqué.
L'autre instance de réparation mise en place par l'Eglise, l'Inirr, s'est elle engagée "prendre en charge la réparation pour les trois victimes de l'abbé Pierre qui l'ont déjà contactée", assure Emmaüs.
La CRR et l'Inirr recueillent les témoignages de victimes et proposent une réparation financière pouvant aller jusqu'à 60'000 euros.
Rapport attendu début 2027
Dans le "travail de transparence" engagé depuis la révélation des premières accusations, en juillet 2024, Emmaüs rappelle avoir créé en interne une commission de recherche dont le rapport est attendu "début 2027".
"Désormais, une nouvelle phase s'ouvre, avec un dispositif complet au service des victimes", assure l'association de lutte contre la pauvreté
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
Gaza: au moins 22 morts dans de nouvelles attaques d'Israël
La Défense civile de Gaza a fait état mercredi de 22 personnes tuées, dont six enfants, dans des bombardements israéliens sur le territoire palestinien dévasté par 21 mois de guerre.
Les nouveaux bombardements israéliens ont touché le sud et le centre de la bande de Gaza, ainsi que deux zones du nord, notamment un camp de réfugiés en bordure de la ville de Gaza, a précisé à l'AFP Mahmoud Bassal, porte-parole de cet organisme de premiers secours.
Sollicitée par l'AFP, l'armée israélienne a dit se renseigner sur les faits rapportés par M. Bassal.
"L'explosion a été massive, comme un tremblement de terre", a dit au téléphone à l'AFP Zouhair Joudeh, 40 ans, un habitant du camp de réfugiés d'al-Chati, où dix personnes ont été tuées, dont six enfants, selon la Défense civile.
"Les corps et les restes des martyrs ont été éparpillés", a-t-il ajouté. "On ne sait pas quand ils vont frapper ni pourquoi, il ne nous reste qu'à nous en remettre à Dieu", commente une voisine, Abir Charbassi, 36 ans.
Hôpital hors-service faute de carburant
Une foule en larmes s'est rassemblée à l'hôpital Al-Chifa, à Gaza-ville, après la frappe.
Le directeur de cet important complexe médical, Mohammad Abou Salmiya, a déclaré mercredi matin aux journalistes qu'il serait "complètement hors-service dans quelques heures en raison de la pénurie de carburant".
Le système de santé s'est effondré dans le territoire palestinien en raison de l'offensive militaire israélienne et des restrictions imposées par Israël sur l'entrée des denrées dans le territoire.
"Extrêmement fatigués"
L'autre bombardement a eu lieu dans le sud du territoire palestinien, à al-Mawassi, près de Khan Younès.
"Nous sommes extrêmement fatigués. Chaque jour, ils parlent d'un cessez-le-feu, mais les massacres continuent", a déclaré Oum Ahmed, au milieu de tentes de fortune sens dessus dessous.
Plusieurs enfants blessés ont été transportés dans la nuit à l'hôpital Nasser de Khan Younès, où une femme était assise dans un coin de l'établissement, le regard dans le vide, entre deux brancards maculés de sang.
Médias empêchés de travailler par Israël
Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël dans la bande de Gaza et des difficultés d'accès sur le terrain, l'AFP n'est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.
Médecins Sans Frontières (MSF) a déclaré mercredi qu'une récente enquête sur la mortalité menée auprès de son personnel et de leurs familles à Gaza corroborait les chiffres fournis par le ministère de la Santé du territoire qui affirme que 57'680 personnes ont été tuées depuis le début de la guerre, dernier épisode du très long conflit israélo-palestinien déclenché par l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.
Mortalité des enfants multipliée par 10
Cette ONG a indiqué que le taux de mortalité avait été multiplié par dix pour les enfants de moins de cinq ans par rapport aux estimations d'avant le 7 octobre 2023.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Des bons en euros pour lutter contre l'exode frontalier
Afin de rester attractive auprès des travailleurs, frontaliers ou non Varèse propose jusqu'à 6000 euros en bons d'achat à ces derniers. La chambre de commerce locale a confirmé un article du "Corriere del Ticino" à ce sujet.
La ville de Varèse, située à une quinzaine de kilomètres de la Suisse, a déclaré la guerre à la fuite des cerveaux. "Vieni a Vivere a Varese" est le slogan de l'initiative de la chambre de commerce locale. L'appel d'offres "Viens à Varèse", lancé dès la mi-septembre, s'adresse aux jeunes, aux travailleurs et aux familles, a expliqué un porte-parole de la chambre de commerce interrogé par l'agence de presse Keystone-ATS.
Concrètement, l'appel d'offres porte sur un volume total de 300'000 euros et prévoit des contributions allant jusqu'à 6000 euros sur trois ans. Les bons peuvent être utilisés pour des biens et des services dans la province de Varèse et sont destinés aux jeunes de 18 à 40 ans.
Les travailleurs doivent présenter un contrat de travail avec une entreprise enregistrée auprès de la chambre de commerce ainsi que transférer leur domicile dans la province de Varèse dans les 90 jours suivant le début de leur travail. L'objectif: qu'ils s'installent "durablement" dans la région de Varèse, comme le précise l'appel d'offres.
Proximité difficile avec Milan et la Suisse
La province de Varèse compte parmi les régions italiennes les plus importantes sur le plan industriel. Selon le rapport paru dans le quotidien tessinois "Corriere del Ticino", il y a 50 entreprises par kilomètre carré. Le produit intérieur brut s'est élevé l'année dernière à près de 28 milliards d'euros.
Malgré cela, de nombreuses branches luttent contre d'importantes pénuries de personnel - selon le porte-parole de la chambre de commerce, notamment dans l'industrie, le secteur des services, le tourisme et l'hôtellerie-restauration. Cette pénurie de main-d'½uvre qualifiée, associée à un taux de fluctuation élevé, entraînerait un déficit structurel. Selon les experts, la proximité de Milan et de la frontière suisse influence également fortement le marché du travail de la province de Varèse.
Fin 2024, selon les recherches du "Corriere del Ticino", 392'000 personnes travaillaient dans la province de Varèse, dont environ 30'000 frontaliers, soit près de huit pour cent de la population active. Au total, 78'433 "frontaliers" étaient employés au Tessin au premier trimestre de l'année en cours.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
France: le parti d'extrême droite RN perquisitionné
Une perquisition était en cours mercredi au siège du parti d'extrême droite français Rassemblement national (RN) dans le cadre d'une enquête pour financement illicite des campagnes électorales en 2022 et 2024. Son président a dénoncé un "acharnement".
La perquisition était menée au siège du parti à Paris par "une vingtaine de policiers de la brigade financière" et "deux juges d'instruction", a annoncé sur X le président du RN, Jordan Bardella.
Elle a démarré à 08h50, a-t-il ajouté, dénonçant un "acharnement" et une "opération spectaculaire et inédite" s'inscrivant selon lui "dans une nouvelle opération de harcèlement".
Le parquet de Paris a confirmé l'information et précisé que d'autres perquisitions avaient été menées simultanément dans des sociétés et au domicile de leurs dirigeants.
Document saisis
Jordan Bardella a expliqué que "tous les courriels, documents et éléments de comptabilité" avaient été saisis, les "bureaux des dirigeants" du parti fouillés.
"L'intégralité des dossiers qui concernent les dernières campagnes régionales, présidentielles, législatives et européennes sont aujourd'hui entre les mains de la justice", a ajouté le député européen, pointant un "prétexte pour fouiller (son) bureau".
Ces perquisitions ont été menées dans le cadre d'une information judiciaire ouverte en juillet 2024 sur des soupçons de financement illégal de la campagne présidentielle de 2022 de la cheffe de file de l'extrême droite française Marine Le Pen et des législatives qui ont suivi ainsi que des européennes de 2024, a indiqué le parquet.
Prêts illégaux?
Ces investigations doivent "permettre de déterminer si ces campagnes ont été notamment financées grâce à des prêts illégaux de particuliers bénéficiant au parti ou à des candidats du Rassemblement National, ainsi que par des surfacturations de prestations ou des facturations de prestations fictives ayant été intégrées par la suite dans les demandes de remboursement forfaitaire par l'Etat des dépenses de campagne", a ajouté le parquet.
Marine Le Pen a été condamnée en France dans une affaire distincte, dite des assistants parlementaires européens, notamment à une peine d'inéligibilité. Elle a fait appel mais M. Bardella pourrait être appelé à la remplacer à la présidentielle de 2027 si elle venait à être de nouveau déclaré inéligible lors d'un second procès.
La cour d'appel de Paris s'est engagée à rendre sa décision à l'été 2026. Mme Le Pen a par ailleurs annoncé mardi qu'elle avait saisi la Cour européenne des droits de l'homme pour contester cette peine d'inéligibilité.
"Une farce"
"Soupçonner d''exercice illégal de la profession de banquier'" nos militants - souvent âgés, honnêtes, engagés - qui prêtent au RN faute de banque prête à le faire, c'est une farce", a encore estimé M. Bardella.
L'enquête s'appuie sur un signalement de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) pour des prêts accordés par des particuliers au mouvement d'extrême droite.
Ces prêts sont autorisés, selon des conditions précises et avec un plafond, mais le RN est "le parti qui les a le plus utilisés", avait expliqué début juillet le président de la CNCCFP, Christian Charpy.
Ces dernières années, le parti a "concentré une forte majorité" de ce type d'emprunts: 613 en 2021 sur un total de 764 tous partis confondus, puis 425 en 2022 (sur un total de 492) et encore 96 en 2023 (sur un total de 123), selon ce responsable.
Au total, le RN affichait fin 2023 plus de 20 millions d'encours à rembourser "auprès de personnes physiques", le plus ancien remontant à 2007. "Il est essentiel que ces prêts soient remboursés, sinon ce sont des dons déguisés", avait souligné M. Charpy.
Actualité judiciaire du RN alourdie
Ces perquisitions alourdissent l'actualité judiciaire autour du RN. Outre la condamnation de Mme Le Pen, le parquet européen a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur la famille politique à laquelle appartenait le Rassemblement national au Parlement européen avant 2024 pour diverses irrégularités financières.
De nombreux cadres du RN ont repris mercredi l'argumentaire utilisé au moment de la condamnation de Marine Le Pen, criant au "harcèlement" et à la "peur" de voir le parti remporter la présidentielle. Il s'agissait "probablement de connaître nos secrets de fabrication et les futures stratégies pour les municipales, les législatives qui pourraient arriver et la présidentielle", a laissé entendre Laurent Jacobelli, le porte-parole du RN.
"Le Système sombre dans les basses oeuvres", a commenté sur X le président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale (chambre basse du Parlement), Jean-Philippe Tanguy. "Les institutions sont dévoyées par des bandes qui veulent garder le pouvoir à tout prix !", a-t-il lancé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
SuisseIl y a 3 jours
Un père tue sa femme et son bébé près de Fribourg
-
ClimatIl y a 3 jours
Texas: plus de 80 morts dans les inondations, l'espoir s'amenuise
-
FootballIl y a 3 jours
14'000 supporters défilent en ville de Berne
-
LausanneIl y a 2 jours
Les "Seniors en forme" reviennent cet été
-
InternationalIl y a 2 jours
Theres Rösti parle de sa vie au côté d'un conseiller fédéral
-
InternationalIl y a 2 jours
Australienne coupable d'un triple meurtre aux champignons vénéneux
-
ClimatIl y a 2 jours
Texas: 27 personnes du camp de vacances dévasté décédées
-
InternationalIl y a 2 jours
France: le député LR Olivier Marleix a mis fin à ses jours