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Économie

Le SSP met sa menace à exécution: il y aura grève vendredi matin

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Le personnel de Genève Aéroport a manifesté jeudi matin en marge d'une séance du Conseil d'administration. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les employés de Genève Aéroport seront en grève vendredi matin dès 4h00. Le conseil d'administration de Genève Aéroport a approuvé jeudi la nouvelle politique salariale qui est fermement contestée par le Syndicat des services publics (SSP).

La grève est prévue entre 4h00 et 10h00, a précisé à Keystone-ATS Jamshid Pouranpir, secrétaire syndical au SSP. La suite du mouvement sera décidée par les assemblées de grévistes. D'importantes perturbations sont à prévoir pour les voyageurs.

Cette grève qui intervient au premier jour des vacances est regrettable, selon Genève Aéroport. L'aéroport fera tout pour en limiter l'impact, mais en temps voulu, "la direction de Genève Aéroport décidera d'un arrêt temporaire des opérations afin de garantir un haut niveau de sécurité pour tous les opérateurs de la plateforme".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Économie

Nurissa propose un label santé et écoresponsable pour ses snacks

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Les snacks vendus par Nurissa dans les distributeurs en entreprise sont désormais labellisés. (© KEYSTONE/EPA/LAWRENCE LOOI (STF))

Des labels de qualité pour les snacks et les boissons des distributeurs: à la demande des entreprises clientes, la société biennoise Nurissa propose un système d'étiquetage incitant le consommateur à se restaurer de façon "plus responsable".

L'initiative émane des clients, soucieux de répondre à leur cahier des charges en matière de durabilité et de santé, a expliqué mardi devant les médias à Bienne Joël Pauli, le directeur de Nurissa, société qui fournit snacks et boissons dans quelque 5000 entreprises de tout le pays.

Le concurrent de Selecta a mandaté la Haute école des sciences agronomiques, forestières et alimentaires (HAFL) bernoise pour élaborer un concept d'évaluation des snacks et boissons froides pour 130 produits. Résultat: 42% obtiennent le label santé "Nuri health" et 52% la caution environnement "Nuri planet".

Parmi les critères de ce qui s'apparente à un Nutriscore figurent la teneur en sucre et en sel, celle en huiles végétales "saines" ou en protéines, l'impact sur la déforestation (mauvais points pour les snacks chocolatés), la valeur ajoutée locale, l'origine des ingrédients... L'ensemble débouche sur des bonus et des malus dont la différence, au final, décide de l'octroi de deux labels, d'un seul ou d'aucun.

"Souvent, les produits qui marchent le mieux sont aussi les moins sains ou les moins 'durables'", reconnaît Joël Pauli. L'idée n'est pas de les remplacer mais d'inciter progressivement les consommateurs - puisque tel est le voeu des entreprises où sont installés les distributeurs - à faire davantage attention à la qualité de leurs en-cas.

A noter que les scores déterminant les labels ne sont pas des valeurs absolues mais résultent d'une comparaison avec un assortiment témoin.

Coup dur pour le chocolat

Un coup de pouce des entreprises clientes est envisagé, qui sont appelées à subventionner, à hauteur par exemple de 50 centimes, les produits labellisés, souvent plus chers à la base.

Concrètement, les produits qui n'obtiennent pas grâce aux yeux de la HAFL sont les boissons sucrées style Coca-Cola classique ou Fanta ainsi que toutes les barres ou snacks chocolatés (zéro label). En revanche, les petits paquets de pommes séchées, le thé froid bio ou même les chips (certes très salées mais sans impact environnemental) sont labellisés et clairement identifiées comme telles sur les distributeurs. "Notre assortiment est évolutif", a encore souligné Joël Pauli.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Seize entreprises d'IA prennent de nouveaux engagements

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Plusieurs entreprises mondiales d'intelligence artificielle (IA), dont les représentants sont réunis à Séoul, ont pris des engagements pour assurer le développement en toute sécurité de cette science. (© KEYSTONE/AP/Ahn Young-joon)

Seize des principales entreprises mondiales d'intelligence artificielle (IA), dont les représentants sont réunis mardi à Séoul, ont pris de nouveaux engagements pour assurer le développement en toute sécurité de cette science, a annoncé le gouvernement britannique.

"Ces engagements garantissent que les principales entreprises d'IA du monde feront preuve de transparence et de responsabilité quant à leurs projets de développement d'une IA sûre", a déclaré le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, dans un communiqué publié par le ministère britannique de la Science, de l'Innovation et de la Technologie.

L'accord, signé notamment par OpenAI (ChatGPT), Google DeepMind et Anthropic, s'appuie sur les consensus atteint lors du premier "sommet" mondial sur la sécurité de l'IA, l'an dernier à Bletchley Park, au Royaume-Uni. Ce second "sommet" à Séoul est organisé conjointement par les gouvernements sud-coréen et britannique.

Les entreprises d'IA qui n'ont pas encore rendu publique la façon dont elles évaluent la sécurité des technologies qu'elles développent s'engagent à le faire.

Risques "intolérables"

Il s'agit notamment de déterminer quels sont les risques "jugés intolérables" et ce que les entreprises feront pour s'assurer que ces seuils ne sont pas franchis, explique le communiqué.

Dans les circonstances les plus extrêmes, les entreprises s'engagent également à "ne pas développer ou déployer un modèle ou un système" si les mesures d'atténuation ne permettent pas de maintenir les risques en deçà des seuils fixés". Ces seuils seront définis avant le prochain "sommet" sur l'IA, en 2025 en France.

Parmi les entreprises qui acceptent ces règles de sécurité figurent également les géants américains de la technologie Microsoft, Amazon, IBM et Meta, le français Mistral AI et le chinois Zhipu.ai.

Le succès fulgurant de ChatGPT peu après sa sortie en 2022 a déclenché une ruée dans le domaine de l'IA générative, les entreprises technologiques du monde entier investissant des milliards de dollars dans le développement de leurs propres modèles.

Avantages et risques

Les modèles d'IA générative peuvent produire du texte, des photos, du son et même des vidéos à partir de simples invites. Leurs partisans les présentent comme une percée qui améliorera la vie des citoyens et des entreprises dans le monde entier.

Mais les défenseurs des droits humains et les gouvernements craignent aussi leur utilisation à mauvais escient dans un grand nombre de situations, notamment pour manipuler les électeurs par le biais de fausses nouvelles ou de photos et de vidéos "deepfake" de dirigeants politiques.

Beaucoup exigent que des normes internationales soient instituées pour encadrer le développement et l'utilisation de l'IA.

"Le domaine de la sécurité de l'intelligence artificielle évolue rapidement et nous sommes particulièrement contents de soutenir les engagements" pris à l'occasion de ce sommet dans ce domaine, a déclaré Anna Makanju, vice-président d'OpenAI pour les affaires globales, dans un communiqué annonçant les nouveaux engagements mardi.

Accusée par l'actrice Scarlett Johansson d'avoir volontairement et à son insu copié sa voix, l'entreprise avait annoncé peu avant qu'elle allait en changer la tonalité, quelques jours seulement après la dissolution de son équipe en charge d'atténuer les éventuels dangers à long terme d'une IA trop intelligente.

L'annonce avait été marquée par le départ d'un des cofondateurs de l'entreprise, Ilya Sutskever, ainsi que du responsable de l'équipe, Jan Leike.

Outre la sécurité, le "sommet" de Séoul examinera comment les gouvernements peuvent contribuer à stimuler l'innovation (notamment la recherche sur l'IA dans les universités) et comment la technologie pourrait contribuer à résoudre des problèmes tels que le changement climatique et la pauvreté.

La réunion de Séoul, qui dure deux jours, se tient partiellement de façon virtuelle, certaines séances se déroulant à huis clos tandis que d'autres sont ouvertes au public dans la capitale sud-coréenne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

WEF: la Suisse recule au 10e rang sur la compétitivité touristique

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La Suisse est encore moins compétitive sur les prix qu'avant la pandémie de Covid-19 (image d'illustration). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

La Suisse recule dans l'indice sur la compétitivité touristique du Forum économique mondial (WEF), pour s'établir à la 10e place. Dans un rapport, l'organisation estime que la branche dans le monde devrait retrouver cette année son activité d'avant la pandémie.

Dans l'indice, la Suisse retrouve son rang d'il y a cinq ans. Pendant la pandémie, elle avait mieux résisté que d'autres, arrivant en sixième place en 2021.

Elle reste parmi les premiers sur des questions comme l'environnement des affaires, le marché du travail, les infrastructures, qu'elles soient aériennes, terrestres et portuaires, ou la durabilité environnementale. En revanche, gros problème toujours pour elle, elle est encore moins compétitive sur les prix qu'auparavant.

Dans l'indice, les Etats-Unis devancent l'Espagne et le Japon. Le Moyen-Orient et l'Afrique subsaharienne arrivent en tête des taux de reprise des arrivées de touristes internationaux. Et les pays en développement ont avancé de leur côté, la Chine entrant pour la première fois dans les dix premiers.

Parmi les défis, la branche fait face aux incertitudes politiques, aux problèmes de durabilité et au manque de main d'oeuvre. L'augmentation de la demande et la levée des dernières restrictions liées à la pandémie devraient permettre à celle-ci de retrouver une part dans le Produit intérieur brut (PIB) similaire à celle d'avant le coronavirus.

L'année dernière, l'Europe, l'Afrique et le continent américain ont déjà atteint 90% de ce volume. Parmi les 30 premiers, environ 90% sont des pays riches et deux tiers se trouvent sur le continent européen. Et le WEF appelle à investir davantage pour une progression économique durable dans cette activité, notamment pour valoriser les ressources naturelles et réduire le décalage entre pays riches et en développement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Saison hivernale réussie pour les établissements d'hébergement

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Pour la saison estivale, un tiers des entreprises interrogées s'attend à un chiffre d'affaires plus élevé que l'année précédente (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

La saison d'hiver a été réussie pour les établissements d'hébergement suisses. Un peu plus de deux entreprises sur cinq (44%) ont augmenté leur chiffre d'affaires par rapport à l'hiver dernier, selon un sondage d'HotellerieSuisse.

La saison hivernale écoulée a dépassé la saison record 2022/2023, écrit dimanche HotellerieSuisse dans un communiqué. Pour un quart des entreprises interrogées toutefois, le chiffre d'affaires a été plus faible. Les établissements urbains étaient moins satisfaits que ceux situés dans les régions alpines.

Pour HotellerieSuisse, l'une des causes pourrait être la hausse du nombre de chambres et de lits en ville, qui a entraîné une baisse des taux d'occupation malgré un nombre record de nuitées.

Les établissements s'attendent à des chiffres globalement positifs pour l'été 2024. Là aussi, les prévisions sont plus mitigées dans les zones urbaines.

Pour les clients, la facture sera plus salée. La moitié des établissements interrogés ont augmenté leur prix par rapport à 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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