International
Un premier titre majeur pour Coco Gauff

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Coco Gauff tient son premier titre du Grand Chelem. La pépite américaine de 19 ans a remporté samedi l'US Open en battant le futur no 1 mondial Aryna Sabalenka 2-6 6-3 6-2 en finale.
Première Américaine à triompher à Flushing Meadows depuis Sloane Stephens en 2017, Coco Gauff disputait sa deuxième finale majeure après celle perdue en 2022 à Roland-Garros face à Iga Swiatek. Elle succède d'ailleurs à la Polonaise au palmarès de cette dernière levée du Grand Chelem de l'année.
Coco Gauff, qui avait cueilli son premier titre sur le circuit principal à l'âge de 15 ans (Linz 2019), couronne ainsi un fabuleux été nord-américain. Sortie dès le 1er tour à Wimbledon, elle a repris confiance en s'imposant à Washington puis surtout dans le WTA 1000 de Cincinnati où elle avait battu Iga Swiatek en demi-finale.
La récente arrivée de Brad Gilbert dans son entourage n'est certainement pas étrangère à son avènement, qui était attendu depuis son titre conquis à Linz. L'héritière désignée de la reine Serena Williams a parfaitement su répondre aux attentes durant cette quinzaine new-yorkaise.
Sabalenka craque
Coco Gauff avait pourtant la tête sous l'eau samedi après la perte du premier set. Mais, poussée par le public, elle a su attendre son heure dans une finale qui n'a pas atteint des sommets sur le plan technique. De plus en plus constante à l'échange, elle a vu son adversaire perdre peu à peu le fil de son tennis.
Aryna Sabalenka a, ainsi, commis pas moins de 32 fautes directes dans les deux derniers sets. La Bélarusse de 25 ans, qui pensait avoir passé un cap sur le plan mental en remportant l'Open d'Australie en janvier, a craqué dans une manche décisive dont elle a perdu les quatre premiers jeux.
Coco Gauff a certes vu son adversaire revenir à 4-2, mais elle a su serrer sa garde pour gagner huit des neuf derniers points. L'Américaine, qui grimpera au 3e rang mondial, a fondu en larmes après avoir lâché un passing gagnant sur sa première balle de match. Son destin est désormais en marche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Le Pakistan dit proposer Trump au Nobel de la paix
Le Pakistan a annoncé samedi avoir proposé Donald Trump au prix Nobel de la paix, un mois et demi après que le président américain a annoncé, à la surprise générale, un cessez-le-feu entre Islamabad et New Delhi.
Du 6 au 10 mai, les deux puissances nucléaires voisines et rivales depuis leur partition sanglante en 1947 avaient fait redouter au monde entier le point de non-retour.
Leur conflit s'était terminé par l'annonce sur le réseau social de M.Trump d'un cessez-le-feu obtenu, selon l'hôte de la Maison Blanche, à l'issue "d'une longue nuit de négociations organisées par les Etats-Unis".
Depuis, Islamabad ne cesse de saluer l'action de Washington, longtemps son grand partenaire militaire dans la "guerre contre le terrorisme" avant de se retirer d'Afghanistan et de délaisser la région.
Le Premier ministre indien Narendra Modi répète de son côté qu'il n'y a eu aucune médiation américaine pour parvenir au cessez-le-feu.
M.Trump, lui, assure être derrière une demi-douzaine d'accords de paix ou simplement le maintien de bonnes relations de voisinage ces dernières années et s'est plaint, dans un long message sur son réseau social dans la nuit, de ne pas avoir obtenu de prix Nobel pour cela.
Islamabad, qui a échappé de peu à la faillite en 2023 grâce à un énième prêt du Fonds monétaire international (FMI) ne cesse de lancer des appels du pied aux capitales étrangères, Washington en tête, espérant qu'elles investissent dans ses ressources minières.
De nouveau, mercredi, en déjeunant avec M.Trump à Washington, le chef de l'armée pakistanaise, le maréchal Asim Mounir, a proposé "un partenariat aux bénéfices mutuels" citant notamment "minerais", "cryptomonnaies" et "intelligence artificielle", autant de domaines dans lesquels M.Trump investit personnellement.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Les Suissesses veulent quitter Le Pirée la tête haute
L'équipe de Suisse est d'ores et déjà éliminée de la course aux quarts de finale de l'EuroBasket féminin.
Les joueuses du coach François Gomez feront tout pour quitter Le Pirée la tête haute samedi, même si leur ultime défi s'annonce quasi insurmontable.
Nancy Fora et ses coéquipières en découdront dès 16h30 avec la France, vice-championne olympique l'été dernier à Paris et présente sur le podium lors des huit derniers championnats d'Europe. Tout juste peuvent-elles espérer que les Bleues, déjà assurées de terminer en tête du groupe A, lèvent le pied après leurs succès face à la Turquie puis à la Grèce.
La Suisse n'a pas démérité jusque-là pour sa première participation à un Euro féminin depuis 1956. Mais elle n'a jamais pu croire en l'exploit dans ses deux premiers matches, tant mercredi face à la Grèce (87-65) que jeudi face à la Turquie (91-67).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
USA: Mahmoud Khalil libéré d'un centre de détention fédéral
Figure clé des manifestations propalestiniennes sur le campus de l'université Columbia, Mahmoud Khalil a été libéré vendredi soir après plus de trois mois de détention sur ordre d'un juge américain qui s'est dressé contre l'administration Trump.
"Trump et son administration ont choisi la mauvaise personne", a déclaré M.Khalil, revêtant un keffieh palestinien, à sa sortie du centre de détention pour immigrants de Jena, en Louisiane (sud) qu'il a qualifié de "musée témoignant des politiques racistes des Etats-Unis". "Personne ne devrait être écroué pour dénoncer un génocide", a-t-il ajouté.
Depuis son arrestation à New York le 8 mars, pour son rôle de porte-parole de la contestation contre la guerre à Gaza sur le campus new-yorkais, Mahmoud Khalil est devenu le symbole de la volonté du président américain Donald Trump de museler ce mouvement étudiant.
Après son interpellation par la police fédérale de l'immigration (ICE), Mahmoud Khalil, né en Syrie de parents palestiniens, titulaire d'une carte verte de résident permanent, avait été transféré à près de 2000 kilomètres dans ce centre en Louisiane.
La semaine dernière, le juge Michael Farbiarz du tribunal fédéral du New Jersey, près de New York, avait décrété que le gouvernement ne pouvait détenir M.Khalil en se basant sur les affirmations du secrétaire d'Etat Marco Rubio. Selon ce dernier, sa présence sur le sol américain posait "potentiellement des conséquences sérieuses pour la politique étrangère" américaine.
"Réduire au silence"
Mais le ministère de la Justice avait rétorqué qu'il ne serait "pas illégal" de détenir M.Khalil sur la base d'un autre motif d'accusation, ce qui avait poussé le juge à surseoir à sa libération.
Dans un nouveau rebondissement de cette saga juridico-politico-universitaire, le juge Farbiarz a ordonné vendredi la libération, le jour même, de M.Khalil. Une décision fustigée par l'administration Trump qui a accusé "le pouvoir judiciaire de miner la sécurité nationale".
En vertu de ces conditions de libération, M.Khalil ne sera pas autorisé à quitter le territoire américain, hormis dans le cas d'une démarche "d'auto-expulsion", et devra limiter ses déplacements à quelques Etats, dont celui de New York, où il réside, et celui du Michigan, d'où est originaire son épouse, qui a donné naissance à leur fils, Deen, alors qu'il était en détention.
"Après plus de trois mois, nous pouvons enfin pousser un soupir de soulagement et savoir que Mahmoud est sur le chemin du retour, auprès de moi et de Deen, qui n'aurait jamais dû être séparé de son père", a réagi son épouse Noor Abdalla, accusant le gouvernement Trump de "tenter de réduire au silence" ceux qui "dénoncent le génocide israélien à l'encontre des Palestiniens".
Cas emblématique
"Il s'agit d'une victoire, mais il n'aurait jamais dû être arrêté en premier lieu", a déclaré à l'AFP Elora Mukherjee, professeure de droit à l'université Columbia pour qui la mesure "obscure" évoquée pour écrouer Mahmoud Khalil n'avait "jamais" été utilisée auparavant, selon ses recherches, sur le titulaire d'un permis de résidence.
Emblématique, le cas de Mahmoud Khalil s'inscrit dans le cadre d'une charge du gouvernement Trump contre des universités qu'il accuse de ne pas avoir suffisamment protégé des étudiants juifs pendant les manifestations étudiantes contre la guerre dévastatrice d'Israël dans la bande de Gaza.
Et plus généralement contre une idéologie dite "woke", terme utilisé de manière péjorative par les conservateurs pour dénoncer ce qu'ils perçoivent comme un excès de militantisme en faveur des minorités.
L'ami de Mahmoud Khalil, Mohsen Mahdawi, cofondateur d'un groupe d'étudiants palestiniens à Columbia, avait été arrêté le 14 avril par des agents de l'ICE avant d'être libéré sous conditions deux semaines plus tard par une décision de justice.
Et début mai, un juge avait ordonné la libération de Rumeysa Ozturk, une doctorante turque de l'université Tufts dans le Massachusetts, arrêtée par des agents de l'ICE pour un article qu'elle avait cosigné dans son journal universitaire critiquant la façon dont son établissement gérait le mouvement de protestation contre la guerre menée par Israël dans la bande de Gaza.
Lors de la cérémonie de la remise des diplômes, fin mai, à Columbia, la présidente de l'université avait été copieusement huée par des étudiants qui lui reprochaient de ne pas avoir défendu Mahmoud Khalil, arrêté dans une résidence de l'université et de céder aux pressions de Trump.
En sens contraire, le président de l'université Harvard avait reçu une ovation monstre de ses étudiants pour avoir défendu les libertés d'expression et académique face à cette offensive de Washington.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Guerre Iran-Israël: les derniers développements
Voici les derniers développements samedi, au neuvième jour de la guerre entre l'Iran et Israël, marqué par une affirmation israélienne selon laquelle le programme militaire nucléaire iranien aurait été retardé d'au moins deux ans.
"Deux ou trois ans" de retard pour une éventuelle bombe iranienne
Israël estime avoir "déjà retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique, a déclaré le ministre des affaires étrangères israélien Gideon Saar dans un entretien au journal allemand Bild publié samedi, jugeant le résultat de l'offensive israélienne "très significatif".
"Campagne prolongée"
Israël doit se préparer à une "campagne prolongée" contre l'Iran, a déclaré le chef d'état-major de l'armée israélienne Eyal Zamir dans un message vidéo adressé aux "citoyens d'Israël", appelant la population à se préparer à "des jours difficiles".
Négocier "sans attendre"
L'Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ont exhorté l'Iran à négocier "sans attendre l'arrêt des frappes" israéliennes, après une rencontre à Genève avec le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi.
Ils ont appelé Téhéran "poursuivre les discussions avec les Etats-Unis" sur son programme nucléaire.
"Deux semaines"
Le président américain Donald Trump, qui s'était donné jeudi "deux semaines" pour décider d'une éventuelle participation militaire des Etats-Unis aux frappes contre l'Iran, a affirmé vendredi que cette date butoir était un "maximum" et qu'il pourrait prendre sa décision avant. "L'Iran ne veut pas parler à l'Europe. Ils veulent nous parler à nous. L'Europe ne va pas pouvoir aider sur ce sujet", a-t-il déclaré.
Pas de diplomatie avant l'arrêt de "l'agression"
M.Araghchi a affirmé, lui, que son pays était prêt à "envisager" un retour à la diplomatie avec les Etats-Unis "une fois l'agression" israélienne "stoppée".
"Nous sommes favorables à la poursuite des discussions avec l'E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni Ndlr) et l'Union européenne", a-t-il néanmoins dit.
Iran: 657 morts selon une ONG
Au moins 657 civils et militaires ont été tués et plus de 2000 blessés en Iran par les frappes israéliennes depuis le 13 juin, selon l'organisation Human Rights Activists News Agency (HRANA) basée aux Etats-Unis.
Explosions à Téhéran
Plusieurs explosions ont été entendues vendredi soir à Téhéran. Les défenses anti-aériennes ont été activées selon un média iranien.
L'armée israélienne a annoncé samedi avoir lancé avant l'aube une nouvelle vague de frappes aériennes "contre les infrastructures de stockage et de lancement de missiles dans le centre de l'Iran".
Inspections "incontestables"
Le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a assuré que son organisation pouvait "garantir", par un système d'inspections "incontestables", que l'Iran ne pourrait pas développer l'arme nucléaire.
"Une solution diplomatique est possible si la volonté politique est là. Des éléments d'un accord ont été discutés", a-t-il dit.
19 blessés à Haïfa
L'hôpital Rambam de Haïfa a annoncé avoir pris en charge 19 blessés, dont un dans un état grave, après des tirs de missiles iraniens sur cette ville du nord d'Israël.
Un 3e porte-avions américain vers le Moyen-Orient
L'USS Gerald Ford, le dernier-né des porte-avions américains, va prendre la semaine prochaine la route de l'Europe, a annoncé un responsable de la Marine, qui place ainsi un troisième porte-avions à proximité du Moyen-Orient.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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