International
Apple veut émerveiller avec de nouveaux iPhone
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Apple dévoile mardi sa nouvelle gamme d'iPhone, avec des puces et objectifs toujours plus performants. La dernière itération du smartphone de la marque à la pomme devrait probablement aussi présenter un port de chargement universel imposé par l'Union européenne (UE).
Ce n'est pas le genre d'innovations technologiques qu'Apple aime mettre en avant, mais une loi de Bruxelles impose aux fabricants d'appareils électroniques de doter tous les nouveaux smartphones, tablettes et appareils photo d'un port USB-C d'ici la fin 2024. "D'après les rumeurs, Apple va adopter l'USB-C cette année plutôt que d'attendre l'année prochaine pour se conformer aux régulations européennes", note Avi Greengart de Techsponential.
Une petite révolution pour l'écosystème de produits et services d'Apple, qui s'intègre difficilement aux autres systèmes. "Cela va agacer beaucoup d'utilisateurs d'Apple (...) mais ils vont s'habituer, ils n'auront pas le choix", continue l'analyste.
Il y a deux ans, quand le texte était en discussion, le groupe américain avait tenté de s'y opposer. La marque à la pomme faisait valoir que sa technologie "Lightning" équipait plus d'un milliard d'appareils dans le monde et estimait que la nouvelle réglementation allait "étouffer l'innovation" et "nuire aux consommateurs".
Pour l'Union européenne, il s'agit au contraire de leur simplifier la vie et de réduire la quantité de déchets électroniques créés au fur et à mesure que les chargeurs deviennent obsolètes. "Le chargeur commun relève du bon sens, et il est à portée de main", s'est félicité mardi le commissaire européen Thierry Breton dans une déclaration transmise à l'AFP. La mesure est censée faire économiser chaque année 250 millions d'euros aux consommateurs européens.
Prix plus élevés
L'évènement marketing de mardi est baptisé "Wonderlust", un mot-valise qui combine "envie de voyager" et "émerveillement". Pré-enregistré et diffusé en ligne, il est généralement regardé en temps réel et en différé par des millions de personnes. Après un trimestre décevant pour les ventes d'iPhone et à l'approche des fêtes de fin d'année, l'entreprise a besoin de fasciner le public.
Surtout si ses produits deviennent plus onéreux, comme s'y attendent plusieurs observateurs du marché. "Apple devrait augmenter considérablement les prix des modèles "Pro" (professionnels, ndlr)", a prédit Yory Wurmser d'Insider Intelligence, "à cause des coûts de production plus élevés", entre inflation et chaîne d'approvisionnement saturées.
"Il sera intéressant de voir quelles fonctionnalités vont être mises en avant et si Apple réussit à justifier des prix plus importants", a-t-il ajouté. D'avril à juin, pour le troisième trimestre d'affilée, Apple a enregistré un repli de son chiffre d'affaires sur un an (-1,4%), à 81,8 milliards de dollars. En cause, des ventes en recul de 2,4% pour son produit phare, l'iPhone.
Pour l'analyste Dan Ives, c'est le bon moment pour augmenter les prix de la nouvelle gamme, alors que les puces informatiques gagnent en capacité et que les batteries durent toujours plus longtemps. Il table en outre sur des "promotions massives de la part des opérateurs américains au cours des prochains mois", qui devraient permettre d'écouler "davantage d'iPhone et d'atténuer l'impact d'une légère augmentation de prix".
1,2 milliard
Apple dispose d'une "base installée en or", rappelle l'expert de Wedbush, évoquant la fidélité des utilisateurs des appareils de la marque. Or, précise-t-il, "nous estimons qu'environ 25% du 1,2 milliard de personnes qui ont des iPhone n'ont pas mis à jour leur combiné depuis 4 ans". Dan Ives n'est pas inquiet non plus au sujet des mauvaises nouvelles venues de Chine.
Des informations selon lesquelles Pékin a interdit l'usage de l'iPhone dans certaines administrations et entreprises d'Etat ont fait chuter le titre du groupe américain à la Bourse de New York la semaine dernière. Si elles étaient étendues, de telles mesures représenteraient un défi pour Apple, alors que la Chine est son plus gros marché à l'étranger, mais aussi pour une grande part, son principal centre de production.
Sur deux jours, l'action a perdu plus de 6%, faisant fondre sa capitalisation boursière de plus de 200 milliards de dollars, à 2.776 milliards. "Cette interdiction de l'iPhone par le gouvernement chinois est largement exagérée", a jugé Dan Ives. "Moins de 500.000 iPhone devraient être vendus en Chine au cours des 12 prochains mois, sur un total d'environ 45 millions".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Football
Ivan Rakitic prend sa retraite à 37 ans
Ivan Rakitic a annoncé lundi qu'il raccrochait les crampons, à 37 ans, au terme d'une dernière saison au Hajduk Split.
Le natif de Rheinfelden, ex-joueur du FC Barcelone notamment, avait démarré sa carrière professionnel au FC Bâle en 2005/2006.
"Cher football, tu m'as offert plus que ce dont je n'aurais jamais pu rêver. Des amis, des émotions, des joies et des pleurs. (...) Maintenant, c'est le moment de te dire au revoir. Car même si je m'éloigne de toi, toi, tu ne t'éloigneras jamais de moi. Merci, football", a déclaré le milieu de terrain dans une lettre sur Instagram retraçant sa carrière.
L'international croate (106 sélections), qui avait été international suisse M21 avant de décider de représenter la Croatie, démentait jusqu'ici vouloir prendre sa retraite. Il va clore une riche carrière de 20 ans remplie de succès, dont une Ligue des champions avec le Barça en 2015, et deux Europa Leagues avec le Séville FC (2014, 2023).
Reconversion à Split?
Milieu de terrain élégant, compère du magicien du Real Madrid Luka Modric en sélection, Rakitic fut l'un des piliers de la génération dorée croate, finaliste malheureuse du Mondial 2018 face à l'équipe de France. Formé au FC Bâle, qu'il avait quitté en 2007 après un sacre en Coupe de Suisse pour rejoindre Schalke, l'ex-numéro 4 barcelonais était sur le déclin depuis son départ de Séville en 2024.
Rakitic a effectué cette saison une dernière pige au Hajduk Split, après seulement huit rencontres disputées à Al-Shabab en Arabie saoudite. Selon la presse espagnole, il pourrait se reconvertir comme directeur sportif de Split, mais le club croate n'a encore rien annoncé.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Au Kenya, tension et déploiement policier massif
Les rues étaient vides et la tension élevée lundi à Nairobi, capitale d'habitude dynamique du Kenya. Les principales voies d'accès ont été coupées en amont d'une nouvelle journée de manifestations antigouvernementales.
La Journée Saba Saba ("sept, sept" en swahili, pour 7 juillet) commémore chaque année le soulèvement du 7 juillet 1990, lorsque les Kényans ont manifesté pour l'instauration du multipartisme, au coeur des années sombres du régime autocratique de Daniel arap Moi.
Cette année, cet hommage se conjugue à la vague de contestation qui secoue depuis un an le pays contre les taxes, la corruption, les disparitions forcées et les brutalités policières sous la présidence de William Ruto.
Lundi à la mi-journée, les manifestants semblaient peu nombreux dans les rues désertées du centre-ville, haut-lieu des rassemblements ces derniers mois. Des journalistes de l'AFP ont vu un groupe de policiers tirer des gaz lacrymogènes face à une cinquantaine de jeunes hommes, dont certains leurs jetaient des pierres.
"Au chaud à la maison"
Plus tôt dans la matinée, sous une fine bruine, seuls quelques passants, boda-boda (motos-taxis) et policiers étaient visibles dans ce hub de l'économie et du pouvoir politique. "Je n'ai jamais vu le centre-ville comme ça", a déclaré à l'AFP Edmond Khayimba, un agent de sécurité de 29 ans.
Hanifa Adan, une des figures de ce mouvement décentralisé, a rallié sur X le fait qu'il pleuve sur la police "tandis que nous restons au chaud à la maison." Les télévisions locales montraient des rassemblements limités en périphérie de la capitale et dans quelques villes du pays, la police y ayant parfois déployé des canons à eau.
"Ruto ne délivre pas"
Les dernières manifestations du 25 juin, au départ pacifiques, ont tourné à la violence, des jeunes affrontant à coups de jets de pierres la police, qui a répliqué par de grandes quantités de gaz lacrymogènes et de grenades assourdissantes.
Dix-neuf personnes ont été tuées et 500 autres arrêtées, l'exécutif affirmant avoir "déjoué un coup d'Etat", tandis que les manifestants accusent les autorités de payer des vandales armés pour discréditer leur mouvement. Le 25 juin devait rendre hommage aux dizaines de victimes du vaste mouvement citoyen de 2024, qui avait culminé avec, le même jour, une brève prise du Parlement par les manifestants.
Ces jeunes de la "Generation Z", pour beaucoup urbains, éduqués et connectés, réclamaient le retrait d'une loi budgétaire controversée ainsi que le départ du président Ruto, élu en 2022 sur la promesse de défendre les plus démunis après des années de difficultés économiques.
"Le gouvernement devrait être responsable. Les jeunes manifestent pour beaucoup de choses comme l'accès à la santé", affirme lundi Rogers Onsomu, un boda-boda de 32 ans venu pour travailler. "Ce que (Ruto) a promis au pays, il ne le délivre pas. Ce slogan de 'Ruto doit partir' nous ne le lâcherons pas, nous le ferons vivre chaque jour", ajoute-t-il cependant.
Années 1990
Les violences policières entachent l'image du Kenya, pays d'Afrique de l'Est d'environ 55 millions d'habitants, considéré comme l'un des rares Etats stables et démocratiques dans une région troublée.
Les organisations de défense des droits humains, notamment Human Rights Watch (HRW) et Amnesty, ont critiqué la réponse des autorités, tandis que les Nations unies ont déploré les violences, appelant au calme et à l'ouverture d'enquêtes "indépendantes et transparentes".
Dimanche, un gang armé a attaqué le siège de la Commission kényane des droits humains, où se tenait une conférence de presse appelant à la fin des brutalités policières. Pour l'analyste Gabrielle Lynch, spécialiste de l'Afrique à l'université britannique de Warwick, la réponse étatique rappelle celle de l'époque de Saba Saba.
Le pouvoir avait alors arrêté plus de 1000 personnes, détenues pour certaines pendant deux ans, selon Amnesty International. "Mais nous ne sommes plus dans les années 1990", pointe Mme Lynch. "Ils ne semblent pas avoir compris que le monde avait changé".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Apple fait appel contre une amende de 500 millions d'euros
Le groupe américain Apple a annoncé lundi avoir interjeté appel devant la justice de l'UE de l'amende de 500 millions d'euros (467 millions de francs) infligée en avril par Bruxelles pour des clauses abusives dans sa boutique App Store.
"Nous avons interjeté appel aujourd'hui, car nous estimons que la décision de la Commission européenne - et son amende sans précédent - vont bien au-delà de ce que la loi exige", a expliqué dans un communiqué le géant californien.
"La Commission impose des conditions commerciales qui sont source de confusion pour les développeurs et néfastes pour les utilisateurs", a-t-il ajouté.
Le 24 avril, Apple s'était vu infliger une amende de 500 millions d'euros pour des clauses abusives dans sa boutique d'application App Store, au détriment des fournisseurs d'applications et de leurs clients.
Avec le géant des réseaux sociaux Meta, visé le même jour par une amende de 200 millions d'euros pour infraction à la concurrence, Apple est ainsi concerné par les premières sanctions prononcées dans le cadre du nouveau règlement européen sur les marchés numériques (DMA). Ce règlement est entré en vigueur l'an dernier pour mettre fin aux abus de position dominante des géants de la tech.
Se disant "injustement ciblé", Apple avait annoncé aussitôt son intention de faire appel tout en poursuivant le dialogue avec les régulateurs.
Apple et Meta, tout comme l'autre géant du secteur Alphabet (Google), font l'objet de multiples procédures pour abus de position dominante, tant en Europe qu'aux Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Procès des effondrements à Marseille: prison ferme prononcée
Au procès des effondrements mortels de la rue d'Aubagne à Marseille en 2018, qui avaient fait huit victimes, trois des copropriétaires poursuivis ont été condamnés lundi à de la prison ferme. L'un des condamnés est un élu régional.
Xavier Cachard, élu au conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur, a été condamné à quatre ans de prison dont deux ferme à effectuer sous bracelet électronique. De même que Gilbert Ardilly, l'un des propriétaires de l'appartement du 1er étage du 65 rue d'Aubagne où vivait une famille comorienne avec un enfant de huit ans.
Sébastien Ardilly, son fils, a été condamné à trois ans de prison dont un an ferme, là aussi sous bracelet électronique, et sa mère Martine à trois ans de prison avec sursis intégral. Les deux parents étaient absents lors de l'audience.
"Le tribunal retient que vous étiez personnellement informés des désordres graves" au numéro 65 de la rue d'Aubagne et que "vous avez fait preuve d'une indifférence totale en exécutant pas les travaux" nécessaires, a commencé le président Pascal Gand, s'adressant à Sébastien Ardilly.
"Ces fautes ont causé de façon indirecte et certaine la mort d'Ouloume Saïd Hassani", une mère comorienne démunie qui vivait dans cet appartement du centre-ville de Marseille avec ses deux fils, qui ont eux survécu et étaient présent dans la salle.
Malaise en direct
Pendant que le magistrat énumérait ces fautes - travaux non réalisés dans le plancher, le plafond, fils électriques apparents, punaises de lit - Sébastien Ardilly a fait un malaise et l'audience a du être suspendue une quarantaine de minutes le temps que les pompiers lui prodiguent des soins.
Dans une salle bondée du tribunal judiciaire de Marseille, le président avait auparavant commencé par relaxer six prévenus, trois copropriétaires du numéro 65 de la rue d'Aubagne et le bailleur social et deux de ses anciens dirigeants qui géraient le numéro 63 inoccupé.
"Plus jamais"
Avant le début du jugement, plusieurs dizaines proches des huit victimes et militants se sont rassemblés. Il faut "que ce drame là ne se reproduise plus jamais" et que "la peur change de camp au niveau du logement aujourd'hui", a plaidé Anissa, de l'assemblée des délogés, rappelant qu'il y avait encore quelque 200 signalements d'immeubles en péril chaque mois à Marseille.
Six semaines de débats à l'automne avaient permis d'établir que les effondrements le 5 novembre 2018 des numéros 63 (vide) et 65 étaient inéluctables vu l'état du bâti. Mais aucune mise à l'abri des locataires du 65 n'avait été décidée et les travaux entrepris s'étaient avérés inefficaces voire contreproductifs.
Problèmes structurels
Au final, 16 personnes morales et physiques ont été jugées pour différents délits, notamment homicide involontaire par violation manifestement délibérée d'une obligation de sécurité, un délit punissable de cinq ans de prison maximum, et soumission de personnes vulnérables dont au moins un mineur à des conditions d'hébergement indigne, des faits qui peuvent valoir jusqu'à dix ans d'emprisonnement.
Le procureur, Michel Sastre, avait suivi les parties civiles sur ce point, estimant que les copropriétaires avaient bien "connaissance des problèmes structurels de l'immeuble", mais avaient "joué la montre" pour "dépenser le plus tard et le moins possible".
Il avait même requis à l'encontre de Xavier Cachard, qui avait au moment des faits la double casquette de propriétaire et avocat du syndic, la peine la plus lourde: cinq ans de prison dont trois ferme.
Des peines significatives avaient aussi été réclamées contre Richard Carta, l'expert-architecte (trois ans de prison dont deux ferme) et Julien Ruas (trois ans de prison), seul élu municipal poursuivi dans cette affaire qui avait jeté une lumière crue sur l'inaction de l'équipe de Jean-Claude Gaudin, dont le parti perdra la mairie deux ans plus tard face à une coalition gauche-écologistes-société civile.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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