International
Négociations en Suisse entre le PSOE et le parti de Puigdemont
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Des négociations entre des représentants de la gauche au pouvoir en Espagne et du parti indépendantiste catalan Junts de Carles Puigdemont ont commencé samedi en Suisse, probablement près de Genève. Elles se tiennent dans la plus stricte confidentialité.
La première rencontre "s'est bien déroulée", a dit le négociateur du parti socialiste (PSOE), Santos Cerdan, avant de quitter Genève pour Madrid. Ce proche du premier ministre Pedro Sanchez, cité par l'agence dpa, n'a pas fait de commentaires sur le contenu des discussions ni sur l'éventuelle présence de M. Puigdemont.
Le lieu exact des négociations, près de la cité de Calvin, n'a pas non plus été officiellement indiqué. Mais la télévision nationale espagnole RTVE et le journal El País ont annoncé qu'elles se déroulaient au bout du Léman.
confier au diplomate salvadorien Francisco Galindo Vélez le rôle de "coordinateur du mécanisme de vérification international" des négociations, a annoncé le PSOE. L'actuel ambassadeur du Salvador en Colombie et ancien ambassadeur à Paris a participé à la rencontre qui s'est tenue samedi près de Genève.
Donnant-donnant
Le secret entourant le lancement des négociations provoque une vive controverse en Espagne. En échange du soutien de ses députés à la reconduction au pouvoir mi-novembre de Pedro Sanchez, Junts per Catalunya a obtenu l'adoption prochaine d'une loi controversée d'amnistie pour les indépendantistes poursuivis par la justice mais aussi l'ouverture de négociations sur "la reconnaissance de la Catalogne comme nation".
Et en raison de leurs "divergences profondes" sur cette question et de leur "méfiance mutuelle", Junts et les socialistes se sont dotés, mentionne leur accord, d'un "mécanisme (...) international ayant pour fonction d'accompagner, vérifier et suivre tout le processus de négociation".
Carles Puigdemont avait fui l'Espagne après l'échec de la tentative de sécession de la Catalogne en 2017 pour échapper aux poursuites judiciaires.
"Mécanisme exceptionnel"
Selon la RTVE, les discussions seraient accompagnées par le Centre Henry Dunant pour le dialogue humanitaire (CHD). Cette organisation privée, basée à Genève, avait déjà accompagné la dissolution de l'organisation séparatiste basque ETA en 2018.
Pour la politologue Cristina Monge, de l'université de Catalogne, le choix de la Suisse ne doit rien au hasard. Selon elle, M. Puigdemont cherche "à mettre en scène" l'idée selon laquelle la crise catalane est un "conflit politique qui a besoin d'une médiation pour être résolu" et non une violation de la légalité par les séparatistes, qui ont organisé en 2017 un référendum malgré son interdiction par la justice avant de déclarer unilatéralement l'indépendance.
Interrogé jeudi sur la télévision publique, Pedro Sanchez a défendu l'idée d'une médiation internationale. "Ce mécanisme est exceptionnel", a-t-il reconnu mais la crise séparatiste en Catalogne qui constitue "l'un des principaux problèmes (...) vécus par ce pays depuis 45 ans" et la fin de la dictature franquiste en 1975 est "également exceptionnelle", s'est-il justifié.
"Si deux parties ne s'entendent pas et qu'une troisième nous accompagne (...), c'est une bonne nouvelle car cela peut nous aider à parvenir à un accord", a-t-il ajouté.
"Soumission"
Les positions des indépendantistes et des socialistes sur l'avenir de la Catalogne seront toutefois difficiles à rapprocher tant elles sont antagonistes.
Carles Puigdemont réclame à cor et à cri l'organisation d'un référendum d'autodétermination, une ligne rouge pour les socialistes qui rejettent une telle consultation contraire à la Constitution espagnole.
Ils prônent pour leur part un renforcement de l'autonomie de la riche région du nord-est de l'Espagne, peuplée de près de 8 millions d'habitants et déjà dotée de larges compétences. L'opposition de droite, qui va encore descendre dans la rue dimanche à Madrid, dénonce elle la "soumission" de Pedro Sanchez aux indépendantistes catalans.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / dpa
International
Giro: Carapaz vainqueur de la 11e étape, Del Toro reste en rose
L'Equatorien Richard Carapaz a remporté en solitaire la 11e étape du Tour d'Italie entre Viareggio et Castelnovo ne'Monti (186 km). Le maillot rose reste sur les épaules du Mexicain Isaac Del Toro.
Au terme de cette étape au profil montagneux dans les Apennins, Carapaz, vainqueur du Giro en 2019, a devancé de dix secondes le peloton des favoris emmené par le Mexicain Isaac del Toro.
Champion olympique 2021, l'Equatorien est parti en contre à neuf kilomètres de l'arrivée au moment où les cadors du général venaient de reprendre l'échappée de cinq coureurs qui a compté jusqu'à trois minutes d'avance à la faveur de la longue ascension du San Pellegrino in Alpe (1623 m), avec des portions à 20%.
Vendredi, la 12e étape emmènera les coureurs de Modène à Viadana sur 172 km. Aucune difficulté particulière n'étant au programme, les sprinters devraient pouvoir s'illustrer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Israël: le limogeage du chef du Shin Beth jugé "contraire à la loi"
La Cour suprême israélienne a jugé mercredi que la décision prise en mars par le gouvernement de limoger le chef de l'Agence de la sécurité intérieure (Shin Bet), Ronen Bar, était "contraire à la loi", dans un arrêt en réponse aux appels contre cette mesure.
"La Cour suprême a statué que la décision du gouvernement de mettre fin au mandat du chef du Shin Bet a été prise selon une procédure irrégulière et contraire à la loi", affirme la Haute Cour dans un arrêt de 58 pages.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Naf-Naf va demander son placement en redressement judiciaire
Les salariés de l'enseigne de prêt-à-porter Naf-Naf ont appris mercredi que leur direction allait demander le placement de l'entreprise en redressement judiciaire "en vue d'un plan de continuation", selon un document du CSE consulté par l'AFP.
"Le scénario catastrophe que nous redoutions se répète, moins d'un an après la reprise par le groupe turc Migiboy" dans la foulée d'un précédent redressement judiciaire, a indiqué la CFDT dans un communiqué. Le repreneur turc s'était engagé en juin 2024 à sauver 90% des emplois et conserver une centaine de boutiques en propre.
Contactée par l'AFP, la direction de Naf-Naf n'a pas répondu dans l'immédiat.
C'est lors d'un CSE extraordinaire tenu mercredi matin que les salariés de l'entreprise ont appris la nouvelle.
Crise du textile
Dans son avis du jour, le CSE se dit "profondément choqué par la demande de mise en redressement judiciaire, qui intervient moins d'un an après la reprise".
Le CSE dénonce une "dissimulation mensongère de la situation réelle de l'entreprise" ces derniers mois de la part de la direction.
"De nouveau, les salariés sont placés dans une situation d'incertitude extrême et voient leur emploi menacé", déplore la CFDT, selon laquelle Naf-Naf emploie quelque 700 personnes.
Ces nouvelles difficultés concernant Naf-Naf s'inscrivent dans un contexte particulièrement difficile pour les entreprises textiles en France, frappées par une violente crise depuis plusieurs années.
Camaïeu, Kookaï, Gap France, André, San Marina, Minelli, Pimkie, Comptoir des Cotonniers, Princesse Tam Tam, IKKS, Kaporal: nombreuses sont les marques qui ont fait les frais de cette tourmente.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Gaza: le pape appelle à laisser entrer une aide humanitaire décente
Le pape Léon XIV a lancé mercredi un "appel pressant" à laisser entrer "une aide humanitaire décente" à Gaza et à "mettre fin aux hostilités", "dont le prix atroce est payé par les enfants, les personnes âgées et les malades".
"La situation dans la bande de Gaza est de plus en plus préoccupante et douloureuse", a également déploré le pape lors de son audience générale hebdomadaire en public place Saint-Pierre, la première depuis son élection.
Cet appel du pape intervient alors que l'ONG Médecins sans frontières a accusé mercredi Israël de ne laisser entrer à Gaza qu'une aide "ridiculement insuffisante" face aux besoins du territoire, seulement pour ne pas être accusé "de famine imposée à la population".
L'aide autorisée dans la bande de Gaza, une centaine de camions depuis lundi selon les autorités israéliennes, "n'est qu'un écran de fumée", selon MSF, alors que le siège, qu'Israël a imposé à Gaza début mars pour forcer le Hamas à libérer les otages qu'il détient encore, "se poursuit".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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