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Culture

Baby Yoda va avoir son propre film "Star Wars"

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Le personnage de Grogu est apparu dans la série télévisée "The Mandalorian" (archives). (© KEYSTONE/AP)

Sur grand écran, il arrive. Baby Yoda, devenu depuis quelques années une mascotte interplanétaire au sein de l'univers "Star Wars" grâce à la série télévisée "The Mandalorian", aura bientôt un film dédié au sein de la franchise, a annoncé mardi Lucasfilm.

Ce long métrage sera réalisé par Jon Favreau, qui était déjà aux commandes de la série. Dans ce feuilleton, les spectateurs ont suivi les aventures d'un mystérieux chasseur de primes, Din Djarin, chargé de livrer à un sinistre client une petite créature verte nommée Grogu, avec qui il se lie d'amitié.

Avec ses oreilles pointues démesurées et ses grands yeux noirs, cet alien, qui appartient à la même espèce que le grand maître Yoda des films originaux, a rapidement fait craquer les fans, prompts à le rebaptiser Baby Yoda.

"La perspective de porter le Mandalorien et son apprenti Grogu sur grand écran est extrêmement excitante", a estimé M. Favreau dans un communiqué.

Pas de date

On ne sait pas encore si Pedro Pascal, qui incarnait le Mandalorien dans la série, reprendra son armure de chasseur de primes. Le long métrage n'a pas non plus de date de sortie officielle pour l'instant.

La dernière aventure de la franchise au cinéma remonte à 2019: "Star Wars: l'ascension de Skywalker", avait alors généré plus d'un milliard de recettes au box-office mondial, malgré des critiques défavorables.

Depuis, plusieurs films ont été annoncés, sans que l'on sache s'ils vont vraiment se concrétiser. Des productions initialement confiées à Kevin Feige - venu de l'univers Marvel - et Patty Jenkins ("Wonder Woman") ont été discrètement mises de côté.

D'autres films en préparation, sous la houlette de réalisateurs comme Taika Waititi ou James Mangold, sont a priori toujours en course. Un autre doit voir Daisy Ridley reprendre son rôle de Rey, l'héroïne de la dernière trilogie Disney.

Sur le calendrier de Disney, le prochain film Star Wars est prévu pour mai 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le festival de Locarno rend hommage à Jackie Chan

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Jackie Chan a été ovationné par le public en recevant son prix sur la Piazza Grande à Locarno. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'acteur Jackie Chan a fait chavirer le public samedi soir au Festival du film de Locarno sur une Piazza Grande comble. La vedette hongkongaise du cinéma d'action a été ovationnée en recevant un Léopard pour l'ensemble de sa carrière.

"Je travaille dans l'industrie du cinéma depuis 64 ans", a relevé Jackie Chan. "Je devrais en réalité partager ce prix avec tous ceux qui ont travaillé avec moi, car ils m'ont fait bien apparaître à l'écran", a-t-il plaisanté.

Il a également raconté une anecdote de son enfance, lorsque son père cuisinait et lui a lancé: "J'ai maintenant 60 ans et je cuisine toujours. Mon fils pourra-t-il encore se battre à 60 ans?". "Je peux vous dire qu'aujourd'hui, j'ai 71 ans et je peux encore me battre", a ajouté Jackie Chan.

Il régnait une atmosphère presque kitsch sous la pleine lune sur la Piazza Grande, où Jackie Chan et les films qui ont attiré la foule des grands soirs.

Cascades et kung-fu

L'icône internationale des arts martiaux et du cinéma d'action s'est présentée à Locarno sous sa double casquette d'acteur, mais aussi de réalisateur. Il a parlé de sa comédie d'action "Police Story" (1985) qui devait être projetée à l'issue de la soirée. Il tient dans ce film, qu'il a lui-même réalisé, le premier rôle.

Après ses débuts en tant qu’enfant acteur dans les années 1960, Jackie Chan est devenu une vedette mondiale grâce à la trilogie "Rush Hour" (1998), dans laquelle il partage l'affiche avec l'Américain Chris Tucker.

Jackie Chan a révolutionné le cinéma d'arts martiaux avec ses cascades à couper le souffle et son mélange de kung-fu et d'acrobaties, toujours teinté d'humour.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Les Diablerets: Grand Prix du FIFAD à l'Américain Ben Sturgulewski

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Le Festival du film alpin des Diablerets a attiré environ 15'000 personnes cette année (photo d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le 56e Festival international du film alpin des Diablerets (FIFAD) a attiré 15'000 spectateurs du 2 au 9 août, soit 15% de plus qu'en 2024, selon les organisateurs. Il a décerné son Grand Prix à "Champions of the Golden Valley" de l’Américain Ben Sturgulewski.

"Cela devait être un petit film de ski sur les actions d'une ONG, c'est devenu un hymne à la liberté", ont commenté les membres du jury pour expliquer leur choix samedi en début de soirée. "Lorsqu'il filme les communautés de Bamyan en Afghanistan, le réalisateur ne sait pas encore que les talibans vont revenir au pouvoir sous peu..." Ce film a également reçu le Prix de la narration.

Parmi les 70 films projetés, le Prix spécial du jury a récompensé "Agent of Hapiness" du Hongrois Arun Bhattarai et de la Bhoutanaise Dorottya Zurbò. "Le film démarre comme une enquête journalistique sur la notion de bonheur au Bhoutan, pour se transformer en une approche poétique et sensible des protagonistes", écrit le jury.

"Tout y est: émotion, profondeur, humour, mais aussi l'absurdité de vouloir cerner une notion aussi indéfinissable que le Bonheur à travers des questions parfois surréalistes", ont résumé les membres du jury .

Productions suisses primées

Le Prix du public est revenu à "Beyond Prognosis" de Silvalex et Morgan Le Faucheur. Il s'agit de l'histoire d'un jeune espoir de VTT qui, à 17 ans, perd l'usage de ses jambes après une chute. Il refuse le diagnostic et la chaise roulante. Rêve, volonté et chance l'amènent à nouveau à pratiquer le sport. Debout.

Le meilleur court-métrage est "Mollo", une production helvétique signée Thibault Lampe et Michelle Voss. "Ce film suit Michelle Voss, une grimpeuse de haut niveau, traversant une période de dépression qu'elle choisit de partager face caméra, offrant ainsi un témoignage poignant", a souligné le jury. "Son objectif de gravir une paroi vertigineuse devient le symbole de sa guérison et la preuve que la montagne peut avoir une portée thérapeutique."

La réalisatrice suisse Livia Vonaesch s'est, elle, vue attribuer le Prix des Jeunes pour "Home is the Ocean". Un couple se donne quatre ans pour traverser les mers en voilier, puis arpenter les terres afin de récolter des échantillons dans le but d'étudier les changements climatiques. Vingt-cinq ans et six enfants plus tard, la famille continue son périple.

Le constat de Cédric Lachat

Le FIFAD a également décerné le Prix Ehrard Loretan, à "The Future of Climbing" de Guillaume Broust. Le protagoniste principal est le multimédaillé mondial d'escalade en salle, Cédric Lachat. Le Jurassien y dresse un constat pas toujours reluisant de la pratique de la grimpe en extérieur.

Le Diable d'or, catégorie exploration et aventure a été attribué à "Postcards from the Verge", un film polonais signé Natalia Koniarz. "The Last Observers" de Maja K. Mikkelsen (USA/Suède) a obtenu la même distinction dans la catégorie nature et environnement.

Dans la catégorie verticale, le Diable d'or revient à "L'ultime ascension" de la Polonaise Eliza Kubarska. Et le Diable d'or, catégorie culture du monde a été décerné à "One with the Whale", un film des Américains Pete Chelkowski et Jim Wickens.

La littérature à l'honneur

Enfin, la littérature a également été mise à l'honneur. Le Grand Prix du livre de Montagne revient à "La Longe" de l'écrivaine valaisanne Sarah Jollien-Fardel. Un roman bouleversant sur le deuil et la reconstruction.

Dans la catégorie "Récits et témoignages", le Jury a retenu "Au c½ur de l'hiver", du Français Jean-Marc Rochette. Le récit sobre et inspiré d'un retrait volontaire dans un hameau alpin. Solitude, nature et renaissance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Locarno: l'actrice britannique Emma Thompson rencontre le public

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L'actrice britannique Emma Thompson est venue à la rencontre du public samedi matin à Locarno. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'actrice et scénariste britannique Emma Thompson a rencontré samedi matin le public du Festival du film de Locarno au Forum, qui affichait complet. Une occasion de retracer sa carrière.

Vendredi soir, Emma Thompson a reçu sur la Piazza Grande le prestigieux Leopard Club Award, saluant une carrière exceptionnelle. L'actrice, visiblement émue, a entamé son discours en italien: "O, che sono vecchia stasera" ("Comme je suis vieille ce soir"), provoquant les rires du public.

Elle a poursuivi en français, exprimant sa gratitude: "Je n'arrive pas à croire que nous sommes ici, sous le ciel étoilé". Elle était accompagnée de sa fille Gaia Wise, également actrice dans "The Dead of Winter".

Après la cérémonie, le thriller "The Dead of Winter", réalisé par Brian Kirk, a été projeté en première mondiale. L'actrice y incarne Babs, une veuve du Minnesota qui, lors d'une expédition de pêche sur un lac gelé, découvre une situation terrifiante.

Poussée à ses limites

Ce rôle physique l'a poussée à ses limites: "Pendant le tournage, je me suis demandé pourquoi j'avais commencé à jouer dans des films d'action à 66 ans", a-t-elle plaisanté, suscitant les rires du public. Elle a également révélé avoir séjourné un mois en Finlande avant le tournage pour s'adapter au froid extrême, une expérience éprouvante tant pour le corps que pour l'esprit.

Femme de convictions, Emma Thompson n'a pas manqué de partager son engagement féministe lors de la rencontre avec le public. "Nous sommes toutes des héroïnes, nous n'avons pas le choix, nous vivons dans une société patriarcale", a-t-elle déclaré. Des propos chaleureusement applaudis par l'audience.

Parcours atypique

Issue d'une famille d'artistes, Emma Thompson a évoqué son parcours atypique. "Je ne voulais pas être actrice quand j'étais jeune, cela me semblait un métier précaire", a-t-elle confié. Elle a ajouté: "Je n'avais jamais imaginé faire des films, c'est arrivé par hasard".

Sa carrière l'a conduite à remporter deux Oscars: celui de la meilleure actrice dans "Howards End" (1993) et l'autre pour le meilleur scénario adapté de "Raison et sentiments" (1996). Elle est la seule personne à avoir obtenu ces deux distinctions.

Comparant Hollywood à l'industrie européenne, Emma Thompson a exprimé une préférence pour le travail en Europe, soulignant une atmosphère plus collaborative et moins hiérarchique. "Je suis quelqu'un de collégial, et aux Etats-Unis, un fossé sépare les acteurs de l'équipe. Je n'étais pas prête pour cela", a-t-elle expliqué.

La professeure Sibylle Trelawney

Parmi ses rôles les plus connus, Emma Thompson a incarné la professeure Sibylle Trelawney dans la saga Harry Potter. "Je suis désolée pour ceux qui aiment le jeune sorcier, mais je n'ai pas fait grand-chose et j'ai été bien payée", a déclaré l'actrice en riant et en imitant les mimiques de la professeure.

Elle a également parlé de l'importance de créer des films pour les enfants, soulignant que "les enfants sont le meilleur public, car ils garderont ces films en mémoire toute leur vie". Elle a soulignée ne pas avoir écrit "Nanny McPhee" (2005) "pour les enfants, mais pour tout le monde". Elle a ajouté que le personnage de Nanny McPhee lui apportait un réconfort personnel, ayant perdu son père très jeune.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Lex Netflix: premiers millions pour le cinéma helvétique

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Le cinéma suisse commence à profiter de la manne de la Lex Netflix (image d'illustration). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La Lex Netflix, trois ans après le oui des Suisses dans les urnes, commence à produire ses effets. Sur les 30 millions attendus grâce à cette nouvelle source de financement du cinéma helvétique - pour le premier exercice en 2024 -, 15,9 millions ont déjà été attribués.

La nouvelle loi sur le cinéma - entrée en vigueur au 1er janvier 2024 - impose aux entreprises de streaming, comme Netflix ou Amazon et aux grandes chaînes étrangères (telles que TF1 ou M6) d’investir dans la création cinématographique helvétique. Elles doivent verser au moins 4% de leurs recettes brutes réalisées en Suisse.

Plus de 70 sociétés se sont enregistrées fin mars 2024, dont 21 sont concernées par cette obligation de financement, a indiqué l'Office fédéral de la culture dans une fiche d'information publiée samedi à Locarno. Le chiffre d’affaires déterminant déclaré pour 2024 atteint 752 millions de francs, en ligne avec les estimations avancées par l'OFC pendant les débats parlementaires il y a quatre ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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