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Culture

Le chef d'orchestre japonais Seiji Ozawa est décédé à 88 ans

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La télévision publique NHK et d'autres médias japonais ont rapporté que le musicien était mort mardi d'une insuffisance cardiaque. (© KEYSTONE/AP/Andrew Harnik)

Le célèbre chef d'orchestre japonais Seiji Ozawa, qui a conduit les orchestres les plus réputés du monde, est mort chez lui à Tokyo, ont annoncé vendredi des médias japonais. Il était âgé de 88 ans.

La télévision publique NHK et d'autres médias japonais ont rapporté que le musicien était mort mardi d'une insuffisance cardiaque. Selon le quotidien Asahi Shimbun, les funérailles se sont déroulées en présence de ses proches.

M. Ozawa était né en 1935 dans la province chinoise de Mandchourie, alors une colonie japonaise. Il a commencé à apprendre le piano à l'école primaire, mais après s'être cassé deux doigts en jouant au rugby - une autre de ses passions - lorsqu'il était adolescent, il s'est tourné vers la direction d'orchestre.

M. Ozawa s'est installé à l'étranger en 1959 et a rencontré certaines des plus grandes personnalités du monde de la musique classique, notamment le compositeur et chef d'orchestre Leonard Bernstein, dont il est devenu l'assistant à l'Orchestre philharmonique de New York (Etats-Unis) pendant la saison 1961-1962.

Il a ensuite dirigé les orchestres de Chicago (Etats-Unis), Toronto (Canada) et San Francisco (Etats-Unis), et occupé pendant 29 ans le poste de directeur musical de l'Orchestre symphonique de Boston (Etats-Unis), donnant son nom à une salle de concert.

Il avait quitté son poste en 2002 pour devenir le chef d'orchestre principal de l'Opéra d'État de Vienne, en Autriche, jusqu'en 2010.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

Fribourg: le Belluard Bollwerk questionne nos liens à la terre

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Le festival se déroulera dans différents lieux de Fribourg, notamment à la forteresse du Belluard. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La 42e édition du Belluard Bollwerk sera consacrée aux thèmes du sol, de la terre, du territoire et du sous-sol. Du 26 juin au 5 juillet prochain, des artistes suisses et internationaux proposeront 34 projets dans différents lieux de Fribourg, à commencer par la forteresse du Belluard, indiquent mercredi les organisateurs dans un communiqué.

Parmi les thèmes principaux, ce festival dédié aux arts vivants, intitulé cette année "The grounds we share", abordera l'héritage colonial et le néocolonialisme, les formes de solidarité et les liens qui nous unissent, les appartenances et les résistances, les multitudes et les terrains communs. Performances, arts visuels, danse, films, musique et discussions sont au programme de cette édition, la première d'Elisa Liepsch au poste de directrice.

La danseuse et chorégraphe Amrita Hepi ouvrira le festival avec une performance dans laquelle elle explorera la façon dont nous parlons de la terre, mais aussi de la manière dont elle nous façonne et dont nous l'influençons. Le passé colonial et les liens néocoloniaux de la Suisse seront ensuite abordés par plusieurs artistes.

Artistes d'Amérique latine

Différentes oeuvres s'intéresseront au genre et remettront en question l'idée de féminité et les images romantiques qui y sont liées. Entre humour et noirceur, ces projets appelleront à se révolter contre les récits figés, célèbreront les alliances entre femmes et imagineront des futurs possibles.

Par ailleurs, des artistes émergents d'Amérique latine viendront partager leurs recherches sur leur pays. Les savoirs et pratiques du Sud bénéficieront ainsi d'une place de choix. Ce projet nommé "Ventana al Sur" offrira un espace de discussions, d'analyses et d'échanges sur des questions actuelles, tout en favorisant la collaboration internationale.

Le festival offrira aussi un espace de réflexion sur les pratiques de solidarité transnationale et que les mouvements de libération. Il sera notamment question de légitimité de la violence comme moyen de défense, mais aussi de l'appropriation idéologique des luttes LGBTQI.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Lausanne: chorale ouverte à tous pour les 750 ans de la Cathédrale

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Ouverte à tous, une chorale éphémère se produira le 5 juillet au pied de la Cathédrale de Lausanne, afin de célébrer les 750 ans de l'édifice (archives). (© KEYSTONE/LAURENT MERLET)

A l’occasion des 750 ans de la Cathédrale de Lausanne, le festival de la Cité (1er au 6 juillet) met sur pied un projet choral unique, en collaboration avec la cheffe de choeur Johanna Hernandez et la musicienne Louise Knobil. Le 5 juillet, une chorale éphémère ouverte à tous interprétera trois pièces, dont une création originale.

Cette chorale se réunira le samedi 5 juillet à 17h00. Elle interprétera au pied de la Cathédrale le cantique "Amazing Grace", "Locus Iste" d'Anton Bruckner et une oeuvre originale écrite par la compositrice lausannoise Louise Knobil, ont annoncé les organisateurs mercredi.

Toute personne intéressée par ce projet peut y prendre part et ainsi rejoindre pas loin de 200 choristes issus de différentes chorales vaudoises (Choeur Vivace, Lakevoices Cudrefin, Choeur de la Cité, Lausanne Résonne, Choeur symphonique de l'Université populaire de Lausanne, Choeur 9 Lutry, Ensemble Choral Voix de Lausanne, Choeur de la Cathédrale), ayant déjà manifesté leur intérêt pour ce concert.

Des tutoriels et partitions sont disponibles en ligne afin que les chanteuses et chanteurs volontaires puissent apprendre individuellement les morceaux. De plus, une répétition générale réunira l'ensemble des choristes le 28 juin à 11h00 afin de préparer l'un des points d'orgue des célébrations du 750e de la Cathédrale.

"Nous avons écrit des partitions faciles pour que chaque personne, même novice, puisse prendre part à ce projet. Notre but pour cet anniversaire est de créer un choeur qui soit un véritable point de rencontre", explique la cheffe de choeur Johanna Hernandez, citée dans le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'autrice Banu Mushtaq remporte le Booker Prize international

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L'écrivaine indienne Banu Mushtaq a reçu mardi soir la version internationale du Booker Prize pour son recueil de nouvelles "Heart Lamp". (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

L'écrivaine et activiste indienne pour les droits des femmes Banu Mushtaq a reçu mardi soir la version internationale du Booker Prize pour son recueil de nouvelles "Heart Lamp" sur la vie quotidienne de femmes issues des communautés musulmanes du sud de l'Inde.

Ecrit en kannada, la langue régionale du sud de ce pays, ce livre dresse le portrait de plusieurs femmes musulmanes en proie à des tensions familiales et communautaires.

C'est le premier livre en kannada à obtenir cette récompense décernée lors d'une cérémonie à Londres mardi soir et dotée de 50'000 livres sterling à partager entre l'autrice et la traductrice Deepa Bhasthi. Ces nouvelles avaient initialement été publiées entre 1990 et 2023.

Selon les organisateurs du prix, le livre a suscité la censure des milieux conservateurs en Inde et a été boudé par les principaux prix littéraires du pays.

"J'accepte ce grand honneur non pas en tant qu'individu, mais en tant que voix qui s'élève avec tant d'autres", a déclaré l'autrice au moment de recevoir son prix, décrivant ce moment comme "incroyable".

Le président du jury Max Porter a décrit le livre comme "quelque chose de vraiment nouveau pour les lecteurs anglophones (...) de belles histoires pleines de vie".

Peu avant l'annonce du lauréat, il a rendu hommage aux "livres qui défient le pouvoir du Soudan à l'Ukraine, en passant par la Chine, l'Érythrée, l'Iran, la Turquie, partout".

Le Booker Prize international est un prix littéraire récompensant des écrivains de fiction. Il était à l'origine bisannuel, mais est attribué depuis 2016 sur une base annuelle.

L'année dernière, le Booker prize international avait été remporté par le roman allemand Kairos de Jenny Erpenbeck, traduit par Michael Hofmann.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

L'UE va aider financièrement Radio Free Europe (Kallas)

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Le personnel travaille dans la salle de contrôle des studios de télévision au siège de Radio Free Europe/Radio Liberty à Prague. (© Keystone/EPA/MARTIN DIVISEK)

L'Union européenne va débloquer 5,5 millions d'euros pour aider Radio Free Europe/Radio Liberty (RFE/RL) à poursuivre ses activités après le gel de son financement par les États-Unis, a indiqué mardi la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.

"Cette somme permettra de soutenir le travail vital de Radio Free Europe", a déclaré Mme Kallas aux journalistes à l'issue d'une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'UE à Bruxelles.

"Il s'agit d'un financement d'urgence à court terme conçu comme un filet de sécurité pour le journalisme indépendant", a-t-elle ajouté.

Le président américain Donald Trump a suspendu le financement de Radio Free Europe/Radio Liberty en mars, en même temps que le financement d'autres diffuseurs américains, y compris Voice of America, dans le cadre de sa campagne visant à réduire les dépenses gouvernementales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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