International
A la recherche d'un constructeur automobile, Rome a contacté BYD
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/02/le-constructeur-chinois-de-vehicules-electriques-tient-en-ce-moment-la-vedette-au-salon-genevois-de-lautomobile-archive-1000x600.jpg&description=A la recherche d'un constructeur automobile, Rome a contacté BYD', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le géant automobile chinois BYD a indiqué avoir été contacté par le gouvernement de Giorgia Meloni qui cherche à faire venir en Italie un second constructeur.
Une nouvelle implantation qui doit augmenter la production de voitures et mettre ainsi fin au monopole de Stellantis.
"Nous avons quelques contacts pour en discuter", a déclaré Michael Shu, patron de BYD Europe, en marge du Salon de l'automobile de Genève lors d'une interview avec l'agence Bloomberg publiée lundi soir. Interrogé mardi par l'AFP, le ministère italien des Entreprises n'a pas souhaité commenter.
La nécessité d'une autre usine en Europe "dépend de nos ventes - pour l'instant, nous progressons très bien", a expliqué Michael Shu. Mais "il est trop tôt" pour se prononcer sur une décision concernant une seconde usine, a-t-il ajouté. Le groupe chinois compte ouvrir dans trois ans en Hongrie sa première usine européenne de fabrication de voitures de tourisme, afin de stimuler les ventes dans la région.
Il suit ainsi l'exemple de Toyota, qui a ouvert sa première usine européenne en Angleterre en 1992. Mais le constructeur japonais a mis près de dix ans avant d'en ouvrir une autre, en France. BYD a dépassé Tesla fin 2023 comme principal producteur de voitures électriques dans le monde et a d'autres projets d'usines en dehors de l'Europe, de l'Asie du Sud-Est au Brésil.
En pleine polémique avec Stellantis sur les subventions de l'Etat pour les véhicules électriques, le ministre des Entreprises Adolfo Urso avait lancé l'idée de faire appel à un second constructeur afin d'atteindre son objectif de porter la production italienne à un million d'unités par an. "Des négociations importantes sur un plan international sont en cours depuis des mois pour faire venir un second constructeur automobile en Italie", a-t-il assuré à la mi-février, sans dévoiler les noms des groupes contactés.
Stellantis a augmenté sa production en Italie l'an dernier de 9,6% à près de 752.000 véhicules et si le groupe arrivait à maintenir ce rythme, l'objectif d'un million de voitures pourrait être atteint "très, très rapidement", a affirmé son directeur général Carlos Tavares Un objectif qui pourrait toutefois être compromis, selon lui, si un autre constructeur commençait à produire en Italie.
"Si nous invitons davantage de constructeurs automobiles chinois à produire en Europe, pensez-vous que cela va aider?" a-t-il lancé à la mi-février devant des journalistes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La Bulgarie adopte l'euro
Un 21e pays va bientôt passer à l'euro. Les ministres des Finances de l'UE ont donné leur feu vert final à l'adoption de cette monnaie par la Bulgarie. Dès le 1er janvier 2026, ce pays des Balkans abandonnera sa monnaie nationale, le lev, au profit de l'euro.
"Nous l'avons fait !", a applaudi le Premier ministre bulgare Rossen Jeliazkov sur le réseau social X, qualifiant le moment d'"historique". "Rejoindre la zone euro, c'est bien plus que remplacer le lev par l'euro", a renchéri le commissaire européen Valdis Dombrovskis. "Cela vise à construire un avenir meilleur et plus prospère pour la Bulgarie et ses citoyens au coeur de l'Europe", a-t-il déclaré à l'issue du vote.
Le feu vert des ministres des 27 Etats membres n'était qu'une simple formalité: la Commission européenne a déjà estimé début juin que la Bulgarie respectait l'ensemble des conditions nécessaires pour adopter l'euro. Tout comme la Banque centrale européenne (BCE), qui a également émis un avis positif.
"Non à l'euro" ___
En Bulgarie, membre de l'UE depuis 2007, la perspective d'abandonner la monnaie nationale est pourtant loin de faire l'unanimité. Au cours des dernières semaines, plusieurs milliers de manifestants se sont réunis dans les rues de la capitale Sofia, brandissant des pancartes "Non à l'euro". Certains d'entre eux ont installé leurs tentes devant les locaux de la banque nationale bulgare pour exprimer leur opposition au projet.
La principale crainte est que le changement de monnaie alimente une flambée des prix, qui pourrait nourrir en retour la colère des europhobes. Selon des sondages récents, près de la moitié des personnes interrogées s'opposent à l'entrée du pays dans la zone euro l'an prochain.
Les partisans de l'euro y voient au contraire une étape importante, qui renforcerait l'ancrage géopolitique occidental de la Bulgarie. Et la protégerait contre l'influence de Moscou. "Cela fait longtemps que nous sommes arrimés à l'euro, et les retombées politiques sont de plus en plus nombreuses", juge Veselin Dimitrov, croisé par l'AFP mardi dans les rues de Sofia. Le musicien de 43 ans voit dans les manifestations anti-euro "la marque du Kremlin".
"Mais l'euro n'est pas une baguette magique qui résoudra nos problèmes systémiques", alerte-t-il.
L'exception danoise ___
Mardi, le Premier ministre bulgare s'est engagé à ce que l'adoption de cette nouvelle monnaie se fasse de manière "harmonieuse" et "efficace". La Bulgarie aurait souhaité passer à l'euro plus tôt, mais elle en avait été empêchée jusqu'ici en raison d'une inflation trop élevée sur fond de grave crise politique.
La monnaie unique européenne a été lancée le 1er janvier 1999 pour les transactions électroniques. Mais elle a pris une forme concrète à partir du 1er janvier 2002, avec la mise en circulation des pièces et des billets en euro, en remplacement alors des devises nationales de 12 Etats membres de l'UE, dont l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne.
Ils ont été rejoints plus tard par huit autres pays: la Slovénie, Chypre, Malte, la Slovaquie, l'Estonie, la Lettonie, la Lituanie et, dernière en date, la Croatie en 2023. Tous les pays de l'UE se sont engagés en théorie à y adhérer dès qu'ils remplissent les conditions, mais aucun calendrier n'est fixé. Seule exception: le Danemark qui a négocié une exemption après un référendum ayant rejeté l'euro en 2000.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Trente ans après, des milliers de gens marchent vers Srebrenica
Des milliers de personnes ont entamé mardi une longue marche à travers la forêt bosnienne. Cela pour mettre leurs pas dans ceux des milliers d'hommes et d'adolescents fuyant l'horreur de Srebrenica en juillet 1995.
Chaque année, la "marche pour la paix" couvre les 100 kilomètres entre Srebrenica, où les forces serbes de Bosnie ont abattu quelque 8000 hommes et adolescents musulmans, au village de Nezuk, où les premiers survivants arrivèrent au coeur de l'été.
Après avoir pris le 11 juillet 1995 cette ville-enclave, déclarée "zone protégée de l'ONU" et dans laquelle vivaient plus de 40'000 personnes, dont beaucoup de déplacés, les forces dirigées par le général Ratko Mladic se sont livrées à des exécutions de masse.
Le massacre de Srebrenica est le seul crime de la guerre de Bosnie (1992-1995, 100'000 morts) à avoir été qualifié de génocide par la justice internationale.
"La marche a duré sept jours et huit nuits"
Parmi les quelque 6000 marcheurs, Amir Kulaglic, 65 ans, se prépare à fouler un sentier qu'il a déjà arpenté, il y a 30 ans, lorsqu'il a réussi à fuir l'enfer de Srebrenica.
"Pour moi, la marche a duré sept jours et huit nuits", explique à l'AFP celui qui faisait alors parti de l'armée Bosnienne. "Tous ceux qui, comme moi, ont fait cette route n'avaient qu'un seul objectif : survivre et retrouver notre famille", ajoute-t-il.
Après avoir échappé aux embuscades, aux bombes, il fut l'un des premiers à atteindre Nezuk, à l'avant d'une colonne de réfugiés de 11 km de long. Son père et plusieurs de ses proches n'ont pas survécu.
Le père d'Elvisa Masic et plus d'une dizaine d'hommes de sa famille n'ont pas survécu non plus. "Nous avons trouvé des restes, un os ou deux, pour la plupart des membres de ma famille, et nous les avons enterrés. Mais de mon père, nous n'avons jamais rien retrouvé", dit cette femme de 37 ans.
Les discours négationnistes persistent
Si la justice a condamné à perpétuité Ratko Mladic, 83 ans, et Radovan Karadzic, 80 ans, pour crimes de guerre et génocide, les discours négationnistes sont encore légion en Bosnie et en Serbie voisine.
Amir Kulaglic espère que, bientôt, une nouvelle génération de Serbes reconnaîtra tout ce qui s'est passé à Srebrenica - une ville qui fait partie des zones serbes de Bosnie - et demandera pardon. "Nous pardonnerons, et nous essayerons de construire un nouveau Srebrenica, une ville de paix, de tolérance et de respect".
Les marcheurs devraient atteindre jeudi le mémorial de Srebrenica - Potocari, où sont enterrées près de 7000 victimes. Ils participeront aux commémorations du génocide, pendant lesquels les restes de 7 victimes seront mises en terre, dont ceux de deux adolescents de 19 ans et d'une femme de 67 ans.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le parquet européen ouvre une enquête sur le RN
Le parquet européen a annoncé mardi avoir ouvert une enquête sur le Rassemblement national, ainsi que sur ses alliés d'extrême droite à Bruxelles. Le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella est soupçonné de diverses irrégularités financières.
"Le parquet européen a ouvert une enquête", a indiqué sa porte-parole à l'AFP, sans donner davantage de détails "afin de ne pas compromettre les résultats de l'enquête".
Avec ses partenaires de l'ex-groupe Identité et Démocratie (ID), ce parti français est suspecté d'avoir "indûment dépensé" plus de 4,3 millions d'euros (environ 4 millions de francs) entre 2019 et 2024, selon un rapport de la direction des affaires financières de l'institution bruxelloise, révélé par plusieurs médias début juillet.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Emmanuel Macron est arrivé au Royaume-Uni pour une visite d'Etat
Le président français Emmanuel Macron est arrivé mardi au Royaume-Uni, accompagné de son épouse Brigitte, pour une visite d'Etat de trois jours, la première d'un dirigeant européen depuis le Brexit.
L'avion présidentiel s'est posé peu après 11h00 à la base militaire de Northolt, à l'ouest de Londres, a constaté l'AFP.
Le prince héritier William et son épouse Kate ont accueilli le couple français sur le tarmac, au sortir de l'avion.
Une haie d'honneur avait été déployée pour l'occasion.
C'est "un moment important pour nos nations" et "c'est aussi un moment important pour notre Europe", a commenté sur X le président français. L'Europe et le Royaume-Uni doivent "ouvrir de nouvelles voies de coopération" face aux "grands défis" mondiaux, a-t-il ajouté.
Les Macron devaient ensuite rejoindre le château de Windsor (ouest de Londres) où ils seront accueillis officiellement par le roi Charles III et la reine Camilla.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
SuisseIl y a 2 jours
Un père tue sa femme et son bébé près de Fribourg
-
CultureIl y a 2 jours
De Locarno à Lausanne: six films en open air à Plateforme 10
-
CultureIl y a 2 jours
Les concerts à l'aube: la bande-son des lève-tôt cet été
-
FootballIl y a 3 jours
Les tenantes du titre battues
-
CultureIl y a 2 jours
Lausanne: carton plein pour le Festival de la Cité
-
CultureIl y a 3 jours
Le groupe Black Sabbath célèbre son dernier concert à Birmingham
-
VaudIl y a 2 jours
Un concours d'épouvantails vivants fera vibrer Denens (VD)
-
FootballIl y a 3 jours
La reine des Pays-Bas applaudit "ses" joueuses à Lucerne