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Marco face à Odermatt à Aspen

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Marco Odermatt va se battre contre lui-même à Aspen (© KEYSTONE/AP/Robert F. Bukaty)

Marco Odermatt se battra contre lui-même vendredi et samedi à l'occasion des deux géants d'Aspen. Vainqueur des sept premières courses de la saison, le Nidwaldien en veut plus.

Son troisième grand globe en poche, Marco Odermatt skie pour l'Histoire en cette fin de saison. Vainqueur à Palisades Tahoe le week-end passé, le skieur de Buochs en est à dix géants remportés de suite. Il en reste quatre au programme cet hiver. Si Odermatt s'intéresse aux records, il peut imaginer aller chercher celui du plus nombre de victoires consécutives dans une discipline. Ce record est pour l'heure la propriété d'Ingemar Stenmark avec 14 géants gagnés à la suite.

Autre chiffre dans le viseur, le nombre de points en fin de saison. Odermatt avait établi le record la saison passée avec 2042. Il en est actuellement à 1702. Si tout se passe bien, le Nidwaldien va encore disputer six des neuf dernières épreuves et il devrait pouvoir effacer cette marque pour la porter encore plus haut. Dommage qu'il y ait eu quelques annulations cet hiver, sans quoi il aurait peut-être pu aller titiller le record de Tina Maze et ses 2414 points réussis lors de la saison 2012/13.

Dimanche, ce sont les slalomeurs qui tenteront d'effacer la contre-performance de dimanche dernier à Palisades Tahoe. Si le globe de la discipline semble promis à Manuel Feller, Daniel Yule doit se racheter après son abandon en Californie. Cinquième au classement, le skieur du Val Ferret a l'occasion de se remettre en selle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Jim Lovell, commandant de la mission Apollo 13, est mort

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Jim Lovell, ici en 2013, est resté l'un des grands noms du programme lunaire américain, mondialement connu pour avoir prononcé le fameux "Houtons, nous avons un problème" (archives). (© KEYSTONE/AP/Kamil Krzaczynski)

L'astronaute américain Jim Lovell, commandant de la célèbre mission lunaire Apollo 13, qui avait manqué de tourner à la catastrophe en 1970 après une explosion en vol, est mort à l'âge de 97 ans, a annoncé vendredi la Nasa.

"La Nasa présente ses condoléances à la famille du capitaine Jim Lovell, dont la vie et l'oeuvre ont inspiré des millions de personnes au fil des décennies", a déclaré l'agence spatiale dans un communiqué, saluant son "caractère et son courage inébranlable" ayant permis aux Etats-Unis "d'atteindre la Lune".

L'Américain, qui n'a jamais marché sur la Lune, est resté l'un des grands noms du programme lunaire américain, mondialement connu pour avoir prononcé le fameux "Houston, nous avons un problème".

Incarné sur le grand écran par Tom Hanks dans le blockbuster éponyme "Apollo 13" sorti en 1995, son sang-froid lors de cette odyssée spatiale chaotique lui ont valu une large reconnaissance.

Lancée le 11 avril 1970, neuf mois après les premiers pas historiques de Neil Amstrong sur la Lune, la mission pilotée par Jim Lovell aux côtés des astronautes Fred Haise et Jack Swigert devait se poser sur l'astre.

Mais une explosion survenue en plein vol, entraînant une fuite d'oxygène, a bouleversé ces plans. "Houston, nous avons un problème", avait alors annoncé laconiquement Jim Lovell au centre de contrôle de la Nasa.

L'Amérique, qui considérait déjà ces vols comme une routine, se retrouva alors projetée en direct dans une tragédie inédite, trois hommes risquant de rester à jamais dans l'espace. Grâce au sang-froid du commandant et de la Nasa, le trio s'en était heureusement sorti, réussissant à revenir sain et sauf sur Terre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump va signer un accord avec l'Azerbaïdjan et l'Arménie

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Donald Trump a reçu vendredi après-midi le Premier ministre arménien Nikol Pachinian. Il s'entretiendra ensuite avec le leader azerbaïdjanais. (© KEYSTONE/AP/Julia Demaree Nikhinson)

L'Arménie et l'Azerbaïdjan, qu'un conflit territorial oppose depuis des années, vont signer vendredi à Washington un accord qualifié d'"historique" par Donald Trump. Il permet aussi aux Etats-Unis d'avancer leurs pions dans une région hautement stratégique.

"Beaucoup de dirigeants ont tenté de mettre fin à la guerre, sans succès, jusqu'à maintenant, grâce à 'TRUMP'", a claironné le président américain jeudi soir sur son réseau Truth Social.

Donald Trump, qui estime mériter le prix Nobel de la paix pour ses efforts de médiation dans divers conflits, a dit qu'une "cérémonie de signature de la paix" serait organisée lors de ce "sommet historique" avec la participation du président azerbaïdjanais Ilham Aliev et du Premier ministre arménien Nikol Pachinian.

Le dirigeant arménien est arrivé peu avant 15h00 locale (21h00 en Suisse) à la Maison Blanche pour une entrevue avec le président américain. Le leader azerbaïdjanais est attendu un peu plus tard, également pour une réunion bilatérale avec Donald Trump, avant la rencontre et la signature tripartite.

Les deux anciennes républiques soviétiques du Caucase vont "signer une déclaration commune" prévoyant la création d'une "zone de transit" passant par l'Arménie et reliant l'Azerbaïdjan à son enclave du Nakhitchevan plus à l'ouest, a indiqué Anna Kelly, une porte-parole de la Maison Blanche, vendredi dans un échange avec la presse. Les Etats-Unis y disposeront de droits de développement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'OMC améliore sa prévision du commerce mondial grâce à Trump

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La directrice générale de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) Ngozi Okonjo-Iweala a salué la solidité du commerce mondial (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

L'Organisation mondiale du commerce (OMC) anticipe une progression du commerce mondial de 0,9% pour cette année, mieux qu'attendu en avril. En raison des annonces de droits de douane de Donald Trump, les importations américaines ont bondi au premier trimestre.

Et elles ont prix 11% au premier semestre par rapport à la même période l'année dernière, a précisé vendredi l'organisation à Genève. Les entreprises américaines se sont précipitées sur les marchandises de leurs partenaires étrangers avec l'incertitude liée à la situation après la pause de trois mois sur les tarifs décrétée par le président américain.

"Le commerce mondial a montré de la solidité" face aux perturbations, "y compris les augmentations de droits de douane récentes", a estimé la directrice générale de l'OMC Ngozi Okonjo-Iweala. "L'impact entier des récentes mesures tarifaires n'a toutefois pas encore eu lieu", selon elle.

En avril, au milieu de la guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine, l'OMC parlait d'une contraction de 0,2% du commerce mondial pour cette année. Un effet correctif en raison des nouveaux tarifs est toutefois attendu pour le second semestre.

La trêve entre Washington et Pékin et certaines exceptions contribuent positivement. Mais les nouveaux droits de douane entrés en vigueur jeudi affecteront davantage les importations aux Etats-Unis. Celles-ci devraient reculer de 8,3%.

Asie en première place

Et la situation s'annonce désormais surtout difficile pour l'année prochaine, selon les économistes de l'OMC. La progression devrait s'établir à 1,8%, contre 2,5% estimés auparavant.

Autre explication pour cette année, la situation économique mondiale est plus favorable. La dépréciation du dollar devrait faciliter les conditions pour les pays en développement. Et la chute des prix du pétrole devrait soutenir la croissance dans les économies industrialisées, même si elle devrait diminuer la demande en importations dans les régions pétrolières.

Par région, l'Asie va continuer de porter le commerce mondial avec des exportations en augmentation de 4,9% et des importations qui vont progresser de 3,3%. Les exportations européennes devraient elles diminuer de 0,9%.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Ukraine: Trump confirme sa prochaine rencontre avec Poutine

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Donald Trump s'est dit à plusieurs reprises "déçu" par Vladimir Poutine ces derniers jours. (© KEYSTONE/AP/Mark Schiefelbein)

Le président américain Donald Trump a confirmé vendredi qu'il rencontrera son homologue russe Vladimir Poutine "très prochainement" dans un lieu déjà fixé. Sa médiation pour mettre fin à la guerre en Ukraine comprendra des "échanges de territoires", a-t-il ajouté.

Il n'a pas donné de précisions sur les échanges de territoires. "On parle d'un territoire sur lequel les combats font rage depuis plus de trois ans et demi [...] C'est compliqué, ce n'est vraiment pas facile, mais nous allons en récupérer une partie", a-t-il ajouté sans donner plus de détails.

Moscou réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées, celles de Donetsk, de Lougansk, de Zaporijjia et de Kherson, en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'OTAN.

Ces exigences sont inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes de son territoire et des garanties de sécurité occidentales, dont la poursuite des livraisons d'armes et le déploiement d'un contingent européen, ce à quoi s'oppose la Russie.

Ultimatum

Parlant de la rencontre avec le président russe, "cela aurait pu se faire plus tôt, mais je suppose qu'il y a malheureusement des mesures de sécurité à prendre", a dit le président Trump.

Vladimir Poutine s'est de son côté entretenu vendredi au téléphone avec le président chinois Xi Jinping et le premier ministre indien Narendra Modi.

Ces développements surviennent alors que le président américain avait lancé un ultimatum à la Russie la semaine dernière, censé expirer vendredi, pour faire avancer les négociations avec Kiev, sous peine de nouvelles sanctions américaines.

L'offensive russe à grande échelle contre l'Ukraine, déclenchée en février 2022, a fait a minima des dizaines de milliers de morts dans les deux pays et causé d'immenses destructions.

Mais après plus de trois ans de combats, les positions ukrainienne et russe sont toujours irréconciliables. La Russie est accusée de bloquer les pourparlers en maintenant des demandes maximalistes, à un moment où ses forces ont l'avantage sur le front et continuent d'y gagner du terrain.

Sommet sans Zelensky

Le dernier cycle de négociations directes entre les deux belligérants à Istanbul en juillet n'avait débouché que sur un nouvel échange de prisonniers et de dépouilles de soldats.

Pour tenter de faire avancer les choses, l'émissaire américain Steve Witkoff a été reçu au Kremlin par Vladimir Poutine, ce qui a permis une accélération au plan diplomatique marquée par l'annonce jeudi par Moscou d'un "accord de principe" pour un prochain sommet entre les dirigeants américain et russe.

Il s'agirait du premier tête-à-tête entre les deux hommes depuis juin 2019 au Japon.

Dans ce contexte, Vladimir Poutine a informé vendredi au téléphone Xi Jinping des "résultats" des discussions concernant le conflit en Ukraine qu'il a eues mercredi avec Steve Witkoff, a fait savoir le Kremlin.

"La Chine se réjouit de voir la Russie et les Etats-Unis maintenir le contact, améliorer leurs relations et promouvoir un règlement politique de la crise ukrainienne", a dit le chef de l'Etat chinois à son homologue russe, selon l'agence de presse officielle Chine nouvelle.

Le Premier ministre indien Narendra Modi a, quant à lui, déclaré vendredi qu'il avait eu un "bon" échange avec son "ami" Vladimir Poutine.

"Très déçu"

Cette discussion a eu lieu après la décision américaine d'imposer 50% de droits de douane sur les produits indiens importés, les Etats-Unis reprochant à l'Inde ses achats de pétrole russe. Washington a menacé de s'en prendre aux pays qui commercent avec la Russie, comme l'Inde et la Chine.

Mais, jeudi, interrogé sur le maintien ou non de son ultimatum adressé à la Russie, le président américain a esquivé: "Cela va dépendre de Poutine. On va voir ce qu'il va dire".

"Très déçu", a-t-il enchaîné, semblant parler du chef de l'Etat russe. En juillet, il s'était déjà dit "déçu" à plusieurs reprises par M. Poutine du fait de l'absence d'avancées dans les négociations entre Kiev et Moscou.

Parallèlement, l'armée russe poursuit ses attaques aériennes meurtrières sur l'Ukraine et ses assauts sur le front, où ses soldats sont plus nombreux et mieux équipés.

L'Ukraine demande, de concert avec ses alliés européens, un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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