International
Feu vert à de nouveaux pourparlers en vue d'une trêve à Gaza
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/03/benjamin-netanyahu-ouvert-a-de-nouveaux-pourparlers-en-vue-dune-treve-a-gaza-archives-1000x600.jpg&description=Feu vert à de nouveaux pourparlers en vue d'une trêve à Gaza', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a donné son feu vert à un nouveau cycle de pourparlers à Doha et au Caire, en vue d'une trêve à Gaza. C'est ce qu'a indiqué vendredi son bureau, après que les négociations semblaient dans l'impasse.
"Benjamin Netanyahu s'est entretenu avec le directeur du Mossad (services extérieurs israéliens) et le directeur du Shin bet (renseignement intérieur), et a approuvé un nouveau cycle de négociations dans les prochains jours, à Doha et au Caire", a précisé son bureau dans un communiqué.
Depuis l'adoption par le Conseil de sécurité des Nations unies lundi d'une résolution exigeant un "cessez-le-feu immédiat", Israël et le Hamas se renvoient la responsabilité de leur incapacité à trouver un accord sur une trêve, après bientôt six mois de guerre entre l'armée israélienne et le mouvement islamiste palestinien dans la bande de Gaza.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Pétrole: l'Opep relève ses prévisions pour la demande en 2026
L'organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a maintenu ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2025 et revu à la hausse celles de 2026, alors que l'incertitude liée aux droits de douane américains s'atténue.
L'organisation estime que la demande en or noir devrait augmenter de 1,3 million de baril par jour (mb/j) en 2025 et de 1,4 mb/j en 2026, pour s'établir respectivement à 105,1 mb/j et 106,5 mb/j, indique-t-elle mardi dans son rapport mensuel qui réévalue ses projections en fonction des évolutions de la conjoncture.
"Les prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2025 restent inchangées à 1,3 mb/j en glissement annuel, soit le même niveau que l'évaluation du mois dernier", souligne l'Opep.
En 2026, la demande mondiale de pétrole devrait croître de 1,4 mb/j, soit une hausse de 0,1 mb/j par rapport à l'évaluation du mois dernier, "grâce à une activité économique soutenue", ajoute-t-elle.
Elle souligne que "les prévisions de croissance économique mondiale pour 2025 sont légèrement revues à la hausse, à 3,0%, tandis que celles pour 2026 restent à un niveau robuste de 3,1%".
Selon l'Opep, la demande en 2025 devrait être tirée par les pays non membres de l'OCDE, pour environ +1,2 mb/j, notamment en Inde et en Chine, contre 0,1 mb/j pour les pays membres de l'OCDE, qui réunit essentiellement des pays développés.
En 2026, la hausse de la demande mondiale de pétrole devrait s'établir à 1,2 mb/j hors OCDE et environ 0,2 mb/j dans la zone OCDE.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Bayer acquiert un médicament américain contre le cancer
Bayer va renforcer sa division pharmaceutique, considérée comme l'espoir du groupe en crise. Le géant allemand actif dans la chimie va acquérir un médicament contre le cancer développé par une société américaine de biotechnologies, selon un communiqué publié mardi.
Le groupe d'agrochimie et de pharmacie va verser jusqu'à 1,3 milliards de dollars (1,05 milliard de francs) à l'entreprise Kumquat Biosciences dans le cadre d'un "accord de licence exclusive mondiale" pour ce nouveau médicament dit "inhibiteur". "Kumquat recevra jusqu'à 1,3 milliard de dollars, incluant des paiements initiaux, des étapes cliniques et commerciales, ainsi que des redevances supplémentaires sur les ventes nettes", précise le communiqué.
Bayer se chargera du développement et de la commercialisation de ce médicament, qui doit agir contre les mutations génétiques qui favorisent le développement des cancers. Cet "inhibiteur" doit traiter les cancers du pancréas, du côlon et du poumon, poursuit le communiqué.
Vers 11h30, l'investissement ne convainquait pas la Bourse de Francfort, le titre Bayer reculant de 0,33% dans un indice Dax perdant 0,17%.
Engagé dans une profonde restructuration, Bayer choisit de renforcer son portefeuille de médicaments, déjà porté par le succès du Nubeqa contre le cancer de la prostate et le Kerendia contre l'insuffisance rénale. Deuxième source de revenus du groupe de Leverkusen, la branche pharmaceutique concentre les espoirs, alors que les déboires de l'agrochimie ne cessent de plomber les résultats.
Fin juillet, Bayer a rehaussé les objectifs financiers de la division pharmacie pour 2025, tablant sur une croissance de ses ventes entre 0 et 3%, contre un recul de 1 à 4% précédemment. Mais la situation reste "très volatile", a indiqué le président du directoire Bill Anderson, notamment face aux menaces de Donald Trump d'imposer une surtaxe de 250% sur les médicaments.
Quant à l'activité d'agrochimie, elle souffre des procès exorbitants aux Etats-Unis liés à l'herbicide Monsanto à base de glyphosate, substance accusée d'être cancérigène.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Le chômage reste au plus haut depuis quatre ans au Royaume-Uni
Le taux de chômage est resté stable au Royaume-Uni, à 4,7% lors des trois mois achevés en juin, son niveau le plus élevé depuis quatre ans, sur un marché du travail qui se refroidit, selon l'Office national des statistiques (ONS) mardi.
"Dans l'ensemble, ces derniers chiffres indiquent un ralentissement continu" du secteur de l'emploi, estime Liz McKeown, directrice des statistiques économiques de l'ONS, qui souligne que le nombre de salariés a diminué dans le pays lors de 10 des 12 derniers mois, notamment dans l'hôtellerie et de la vente au détail.
"Les offres d'emploi, elles aussi, ont continué à diminuer, également en raison de la baisse des opportunités dans ces secteurs", ajoute-t-elle.
La croissance des salaires de base est restée stable et celle des salaires incluant les primes a légèrement ralenti, souligne aussi l'ONS.
Pour Richard Carter, analyste chez Quilter Cheviot, les données de l'ONS plaident plutôt en faveur d'"une nouvelle baisse des taux" d'intérêt de la Banque d'Angleterre (BoE) "d'ici la fin de l'année".
"La Banque d'Angleterre est face à un équilibre délicat. L'inflation reste à 3,6 % (en juin), alimentée par les coûts du logement et des transports, mais les signes de faiblesse sur le marché du travail deviennent de plus en plus difficiles à ignorer", estime-t-il.
La BoE vient tout juste d'abaisser son taux directeur à 4%, à l'issue d'un vote serré, pour soutenir une économie à la peine --le PIB a reculé deux mois d'affilée en avril et en mai. Elle a appelé à la prudence pour la suite.
"Il est encore trop tôt pour dire s'il y aura une réduction en novembre", estime Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown, qui juge décembre "un peu plus probable".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
L'inflation américaine stable en juillet
L'inflation a été stable en juillet aux Etats-Unis, selon l'indice CPI publié mardi, alors que les marchés s'attendaient à une accélération en raison des nouveaux droits de douane.
L'indice des prix à la consommation a progressé au même rythme qu'en juin (+2,7% sur un an), contenu par la baisse du coût du pétrole (- 9,5% sur un an).
Sur un mois, l'indice s'affiche même en ralentissement, à +0,2% après +0,3% en juin, dans la lignée des attentes des analystes, selon le consensus publié par MarketWatch.
Hors prix volatils de l'énergie et de l'alimentation, l'indice marque en revanche une nette accélération à +3,1% sur un an, ce qui reste toutefois là encore conforme aux attentes.
La publication intervient dans un contexte sensible.
La majorité des économistes s'attendent à voir l'inflation accélérer aux Etats-Unis au fur et à mesure qu'entrent en vigueur les droits de douane mis en place par le président Donald Trump depuis son retour au pouvoir en janvier.
Les données officielles ont toutefois encore peu déraillé, faisant dire au chef de l'Etat qu'il n'y a pas d'inflation et donc aucune raison pour la banque centrale des Etats-Unis (Réserve fédérale, Fed) de ne pas baisser ses taux.
Le service de statistiques à l'origine de l'indice CPI, le Bureau des statistiques de l'emploi (BLS), est en outre secoué par les interventions directes du président.
Donald Trump a nommé lundi E.J. Antoni, un économiste d'un centre de réflexion très conservateur, à la tête du BLS, près de deux semaines après en avoir limogé sa cheffe, juste après la publication de chiffres de l'emploi montrant que celui-ci s'est nettement dégradé au printemps.
"Notre économie est florissante et E.J. veillera à ce que les chiffres publiés soient HONNÊTES et JUSTES", selon un message du président.
Chargé des questions économiques à la Heritage Foundation, connue pour ses positions très conservatrices, E.J. Antoni a publié sur le site de ce centre de réflexion plusieurs articles favorables à la politique du président républicain.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
-
SuisseIl y a 2 jours
Andreas Hausheer succède à Martin Pfister au Conseil d'Etat zougois
-
Suisse RomandeIl y a 2 jours
Val d'Hérens: un arbre généalogique hors normes dévoilé à Evolène
-
VaudIl y a 1 jour
Importantes coupes de bois entre Vuiteboeuf et Ste-Croix
-
InternationalIl y a 2 jours
Les Etats-Unis veulent une rencontre Trump-Poutine-Zelensky
-
InternationalIl y a 1 jour
Trump espère une "rencontre constructive" avec Poutine
-
CultureIl y a 3 jours
Le festival de Locarno rend hommage à Jackie Chan
-
InternationalIl y a 2 jours
Trump somme les sans-abri de partir "loin" de Washington
-
InternationalIl y a 2 jours
Les touristes interdits sur les flancs du Vésuve en feu