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Suisse

Journée de la bonne action : Faire de bonnes actions ensemble !

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Tous les jours sont bons pour montrer le meilleur de nous-mêmes et venir en aide aux autres. Mais le samedi 25 mai le sera encore plus, grâce à la Coop !

Pourquoi ça ? Eh bien, parce que l'enseigne organise, avec ses partenaires, la 5e édition de la Journée de la bonne action.

Pousser à une solidarité nationale

Une fois par an, depuis 2019, la Coop met à l’honneur l’entraide durant une journée entièrement dédiée à la solidarité et à la cohésion sociale, car quoi de mieux pour souder une population que d’avancer ensemble ?

Cette initiative, appuyée par diverses organisations comme le Mouvement Scout de Suisse, Pro Infirmis, Table Suisse, la Croix-Rouge suisse (CRS), Birdlife et le WWF Suisse, encourage l’action bénévole collective et cherche à en donner le goût à toutes et tous, pour intégrer cet engagement au quotidien.

Faire de bonnes actions ensemble

Samedi 25 mai 2024, l’attention sera mise sur la volonté de faire le bien de manière collective. Profitez de cette journée pour réaliser de beaux gestes avec vos proches ou des inconnus qui partagent le même but que vous, se mouvoir pour le bien-être commun.

Ce ne sont pas les actes qui manquent pour apporter sa contribution en cette Journée de la bonne action. Qu’elle soit sommaire ou conséquente, toute aide est bonne à prendre quand elle est faite avec bon cœur. Chacune et chacun, à son niveau, peut être une source d'aide pour les autres.

Si vous cherchez une activité pour vous engager en cette journée solidaire, vous pouvez parcourir la carte des bonnes actions sur le site de l'opération. Bien sûr, vous avez également la possibilité de réaliser votre propre geste bénévole, selon vos envies et ce qui vous pousse à vous investir pour autrui.

Journée de la bonne action 2024

Partagez votre action pour la bonne cause

La Journée de la bonne action met à l’honneur la notion de solidarité collective. C’est pourquoi, la Coop vous invite à partager ce que vous réalisez autour de vous sur vos réseaux sociaux, grâce au hashtag #JourneeDeLaBonneAction, et à vous inspirer des gestes d'autrui.

On vous invite également à nous parler de votre expérience pour inciter les gens à faire de même et à s’engager au service des autres, en nous envoyant une note vocale sur le Whastapp de la radio au +41798421033.

Nous vous souhaitons d'avance une très belle journée, remplie de solidarité et d’amour !

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Genève

L'Etat de Genève veut former toujours plus d'apprentis en son sein

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L'Etat de Genève poursuit sa politique visant à proposer des places d'apprentissage en son sein. A la rentrée scolaire, le Petit Etat comptera 280 apprentis, soit un taux de 5,6% (illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'Etat de Genève poursuit sa politique visant à proposer des places d'apprentissage en son sein. A la rentrée scolaire, il comptera 280 apprentis, soit un taux de 5,6%. Cette politique concerne aussi les entités du Grand Etat et des entités subventionnées, avec 1079 apprentis (8,4%).

"Pour la rentrée, toutes les places d'apprentissage sont pourvues", a indiqué mercredi devant les médias la conseillère d'Etat Anne Hiltpold, en charge du département de l'instruction publique (DIP). Adoptée par le gouvernement en 2021, la politique de l'apprentissage de l'Etat fixe un taux minimum de 4% d'apprentis. "Les chiffres sont plutôt satisfaisants, mais il faut aller plus loin", a-t-elle souligné.

Organe de gouvernance de cette politique, la commission transversale sur la formation professionnelle duale doit renforcer la communication auprès des jeunes pour les intéresser à venir travailler à l'Etat, comme cela a été fait au cycle d'orientation. "Il faut convaincre les jeunes et les garder. On a affaire à une jeunesse plus fragile", a relevé la magistrate.

Bon taux de réussite

Un apprenti sur cinq en formation duale à Genève travaille dans le giron de l'Etat. Le Petit Etat propose actuellement 280 places, mais l'exécutif souhaite remonter à 300 places comme c'était le cas auparavant. Le Grand Etat en compte 1046 et les entités subventionnées, 33. "Les départements doivent s'impliquer pour proposer plus de contrats d'apprentissage", a déclaré la cheffe du DIP.

Si la majorité des places sont destinées à des apprentis employés de commerce, l'Etat souhaite toutefois diversifier les professions et les filières - CFC, AFP. Pour développer les places, il entend aussi davantage valoriser les filières des formateurs qui assurent un suivi personnalisé des apprentis. A l'Etat, le taux de réussite était de 97% en juin 2024, contre 85,3% au niveau cantonal.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Smartphones et montres connectées sous silence au postobligatoire

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Le conseiller d'Etat vaudois Frédéric Borloz fait mercredi le traditionnel point sur l'actualité des lieux de formation et sur les priorités pour la rentrée et l'année scolaire 2025/2026 (archives). (© Keystone/VALENTIN FLAURAUD)

Dans le canton de Vaud, près de 135'000 jeunes feront leur rentrée lundi prochain. Cette rentrée scolaire 2025/2026 est marquée par une restriction des smartphones au postobligatoire, le développement des compétences transversales, l'amélioration du climat scolaire - lutte contre les violences et le racisme - et le projet d'une application pour faciliter la relation famille-école.

Totalement interdits sur le temps scolaire depuis 2019 à l'école obligatoire, les smartphones et objets connectés seront soit éteints soit en mode silence et rangés pendant les cours dans les écoles professionnelles et les gymnases, soit dans le sac de l'élève ou dans des casiers mis à disposition. Ils pourront être, en revanche, utilisés durant les pauses entre les cours et de midi.

Vaud n'a donc pas opté pour une interdiction stricte et totale, prônant la nuance, a résumé mercredi devant les médias le conseiller d'Etat en charge des écoles vaudoises Frédéric Borloz à l'Ecole professionnelle de Lausanne EPSIC. L'objectif essentiel est que le téléphone ne soit plus visible et distractif sur la table de l'élève.

Racisme: tolérance zéro

Le chef du Département de l'enseignement et de la formation professionnelle (DEF) a aussi insisté sur le climat scolaire. Le plan de lutte contre le racisme annoncé l'année passée est prêt et peut se déployer. Tolérance zéro, encouragement à l'ouverture, sensibilisation ou encore parler du racisme et de l'antisémitisme en classe ont été parmi les mesures évoquées.

Une directive concernant les objets dangereux, comme les armes blanches, est, lui, en préparation, a annoncé Cédric Blanc, directeur général de l'enseignement obligatoire (DGEO).

Profil de l'élève auto-évalué

Autre priorité de cette rentrée pour les acteurs du DEF, tant dans l'enseignement obligatoire que postobligatoire, ce sont les compétences transversales. "L'auto-évaluation du profil de l'élève devient un complément aux notes, comme un bagage supplémentaire", a expliqué M. Borloz.

Des projets-pilotes permettent désormais aux élèves en fin de scolarité d'identifier leurs compétences personnelles, méthodologiques et sociales, comme par exemple la fiabilité, le travail d'équipe, la créativité, l'esprit d'initiative, l'habileté manuelle ou encore le savoir-vivre.

Une fois identifiées, ces compétences sont inscrites dans le dossier des élèves et peuvent être jointes à des postulations pour des recherches de stages ou de places d'apprentissage. Ce dispositif devrait progressivement s'étendre dans le canton.

Portail de communication

Les services du ministre entendent également continuer leurs efforts dans les relations avec les parents. Une application de communication "fait maison" sera développée et testée début 2026 pour être ensuite proposée de manière progressive à la rentrée 2026-2027 à l'ensemble des établissements de la scolarité obligatoire.

Elle permettra dans un premier temps de communiquer plus facilement avec les parents d'une classe, remplaçant les circulaires qui se perdent ou l'utilisation de messageries tierces et peu sécurisées. La gestion des absences et d'autres fonctionnalités comme la mise à disposition des horaires seront ensuite ajoutées, a détaillé M. Blanc.

Cette rentrée 2025/2026 est aussi marquée par l'ouverture du nouveau Gymnase de Crissier, qui sera inauguré le 28 août. L'établissement près de Lausanne accueillera dans un premier temps 300 gymnasiens dès lundi. Puis en plusieurs étapes jusqu'à 1200 élèves d'ici l'introduction du gymnase en quatre ans à l'horizon 2030.

Finances compliquées

Sur le plan financier, Frédéric Borloz a averti que la situation était "compliquée". Déjà 13,5 millions d'économie ont été planifiées dans le budget 2025. L'effort devra se poursuivre pour le budget 2026, a-t-il dit sans donner plus de détails. "Nous allons prendre des mesures qui ne péjoreront pas le fonctionnement de l'école", a assuré le ministre de l'éducation.

Avec 613 élèves de plus que l'année passée, ce sont précisément 134'942 élèves qui feront leur rentrée lundi: 98'642 dans les établissements de l'école obligatoire et de la pédagogie spécialisée et une projection de 36'300 apprentis et gymnasiens, détaille le DEF. Les directions de plus de 140 lieux de formation comptent actuellement environ 15'000 enseignants.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre

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Il reste à voir si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages. (© KEYSTONE/AP/Hau Dinh)

L'évolution qu'aura connue l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections pour les moins divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP.

Seul point de convergence, la vive progression du produit intérieur brut (PIB) observée sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.

Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.

Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.

Espoirs de stabilisation

Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.

Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.

Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Pas d'accord sur les coûts des F-35A entre Berne et Washington

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Washington ne veut pas céder sur la question du prix fixe des F-35A. Berne devra s'attendre à des surcoûts (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La Suisse ne pourra pas imposer de prix fixe aux Etats-Unis pour l'achat des 36 avions de combat F-35A. Washington ne veut pas changer de position dans ce dossier, annonce le Conseil fédéral. Les coûts totaux excéderont donc bien les six milliards de francs.

Au cours des dernières semaines, des "discussions intensives" ont eu lieu avec des représentants de haut rang de la Maison-Blanche au sujet du prix fixe pour l'acquisition du nouvel avion de combat F-35A. La question du prix a également été abordée lors d'un téléphone entre le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, et le conseiller fédéral Martin Pfister, chef du Département de la défense (DDPS).

Ces discussions ont clairement montré que les Etats-Unis ne sont pas disposés à changer de position, constate le gouvernement dans un communiqué mercredi. La Suisse doit donc accepter qu'elle ne pourra pas imposer de prix fixe, comme elle l'entendait. Le prix par lot de production correspondra à la valeur négociée entre le gouvernement américain et le constructeur Lockheed Martin.

A l'heure actuelle, il n'est donc pas possible de déterminer le coût total exact de l’acquisition. Cela se traduit par la fourchette de coûts supplémentaires potentiels pour l’acquisition des F-35A, déjà communiquée fin juin, comprise entre 650 millions et 1,3 milliard de francs suisses, écrit encore le Conseil fédéral.

Ce dernier "maintient son projet d'acquisition" du F-35A. Le Conseil fédéral a donc chargé le DDPS d'approfondir les travaux sur différentes options et de lui soumettre d'ici à fin novembre une proposition concernant la suite de la procédure.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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