International
SoftBank Group affiche une perte nette au premier trimestre

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Le géant technologique japonais SoftBank Group a dit mercredi avoir subi une perte nette au premier trimestre de son exercice 2024/25, due en partie à la faiblesse du yen, annonçant parallèlement un massif rachat d'actions susceptible de rassurer ses investisseurs.
Entre avril et juin, le groupe a essuyé une perte nette de 174,3 milliards de yen (1,1 milliard d'euros), nettement moins lourde que celle subie un an plus tôt (477,6 milliards de yens).
Ce trimestre dans le rouge intervient alors que SoftBank avait publié des bénéfices nets lors des deux trimestres précédents, et que le marché prévoyait un résultat positif.
Les investissements de SoftBank dans des centaines de start-up continuent de peser sur ses comptes: sa division Vision Fund, qui rassemble les investissements de ses fonds Vision Fund 1 et 2, a annoncé une perte avant impôts de 204,3 milliards de yens (1,3 milliard d'euros) au premier trimestre.
SoftBank explique par ailleurs avoir subi une perte de 443,9 milliards de yens "en raison de l'impact du yen faible".
Le groupe avait subi sur l'ensemble de l'exercice précédent un résultat net négatif de près de 230 milliards de yens (1,4 milliard d'euros) en raison de lourdes pertes enregistrées au premier semestre, liées à ses investissements dans les nouvelles technologies.
SoftBank a commencé à redresser la barre depuis, à la faveur d'un nouveau changement de modèle d'activité, se tournant vers le secteur de l'intelligence artificielle (IA) après des années d'investissements massifs dans la "tech" au sens large, des paris qui ont parfois viré au désastre, comme avec le géant des bureaux partagés WeWork.
L'action SoftBank avait atteint un record absolu début juillet à la faveur de l'engouement mondial pour l'IA, dans laquelle il espère jouer un rôle grandissant au niveau mondial, à coups d'investissements et de partenariats, notamment avec le géant américain Microsoft ou la start-up Perplexity AI.
Son cours a cependant nettement baissé depuis, affecté notamment par l'affolement des marchés mondiaux en début de semaine. SoftBank a connu lundi sa pire chute en Bourse depuis 1998, avant de rebondir.
L'entreprise du milliardaire Masayoshi Son, qui avait mis un coup de frein depuis deux ans sur les investissements après ses monstrueuses pertes, dispose de nouveau d'une considérable capacité à investir.
SoftBank peut ainsi notamment capitaliser sur le succès de l'introduction en Bourse à New York en septembre dernier de Arm, le champion britannique des architectures de microprocesseurs, dont il est le grand actionnaire.
SoftBank, qui avait récemment fait savoir que les rachats d'actions, réclamés par des investisseurs activistes, n'étaient pas une priorité, a par ailleurs annoncé mercredi un massif rachat de ses propres actions pour un montant de 3,1 milliards d'euros.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
La Suisse rêve d'une future qualification
La Suisse a bouclé son Eurobasket dames sur une 3e défaite en autant de matches. A l’heure de dresser le bilan de leurs performances en Grèce, les Suissesses rêvaient de revivre une telle expérience.
Les Helvètes ne nient pas un manque d’adresse et de multiples petites erreurs commises durant l’ensemble de la compétition, qui ont confirmé un écart encore significatif entre elles et le top 10 européen. Dans la balance, Evita Herminjard et ses coéquipières mettent également en exergue ce qu’elles veulent retenir de ce rendez-vous grec: l’image positive qu’elles ont démontrée, et les progrès réalisés face à l'élite continentale.
"Nous avons montré du beau basket. Il faut maintenant qu'on arrive à bien jouer sur la durée et pas uniquement sur un certain nombre de séquences", résumait Evita Herminjard, visiblement émue. "J'espère qu'enfin, les équipes vont désormais se dire +on va devoir jouer sérieusement contre l'équipe de Suisse+. C'est ma plus grande fierté."
"Les filles ont gagné leur respect"
"Les filles ont regardé leurs adversaires droit dans les yeux. Elles ont gagné leur respect, estimait, de son côté, l'entraîneur national François Gomez. "C’est important qu’elles repartent de Grèce en sachant cela. On ne peut qu’être fiers des qualités de c½ur et de l’état d’esprit de nos joueuses."
"Dans le vestiaire, il y a un mot qui est souvent revenu pour résumer nos matches, c'est résilience", dévoilait la shooteuse fribourgeoise Elea Jacquot.
"On aurait pu faire certainement un peu mieux - on a fait un peu trop de petites erreurs -, mais globalement, le bilan est positif. On a beaucoup appris, estimait, pour sa part, l’intérieure bernoise Lin Schwarz. "Nous serions bien entendu heureuses de revivre un tel événement."
Une question existentielle
Le chemin vers les sommets est encore long. mais il s’accompagne désormais de davantage de certitudes. Reste à savoir "comment les jeunes joueuses progresseront ces prochaines années, afin de pouvoir disputer un nouvel Euro, sans, cette fois-ci, en être le petit poucet." C’est la question qui taraude le coach nordiste.
L'équipe de Suisse entamera, en novembre, le premier des deux tours de qualification à l'Euro 2027. Toujours avec François Gomez à sa tête, selon le secrétaire général de Swissbasketball, Erik Lehmann.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Dortmund bat les Mamelodi Sundowns dans la douleur
Le Borussia Dortmund a souffert pour décrocher son premier succès dans le Mondial des clubs. Son portier zurichois Gregor Kobel a ainsi capitulé à trois reprises face aux Mamelodi Sundowns.
Le BVB s'est imposé 4-3 devant les Sud-Africains, qui ont ouvert la marque dès la 11e minute de jeu samedi à Cincinnati. La formation allemande devra attendre sa dernière rencontre contre les Sud-Coréens d'Ulsan pour s'assurer une place en 8es de finale.
Après son match nul inaugural contre Fluminense (0-0), Dortmund a ouvert son compteur grâce à Felix Nmecha (16e), Serhou Guirassy (34e), Jobe Bellingham (45e) et Iqraam Raynders (59e, autogoal). Les Allemands, qui menaient 4-1 à l'heure de jeu, se sont fait une petite frayeur en encaissant deux autres buts, le dernier à la 90e.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Bombardiers américains en vol, Trump réunit un conseil de sécurité
Des avions bombardiers B-2 ont décollé d'une base aux Etats-Unis. Ils se dirigeaient vers l'ouest, au-dessus du Pacifique, au moment où Donald Trump soupèse une intervention militaire contre l'Iran, rapportent samedi le New York Times et des sites de suivi de vols.
Ces bombardiers stratégiques furtifs, seuls capables de transporter des puissantes bombes anti-bunker de type GBU-57, ont décollé de la base de l'armée de l'air Whiteman dans le Missouri (centre) et ont été repérés au large de la Californie, accompagnés d'avions ravitailleurs, selon ces sources.
La destination de ces avions n'était pas connue mais, selon le New York Times, ils se dirigeraient vers l'île de Guam, dans le Pacifique. Interrogé par l'AFP, le Pentagone s'en est référé à la Maison Blanche, qui n'a pas répondu dans l'immédiat.
Le président américain Donald Trump, qui a dit que l'Iran ne pouvait pas disposer d'une arme nucléaire, rentre à la Maison Blanche samedi en fin d'après-midi pour y présider un nouveau conseil de sécurité. Il s'est donné au "maximum deux semaines" avant de prendre une décision sur une possible participation américaine à l'offensive israélienne en cours contre l'Iran.
Les experts s'accordent sur le fait que seuls les Etats-Unis ont la capacité de détruire les installations nucléaires iraniennes profondément enfouies, dont à Fordo, au sud de Téhéran. La GBU-57, une ogive de 13 tonnes, est capable de s'enfoncer à des dizaines de mètres de profondeur avant d'exploser.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'Inde ne rétablira "jamais" le traité de partage des eaux avec le Pakistan
L'Inde ne reprendra "jamais" sa participation au traité de partage des eaux de l'Indus avec le Pakistan. Cette participation avait été suspendue en avril à la suite d'un attentat dans le Cachemire indien qui a entraîné une confrontation militaire entre les deux pays.
L'Inde avait suspendu en avril sa participation au Traité des Eaux de l'Indus, signé en 1960 avec le Pakistan, après un attentat qui avait fait 26 morts dans une ville touristique du Cachemire indien. L'Inde avait attribué cet attentat à un groupe djihadiste soutenu par Islamabad, des accusations rejetées par le Pakistan. Les deux pays sont entrés ensuite dans une escalade d'attaques et de contre-attaques.
Bien que le cessez-le entre les deux pays soit respecté, le ministre indien de l'Intérieur Amit Shah a déclaré samedi au quotidien Times of India que son gouvernement ne rétablirait pas le traité de partage des eaux du fleuve, cruciales pour le Pakistan assoiffé. "Il ne sera jamais rétabli", a-t-il souligné.
"Nous allons prendre l'eau qui coulait vers le Pakistan (pour l'acheminer) vers (l'Etat indien du) Rajasthan en construisant un canal. Le Pakistan sera privé de l'eau dont il bénéficiait d'une manière injuste", a-t-il ajouté.
Traité "intouchable"
Le Traité sur les eaux de l'Indus accordait à l'Inde et au Pakistan trois fleuves himalayens chacun et le droit d'utiliser leurs eaux pour l'hydroélectricité et l'irrigation. Une Commission indo-pakistanaise de l'Indus était censée résoudre tout problème pouvant survenir.
En mai, Islamabad avait déclaré que le traité était intouchable, après que New Delhi eut annoncé maintenir sa suspension après la conclusion de l'accord de cessez-le-feu. "Le traité ne peut pas être modifié, ni résilié par aucune des parties sans l'accord des deux parties", avait déclaré le chef de la diplomatie pakistanaise, Ishaq Dar.
Au cours des quatre jours d'affrontements entre les deux pays en mai, plus de 70 personnes ont été tuées dans des tirs de missiles, de drones et d'artillerie, la plus grave situation de guerre ouverte entre les nations voisines depuis 1999.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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