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Un nul qui ne suffit pas pour la Suisse
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La Suisse ne perd plus mais ne gagne toujours pas! A St-Gall, elle a enfin cueilli face au Danemark son premier point (2-2) en Ligue des Nations après trois défaites lors des trois premiers matches.
Même si la Serbie s’est inclinée 3-0 à Cordoue face à l’Espagne, ce nul est une très mauvaise affaire pour la formation de Murat Yakin. Elle doit maintenant s’imposer par trois buts d’écart le 15 novembre à Zurich contre la Serbie pour avoir une chance raisonnable d’échapper à la relégation directe.
Trahie une fois de plus par sa défense, la Suisse ne méritait peut-être pas de gagner cette troisième rencontre de l’année contre le Danemark après le nul 0-0 et la défaite 2-0 à Copenhague. Même si elle a mené à deux reprises au score grâce à Remo Freuler et à Zeki Amdouni, elle a payé un tribut certain à un jeu collectif qui souffre de la comparaison avec celui développé cet été à l'Euro.
Des choix gagnants
Une défense à quatre pour la première fois de l’année et trois modifications opérées par rapport au onze de samedi à Leskovac: Murat Yakin avait annoncé du changement et il a tenu parole. A la pause, les choix du sélectionneur étaient gagnants avec l’apport d’Edimilson Fernandes et d’Ulisses Garcia sur les côtés et le dynamisme à mi-terrain de Fabian Rieder. Fernandes fut, ainsi, à l'origine de l’ouverture du score de Remo Freuler à la 26e alors que Garcia a témoigné d’un réel tranchant sur le flanc gauche, juste derrière un Dan Ndoye toujours capable d’amener ce petit grain de folie qui peut tout changer.
Malheureux pendant 44 minutes à la pointe de l’attaque, Breel Embolo a eu l’immense mérite de provoquer, avec une certaine malice, le penalty du 2-1. Il a été transformé imparablement par Zeki Amdouni. On ose espérer désormais que le Genevois, s’il est sur le terrain, sera bien à l’avenir le frappeur no 1 de la sélection. A 23 ans, l’attaquant du Benfica s’est déjà affirmé comme un maître en la matière.
Le gros point noir de cette première période fut encore une fois une défense en souffrance. Il est effectivement devenu très facile de marquer contre cette équipe de Suisse de l’après-Euro. L’égalisation de Gustav Isaksen quelques secondes après le but de Freuler relève presque du vidéo-gag. Après une faute sifflée à l’encontre de Nico Elvedi, Granit Xhaka a rendu trop vite le ballon pour permettre à Eriksen de réussir une passe lobée pour Isaksen. Plus prompt qu’un Elvedi qui ne peut plus masquer son manque d’explosivité, le joueur de la Lazio armait une frappe qui filait entre les jambes de Gregor Kobel. Le premier clean sheet en sélection du portier de Dortmund devra encore attendre...
Un investissement discutable
A la reprise, Fernandes, Garcia et Rieder se montraient toujours aussi entreprenants. Les trois entrants ont vraiment marqué des points à St-Gall. Ne pas les revoir en novembre serait incompréhensible. En face, les Danois, malgré le score, changeaient leurs trois attaquants avant l’heure de jeu. Pourtant, Isaksen, Rasmus Höljund et Albert Grönbaek avaient causé bien des tourments à une défense qui devait composer non seulement avec les limites d’Elvedi mais aussi avec l’investissement discutable de Manuel Akanji et le jeu au pied bien moyen de son gardien.
Sur l’action du 2-2 de Christian Eriksen de la 69e, parfaitement décalé par son capitaine Pierre-Emile Höjbjerg. Akanji devait ainsi témoigner d’une passivité coupable. Entre l’Akanji de Manchester City et celui de ce rassemblement d’octobre, il y a un monde.
A la 73e, les Suisses ont bien cru avoir pris une troisième fois l’avantage dans cette rencontre. Amdouni surgissait au second poteau sur un corner de Filip Ugrinic, qui avait relayé Rieder, pour réussir une volée magnifique. Seulement, l'envoi d’Ugrinic, trop brossé, avait franchi la ligne de fond. La théorie de Murat Yakin selon laquelle la Suisse n’est pas vraiment aidée par les faits de jeu lors de cette campagne de Ligue des Nations n’est sans doute pas inexacte. Mais le n½ud du problème se trouve plutôt dans des errements défensifs qui ont coûté dix buts en quatre matches.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Lausanne: rencontres prévues avec les joueuses espagnoles
La population lausannoise est invitée à venir rencontrer les joueuses de l'équipe d'Espagne, lesquelles séjourneront dans la capitale vaudoise lors du prochain Euro. Leur premier entraînement, le 30 juin à 10h30 au stade Juan-Antonio-Samaranch, sera ouvert au public. Il sera suivi d'une séance de dédicaces.
Les places étant limitées, les personnes intéressées doivent obligatoirement réserver leur billet sur le site internet de la Ville, annonce-t-elle dans un communiqué.
Les championnes du monde en titre arriveront en début de soirée le dimanche 29 juin à Lausanne. A cette occasion, la population pourra venir les accueillir sur les derniers mètres devant leur hôtel du Royal Savoy.
"Des drapeaux aux couleurs de l'Espagne et de la Suisse seront distribués aux personnes présentes afin de former une haie d'honneur vivante et colorée le long de l'avenue de Cour", indique la Ville.
A la descente du bus, les joueuses, emmenées par Montserrat Tomé, seront accueillies par la Municipalité de Lausanne, les autorités cantonales et l'ambassadrice d'Espagne.
Pour mémoire, Lausanne n'accueille pas de matches de l'Euro. Une fan zone a néanmoins été installée à côté de la place de la Navigation à Ouchy. Une "fun zone", située juste à côté, accueillera un terrain de football 3 contre 3. De nombreuses animations et initiations y seront également proposées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Messi offre la victoire à Miami, proche de la qualification
Messi a offert la victoire à l'Inter Miami face à Porto sur un superbe coup-franc (2-1), jeudi à Atlanta. Le club se retrouve tout près d'une qualification pour les 8e de finale du Mondial des clubs.
Sous une chaleur étouffante (30°), le no 10 albiceleste a inscrit un but capital pour le destin des siens dans cette compétition. Alors que les deux équipes étaient à égalité, le champion du monde a sorti de sa besace une frappe millimétrée de plus de 20 mètres qui est allée se loger en pleine lucarne portugaise (54e).
Quatre jours après le nul concédé contre les Egyptiens d'Al Ahly (0-0) lors du match d'ouverture, la formation dirigée par son compatriote Javier Mascherano se retrouve en très bonne posture avant le denier rendez-vous du premier tour face aux Brésiliens de Palmeiras, mardi à Miami où un nul lui offrirait un billet pour le prochain tour.
Les coéquipiers de Messi étaient pourtant en grande difficulté en première période en étant menés dès la 8e minute après un penalty transformé par l'attaquant espagnol Samu. Mais ils se sont soudainement réveillés après la pause en revenant au score par l'intermédiaire de Telasco Segovia (47e) avant la délivrance venue des pieds de l'octuple Ballon d'Or.
L'astre argentin n'a certes pas tout réussi et ses ouvertures n'ont pas toujours été très précises, mais il a gardé à 37 ans une technique unique qui lui a permis de sauver quasiment à lui seul une équipe de l'Inter Miami à l'effectif hétéroclite, une combinaison de joueurs obscurs et de vieilles gloires.
Si Luis Suarez (38 ans) a fait le plus souvent peine à voir et s'est traîné sur la pelouse du Mercedes-Benz Stadium, tout comme Sergio Busquets (36 ans), qui joue désormais en marchant, Messi s'est lui démené d'un bout à l'autre du terrain.
Même si lui aussi a logiquement perdu de sa superbe, le club possédé par David Beckham peut lui dire un grand merci.
La tâche de l'Inter Miami a été facilitée par l'apathie de Porto. Si les Portugais se sont procuré plusieurs grosses opportunités en première période, touchant le poteau par Alan Varela (43e), ils ont été très décevants, à l'image du prodige Rodrigo Mora (18 ans), qui n'a pas réussi grand-chose et a vu sa seule grosse occasion sauvée sur sa ligne par Maximiliano Falcon (39e).
Déjà auteur d'une piètre prestation contre Palmeiras (0-0), dimanche, ce grand espoir du football lusitanien est en train de passer complètement à côté de son tournoi. Tout le contraire de Messi, bien décidé à faire durer le plaisir.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Gattuso veut redonner "enthousiasme et envie" à l'Italie
Le nouveau sélectionneur de l'Italie Gennaro Gattuso veut redonner "enthousiasme et envie" à la Nazionale, mal partie sur la route du Mondial 2026. Il l'a répété jeudi à Rome en conférence de presse.
"Enthousiasme, envie, volonté d'être ensemble et d'être uni pour faire front quand c'est difficile, c'est très clair dans mon esprit ce qu'il faut faire", a déclaré Gattuso qui a succédé à Luciano Spalletti, licencié après la déroute de l'Italie face à la Norvège (3-0) en ouverture des qualifications pour le Mondial 2026.
"Il faut créer une famille (...) Il faut redonner à ce groupe de joueurs cette mentalité qui a longtemps valu à l'Italie d'être admirée dans le monde", a poursuivi l'ancien international italien (73 sélections, 1 but) et ex-coach du FC Sion.
Sans surprise, le champion du monde 2006, réputé quand il était joueur pour sa grinta, sa rage de vaincre et son agressivité, a mis l'accent sur l'aspect psychologique de son nouveau rôle. "Il faut parler avec les joueurs et entrer dans leur tête pour arriver à leur transmettre du positif (...) La tactique ou la technique, ce n'est pas le plus important", a-t-il estimé.
"J'entends depuis des années qu'il n'y a pas de talent, qu'on n'a pas les joueurs, mais on a tout ça. Il faut qu'on les mette en situation de donner leur maximum", a souligné "Rino" qui s'est déjà entretenu avec 35 internationaux.
"Être à fond et bosser avec sérieux"
Après ses deux premiers matches des qualifications pour la Coupe du monde, l'Italie, absente des deux dernières éditions du Mondial, est troisième du groupe I avec trois points, à neuf longueurs de la Norvège qui a disputé deux matches de plus. L'équipe qui terminera en tête de ce groupe sera directement qualifiée pour le Mondial nord-américain, son deuxième devant passer par des barrages, qui furent fatals à l'Italie pour 2018 et 2022.
Gattuso, 47 ans, a prévenu les joueurs de la Nazionale qu'avec lui, "à l'entraînement, ils devront aller à 1000 à l'heure": "Quand l'entraînement commence, il faut être à fond et bosser avec sérieux". "Je ne suis pas un magicien, je peux juste promettre de faire les choses avec passion et tout faire pour ramener cet enthousiasme, pour ramener l'Italie en Coupe du monde", a-t-il conclu.
"Un choix du coeur"
Si Gattuso n'était pas le premier choix de la Fédération italienne (FIGC), qui a essuyé les refus de l'expérimenté Claudio Ranieri (73 ans), le président de la FIGC Gabriele Gravina a présenté sa nomination comme "un choix du coeur et de conviction": "C'est un entraîneur quoi sait ce que cela veut dire porter le maillot de la Nazionale".
Joueur, Gattuso a tout gagné, notamment deux Ligues des champions avec l'AC Milan. Son palmarès d'entraîneur se limite pour l'instant à un seul trophée, une Coupe d'Italie avec Naples en 2020. Il a enchaîné les expériences décevantes, souvent écourtées comme avec l'AC Milan (2017-19), Valence (2019-21) ou Marseille (2023-24).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
La Juventus en maîtrise face aux Emiratis d'Al Aïn
La Juventus s'est imposée avec une maîtrise absolue mercredi à Washington face aux Emiratis d'Al Aïn, pour son entrée dans le Mondial des clubs.
Sa victoire 5-0 lui permet de chiper la tête du groupe G à Manchester City.
Dans une rencontre à sens unique, Randal Kolo Muani a montré la voie aux Turinois, avec l'ouverture du but d'une tête autoritaire (11e). Le gardien portugais d'Al Aïn Rui Patricio a ensuite vu, impuissant, les ailiers de la Juve augmenter la mise: Conceiçao l'a doublée (21e) et la pépite turque Yildiz l'a triplée après un show dans la surface (31e).
Kolo Muani s'est offert un doublé d'un ballon glissé de l'extérieur du pied dans les filets (49e), et Conceiçao l'a imité d'une jolie frappe côté opposé (58e). Les joueurs de la Juve furent en tout cas bien plus à l'aise sur la pelouse de la capitale que dans l'antre du pouvoir américain, la Maison Blanche.
Invités par Donald Trump, ils se tenaient là, droits comme des piquets derrière le président, quelques heures avant la rencontre. Le républicain en a profité pour s'adonner à son activité préférée: commenter l'actualité (et le conflit en Iran) dans une conférence de presse improvisée.
La Juventus affrontera les Marocains du Wydad Casablanca dimanche pour la deuxième journée et Al Aïn se frottera pour sa part à Manchester City, le 23 juin.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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