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Genève: le canton pose un cadre pour l'IA dans ses services

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L'Etat de Genève donne un cadre à ses collaborateurs pour l'utilisation de l'intelligence artificielle (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les outils d'intelligence artificielle (IA) transforment profondément les méthodes de travail, ouvrant de nouvelles perspectives notamment pour les prestations publiques. Face à cette évolution, l'Etat de Genève propose à ses collaborateurs un cadre d'utilisation pour les accompagner dans leurs démarches.

Dans le cadre de la politique numérique de l'Etat, plusieurs projets sont en préparation. Ils ne sauraient avoir un sens que si les collaborateurs de l'Etat sont formés et informés sur les bonnes pratiques pour appréhender l'IA générative, indique le canton jeudi dans un communiqué.

Afin de préparer la fonction publique à mieux appréhender ces outils et à réfléchir sur les enjeux potentiels, l'Etat a publié des lignes directrices orientées sur la pratique à l'intention de son personnel. Parallèlement à ce guide, une formation en ligne et interne est désormais disponible pour l'ensemble des collaborateurs. Ils peuvent y découvrir comment mieux intégrer l'IA dans leur activité professionnelle, voire s'exercer à lancer des projets.

Le Département des institutions et du numérique rappelle encore la complexité des enjeux: sur le plan éthique, il est essentiel de garantir que les algorithmes ne reproduisent pas des biais discriminatoires; en ce qui concerne la légalité, il est crucial de respecter les réglementations en vigueur, notamment en matière de protection des données personnelles et de secret de fonction.

Sur le plan financier, les coûts associés à la mise en ½uvre de solutions d'IA peuvent être significatifs, nécessitant des investissements initiaux importants et une gestion des ressources à long terme. Enfin, l'impact énergétique des systèmes d'IA, souvent gourmands en ressources, pose des défis en matière de durabilité environnementale.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

L'initiative sur les allocations familiales échoue

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Une initiative des Jeunes du Centre visait à apporter un soutien pour les familles et se positionnait en faveur du pouvoir d'achat (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

A Genève, l'initiative des Jeunes du Centre visant à adapter les allocations familiales aux coûts de la vie en tenant compte des hausses des primes d'assurance maladie a échoué. Les initiants n'ont pas réussi à récolter assez de signatures.

Ils avaient jusqu'à vendredi pour déposer les 4214 signatures nécessaires, mais ils en ont récolté environ la moitié, a indiqué vendredi à Kesytone-ATS Gabriel Haddad, président des Jeunes du Centre. Après un excellent démarrage, l'élan s'est essoufflé, faute de temps de la part de nos membres, a-t-il expliqué.

Il compte revenir sur le sujet dans le futur. Lancée en février dernier, cette initiative a permis d'ouvrir le dialogue, notamment avec les sections jeunes des autres partis, a ajouté M.Haddad.

Actuellement, les allocations familiales sont actuellement basées sur l'indice genevois des prix à la consommation qui ne comprend pas les primes d'assurance maladie. L'initiative prévoyait d'inscrire dans la loi sur les allocations familiales un mécanisme qui intègre la hausse de primes dans le calcul de l'indexation.

Afin de ne pas peser sur les PME, les Jeunes du Centre voulaient que ce système soit financé par le budget de l'Etat. Selon leurs estimations, en 2025, les allocations familiales pour un enfant jusqu'à 16 ans seraient passées de 311 à 334 francs par mois. Elles auraient augmenté de 415 francs à 445 francs pour un jeune en formation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Genève va construire sept nouvelles écoles de pédagogie spécialisée

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Genève vote 42,5 millions de francs pour construire sept écoles de pédagogie spécialisée à Vernier, Onex et au Grand-Saconnex (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

A Genève, sept nouvelles écoles destinées aux élèves à besoins spécifiques vont être construites. Le Grand Conseil a accepté vendredi un crédit d'étude et d'investissement de 42,5 millions de francs pour réaliser ces infrastructures.

Ce projet vise à répondre à l'augmentation des effectifs de l'enseignement spécialisé. Trois parcelles dans les communes de Vernier, d’Onex et du Grand-Saconnex accueilleront ces écoles. "Il y a une véritable opportunité foncière à saisir", a souligné la socialiste Nicole Valiquer Grecuccio.

Sur les sites de Vernier et du Grand-Saconnex, les travaux devraient démarrer au printemps 2027 pour une mise en service prévue au plus tôt à la rentrée scolaire 2028. Le projet d’Onex, qui nécessite des travaux plus conséquents, débutera à l'automne 2027 et sera achevé au plus tôt pour la rentrée scolaire 2029.

Ces nouvelles structures accueilleront entre 100 et 125 élèves de l'enseignement spécialisé et permettront d'absorber une partie de l'augmentation significative des effectifs. Elles offriront également la possibilité d'abandonner certains sites vétustes et exigus.

Très attachés à l'école inclusive, les socialistes ont voulu conditionner l’ouverture des 100 premières places à la fermeture des 100 places existantes les plus vétustes. Cette condition visait à s'assurer que le Conseil d'Etat ne crée pas davantage de places dans l'éducation spécialisée pour s'éloigner de l'école inclusive.

Mais cette tentative a échoué en plénière. La majorité a accepté un amendement du Conseil d'Etat supprimant cette condition. Très remontée "contre le dogmatisme de la gauche", la conseillère d'Etat Nathalie Fontanet a souligné qu'il était du devoir de l'Etat de ne pas laisser des familles sur le carreau.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Un crédit d'étude supplémentaire pour patinoire du Trèfle-Blanc

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Un crédit d'étude supplémentaire a été voté par le Grand Conseil genevois pour la réalisation de la future patinoire du Trèfle-Blanc à Lancy (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le grand Conseil genevois a accepté vendredi un crédit supplémentaire de 5,35 millions de francs pour compléter les études relatives à la construction de la patinoire du Trèfle-Blanc et aux aménagements aux alentours de la future enceinte sportive. Le crédit d'investissement pour l'ensemble devrait avoisiner les 400 millions.

Le crédit voté vendredi par 74 voix et 13 abstentions (Vert.e.s) vise à compléter un premier crédit d'étude de 11,7 millions. Le projet nécessite des études complémentaires notamment pour le reversement de la boucle du tram, pour la mobilité, pour le P+R ou encore pour des impacts géologiques, a indiqué le député UDC Christo Ivanov.

Les coûts de réalisation de la patinoire du Trèfle-Blanc à Lancy et les dépenses liées à l'aménagement des alentours de l'enceinte sportive ont été revus à la hausse, notamment en raison de l'augmentation de prix des matériaux de construction. L'investissement est estimé à 293 millions de francs pour le complexe auquel s'ajoutent près de 100 milllions de garantie de prêt pour le parking.

Thierry Apothéloz, président du Conseil d'Etat, espère que le crédit d'investissement sera discuté cet automne au Grand Conseil pour un démarrage des travaux au début 2026. La mise en service est prévue pour 2030. La nouvelle infrastructure pourra accueillir 8500 spectateurs. Il y aura aussi des surfaces commerciales ainsi que des espaces réservés pour les collectvités publiques.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le Grand Conseil genevois vote les comptes 2024 de l'Etat

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A Genève, les comptes 2024 de l'Etat ont été votés à l'unanimité par le Grand Conseil (archives) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le Grand Conseil genevois a accepté vendredi les comptes de l'Etat 2024, qui affichent un excédent de 541 millions de francs, totalement affecté à la réserve budgétaire. La gestion du Conseil d'Etat pour cette même année a été refusée.

Les comptes ont été acceptés à l'unanimité. Les députés ont rappelé qu'il s'agit avant tout de se prononcer sur l'exactitude des comptes, qui sont révisés par la Cour des comptes.

L'ensemble des revenus s'élève à 11 milliards. Les revenus fiscaux sont en diminution par rapport à 2023, après deux années consécutives de croissance hors normes. Le repli (-18,7%) de l'impôt sur les entreprises est source d'inquiétudes pour l'avenir, selon la Grande Argentière Nathalie Fontanet.

La dette diminue de 166 millions par rapport à fin 2023, pour atteindre 10,4 milliards. Les investissements qui s'élèvent à 660 millions affichent un taux de réalisation élevé de 90%.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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