Culture
Le Musée Jenisch Vevey a connu un record de fréquentation en 2024
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2025/01/le-musee-jenisch-vevey-a-connu-un-record-de-frequentation-en-2024-archives-1000x600.jpg&description=Le Musée Jenisch Vevey a connu un record de fréquentation en 2024', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le Musée Jenisch Vevey, deuxième musée d'art du canton de Vaud, a accueilli 33'500 visiteurs en 2024, soit une fréquentation record. Les expositions de l'année, en particulier "La main (et) le gant" et les six projets présentés dans le cadre de la Biennale Images Vevey, ont rencontré un large succès auprès du public, se réjouit l'institution.
Les événements phares tels que la Nuit des musées ou les Journées des arts graphiques ont également contribué à cette réussite, souligne le musée mardi dans un communiqué. En 2025 également le programme sera riche et diversifié.
Parmi les temps forts de l'année, une rétrospective dédiée à Françoise Pétrovitch, figure majeure du dessin contemporain, un hommage à Félix Vallotton à l'occasion du 100e anniversaire de sa disparition, ainsi qu'une exposition inédite des oeuvres d'Albert Chavaz.
Le public pourra également découvrir des oeuvres exposées pour la première fois: les trésors de la collection Thierry Barbier-Müller ainsi que de sublimes estampes japonaises.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Après 17 ans à sa tête, Ruth Gantert quitte "Viceversa Littérature"
Ruth Gantert quittera la direction artistique du magazine "Viceversa Literature" et du portail en ligne du même nom à la fin du mois d'août, après 17 ans d'activité. Elle a confirmé jeudi à Keystone-ATS la nouvelle, annoncée ces derniers jours par cültür.ch.
Mme Gantert a rendu publique sa démission fin mai, lors des Journées littéraires de Soleure, en présentant le dernier numéro qu'elle a dirigé, "In bilico", de la revue trilingue "Viceversa Literature", rapporte le portail en ligne cültür.ch.
Parallèlement à la revue, fondée en 2007, un portail en ligne du même nom promeut depuis près de 13 ans la littérature suisse dans les trois langues nationales et met en valeur sa richesse. Ce sont là deux projets de l'association Service de Presse Suisse (SPS) dont Ruth Gantert est, jusqu'à la fin du mois d'août, la directrice artistique.
"Je fais ce travail depuis longtemps et je pense qu'il est bon que la direction soit reprise par des jeunes", explique Ruth Gantert à Keystone-ATS.
Fin des subventions de l'OFC
Une décision qui, outre la volonté de faire de la place aux jeunes, est motivée par la situation financière du SPS qui s'est vu supprimer les subventions de l'Office fédéral de la culture (OFC), qui lui apportait "près de la moitié de notre budget". Un budget général d'environ 300'000 francs suisses, précise Ruth Gantert.
Quitter "Viceversa Literature" après 17 ans "est quelque chose de très émouvant, j'y ai travaillé pendant beaucoup d'années avec énormément de passion », a déclaré Mme Gantert, ajoutant qu'elle restait confiante quant à l'avenir du magazine et du portail.
La personne qui succédera à Ruth Gantert est déjà connue. Elle n'a toutefois pas encore été annoncée officiellement.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
L'audacieuse Theodora a fait vibrer Montreux
La "Boss Lady" Theodora a enflammé la scène Spotlight mercredi soir au Montreux Jazz Festival (MJF). L'énergie flamboyante et le charisme de l'artiste ont fait danser les quelques chanceux qui avaient pu obtenir un billet.
Montreux l'attendait impatiemment et, pour l'occasion, avait adapté l'accès à sa nouvelle scène gratuite. Ainsi, fait inédit dans l'histoire du MJF pour un concert "off", une billetterie avait été mise en place. Les 550 billets disponibles avaient disparu en quelques minutes.
Le coupable ? Le succès fulgurant de Theodora qui, depuis un an, ne cesse de surprendre: quatre concerts à guichets fermés au Zénith de Paris, Flamme de la révélation féminine de l'année ou encore disque d'or pour son projet "Bad Boy LoveStory (BBL)", plus tard augmenté en "Mega BBL" - ce sigle désignant une opération chirurgicale visant à augmenter le volume des fesses.
"Mwa, c'est Big Boss Lady, ça fait même pas un an, j'suis un cas d'étude pour tous les labels. Ils me voyaient en folle mais tout est possible à celui qui croit", écrivait l'artiste âgée de 21 ans sur Instagram, quelques jours avant son concert au MJF.
Une tenue aux couleurs helvétiques
Mercredi soir sur scène, la native de Lucerne, vêtue d'un t-shirt orné du drapeau suisse, a secoué le public, l'entraînant sur tous les rythmes, entre hyperpop, RnB, hip-hop, rap, mais aussi shatta ou encore bouyon.
"Je suis grave contente d'être avec vous ce soir. On m'a dit que j'étais trop attendue", a-t-elle lancé entre deux sons. Très proche de son public sur les réseaux sociaux, l'artiste l'est aussi en concert. "Je n'ai presque plus de voix. Je suis au bout de ma vie, mais je ne pouvais pas vous faire ça. Aujourd'hui, c'est important que vous chantiez avec moi", a-t-elle encore confié.
Devenu viral en novembre dernier, l'audacieux "Kongolese sous BBL" a aisément trouvé écho auprès du public, pour la plupart en dessous de la trentaine. La jeune chanteuse lausannoise Marie Jay, qui s'emparera elle-même de la scène Spotlight vendredi, a d'ailleurs été aperçue dans la foule.
De l'audace à la douceur
En véritable "BBL Mommy", la chanteuse franco-congolaise a enchaîné les hits de son dernier album: "243km/h", "Do U Wanna?", "Mon Bébé" ou encore "Zou Bisou", son featuring avec Jul. Véritables pauses mélancoliques, "Ils me rient tous au nez" et "Les Oiseaux rares", son duo avec Juliette Armanet, sont venues adoucir les ardeurs du public.
Au Montreux Jazz Festival, Theodora aura charmé un public conquis d'avance, entre "twerk", "claps" et "punchlines". Inutile de rappeler qui est la "Boss Lady" comme elle le clame elle-même dans l'un de ses textes: "Ma salle est pleine à craquer et la tienne est vide. Je vais lancer des carrières comme des Billie Jean."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Barrage de Mauvoisin: exposition photo à découvrir en plein air
Jusqu'au 5 octobre, l’exposition annuelle de photographie du Musée de Bagnes, présentée sur le barrage de Mauvoisin, accueille le travail de l’artiste française Camille Llobet. Trente photographies, grand format et recto verso, ont été installées le long des 520 mètres du couronnement du barrage.
Camille Llobet a choisi d'explorer en photo les moraines de la Mer-de-Glace située dans le massif du Mont Blanc. Amoncellements de débris rocheux, mouvants et bruyants, laissés par le retrait glaciaire, les moraines sont constituées de sédiments hétérogènes, qui recouvrent petit à petit les glaciers alpins d’un manteau gris. Ces derniers sont nommés glaciers noirs.
A travers des compositions tantôt macroscopiques, tantôt panoramiques, l’artiste révèle un paysage minéral, ponctué de rares silhouettes ou végétaux. "Exemptées de repère d’échelle, les photographies invitent à suivre du regard les strates et parois sableuses de cette brèche désertée par la glace"; résume Mélanie Roh, la conservatrice du Musée de Bagnes et du patrimoine.
"L’artiste oeuvre dans des conditions de lumière et de silence qu'elle a choisies comme la douce luminosité de l’aube d'un soir d’été, ou celle, plus pâle, de l'automne", poursuit-elle. Ces tonalités particulières révèlent les détails du grain et des lignes, et rendent compte d’une perception presque tendre et tactile.
L'exposition est visible quotidiennement jusqu'au 5 octobre. L'entrée y est gratuite.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
La douceur de London Grammar au Montreux Jazz Festival
La douceur de la musique pop alternative de London Grammar combinée à la puissance électronique des Australiens de Rüfüs Du Sol a fait des vagues mardi soir au Montreux Jazz Festival. Les deux groupes ont joué l'un après l'autre sur la scène du lac.
Malgré un temps plutôt frais par rapport à la chaleur d'il y a quelques jours, les deux concerts se sont déroulés à guichets fermés. Le cadre de la scène du lac couplé au mélange de pop et d'électronique de London Grammar invitait les spectateurs à un véritable voyage introspectif.
Beaucoup de "vieilles" chansons
London Grammar a largement puisé dans les chansons de son premier album 'If You Wait' (2013), avec lequel il a connu un grand succès et remporté plusieurs prix. Le concert a débuté avec l'un des titres emblématiques de l'album, 'Hey Now', où l'étendue vocale de la chanteuse Hannah Reid est clairement mise en évidence.
Sa voix, aussi délicate qu'hypnotique, a transporté le public. Les premières notes de clavier reconnaissables de "Nightcall" ont pris le relais, ce à quoi le public a répondu par des cris.
Alors que la chanteuse attaquait "Wasting my young years", elle a demandé de l'aide au public pour réussir le dernier couplet un peu haut, expliquant qu'elle avait attrapé un rhume. Mais elle n'a eu aucun problème pour entonner à la perfection le couplet qu'elle redoutait le plus.
Le groupe a ensuite présenté certains des titres de son quatrième et dernier album, "The Greatest Love", sorti en septembre 2024. Certains d'entre eux, comme "House", sont faits pour être chantés avec le public.
Troisième fois à Montreux
C'était la troisième fois que le trio britannique se produisait au Montreux Jazz Festival, la seule étape suisse de sa tournée. "La première fois que nous avons joué à Montreux est gravée dans ma mémoire", a déclaré Hannah Reid pendant le concert, ajoutant qu'on lui avait expliqué que sa prestation serait importante pour sa carrière.
London Grammar a conclu sa prestation d'un peu plus d'une heure avec 'To lose your head', une belle transition un peu plus électronique, qui a préparé le public à la musique de Rüfüs Du Sol, qui suivait sur la scène.
Rüfüs Du Sol déchaîne le public
A nouveau un trio, mais autre registre avec les Australiens de Rüfüs Du Sol, qui ont débarqué à Montreux avec leur musique électronique. Les lauréats du Grammy Awards du meilleur enregistrement dance en 2022 pour la chanson "Alive" se sont présentés vêtus de noir et portant des lunettes de soleil, alors qu'il faisait déjà nuit.
Le claviériste Jon George, le batteur James Hunt et le chanteur Tyrone Lindqvist se sont répartis sur toute la longueur de la scène pour la transformer en véritable piste de danse avec des lumières stroboscopiques, des distorsions de micro et des rythmes puissants.
Le sommet de leur prestation a été atteint avec " Innerbloom ", un titre extrait du deuxième album " Bloom " (2016). Avec un mélange de sons électroniques combinés à la batterie ainsi qu'au chant, Rüfüs Du Sol a été convaincant dans sa performance en direct.
Leur cinquième album 'Exhale' est sorti l'année dernière et c'est avec une chanson tirée de celui-ci, 'Music is better', qu'ils ont clôturé le concert, au milieu de lumières rouges et orange.
Mercredi soir, le trio australien se produira à la patinoire en plein air Dolder de Zurich dans le cadre du festival ZOA City (Zurich Openair City). Quant au Montreux Jazz Festival, il se poursuit jusqu'au 19 juillet.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
InternationalIl y a 2 jours
Incendies dans le sud de la France, le feu atteint Marseille
-
LausanneIl y a 2 jours
Lausanne: les étudiants vont suer pour trouver une chambre
-
SuisseIl y a 3 jours
Rente mensuelle de 30 ans décrochée à l'Eurodreams
-
VaudIl y a 1 jour
Nord vaudois: course poursuite après le vol d'une voiture de luxe
-
InternationalIl y a 2 jours
Macron rencontre Starmer à Downing Street, immigration au menu
-
SuisseIl y a 2 jours
Droits de douane: le Conseil fédéral dans l'attente de nouvelles des USA
-
InternationalIl y a 3 jours
Gaza: les pourparlers pour un cessez-le-feu vont "prendre du temps"
-
CultureIl y a 2 jours
La fulgurante Theodora force le Montreux Jazz à innover