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Culture

Vevey: le Musée Jenisch fête ses 125 ans

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Le Musée Jenisch a été inauguré en 1897 (archives). (© KEYSTONE/NOEMI CINELLI)

Le Musée Jenisch souffle cette année ses 125 bougies. De nombreuses animations sont prévues le samedi 8 octobre. Il sera possible de dessiner sur les murs du musée ou de se faire photographier en costume d'époque. Au menu également, concerts, spectacle de magie et lecture de polar.

A cette occasion, le musée lance une souscription publique pour l'achat de la prochaine oeuvre d'art du musée. Cette opération est un clin d'oeil à la première peinture - une vue d'Ouchy de Bocion - entrée dans les collections après une souscription publique en 1893. Le musée tirera au sort parmi les donateurs le jury qui sera chargé de choisir une oeuvre en lien avec la région lémanique.

A l'occasion de cet anniversaire, le musée édite deux publications pour jeune public: le Petit Jenisch illustré et Les Illusionnistes. Le premier est un imagier qui dévoile la richesse de ses collections en présentant 100 mots illustrés par 100 oeuvres, comme un cheval de Dürer, un lézard de Gauguin ou une oreille de Vallotton. Le second est un polar pour adolescents signé Anne Loyer et Guillaume Le Cornec.

Le musée veveysan tient son nom de la donatrice, Fanny Jenisch (1801-1881). Cette veuve d'un sénateur de Hambourg désirait exprimer sa gratitude à la ville de Vevey, sa seconde patrie, en offrant 200'000 francs-or de l'époque pour créer un musée.

Le bâtiment néo-classique a aujourd'hui pour vocation le rayonnement des oeuvres sur papier. Il abrite notamment le plus important fonds d'oeuvres graphiques d'Oskar Kokoschka ainsi qu'une collection de plus de 11'000 dessins et 1'600 peintures.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Carouge fête l'auteur genevois Frederik Peeters

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L'auteur de bande dessinée genevois Frederik Peeters, ici en 2018 dans une chambre d'hôtel dont les murs sont décorés de ses oeuvres, sera à l'honneur à Carouge jusqu'à la fin mars (archives). (© KEYSTONE/MAGALI GIRARDIN)

Le bédéiste genevois Frederik Peeters est à l'honneur à Carouge (GE) jusqu'au 30 mars. Des créatures et des personnages dessinés par cet auteur à la renommée internationale vont envahir les rues et les façades de la Cité sarde, de jour comme de nuit.

Dès le crépuscule, les monstres de Frederik Peeters seront projetés sur le Théâtre de Carouge, le Cinéma Bio et l'Auberge communale. Le public pourra découvrir le long de la rue Saint-Joseph des totems géants des personnages de "Saint-Elme", un ouvrage en cinq volumes paru récemment.

Un peu plus loin, le boulevard des Promenades accueille une série de 40 dessins de créatures, de monstres et de personnages présents dans les oeuvres de Frederik Peeters. L'auteur genevois a notamment illustré "Pilules bleues", "Château de sable", "Saccage" et "Oleg", un récit autobiographique paru en 2021.

Dédicaces

Plusieurs expositions sont à découvrir pendant ces deux mois de festivités autour de la BD. La galerie Séries Rares présente "Irradiations", une exposition d'oeuvres originales de Frederik Peeters à voir jusqu'au 15 mars. Du 8 au 26 mars, l'exposition "Rêve sauvage", qui rassemble des dessins de l'auteur sur le thème du rêve, est à découvrir à la galerie La Ligne.

Des rencontres dédicaces sont aussi prévues. Le jeudi 13 mars, le Cinéma Bio projettera le film "Le Règne animal". Cette séance gratuite sera suivie d'un échange avec Frederik Peeters, qui a créé les monstres pour ce long métrage réalisé par le Français Thomas Cailley.

Ces événements sont organisés par l'association Carouge fête la BD. Les précédentes éditions étaient consacrées à Zep en 2023 et à Derib en 2024.

carougefetelabd.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Ferme des Tilleuls à Renens: BD, art et pop culture en vedette

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Cette oeuvre en noir et blanc puise autant dans les mythologies millénaires, les images d'effroi des temps modernes, comme "Guernica" de Pablo Picasso ou "Maus" d'Art Spiegelman, que dans les scénarios burlesques ou catastrophiques des "graphic novels". (© Ferme des Tilleuls/M.S. Bastian et Isabelle L.)

A la Ferme des Tilleuls à Renens, bande dessinée, histoire de l'art, pop culture et littérature sont à l'offensive. Décloisonnant les frontières de l'art dans un dédale iconographique immersif, "PULPATTACK" réunit trois oeuvres monumentales du couple biennois M.S. Bastian et Isabelle L., qui développe depuis 2004 un langage artistique commun. A découvrir jusqu'au 22 juin.

Poétique et ludique, "Paradis enchanté" surgit tel un panorama de science-fiction chatoyant, expliquent les responsables de l'espace d'exposition et de création de l'Ouest lausannois. Le duo convoque ici les esthétiques fantastiques et drolatiques des illustrations de Roger Dean, de "Max et les Maximonstres" de Maurice Sendak ou encore du "Voyage de Chihiro" de Hayao Miyazaki.

En contrepoint, la deuxième oeuvre exposée, "Bastokalypse", se déploie en frise figurative et horrifiante. Concentré de références iconographiques de l'apocalypse, cette oeuvre en noir et blanc puise autant dans les mythologies millénaires, les images d'effroi des temps modernes, comme "Guernica" de Pablo Picasso ou "Maus" d'Art Spiegelman, que dans les scénarios burlesques ou catastrophiques des "graphic novels", de l’art modeste ou des médias de masse.

Tour du monde

Convoquant les langages de l'illustration, du dessin animé et de l'histoire de l'art, l'installation immersive "Pulpokosmos", marquée par l'omniprésence du personnage Pulp, embarque le visiteur pour un voyage intérieur, une découverte du musée intime des deux artistes. Véritable bande dessinée tridimensionnelle dramatique et sonore, ce labyrinthe poétique envahit tous les recoins de La Ferme des Tilleuls, lit-on dans le dossier de presse.

Né à Berne, M.S. Bastian (1963) a grandi à Bienne où il a suivi une formation de graphisme à l'Ecole d'arts visuels. Après avoir passé un an à New York (1991), puis une année à Paris (1992), il s'installe à Zurich comme artiste indépendant jusqu'en 2002. Son travail est salué par de nombreux prix et bourses, dont la bourse fédérale des arts visuels à deux reprises.

Isabelle L. (1967) est née et a grandi à Bienne où elle a aussi suivi une formation de graphisme à l'Ecole d'arts visuels, avant de travailler dans diverses agences de publicité. Après un séjour d'un an aux Etats-Unis (1994), elle s'installe à Zurich de 1998 à 2002. De retour d'un voyage autour du monde en 2003, M.S. Bastian et Isabelle L. se réinstallent à Bienne pour créer ensemble.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Demi Moore sacrée meilleure actrice aux Critics Choice Awards

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Demi Moore, 62 ans, incarne dans "The Substance" une ancienne gloire d'Hollywood droguée à un sérum de jouvence. (© KEYSTONE/EPA/ALLISON DINNER)

L'actrice Demi Moore a remporté vendredi le prix de la meilleure actrice aux Critics Choice Awards à Los Angeles, confirmant son statut de favorite pour les Oscars. La vedette des années 1990 a été couronnée meilleure actrice pour son rôle dans "The Substance".

Ce film a également remporté le prix du meilleur scénario original aux Critics Choice Awards, la cérémonie des récompenses hollywoodiennes décernées par les critiques de cinéma. Dans cette fable horrifique de la Française Coralie Fargeat, Demi Moore, 62 ans, incarne une ancienne gloire d'Hollywood droguée à un sérum de jouvence.

Pour ce rôle, l'actrice avait déjà été récompensée aux Golden Globes en janvier. Elle fait désormais figure de favorite pour les Oscars qui seront décernés le mois prochain.

"Cela a été une course folle", a déclaré la comédienne américaine tout en remerciant les critiques du cinéma de l'avoir récompensée pour son interprétation dans "The Substance" et déplorant que "ce genre de films d'horreur [...] ne soient rarement vus pour la profondeur qu'ils peuvent renfermer".

Polémique Gascon

La victoire de Demi Moore survient en pleine polémique concernant l'actrice transgenre Karla Sofia Gascon, la vedette du film "Emilia Pérez" qui vu ses chances s'effondrer pour les Oscars après que d'anciens messages racistes ont été exhumés sur les réseaux.

Elle y qualifiait notamment l'islam de "foyer d'infection pour l'humanité" et raillait la diversité dans le divertissement ou encore le mouvement antiraciste né après la mort de George Floyd, un Noir américain tué par la police en 2020.

Le réalisateur d'"Emilia Pérez", le Français Jacques Audiard, s'est lui-même distancé de son actrice principale, qualifiant les messages de Karla Sofia Gascon d'"inexcusables" et "pleins de haine".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un violon Stradivarius vendu 11,3 millions de dollars à New York

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Ce qui rend le Joachim-Ma Stradivarius si extraordinaire, c'est sa sonorité exceptionnelle, riche, complexe et pleine de profondeur, a souligné Sotheby's. (© KEYSTONE/EPA/SARAH YENESEL)

Un rare violon Stradivarius, fabriqué en 1714 par Antonio Stradivari durant sa "période dorée", a atteint 11,3 millions de dollars aux enchères à New York vendredi, soit le 3e prix le plus élevé pour un instrument de musique, a annoncé la maison de vente Sotheby's.

"Ce violon extraordinaire représente le summum de l'artisanat et de l'histoire de la musique classique. Sa sonorité inégalée et sa provenance historique ont captivé les collectionneurs et les musiciens", s'est félicitée dans un communiqué la présidente de Sotheby's Amériques, Mari-Claudia Jimenez.

Connu pour sa sonorité extraordinaire, ce violon, le "Joachim-Ma Stradivarius", du nom de ses anciens propriétaires, a atteint le troisième prix le plus élevé d'un instrument de musique lors d'une vente aux enchères.

Le record est détenu par un autre violon du luthier de Crémone, le "Lady Blunt", vendu en 2011 pour 15,9 millions de dollars.

"Ce qui rend le Joachim-Ma Stradivarius si extraordinaire, c'est sa sonorité exceptionnelle, riche, complexe et pleine de profondeur", a souligné Sotheby's.

L'instrument appartenait au violoniste et pédagogue Si-Hon Ma, qui l'avait offert au Conservatoire de la Nouvelle Angleterre (NEC) de Boston, où il avait fait ses études, à condition qu'il le vende un jour pour financer des bourses d'étude.

Le violon avait appartenu auparavant à Joseph Joachim, l'un des violonistes les plus influents du XIXe siècle, célèbre pour ses collaborations avec des compositeurs tels que Johannes Brahms.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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