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International

Les Suissesses en retrait en descente, comme en super-G

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Lara Gut-Behrami s'estime chanceuse de ne pas s'être blessée (© KEYSTONE/AP/Marco Trovati)

Les Suissesses ont manqué leur affaire dans les épreuves de vitesse des Mondiaux de Saalbach, échouant loin du podium.

Samedi en descente, les espoirs reposaient sur Corinne Suter et Lara Gut-Behrami. Championne du monde en 2021 et championne olympique en titre, Corinne Suter (7e) a fait ce que l'on attendait d'elle, mais il a manqué ce petit grain de folie pour signer son quatrième podium de suite dans la spécialité.

Surprise par un mouvement de terrain, Lara Gut-Behrami est quant à elle partie à la faute et s'en est plutôt bien sortie. "On sait que quand on va à 130 km/h, ce n'est pas si simple, a-t-elle expliqué en zone mixte. Je ne sais pas si le ski a mordu ou si je n'étais pas très bien positionnée sur le ski, mais ça se passe vite. On a vu en Super-G que sur cette neige, on pouvait vite se faire les croisés après une faute. Ce n'est pas le jour où j'avais envie de faire une faute. Je suis entière et je peux skier demain."

La Tessinoise a donné plus de précisions quant à la nature du terrain: "Ce n'était pas facile à interpréter, parce que la neige a changé. C'était difficile de trouver le bon réglage. Si on est trop agressif, le ski mord et si on appuie un peu moins, on a l'impression que le ski ne produit pas de vitesse."

L'apprentissage pour Malorie Blanc

Malorie Blanc (19e) et Priska Ming-Nufer (21e), ont fini plus loin. "Il ne faut pas que je sois trop dure avec moi-même, mais j'aurais voulu skier avec plus de confiance et plus de relâchement, a confié la Valaisanne de 21 ans. C'est une piste assez particulière et je dois apprendre à skier dans ces conditions."

L'athlète d'Anzère arbore toujours un large sourire, surtout qu'elle sait que ses Mondiaux ne sont pas terminés puisqu'elle va prendre part au combiné par équipe mardi. "Je sais que je vais le faire et c'est super, a conclu Malorie Blanc. Et en plus, il n'y a que des chouettes personnes avec qui participer."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

La banque centrale chinoise abaisse deux taux d'intérêt clé

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La banque centrale chinoise abaisse deux taux d'intérêt clés à des niveaux historiquement bas. (© KEYSTONE/EPA/ADRIAN BRADSHAW)

La banque centrale chinoise a abaissé mardi deux taux d'intérêt clé à des niveaux historiquement bas, dernier effort des autorités pour stimuler la croissance sur fond de tensions commerciales avec Washington et de crise du secteur immobilier.

Le LPR à un an, qui constitue la référence des taux les plus avantageux que les banques peuvent offrir aux entreprises et aux ménages, a été abaissé de 3,1% à 3%, a indiqué la Banque populaire de Chine (PBoC).

Le LPR à cinq ans, la référence pour les prêts hypothécaires, a été abaissé de 3,6% à 3,5%, selon la même source.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump autorisé à révoquer le statut d'immigrés vénézuéliens

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La Cour suprême des Etats-Unis a autorisé lundi Donald Trump à révoquer le statut de protection temporaire des migrants. (© KEYSTONE/EPA/SAMUEL CORUM / POOL)

La Cour suprême des Etats-Unis a autorisé lundi l'administration de Donald Trump à révoquer le statut de protection temporaire (TPS) qui lui interdisait d'expulser quelque 350'000 Vénézuéliens.

La plus haute juridiction américaine, à majorité conservatrice, a répondu favorablement à une demande de la ministre de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, qui souhaitait pouvoir lever ce statut pendant qu'un litige judiciaire sur le sujet suit son cours.

Mme Noem avait en effet annulé une prolongation de 18 mois du TPS pour les Vénézuéliens, décidée en janvier par l'administration du démocrate Joe Biden et qui devait entrer en vigueur au début avril.

Mais un juge fédéral de Californie (ouest) avait suspendu cette décision fin mars, soulignant le risque de "préjudice irréparable pour des centaines de milliers de personnes" et déplorant le "racisme" exprimé selon lui par l'assimilation de l'ensemble des bénéficiaires vénézuéliens du TPS à des criminels.

Le statut de protection temporaire protège d'une expulsion et octroie un droit de travail. Il est offert aux immigrés dont la sécurité n'est pas assurée s'ils rentrent dans leur pays en raison de conflits, de catastrophes naturelles ou d'autres conditions "extraordinaires".

Il a largement été accordé aux Vénézuéliens sous Joe Biden, car Washington considère le Venezuela de Nicolas Maduro comme un régime autoritaire.

La tentative de lever le TPS est "une attaque xénophobe, discriminatoire, raciste et coordonnée depuis plus d'un an à l'encontre d'une population dont le seul péché a été de fuir une dictature criminelle et d'essayer de trouver refuge là où on nous a dit qu'il y en avait un", a indiqué à l'AFP Adelys Ferro, cofondatrice du Venezuelan American Caucus, un groupe de soutien à la communauté vénézuélienne.

Elle a souligné que les Etats-Unis cherchaient à expulser ces personnes vers un pays qu'ils jugent eux-mêmes "tellement dangereux" qu'ils déconseillent formellement à leurs ressortissants de s'y rendre.

Donald Trump a fait campagne en promettant l'expulsion de millions d'immigrés sans-papiers, qu'il accuse d'avoir provoqué une vague de criminalité aux Etats-Unis, ce qu'aucune statistique officielle n'atteste.

Depuis son retour au pouvoir en janvier, nombre de ses décisions sur les sujets de l'immigration ont rencontré l'opposition de juges à travers les Etats-Unis, y compris au niveau de la Cour suprême, dont il a nommé trois des neuf juges lors de son premier mandat.

Son administration accuse systématiquement ces magistrats d'"empiéter" sur les prérogatives du pouvoir exécutif.

La semaine dernière, le président américain avait critiqué la Cour suprême, qui lui avait infligé un nouveau revers en prolongeant son interdiction d'expulser des immigrés vénézuéliens en vertu d'une loi d'exception. Elle "ne me laisse pas faire ce pour quoi j'ai été élu", s'était-il plaint.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Etape cruciale avant l'approbation de l'accord anti-pandémies mardi

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Le directeur général de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus aurait préféré une approbation par consensus de l'accord contre les pandémies en commission. (© KEYSTONE/EPA/MAGALI GIRARDIN)

Les membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont franchi une étape cruciale à Genève pour approuver mardi l'accord pour mieux préparer le monde contre les pandémies. Lundi soir, l'arrangement a été validé en commission après un vote.

Le projet de résolution à l'Assemblée mondiale de la santé a été approuvé par 124 voix, contre aucune opposition et 11 abstentions. Deux tiers des suffrages étaient requis. Avant même le résultat, les délégations ont applaudi pendant de longues secondes et se sont levées. Certains hauts responsables de l'OMS étaient en pleurs.

Le directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus souhaitait un consensus. Il aura même appelé dans l'après-midi le Premier ministre slovaque Robert Fico pour le convaincre de renoncer à demander un vote.

Sur les réseaux sociaux, le dirigeant slovaque, proche du président américain Donald Trump, s'est dit "surpris" par une approche qu'il considère comme n'étant pas démocratique. Il avait annoncé que son pays voterait non, embrassant des arguments conspirationnistes. Finalement, il a été désavoué par son représentant, qui a demandé un vote, mais ne s'est pas prononcé contre le texte.

Après cette étape, le feu vert en plénière mardi matin ne devrait, sauf surprise, constituer qu'une formalité. Mais tout n'est pas réglé. Les membres vont lancer un groupe de travail pour établir une annexe sur les modalités du nouveau système d'accès aux agents pathogènes et de partage des avantages (PABS).

Selon le directeur général de l'OMS, cette discussion pourrait prendre un an. Il faudra plutôt un an et demi à deux ans, estiment une source diplomatique européenne et la conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider. Ensuite seulement, l'accord pourra être signé. Il entrera en vigueur un mois après avoir atteint 60 ratifications des Etats.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

OMS: le numéro deux sortant pressenti pour la présidence irlandaise

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Le directeur adjoint de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Michael Ryan a reçu un vibrant hommage des Etats membres (archives). (© KEYSTONE/EPA/SALVATORE DI NOLFI)

Il aura été le visage remarqué de la lutte contre la pandémie à l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Loué pour son empathie et pour ses discours de clarté, le numéro deux de l'instance Michael Ryan est pressenti pour être candidat à la présidence irlandaise.

Sur le front des urgences sanitaires mondiales depuis de nombreuses années, au premier plan puis comme chef, cet Irlandais de 60 ans à la silhouette bonhomme ne fait pas partie des sept directeurs qui vont rester. Le directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus avait dévoilé mercredi cette liste, avec 50% de hauts responsables en moins en raison des effets du retrait prévu des Etats-Unis.

"La seule raison pour laquelle il s'en va est qu'il dit qu'il est fatigué", a affirmé lundi soir l'Ethiopien devant les Etats membres à l'Assemblée mondiale de la santé. "Je l'ai vu" sur lui et "je l'ai accepté", a-t-il ajouté, provoquant une ovation debout pour son "soldat" de la santé.

Les deux hommes ont constitué un binôme depuis plusieurs années. A tel point que M. Tedros n'a pas hésité à en faire son numéro deux en plus de la direction du programme d'urgences de l'OMS.

Au plus fort de la pandémie, M. Ryan avait comme toujours su parler à des populations harassées par des mois de restrictions. "Nous sommes tous fatigués. Je suis fatigué", avait-il affirmé, leur demandant encore des efforts et admettant alors n'avoir pu voir ses enfants depuis près d'un an en raison du coronavirus.

Pas un homme de parti

Défendant toujours les travailleurs de santé en première ligne, il se sera également battu pour faire prévaloir la science sur les relais conspirationnistes. Parfois en tapant du poing sur la table, tant il était frustré par cette situation.

De même, il ne cachait récemment pas sa colère sur la situation humanitaire dans la bande de Gaza, disant que la communauté internationale était "complice" si elle ne mettait pas un terme aux souffrances des Palestiniens.

Interrogé il y a quelques semaines par Keystone-ATS sur la possibilité qu'il devienne un jour ministre de la santé dans son pays, il avait répondu ne pas être un politique. Et qu'il fallait être un homme de parti pour accéder au gouvernement irlandais.

Il semblerait que les formations politiques aient un autre plan pour lui. Selon les médias irlandais, le parti travailliste souhaiterait en faire le candidat de toute la gauche à la présidence irlandaise, malgré son manque d'expérience politique.

"Il s'est vu offrir un poste qui est bon pour un retraité, mais avec beaucoup de sagesse", a plaisanté lundi M. Tedros. Ce qui a fait rire, comme souvent, celui qui est encore pour quelques semaines son numéro deux.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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