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International

Les Suissesses battues en descente, Goggia victorieuse

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Sofia Goggia a cueilli samedi son premier succès de l'hiver en descente (© KEYSTONE/EPA/CHRISTIAN BRUNA)

La descente d'Altenmarkt-Zauchensee, remportée par l'Italienne Sofia Goggia, n'a pas souri aux Suissesses. La meilleure d'entre elles, Lara Gut-Behrami, doit se contenter d'un 6e rang.

Encore au contact avec les meilleures au dernier pointage intermédiaire, Lara Gut-Behrami a perdu 0''34 sur Sofia Goggia sur les 12 dernières secondes de course. La Tessinoise, victorieuse sur cette même piste en 2022 en descente, a finalement terminé à 62 centièmes de l'Italienne et à 0''28 de la troisième marche du podium partagée par Mirjam Puchner et Nicol Delago.

Trois autres Suissesses ont fini dans le top 15 de cette troisième descente de l'hiver. Elle aussi à l'aise sur la longue partie de glisse du haut du parcours, Michelle Gisin s'est classée 8e à 0''70 de la gagnante. Priska Nufer a décroché la 10e place et Jasmine Flury la 11e, alors que Corinne Suter a connu l'élimination à la suite d'une erreur de ligne.

Battue dans la discipline tant à St-Moritz - où elle avait gagné en super-G - qu'à Val d'Isère, Sofia Goggia s'est offert samedi son premier succès de la saison en descente en devançant Stephanie Venier de 0''10. La championne olympique 2018 compte désormais 18 victoires dans la discipline-reine en Coupe du monde, ce qui en fait le no 4 de l'histoire chez les dames devant Michela Gigini (17).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Moto3: Noah Dettwiler seulement 21e à Jerez

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Noah Dettwiler (à droite) a terminé 21e dimanche à Jerez (© KEYSTONE/EPA/Jose Manuel Vidal)

Noah Dettwiler n'a pas inscrit de point dimanche à Jerez. Le Bâlois, qui a fêté ses 19 ans vendredi, a pris la 21e place du GP d'Espagne en Moto3.

Dettwiler, qui avait signé son premier top 15 en championnat du monde à Austin deux semaines plus tôt (14e), se retrouve bredouille pour la troisième fois en quatre courses. La victoire est revenue au Néerlandais Collin Veijer.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Villas-Boas détrône le président du FC Porto

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André Villas-Boas est le nouveau président du FC Porto (© KEYSTONE/EPA/FERNANDO VELUDO)

André Villas-Boas a été élu président du FC Porto pour la période 2024-2028, a annoncé dimanche le club du nord du Portugal.

L'ex-entraîneur détrône ainsi Jorge Nuno Pinto da Costa, qui était en poste depuis 42 ans.

Lors des élections tenues samedi, Villas-Boas (46 ans), passé par Porto, Chelsea, le Zenit Saint-Pétersbourg et l'Olympique de Marseille en tant que coach, a obtenu 21'489 des voix des "socios" du club, contre 5224 pour son adversaire de 86 ans, qui a enchaîné 15 mandats consécutifs à la tête des Dragons.

"Quelle soirée historique (...). Notre club est vivant et il a aujourd'hui fait preuve de sa force", a réagi André Villas-Boas, cité dans un autre communiqué diffusé par Porto.

Pendant sa campagne électorale, "AVB" a promis d'engager au poste de directeur sportif l'ancien gardien international espagnol Andoni Zubizareta, qu'il avait croisé à l'OM, et de confier le département du football à l'ancien défenseur international portugais Jorge Costa, devenu ensuite entraîneur.

M. Pinto da Costa avait de son côté annoncé cette semaine la prolongation du contrat de l'actuel entraîneur de Porto, Sérgio Conceiçao.

Crise

Depuis sa première élection à la présidence du club, en avril 1982, cette personnalité incontournable du football portugais des dernières décennies aura été créditée de 23 trophées de champion national et deux titres de champion d'Europe, en 1987 et 2004. Mais Porto traverse actuellement une crise financière et sportive, comme en témoigne sa 3e place au classement de la ligue portugaise.

En tant qu'entraîneur, André Villas-Boas a pour sa part offert au FC Porto au cours de la saison 2010/2011 un quadruplé en remportant l'Europa League, le championnat national, la Coupe du Portugal et la Coupe de la Ligue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Dans une prison de Venise, le pape plaide pour plus de dignité

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Après Paul VI (1972), Jean-Paul II (1985) et Benoit XVI (2011), François est le quatrième pape à se rendre à Venise. (© KEYSTONE/AP/Alessandra Tarantino)

"N'écartons pas la dignité": le pape François, 87 ans, a entamé dimanche sa visite à Venise dans une prison pour femmes. Il a appelé le système pénitentiaire à "créer les conditions d'une réinsertion saine".

Il s'agit du premier déplacement du pontife argentin hors de Rome en sept mois en raison de son état de santé, quelques semaines après un accès de fatigue ayant suscité l'inquiétude au moment des fêtes de Pâques.

Arrivé en hélicoptère à 08h00 directement dans la cour de la prison de l'île de la Giudecca, qui abrite le pavillon du Saint-Siège à la 60e Biennale d'art contemporain de Venise, François a longuement salué une par une les quelque 80 détenues, le personnel administratif et pénitentiaire et les bénévoles.

Dans cet ancien couvent accueillant des femmes condamnées à de longues peines, l'évêque de Rome, sensible à la place des marginalisés et à l'univers carcéral, a appelé le système pénitentiaire à offrir aux détenus "des outils et des espaces de croissance humaine, spirituelle, culturelle et professionnelle".

"La prison est une dure réalité, et des problèmes tels que la surpopulation, le manque d'installations et de ressources, les incidents violents, y génèrent tant de souffrances. Mais elle peut aussi devenir un lieu de renaissance (...) où la dignité des femmes et des hommes n'est pas mise à l'isolement", a-t-il déclaré.

"Courage, et en avant! Ne lâchez rien", a lancé le pape après avoir reçu en cadeau des produits confectionnés par les détenues dont plusieurs sont apparues émues.

A l'écart des projecteurs et de la foule, le pavillon du Saint-Siège est l'un des plus en vue de la prestigieuse manifestation d'art et propose aux visiteurs une expérience immersive et déroutante, où les oeuvres côtoient les barbelés.

Messe place Saint-Marc

Chiara Parisi, commissaire de l'exposition, a souligné "l'émerveillement" et "l'espérance" des détenues vis-à-vis de cette visite. "Le pape agit au-delà de la parole" en se déplaçant auprès d'elles, des "personnes qui ont à coeur de jouer un rôle même quand elles sont dans une situation très dure", a-t-elle déclaré à l'AFP.

Devant les artistes ayant participé à l'exposition et des responsables du monde culturel réunis dans la chapelle déconsacrée de la prison, Jorge Bergoglio a insisté sur le rôle de l'art pour lutter contre "le racisme, la xénophobie, l'inégalité, le déséquilibre écologique".

Il s'exprimera ensuite devant des jeunes devant l'emblématique basilique Santa Maria della Salute, dont le dôme majestueux domine l'entrée Sud du Grand Canal, à deux pas de la place Saint-Marc. Après avoir rejoint la célèbre place grâce à un pont éphémère, il présidera une grande messe à 11h00 en présence de nombreux responsables politiques et religieux, avant de quitter Venise en début d'après-midi.

Autres déplacements prévus

Après Paul VI (1972), Jean-Paul II (1985) et Benoit XVI (2011), François est le quatrième pape à se rendre dans la Cité des Doges. L'histoire de la Sérénissime est étroitement liée à celle de la papauté. Au XXe siècle, trois patriarches de Venise sont devenus papes. Le diocèse de Venise est un des plus grands de la péninsule avec 125 paroisses. Venise est en outre l'un des rares patriarcats de l'Eglise latine.

La visite du pape intervient le week-end d'introduction d'une entrée payante de cinq euros pour les touristes à la journée: en tant qu'invité, il en est exempté mais les pèlerins non résidents y seront soumis.

Après ce déplacement, le jésuite argentin doit effectuer deux autres voyages dans le Nord de l'Italie, à Vérone en mai et à Trieste en juillet. Une manière de rassurer sur sa capacité à assurer son ministère, quelques semaines après les inquiétudes suscitées par son accès de fatigue au moment des fêtes de Pâques.

Depuis sa visite à Marseille en septembre 2023, Jorge Bergoglio n'a plus voyagé. Une bronchite l'a contraint à annuler son voyage à Dubaï en décembre et son état général, de plus en plus fragile, à éviter les déplacements.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Près de 200 arrestations sur les campus américains

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Des étudiants protestent sur les campus américains depuis plusieurs jours. (© KEYSTONE/AP/Cliff Owen)

Près de 200 manifestants pro-palestiniens ont été interpellés samedi sur trois campus américains lors de l'évacuation par la police de leurs campements. Il s'agit du dernier épisode d'un mouvement étudiant qui s'élargit aux Etats-Unis.

Partie il y a dix jours de l'université Columbia à New York, cette nouvelle vague de soutien aux Palestiniens et contre la guerre que conduit Israël dans la bande de Gaza a gagné nombre d'établissements, de la Californie au nord-ouest des Etats-Unis, en passant par le centre et le sud.

Une centaine de manifestants pro-palestiniens ont été brièvement interpellés par des policiers anti-émeute dans une université de Boston. L'établissement, la Northeastern University, a annoncé sur X "l'interpellation d'environ 100 individus par la police", en précisant que "les étudiants qui ont présenté leurs cartes de Northeastern U. ont été libérés (...) Ceux qui ont refusé ont été arrêtés".

69 personnes arrêtées en Arizona

Des "insultes antisémites violentes" comme "Tuez les Juifs" avaient été proférées sur le campus selon l'université, qui a annoncé un "retour à la normale" à la mi-journée. Un campement "illégal" de quelques tentes y a été démantelé par des policiers de l'université et des forces de l'ordre locales en tenue anti-émeute, selon des images diffusées sur les réseaux sociaux.

A l'autre bout du pays, les forces de l'ordre de l'université d'Etat d'Arizona (ASU) ont "arrêté 69 personnes samedi après l'installation d'un campement non autorisé", a indiqué l'établissement en accusant la "plupart de ne pas être étudiants ou membres du personnel de l'ASU". Ces personnes seront "poursuivies pour intrusion illégale".

Et dans le centre des Etats-Unis, 23 personnes ont été interpellées lorsque la police, munie d'équipements anti-émeute, a évacué un campement installé à l'université de l'Indiana, a rapporté le journal Indiana Daily Student.

Village de tentes

La présidence de Columbia, épicentre new-yorkais de la mobilisation estudiantine, a de son côté renoncé à faire évacuer par la police un "village" de tentes de 200 personnes sur une pelouse de son campus. Un dirigeant du mouvement y est toutefois interdit d'accès après avoir proféré des menaces antisionistes dans une vidéo datant de janvier. Le jeune homme a présenté par la suite ses "excuses", selon CNN, qui a décrit le campus comme "relativement calme" samedi.

La situation s'est en revanche tendue à l'université de Pennsylvanie (UPenn), dont la présidente avait démissionné cet hiver après des déclarations devant le Congrès à Washington jugées ambiguës sur la lutte contre l'antisémitisme. A la suite d'"informations crédibles de cas de harcèlement et d'intimidation", la présidence a ordonné le démantèlement immédiat d'un campement.

En Californie, le campus de l'université polytechnique de Humboldt restera "fermé" pour le reste du semestre, et les cours auront lieu à distance, en raison de "l'occupation" de deux bâtiments, selon un communiqué. Et au Canada voisin, un campement a été érigé pour la première fois à l'université McGill de Montréal où le mouvement dure depuis février. L'établissement s'inquiète d'"un risque d'escalade et de confrontation".

Policiers anti-émeute

Les images de policiers anti-émeute interpellant des étudiants, à l'appel de dirigeants d'universités, ont fait le tour du monde. Elles font écho au soulèvement de campus américains durant la guerre du Vietnam. Voire à un souvenir douloureux, celui de la Garde nationale de l'Ohio ouvrant le feu en mai 1970 à l'université d'Etat de Kent, tuant quatre étudiants qui manifestaient de manière pacifique.

Le mouvement de solidarité avec Gaza a pris une tournure politique à sept mois de l'élection présidentielle américaine, entre allégations d'antisionisme et d'antisémitisme et défense de la liberté d'expression, un droit constitutionnel aux Etats-Unis. Le pays compte le plus grand nombre de juifs au monde derrière Israël (quelque six millions) et aussi des millions d'Américains arabo-musulmans.

Toute la semaine à travers les Etats-Unis, étudiants et activistes pro-palestiniens ont été interpellés et le plus souvent relâchés sans poursuites en justice. Et dans ces rassemblements, des étudiants juifs de gauche et antisionistes soutiennent la cause palestinienne, keffieh sur les épaules, dénonçant même un "génocide" qui serait perpétré par Israël.

Mais d'autres jeunes juifs américains expriment leur malaise et leur peur face à des slogans antisémites. Skyler Sieradzky, 21 ans, de l'université George Washington de la capitale a affirmé cette semaine s'être fait cracher dessus en arrivant avec un drapeau israélien.

La guerre a été déclenchée par l'attaque sans précédent du 7 octobre sur le sol israélien par des commandos du Hamas qui a entraîné la mort de 1170 personnes, essentiellement des civils, selon un bilan de l'AFP à partir de données officielles israéliennes. En représailles, Israël a promis de détruire le mouvement islamiste, et sa vaste opération militaire dans la bande de Gaza a fait 34.388 morts, majoritairement des civils, selon le Hamas.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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