International
Un juge empêche Musk d'accéder aux données du trésor américain
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Un juge américain a empêché samedi les équipes d'Elon Musk d'accéder aux données personnelles de millions d'Américains conservées par le département du trésor. La suspension contre ce nouvel assaut du président Trump contre l'administration vaut jusqu'au 14 février.
Le juge fédéral a suspendu l'accès à ces données personnelles et financières à "toute personne nommée par le pouvoir politique, tous les agents spéciaux du gouvernement" ainsi que "tous les employés gouvernementaux détachés par une agence extérieure au trésor".
Il a également ordonné au milliardaire Elon Musk, grand allié de M. Trump, et à ses équipes de la commission à l'efficacité gouvernementale (DOGE) de "détruire immédiatement toutes les copies du matériel téléchargé".
Ces décisions ont été motivées par le risque de "préjudices irréparables" comme la "divulgation d'informations sensibles et confidentielles" et le "risque accru que les systèmes en question soient plus vulnérables qu'auparavant aux piratages", a-t-il écrit.
Une audience sur le sujet se tiendra le 14 février, est-il précisé dans son ordonnance.
"Plus grande menace"
Cette décision fait suite à l'action en justice intentée par les procureurs généraux de 19 Etats américains pour empêcher les équipes de l'homme le plus riche au monde d'accéder à de telles informations.
Selon eux, le gouvernement du président américain Donald Trump a violé la loi en élargissant l'accès aux données sensibles stockées par le trésor aux membres de cette commission créée récemment de toutes pièces pour sabrer dans les dépenses publiques et ne bénéficiant pas du statut de ministère.
Des collaborateurs d'Elon Musk ont pris il y a quelques jours le contrôle du système de paiements du trésor américain, une démarche vivement contestée par les élus démocrates et syndicats. Une note du trésor américain a ainsi évoqué "la plus grande menace interne à laquelle le bureau du service fiscal ait jamais été confronté", ont rapporté des médias américains.
Le patron de Tesla et de SpaceX a justifié sur son réseau social X cette intrusion comme nécessaire pour "arrêter la fraude et le gaspillage de l'argent des contribuables".
Un juge "militant"
Il a condamné samedi une décision d'un juge "militant" et accusé les démocrates de chercher ainsi à "dissimuler la plus grande fraude de l'histoire de l'humanité".
Cette décision judiciaire est la dernière en date à mettre à l'épreuve l'offensive généralisée de Donald Trump et d'Elon Musk contre les institutions fédérales.
Deux autres juges ont suspendu jeudi et vendredi un plan de départ de fonctionnaires à qui le gouvernement imposait un ultimatum, puis la décision du gouvernement de placer une partie des employés de l'agence pour le développement international (USAID) en congés administratifs.
Malgré ces complications judiciaires, le président américain a réaffirmé vendredi son objectif et sa confiance en Elon Musk pour poursuivre sa charge dans les autres ministères, indiquant lui avoir donné pour instruction "d'aller voir dans l'éducation, d'aller voir au Pentagone, c'est-à-dire dans l'armée".
Donald Trump a également réclamé vendredi la suppression pure et simple de l'USAID, qui apporte son soutien à des millions de personnes dans le monde.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Gaza : l'UE va réexaminer son accord d'association avec Israël
L'union européenne va lancer un réexamen de son accord d'association avec Israël à la lumière des dernières événements à Gaza, a annoncé mardi la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.
"Il existe une forte majorité en faveur du réexamen de l'article 2 (sur le respect des droits humains) de notre accord d'association avec Israël. Nous allons donc nous lancer dans cet exercice", a-t-elle déclaré à l'issue d'une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'UE à Bruxelles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
L'UE lève toutes les sanctions économiques contre la Syrie
L'Union européenne a annoncé mardi la levée de toutes les sanctions économiques contre la Syrie qui avait été mises en place sous le régime du président Bachar al-Assad.
"Aujourd'hui, nous avons pris la décision de lever nos sanctions économiques contre la Syrie", a indiqué sur X la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas à l'issue d'une réunion des ministres des Affaires étrangères des 27.
"Nous voulons aider le peuple syrien à reconstruire une nouvelle Syrie, inclusive et pacifique", a-t-elle ajouté.
Cette levée des sanctions concerne essentiellement le système bancaire syrien, jusque là interdit d'accès au marché international des capitaux. Elle prévoit également un dégel des avoirs de la banque centrale syrienne.
L'UE, après les USA
La décision européenne fait suite à celle de Washington la semaine dernière.
"La levée des sanctions exprime la volonté régionale et internationale de soutenir la Syrie", a déclaré le ministre syrien des Affaires étrangères Assaad al-Chaibani lors d'une conférence de presse à Damas. "Le peuple syrien a aujourd'hui une opportunité historique et très importante de reconstruire son pays", a-t-il ajouté.
Donald Trump avait créé la surprise mardi dernier en annonçant depuis Ryad qu'il levait les sanctions américaines contre la Syrie, à la veille d'une brève rencontre avec le président syrien Ahmad al-Chareh en Arabie saoudite.
Les 27 n'excluent pas toutefois de nouvelles sanctions contre les responsables des violences conte la communauté alaouite en Syrie ces dernières semaines.
D'autres mesures visant le régime Assad et interdisant la vente d'armes ou d'équipements susceptibles d'être utilisés pour réprimer les populations civiles vont rester en place.
Cette levée de sanctions contre la Syrie fait suite à une première mesure prise en février, qui consistait à suspendre certaines sanctions imposées à des secteurs économiques clés de la Syrie. Selon des responsables européens, toutes ces mesures pourraient être réimposées si les nouveaux dirigeants syriens ne tenaient pas leur promesse de respecter les droits des minorités et de progresser sur le chemin de la démocratie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
La coupe de la Ligue des Champions féminine volée... et récupérée
Des malfaiteurs ont dérobé samedi dans le garage du stade Alvalade de Lisbonne, en plein match de Première division portugaise, le trophée qui sera remis aux lauréates de la Ligue des Champions féminine de football, mais finalement récupéré rapidement par la police.
Le vol s'est produit pendant la rencontre entre le Sporting Portugal et le Vitoria Guimaraes (2-0), qui a permis aux Lisboètes de remporter leur 21e titre de champion du Portugal.
"Plusieurs individus cagoulés" ont "forcé une grille" dans le garage du stade qui accueillera samedi la finale de la Ligue des Champions féminine opposant Arsenal au FC Barcelone, précise mardi la police dans un communiqué.
Là, ils ont dérobé non seulement le trophée mais aussi d'autres éléments de matériel appartenant à l'UEFA, un vol dont la police n'a été mise au courant que le lendemain, dimanche 18 mai.
Ces objets, ainsi que le trophée, ont déjà été restitués à l'organisme chapeautant le football européen, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la police.
Treize suspects ont été identifiés, selon un communiqué de la police, qui ne donne aucun détail sur l'opération qui lui a permis de récupérer les objets volés.
L'enquête se poursuit et la police prévoit de retrouver de nouveaux objets et l'interpellation de nouveaux suspects dans les prochains jours.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Abbas discutera à Beyrouth des armes dans les camps palestiniens
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, va discuter de la question des armes dans les camps de réfugiés palestiniens au Liban lors de sa visite à Beyrouth à partir de mercredi, a indiqué mardi un membre de sa délégation.
"La question des armes palestiniennes dans les camps sera l'un des sujets de discussions entre le président Abbas" et les autorités libanaises, a déclaré à l'AFP Ahmad Majdalani, membre du comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), qui participera au déplacement.
Début mai, un responsable gouvernemental libanais avait affirmé à l'AFP que M. Abbas discuterait à Beyrouth de "l'extension de l'autorité" du pouvoir libanais aux camps de réfugiés palestiniens échappant à son contrôle.
Près de 250'000 réfugiés palestiniens au Liban
Quelque 250'000 réfugiés palestiniens vivent au Liban dans ces camps surpeuplés où sont présents le Fatah de Mahmoud Abbas mais également le mouvement islamiste Hamas et d'autres groupes armés palestiniens.
Fin avril, le président libanais Joseph Aoun a indiqué que les autorités oeuvraient "pour retirer les armes lourdes et moyennes de l'ensemble du territoire libanais" et qu'il devrait évoquer le désarmement des camps palestiniens avec M. Abbas.
En vertu d'un accord de longue date, la sécurité dans les camps palestiniens est assurée par des factions palestiniennes, et l'armée libanaise n'y pénètre pas.
Pour M. Majdalani, la visite de M. Abbas intervient à l'heure où le Liban "est entré dans une nouvelle ère marquée par le soutien arabe et américain".
Au début de la guerre à Gaza, déclenchée par l' attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, le Hezbollah libanais pro-iranien a ouvert un front contre Israël en tirant des roquettes à partir du sud du Liban, frontalier du nord d'Israël, affirmant agir en soutien au mouvement islamiste palestinien.
Les hostilités ont dégénéré en guerre ouverte, Israël menant entre septembre et novembre 2024 de violents bombardements sur le Liban, principalement contre les bastions du Hezbollah. Un cessez-le-feu est entré en vigueur le 27 novembre dans ce conflit, dont le Hezbollah, un allié du Hamas, est sorti très affaibli.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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