Rejoignez-nous

Culture

Le MBCA rend hommage à la galeriste et collectionneuse Alice Pauli

Publié

,

le

Alice Pauli (à gauche) photographiée dans l'atelier d'un sculpteur vers 1955. (© Keystone/VALENTIN FLAURAUD)

Le Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne (MCBA) rend hommage à la galeriste, collectionneuse et mécène vaudoise Alice Pauli, décédée à l'âge de 100 ans en 2022. Jusqu'au 11 mai, il met en valeur l'héritage de la collection d'art contemporain d'Alice Pauli.

Sur les 454 oeuvres héritées, qui s'ajoutent aux 28 oeuvres déjà léguées en 2018, le MCBA en présente 130 pour son importante exposition. Sur deux étages défilent des peintures, des dessins, des estampes et des sculptures de grands noms comme Pierre Soulages, Alberto Giacometti, Balthus, Louis Soutter, Willem de Kooning, Giuseppe Penone, Anselm Kiefer, Louise Nevelson, William Kentridge, Rebecca Horn ou encore Anish Kapoor.

"C'est un moment très important pour le canton de Vaud. Il s'agit d'un héritage extraordinaire d'une grande valeur artistique et financière", a déclaré la ministre des finances Valérie Dittli. "Un trésor inestimable. Un geste d'une générosité inouïe, hors normes", a renchéri Nuria Gorrite, ministre en charge de la culture.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Culture

Injures racistes contre Aya Nakamura: le procès s'ouvre à Paris

Publié

le

Aya Nakamura s'est produite sur la scène principale du Paléo Festival à Nyon en juillet 2023. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le procès de treize personnes proches de la mouvance identitaire, hostiles à la participation de la chanteuse Aya Nakamura à la cérémonie d'ouverture des JO 2024, s'est ouvert mercredi devant le tribunal correctionnel de Paris.

Seuls trois des prévenus étaient présents à l'audience, les dix autres étant représentés par leurs avocats, Mes Mathieu Sassi et Pierre-Vincent Lambert. Aya Nakamura n'était ni présente ni représentée à l'audience.

Les treize prévenus, âgés de 20 à 31 ans, sont proches du groupe identitaire Les Natifs, lui-même issu du groupuscule Génération identitaire (dissous en 2021), qui défend la théorie raciste et complotiste du "grand remplacement".

Les mis en cause sont poursuivis pour provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l'origine, l'ethnie, la nation, la race ou la religion ou pour complicité de provocation à la haine.

Banderole à connotation raciste

Le 9 mars 2024, après l'évocation par L'Express de la participation de la chanteuse à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques, le groupuscule Les Natifs avait posté sur ses réseaux sociaux une photo d'une banderole à connotation raciste.

Tendue par une dizaine de ses membres sur l'île Saint-Louis, en bord de Seine à Paris, la banderole disait: "Y a pas moyen Aya, ici c'est Paris, pas le marché de Bamako", une référence à son tube "Djadja" et à sa ville de naissance au Mali.

Ce message avait été relayé sur les réseaux sociaux par le média d'extrême droite "Livre noir", connu désormais sous le nom de "Frontières".

Le compte X des Natifs déplorait de "remplacer l'élégance française par la vulgarité, africaniser nos chansons populaires et évincer le peuple de souche au profit de l'immigration extra-européenne".

Le parquet de Paris avait confié une enquête à l'Office central de lutte contre les crimes de haine et la haine en ligne (OCLCH), après avoir reçu le 13 mars 2024 des signalements de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme) et de SOS-Racisme, dénonçant des "publications à caractère raciste au préjudice" de la star de la chanson française.

Le 20 mars, Aya Nakamura avait porté plainte à son tour.

"Collaborateur parlementaire"

Parmi les prévenus figurent Édouard M., cadre financier âgé de 28 ans, chef des Natifs, et Antoine G., un juriste de 27 ans, porte-parole du groupuscule identitaire. Tous deux étaient absents à l'audience.

Marine de C., 24 ans, soeur cadette du fondateur du groupuscule d'ultradroite les "Zouaves de Paris", dissous en janvier 2022, était aussi absente.

Capucine C., 22 ans, une chargée de communication qui, jusqu'en mars 2025, a été "collaborateur parlementaire" de trois députés du RN, était en revanche présente devant la 17e chambre du tribunal correctionnel.

Sacrée artiste féminine aux Victoires de la musique

Avant de s'en prendre à Aya Nakamura, sacrée artiste féminine aux Victoires de la musique 2024, Les Natifs avaient notamment fait parler d'eux en décembre 2023, pour avoir organisé un rassemblement de plusieurs dizaines de militants à Paris, en hommage à Thomas, ce jeune homme de 16 ans tué à la sortie d'une fête de village à Crépol (Drôme).

L'enquête n'a toujours pas permis d'identifier le meurtrier de l'adolescent.

Les Natifs, qui comptent près de 10'000 abonnés sur Instagram et plus de 18'000 sur X, revendiquent des actions coup de poing relayées sur leurs réseaux sociaux.

Ainsi, en mars, ils avaient recouvert de draps noirs des portraits de femmes voilées exposés dans la basilique Saint-Denis, dans la banlieue nord de Paris.

Deux personnes dont Stanislas T., 24 ans, un des 13 prévenus dans le procès pour injures contre Aya Nakamura, doivent comparaître jeudi devant le tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) dans le cadre de cette affaire.

Chanteuse francophone la plus écoutée au monde

De son vrai nom Aya Danioko, Aya Nakamura, 30 ans, qui a grandi à Aulnay-sous-Bois en Seine-Saint-Denis est la chanteuse francophone la plus écoutée dans le monde. Sa performance lors de la cérémonie d'ouverture des JO le 26 juillet 2024, avec la Garde républicaine, sur le Pont des Arts à Paris, avait été l'un des moments les plus suivis de l'événement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Culture

La 14e édition des Athénéennes, entre Eros et Thanatos

Publié

le

La 14e édition du festival genevois Les Athénéennes propose plus de 40 événements, avec de la musique classique, du jazz et de l'électro. L'Orchestre de Chambre de Genève se produira dans le cadre du nouveau petit festival parallèle destiné au jeune public (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La 14e édition du festival genevois Les Athénéennes, qui s'ouvre mercredi et dure jusqu'au 14 juin, thématise la dualité Eros-Thanatos. Plus de 40 événements sont programmés pendant onze jours, avec de la musique classique en début de soirée, suivie par du jazz, avant de finir à l'électro.

Ce décloisonnement des genres musicaux propre aux Athénéennes, un festival dirigé par les pianistes Audrey Vigoureux, Marc Perrenoud et Valentin Peiry, se retrouve dans le nouveau petit festival parallèle destiné au jeune public. Dans ce cadre, Sabine Quindou, de l'émission "C'est pas sorcier", et le pianiste Simon Zaoui, raconteront Gershwin.

L'Ochestre de Chambre de Genève (OCG) accompagnera les "Silly Symphonies", des studios Disney, dans des transcriptions originales, ainsi que "Cherche et trouve autour du monde", avec l'illustratrice Chloé Pérarnau en live. L'Ensemble Variante racontera au piano à quatre mains, avec Joan Mompart en récitant, "Peer Gynt", de Grieg, d'après un conte d'Ibsen.

Hommage à Ravel

Du côté du programme principal, le luthiste Thomas Dunford ouvrira le festival avec des morceaux qui iront de Vivaldi aux Beatles. L'Ensemble Sequenza 9.3 interprétera des oeuvres de Tavernier, Pärt et Mozart. "Harawi", chant d'amour et de mort de Messiaen, fera l'objet d'un ciné-concert. Le pianiste Jean-Marc Luisada interprétera Haydn, Liszst et Chopin.

Les Athénéennes accueillent pour la première fois le pianiste Ricardo Castro, qui a choisi de jouer des oeuvres de Mozart et de Villa-Lobos. Par ailleurs, un concert rendra hommage à Ravel, et la correspondance entre Clara et Robert Schumann sera au centre d'un spectacle musical. La soirée de clôture réunira l'OCG et l'Ensemble vocal de Lausanne pour le Requiem, de Fauré.

Création mondiale

En deuxième partie de soirée, le festival programme du jazz sous toutes ses formes, de l'électro du groupe The Big Tusk au progressif de Tigran Hamasyan, en passant par le néo-classicisme et folk expérimental de Kyrie Kristmanson avec le Trio SR9 et le funk minimal du collectif zurichois Nik Bärtsch's Ronin. Pour son premier concert à Genève, le Swiss Jazz Orchestra présentera une création mondiale.

Italo-disco, hommage à Barbara, rock ou encore flamenco rumba seront aussi à l'honneur en fin de soirée. Et pour la seconde année de suite, le festival collabore avec le club Chez Jean-Luc, où des DJ set et, pour la première fois, des concerts live feront danser les festivaliers les plus aguerris.

www.lesatheneennes.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

Lausanne: 140 projets artistiques gratuits au Festival de la Cité

Publié

le

Arts vivants et musique seront à nouveau au coeur de la programmation du Festival de la Cité à Lausanne (archives). (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

Le Festival de la Cité à Lausanne proposera pas moins de 140 projets artistiques et 200 représentations sur une vingtaine de scènes, du 1er au 6 juillet prochain. Si arts vivants et musique demeurent au coeur de cette manifestation gratuite, le projet de choeur participatif à l'occasion des 750 ans de la cathédrale promet de s'inscrire comme l'un des temps forts de cette 53e édition.

"Sous la direction de Johanna Hernandez, chantez avec nous un programme varié et accessible: l'intemporel Amazing Grace, le sublime Locus Iste de Bruckner et une oeuvre originale composée pour l'occasion" par la chanteuse Louise Knobil, invitent les organisateurs. "Il est possible d'embarquer dans cette aventure en tout temps, puisque les partitions sont disponibles librement sur le site internet du festival", précisent-ils dans le programme de l'édition 2025 dévoilé mercredi.

Sur la place du Château, l'installation monumentale "Crescendo", de l'artiste suisse Julian Vogel, devrait elle aussi marquer les esprits. "Lieu de spectacles et de rencontres, elle incarne l'esprit du Festival: un carrefour artistique qui invite à la découverte, au dialogue et à l'émerveillement collectif", souligne la directrice de la manifestation, Martine Chalverat.

Corde à sauter et électro congolaise

Du côté des arts vivants, une trentaine de spectacles sont à découvrir. Théâtre, cirque, danse, magie, récital queer, roller, corde à sauter ou encore "drum poésie" devraient trouver un large public.

Côté musique, une quarantaine de concerts tous azimuts figurent au programme. L'occasion pour les festivaliers d'écouter ou découvrir l'accordéoniste explorateur biélorusse Yegor Zabelov, les "paysages sonores" de l'Egyptien Maurice Louca, l'électro congolaise de Ngwaka Son Systéme, le "reggaetton ravetton" de l'Argentine Fiah Miau ou encore la multi-instrumentiste zurichoise Palinstar. En dernière partie de soirée, les "after de Tridel" réuniront les plus infatigables des festivaliers jusqu'au petit matin dans l'usine d'incinération du même nom.

Enfants pas oubliés

Comme les autres années, un riche programme attend le jeune public. Au menu, des spectacles comme "Les 3 Grâââââââces" aux costumes et décors exclusivement en carton, des acrobaties avec "Moi aussi!" et une déambulation mêlant récit, cirque et musique avec "Le Royaume de Kensuké". Des ateliers participatifs sont également prévus, parmi lesquels un "atelier gifles" dès 12 ans, ou un atelier d'éveil musical dès 18 mois.

La 53e édition mettra à l'honneur la scène musicale féminine suisse, avec un coup de projecteur particulier sur "les personnes intersexes, trans, agenre et non-binaire", soulignent les organisateurs.

Enfin, pour plus de durabilité et d'inclusivité, le festival propose un service de covoiturage par internet et prévoit la possibilité de louer un vélo électrique à un tarif préférentiel pour toute la durée de la manifestation. Les personnes en situation de handicap peuvent quant à elles bénéficier d'un service d'accompagnement.

L'an dernier, pendant six jours et par une météo changeante, environ 100'000 personnes avaient fréquenté la manifestation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

La chanteuse Nicole Croisille est morte à 88 ans

Publié

le

La voix de Nicole Croisille s'est tue (illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Nicole Croisille, voix de la chanson française dans les années 1970 mais aussi comédienne et danseuse, est morte à 88 ans dans la nuit de mardi à mercredi "des suites d'une longue maladie", a annoncé son agent à l'AFP mercredi.

"Jusqu'au bout, elle s'est battue avec beaucoup de force et de courage", a déclaré Jacques Metges, indiquant que l'interprète des tubes "Parlez-moi de lui" et "Téléphone-moi" et de l'entêtant "dabadabada" du film "Un homme et une femme" était décédée à Paris.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

BABACAR

FRANCE GALL

15:15

Les 2 derniers titres

DON'T BE SO SHY (FILATOV & KARAS REMIX)

IMANY

15:10

SEND ME AN ANGEL

SCORPIONS

15:06

Votre Horoscope

Verseau

Vous, qui aimez collaborer, proposer des solutions, faire circuler les idées, ce mercredi va vous combler par la diversité de vos rencontres…

Les Sujets à la Une