Sport
Le sprint final de Marco Odermatt commence en Valais
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Marco Odermatt est bien parti pour décrocher à nouveau quatre globes de cristal à l'issue de la saison. Le Nidwaldien entame la dernière ligne droite de l'hiver ce week-end à Crans-Montana.
De retour des Mondiaux de Saalbach, où il a complété sa collection en décrochant la médaille d'or en super-G, Marco Odermatt a les dents longues à l'approche du sprint final de la Coupe du monde. Cinq étapes sont encore à son programme. Après les épreuves de vitesse du week-end à Crans-Montana suivront un géant à Kranjska Gora (Slovénie), une descente et un super-G à Kvitfjell (Norvège), un géant à Hafjell (Norvège) et enfin les finales de Sun Valley, aux Etats-Unis.
Matelas confortable
"Si j'en crois ce que j'entends, le super-G est jusqu'à présent la discipline dans laquelle j'ai la plus grande avance, mais je ne connais pas vraiment les classements", a assuré le triple vainqueur du gros globe de cristal jeudi, lors d'une rencontre avec les médias.
Avec 119 points d'avance sur l'Autrichien Vincent Kriechmayr, "Odi" dispose en effet d'un matelas confortable dans la discipline. C'est un peu plus qu'en descente, où 93 points le séparent de Franjo von Allmen.
"Et comme je n'ai pas été bon en géant en début de saison, c'est encore très serré (réd: 71 points d'avance sur Alexander Steen Olsen). Chaque globe est donc encore très loin", a affirmé Odermatt, la casquette vissée sur le crâne désormais rasé à blanc - stigmate d'une soirée de fête qui a coûté la toison à de nombreux représentants de Swiss-Ski à Saalbach.
Une piste "plutôt facile"
C'est pourquoi l'homme aux 44 victoires en Coupe du monde n'a pas chômé après les championnats du monde. "J'ai regardé le slalom dimanche et puis j'ai repris l'entraînement le lendemain. C'était la plus longue pause de l'hiver depuis le Nouvel An, j'avais donc besoin de deux jours en salle de musculation pour travailler le physique", a-t-il expliqué.
Marco Odermatt débarque ainsi affûté sur le Haut-Plateau, qui accueille les skieurs de Coupe du monde pour la première fois depuis 2012 après une longue parenthèse féminine. Depuis jeudi, il trace ses premières courbes sur la "Nationale", où les hommes se disputeront les médailles lors des Mondiaux de 2027.
"C'est toujours spécial de découvrir une nouvelle descente. C'est un nouveau défi", s'est réjoui Odermatt, qui, comme ses coéquipiers, juge la piste "plutôt facile". "Elle n'est jamais vraiment raide et c'est donc très difficile d'être rapide. Chaque détail compte: les courbes, le matériel. Il faut essayer de garder une bonne vitesse de la première à la dernière porte", a-t-il détaillé.
Sextuplé helvétique
Cette "piste pour glisseurs" - dixit Alexis Monney - a toutefois bien convenu aux skieurs helvétiques de Coupe d'Europe, où la bataille fait rage pour rallier l'élite du Cirque blanc. Un sextuplé suisse lors d'une des deux descentes disputées le 12 février a forcément retenu l'attention du patron du ski mondial.
"Je suis toujours de près ce qui se passe en Coupe d'Europe et ce que font les jeunes. J'étais déjà très heureux de voir que la génération suivante était là avec Franjo (von Allmen) et Alexis (Monney), mais il semblerait que celle d'après arrive aussi", a-t-il lâché dans un sourire.
Marco Odermatt a même pu profiter des conseils de Marco Kohler, 4e et 3e lors de ces deux descentes de Coupes d'Europe. "Pour une fois, c'est lui qui me donnait les +tips+", a rigolé le Nidwaldien de 27 ans, qui n'aborde pas ces courses "à domicile" avec une pression particulière. "Je prends chaque départ avec la même décontraction, même lorsqu'il y a beaucoup de fans devant lesquels j'ai bien sûr envie de performer." Ils devraient être 12'000 à acclamer les exploits du meilleur skieur du monde samedi et dimanche.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Euro dames 2025: 21 des 23 sélectionnées suisses sont connues
Le cadre de l'équipe de Suisse pour l'Euro dames comprend désormais 21 noms. Les deux derniers seront dévoilés lundi matin dans la "chasse au trésor" ("The Chase") mise en place par l'ASF.
Les noms de trois joueuses romandes ont été dévoilés dimanche. Il s'agit d'une part des Genevoises Sandrine Mauron (Servette Chênois) et Smilla Valloto (Hammarby IF/Wolfsburg dès 2025/26), qui évoluent toutes deux à mi-terrain.
De l'autre, la jeune attaquante fribourgeoise Leila Wandeler (Lyon) a aussi été retenue. Sa convocation constitue une surprise, car elle n'a pas encore disputé le moindre match avec l'équipe de Suisse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
GP d'Italie MotoGP: Marc Marquez toujours dominateur
Marc Marquez (Ducati) poursuit son implacable domination en MotoGP. L'Espagnol a remporté le Grand Prix d'Italie au Mugello pour encore accentuer son avance au championnat du monde.
Déjà victorieux en sprint samedi, Marc Marquez a donc vécu un nouveau week-end à 37 points. Sa 93e victoire en Grand Prix, qui est la 67e dans la catégorie reine, le rapproche encore d'un neuvième titre mondial, et ce même si la saison est encore longue. Mais son aisance est telle que le titre semble lui tendre les bras.
Dans la fournaise du Mugello, l'aîné des Marquez a été mis sous pression dans les premiers tours avant de s'installer en tête pour de bon et de creuser inexorablement l'écart. Il a franchi la ligne avec 1''942 d'avance sur son frère Alex Marquez (Ducati-Gresini) et 2''136 sur l'Italien Fabio di Giannantonio (Ducati-VR 46). Au championnat, Marc Marquez compte désormais 40 points d'avance sur son frère.
En Moto3, le Bâlois Noah Dettwiler (KTM) n'a pas réussi à entrer dans les points. Il s'est classé au 19e rang.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Grand sourire pour les organisateurs de la Fête fédérale de gym
Les organisateurs de la 77e Fête fédérale de gymnastique ont affiché un large sourire dimanche à l'heure de tirer un premier bilan de la manifestation. Avec ses 65'000 gymnastes de tout le pays, elle a permis un renforcement de la cohésion nationale, ont-ils souligné.
Au terme de semaines d'une "folle intensité", cet événement, "quelque peu anachronique dans une société individualiste", a permis de "réunir énormément de monde sans tension, sans problème de sécurité, dans le plaisir du vivre ensemble", a déclaré Cédric Bovay, président du Comité d'organisation. Il s'exprimait devant la presse, peu avant la cérémonie de clôture au stade de la Pontaise.
"Le fondement même de cette fête est l'échange entre les régions linguistiques, entre les différentes cultures. Pour les jeunes, découvrir différentes régions du pays au travers de la gymnastique aide énormément à la compréhension", s'est-il réjoui.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
A l'heure du bilan, la Suisse peut regarder l’avenir avec optimisme
L’Eurobasket dames de l’équipe de Suisse s’est achevé après la phase de poules. Malgré leurs trois revers en autant de matches, les filles de François Gomez ont posé de vrais jalons pour l’avenir.
Le bilan de l’équipe de Suisse en phase finale d’un Euro est désormais de six succès pour 22 défaites. A contrario de 1950, 1952 et 1956 où leurs aînées avaient remporté deux matches, Evita Herminjard et ses coéquipières quittent Le Pirée sans avoir décroché de succès. Le scénario était attendu.
Au-delà des chiffres et des défaites concédées contre la Grèce (65-87), la Turquie (67-91) et la France (37-111), les Helvètes ont réussi, là où l’on pouvait les attendre, le deuxième quart contre les Tricolores mis à part.
La remontée face à la Turquie
Les Suissesses ont donné la meilleure image d’elles-mêmes. Même lorsqu’elles ont connu des trous d’air – à chaque début de mi-temps de chacune de leurs rencontres -, les protégées de François Gomez se sont accrochées, comme contre la Turquie où, revenues à 10 longueurs (33e), elles ont obligé l’entraîneur adverse à remettre son cinq de base pour assurer la victoire.
Le moment le plus fort du séjour grec des Suissesses, sur lequel bâtir l’avenir. Des instants qui ont permis de démontrer que le basket suisse est en train de passer un palier au niveau international. Dans la salle de l’Olympiakos, le collectif helvétique a en revanche payé un manque d’expérience, de taille, d’adresse, de rythme et de qualités physiques.
En Suisse dans 4 ans?
Plutôt jeune (25 ans de moyenne), ambitieuse et unie, cette équipe vise de revivre un Eurobasket. Si, pour 2027, il faudra passer par des performances sportives pour y parvenir, Swissbasketball a annoncé vouloir organiser la phase finale de l’édition 2029. Si tel devait être le cas, les Suissesses seraient alors qualifiées d’office.
Au-delà du dossier Eurobasket 2029, la Fédération suisse devra trouver le moyen de développer une vraie communauté autour de cette équipe dans des domaines aussi complémentaires que le sponsoring, le merchandising, la communication, soit la valorisation du basket féminin dans son ensemble. Avec comme objectif d'augmenter le nombre de licenciées (5000 actuellement) et d'ainsi améliorer progressivement le niveau des championnats de Ligue nationale.
Trois équipes en EuroCup
Les clubs devront également faire leur part du travail, eux qui ne seront plus que 8 au sein de l'élite la saison prochaine à la suite de la relégation volontaire de Riva. Outre Elfic Fribourg, le champion de Suisse Nyon et Troistorrents ont confirmé leur inscription à la prochaine édition de l'Eurocup. Trois équipes suisses disputant la deuxième Coupe d'Europe en ordre d'importance, c'est du jamais vu!
Et les joueuses? En partant à l’étranger et en y réalisant des résultats de premier plan, Evita Herminjard, Lin Schwarz et Nancy Fora font déjà figure d’ambassadrices. Viktoria Ranisavljevic rêve de jouer en WNBA, au terme de son cursus de quatre ans à l’Université de Penn State. Future joueuse d’Elfic Fribourg, Lana Wenger pourrait être la grande attraction du prochain championnat de Suisse. Ces joueuses - et les autres - espèrent de susciter de l'envie auprès de la jeune génération, afin que cet Euro 2025 n'ait pas été qu'une parenthèse enchantée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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